Ma vie 8
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma vie 8
-Oui tout est prés.
-Alors mets une assiette sur la table et une autre sur le sol. Éric va manger comme la chienne qu’il est, sans se laver le visage et bien sûr sans couverts. Dépêche-toi on va travailler tout à l’heure.
J’avais le sperme collé au visage et qui coulait dans l’assiette devant moi. Je pouvais me servir de mes doigts car c’était du poulet avec des petits pois. Je devais garder les coudes à terre et montrer la queue qui dépassait de mes fesses ouvertes. J’avais une cuisse et l’ai désossé comme un sauvage avant d’attraper les petits pois par petits coup de langue. Chaque geste faisait remuer la queue et le plug me faisant bander.
L’assiette suivante était une mousse au chocolat, très bonne mais qui hélas m’a barbouillé le visage.
-Tu es vraiment une chienne. Il a tiré d’un coup sec sur le plug. Va te laver et t’habiller. Lave aussi le plug. Tu mettras le costume gris et le maillot de bain à bretelles qui laisse ouverte les fesses. Si ce n’est pas trop tard on ira se baigner. Tu ne connais pas Munich mais il y a des lacs où le nudisme est largement toléré.
La douche m’a fait du bien mais j’ai dû faire vite et enfiler le maillot me faisait un corps curieux. Les bretelles descendant jusqu’au niveau de mon sexe et le tissu remontait derrière, laissant mes lobes fessiers dehors. En revanche le plaisir d’avoir un pantalon et le reste convenable m’a fait du bien. Bruno est venu me voir, lui aussi changé en futur patron bavarois avec le gilet caractéristique.
-La personne que tu vas rencontrer est un pro de l’informatique et de la logistique. Au début tout te paraîtra abscons mais tu devrais rapidement apprendre et j’espère maitriser le sujet. Je dois de mon côté travailler avec mon père. La gestion de l’entreprise n’est pas simple. Tu ne travailleras pas seul. D’autres espéraient avoir le poste que tu auras. A toi d’être ferme. Un détail quand on est seul, laisse ouvert ta braguette. Pense à la refermer en sortant de la voiture.
Oups, pardon. J’ai vite fait descendu le zip.
Dans la voiture la boîte automatique lui laissait la main droite libre pour fouiller le maillot à l’intérieur. Sa main pressait mes couilles, je gémissais et ne faisait nullement attention à la route.
-Remonte le zip on arrive.
J’ai obéi vite fait, il tournait et on était devant une barrière qui s’est levée. J’ai aperçu un gardien visage fermé derrière une vitre. L’usine ou tout au moins la brasserie était immense, de grands hangars ou j’ai aperçu d’immenses cuves bizarres. La voiture s’est arrêtée devant un immeuble de bureau. Cette fois c’était sérieux et mon avenir en dépendait. Bruno m’a mené vers un des bureaux du premier étage ou officiait un homme pratiquement de mon âge, devant au moins trois écrans.
-Hans je te présente Éric que tu vas former au métier. Il est français et suivra aussi une formation accélérée d’allemand. Il a une bonne formation de mathématique et il lui manque la pratique de la logistique. Le fameux quoi, quand et où. Je vois derrière la vitre les déçus qui aspiraient à ce poste mais je veux que ce soit lui en qui j’ai toute confiance.
La poignée de main de Hans fut cordiale.
-Du sang neuf, pas encore contaminé par les façons obsolètes de la logistique à former ?
Totalement je sais qu’il y a des usines et des magasins mais j’ignore le cheminement entre les deux.
-Parfait dans ceux qui sont derrière la vitre qui ferme mon bureau, fort peu savent réellement le but de notre travail. Tu verras des jaloux mais en cas de besoins viens me voir. Pour le moment assieds-toi et tente de suivre ce que je fais.
Bruno était parti sur un je vous le laisse, je repasse la journée finie.
-Bon, je vais te présenter aux autres, jaloux ou pas ils doivent te connaître.
Il a passé une porte en verre.
-Mesdames et Messieurs voici un nouveau complètement nul en logistique à qui je vais devoir faire fonctionner l’esprit en logisticien. Il restera un moment avec moi et aura un poste de travail à côté de vous plus tard.
Ils étaient tous de mon âge ou presque et si certains me lançaient des regards mauvais pensant que je prenais leur place d’autres étaient indifférents et même un m’a fait un clin d’œil tout souriant. De retour dans le bureau, Hans a éloigné un peu son fauteuil et les leçons ont commencé j’ai assez vite compris le côté stock, un peu plus lent à saisir le juste à temps mais il était content de mes débuts et quand Bruno est venu me chercher je n’avais pas l’impression d’être resté si longtemps.
-Je vous le prends il est l’heure.
-Tu m’affoles toi. Vivement ce soir. J’ai passé l’après-midi à entendre parler de chiffres et de résultats. Mon père compte vraiment sur toi pour lancer sa marque en France. Il a décidé pour les Français de changer l’étiquette en mettant une photo de toi torse nu mais en gardant le logo. Pour les hommes qui aiment. Il tient à ce que l’on voie bien ton visage et tes anneaux de tétons. Une grande fête sera organisée dans le Marais avec un énorme tonneau sur un chariot tiré par des grands chevaux frisons. Là ça va avoir de la gueule.
Hé, mais avec ma tête on va me reconnaître !
-Tu t’en fous, ton père t’a viré alors au pire il sera jaloux de ton succès. Aller on est dans la voiture, fait ce que je t’ai dit.
Ho pardