Ma vie 5 - histoire érotique

-Toi tu ne perds rien pour attendre. Viens.
Il s’est détaché de moi et a piqué un sprint vers la vieille demeure. Je n’avais plus le rythme et il est arrivé avant moi. Son père à la porte nous guettait.
-Pas mal fils ! Mais il te battra un jour !
De la porte je sentais l’odeur et j’ai deviné ce qu’il avait fait cuisiner.
-Pour ton retour avec ton ami, le cuisinier nous a préparé une choucroute à ma bière. Tu verras Éric la différence avec celle de Paris. Je vois que Justin t’a trouvé des frusques qui te vont. Venez-vous assoir au salon il faut que l’on cause de ce que vous envisagez, même si on a le temps pour ça, j’aimerais savoir vos sentiments. Prends ton temps Bruno je demande l’apéritif pendant que tu me fais une bonne réponse en peu de mots. Prenez place autour de la table basse. Justin va nous servir.
-Simple papa, il est agréable à mes yeux, il est bien foutu fait bien l’amour en peu de mot je l’aime.
-Et toi Éric ?
J’ai eu un sourire en regardant Bruno.
Malgré mes expériences malheureuses je l’ai vu, on s’est souri et sans un mot de plus on a compris qu’on était fait l’un pour l’autre et me voilà.
-Bien je suppose que Bruno t’a déjà informé de mes goûts et je ne l’ai jamais influencé. C’est lui qui a décidé d’aller au château voir et comprendre l’amour entre garçon. Pas que l’Amour mais le sexe aussi. Alors trinquons à nos amours à tous.
Vous êtes gentil Paul. Je vous remercie de m’accueillir ici.
L’apéritif avalé on est allé s’installer autour d’une table ronde dans une autre pièce, assez intime pour un repas entre amis. Bruno, plus à l’aise que moi avec son père l’a informé avoir essayé les deux positions que j’étais assez obéissant, bien dirigé pour être aussi actif.
Paul souriait pendant que Justin faisait le service, frôlant chacun en passant comme pour bien faire comprendre qu’il n’était pas indifférent aux propos tenus. On avait tous vu son manège et Paul l’a fait cesser d’une claque sur les fesses.
La choucroute était excellente et la bière allait bien avec. Sur la bouteille Je voyais un homme torse nu sans pouvoir lire l’allemand. Bruno l’a vu et m’a donné la traduction.
« La bière des hommes ».
-C’est bien ce que tu voulais savoir ?
Oui tout à fait et les affaires sont bonnes ?
Paul a eu un grand sourire.
-On ne boit plus que ça dans les tavernes pour prévenir que l’on aime aussi les hommes. A propos d’homme, Éric a été rasé mais il commence à piquer un peu partout. Je dois être pareil, tu connais surement une boutique faites pour ça, enfin pour être vraiment net quoi.
Il a appelé Justin et dès qu’il a été là il lui a ordonné de baisser son pantalon et son slip aux cuisses.
Il s’est exécuté avec plaisir d’autant qu’il était très bien monté et de petits poils bouclés étaient autour de son sexe, remontant sous sa chemise.
-Tu connais la boutique de l’épilateur ?
-Bien sur monsieur.
Demain lundi tu les accompagneras, j’ai son numéro personnel et il vous prendra à l’heure que je vous indiquerais. Tu y passeras aussi Justin. Revêts-toi et débarrasse, tu amèneras le gâteau et les assiettes.
J’avais déjà le ventre plein, plus du tout habitué à manger autant.
-Demain je vais au bureau mais Justin vous amènera le café et vous donneras l’heure du RDV. Il fait ça très bien et vous pourrez choisir entre un simple ou un définitif.
Je me suis laisse tenté par une petite part de Forêt noire très légère et après le café et un peu de liqueur de cerise on s’est souhaité une bonne nuit.
Ton père est super cool.
-J’ai eu plus de chance que toi c’est vrai. En bon passif tu as dû apprécier la vue du gourdin de Justin.
On la verra mieux demain. Sans poils elle sera plus impressionnante.
-Toujours aussi gourmand. J’ai failli dire salope !
Bah c’est vrai je n’aurais pas été vexé. Et puis c’est toi qui décides. Là-bas, j’étais Trou. J’aime la queue des mecs je ne m’en cache pas.
-On va vite voir ça.
J’étais un peu pompette arrivé au rdv de chasse et il m’a déshabillé tranquillement avant de m’installer au milieu du lit et de m’attacher en croix. Ses doigts ont en même temps exploré mon anus et agité ma queue ce qui a eu l’effet rapide de me faire bander. Son regard vicieux s’attardait sur mon sexe en se déshabillant. Lui aussi bandait et il est monté sur mon ventre il bavait et avec sa bave de sexe et sa salive il a enduit son anus avant de soulever la queue raide et s’assoir dessus.
Son sourire est apparu et son inquiétude visible aussi.
-J’adore aussi quand je m’enfile sur toi. Maintenant comme je sais que toi tu n’aimes pas trop, remue pour te libérer.
J’ai bien compris son jeu et pour l’éjecter de moi je donnais de furieux coups de rein qui l’excitait encore plus. Il se branlait et le résultat allait arriver quand il s’est dégagé pour passer sous mes couilles et me prendre d’un coup sec. On était aussi excité l’un que l’autre cette fois et c’est en tirant sur mes anneaux de sein qu’il a eu des soubresauts en même temps que moi je giclais sur le ventre.
Il est resté en moi, étalant mon foutre sur le ventre jusqu’aux tétons.
-Tu sais je t’aime fort !
Il s’est dégagé et s’avançant il m’a fait sucer son membre avec mes secrétions avant de sucer le mien.
Il m’a détaché avant de s’embrasser et de nous endormir cette fois satisfait l’un de l’autre.
Le matin on a été réveillé par l’odeur du café puis l’arrivée de Justin.
-Bonjour ! Monsieur Paul est parti au travail et il m’a ordonné de me mettre à votre disposition pour les différents services tels que nettoyage, cuisine et ménage. Il souhaite aussi que Monsieur Éric laisse un mot sur son niveau d’étude de façon à l’orienter vers un métier compatible avec l’entreprise. Je lui ferais parvenir. Vu l’heure (je n’ai pas osé vous réveiller avant) les croissants sont tièdes mais sortent du four à micro-ondes.
J’ai jeté un œil sur le réveil il était dix heures. On avait fait un peu la fête mais quand même ! Bruno m’a donné un coup de coude, tirant sur les draps.
La crème tu la prends après ? Il était raide comme moi et après avoir ri, on a décidé de boire d’abord le café chaud avec les croissants. Justin nous matait boire se frottant la queue de la main sur le jean.
-Tu t’es déjà fait enculer Justin ?
-Rarement mais oui c’est arrivé.
-Dessapes toi. Montre-nous ta bite.
Il a été rapide et on a vu une belle queue sombre avec un gland pas rose mais plutôt gris qui pointait.
-Mets-toi à quatre pattes, Éric va te lécher le cul et bien le mouiller, après je te prendrais. Et si tu es en forme tu prendras Éric en même temps.
Ecartant ses fesses j’ai salivé son trou tout rose lui une fois les poils dégagés sur les côtés et j’ai laissé la place à Bruno qui s’est enfilé sans peine, à genoux derrière lui et le relevant en ramonant. Son gland cette fois pointait bien et je me suis mis à quatre pattes devant lui, reculant et la poussée de Bruno a suffi pour qu’il me pénètre. Bruno a joui assez vite dans le cul de Justin qui a donné un ultime coup de rein pour se vider en moi. En bonne salope j’avais joui sans me branler sur les draps.
-Bon il fait chaud dehors Justin ?
-Très chaud oui, monsieur Bruno.
-Alors allons-nous laver dans le bassin de la rivière. Laissons nos frusques ici le parc est clos entièrement. Au fait Justin tu ne m’as pas tout dis. Pourquoi papa te mets à notre disposition ?
-Ben il a besoin aussi de sa vie privée et il a un nouvel ami depuis peu et il préfère que vous n’alliez pas trop au manoir.
-Et bien on sera discret. Tu as amené une voiture ? Il parlait tout en marchant dans l’herbe en direction de la rivière.
-Oui j’ai le van de Monsieur Paul.
-Ha ! Sympa d’avoir pensé à ça de sa part.
Il a mis un pied dans l’eau le bord était sableux comme une plage.
-Elle est fraîche mais ça fera du bien.
Il a avancé et a jeté de l’eau sur nous.
Salaud ! Merde ça surprend !
-Hé Éric tu oublies que tu es le mec que moi j’ai choisi !
Oui ok pardon.
-Plonge toi entièrement que je te lave.
Une fois allongé sur le sable dans l’eau sa main est passé partout, ses doigts aussi me faisant frémir et je n’ai plus pensé à la fraicheur de l’eau. A côté de nous Justin faisait de même mais seul en nous matant et j’ai bien vu son sexe émerger quand il l’a lavé en me souriant.
-A mon tour. Frotte, soit énergique.
Volontairement j’ai pris un peu de sable pour lui frotter le dos. Il a couiné que j’allais trop fort.
Il faut choisir Bruno ! Je me suis rincé les doigts avant de le doigter et de laver le gland en tirant sur le prépuce
-Ha là c’est mieux ! Justin ? il y a une boîte outil au pavillon ?
-Bien sur monsieur Bruno.
-Bien, va chercher le jeu de clé Allen je veux voir si elles restent pendantes.
Il est parti en courant ses fesses fermes étaient belles à voir avec les petites fossettes de chaque côté.
-Je suis curieux vraiment de te voir sans poids et si elles ne pendent pas assez on trouvera autre chose pour les étirer.
Justin revenait sa queue se balançant, raide, de gauche à droite comme un signal.
-Donne que je choisisse la bonne. Là oui, c’est celle-là. Pour ôter les demi-coques c’est facile.
Je ne regardais pas, fixait plutôt la bite de Justin qui perlait du gland les yeux rivés sur mes couilles.
Quand le poids s’est détaché ça m’a fait bizarre. J’ai eu l’impression que mes couilles se baladaient dans un sac trop grand. La main de Bruno a joué avec les faisant rouler entre ses doigts. Bien sûr j’ai bandé il aimait ça et moi aussi.
-Après l’épilation on verra ce que je fais de son sac.
On est rentré au pavillon, sur la table une lettre que Justin avait déposée sans nous en parler. Bruno l’a ouverte et lue souriant au fur et à mesure et me l’a tendu.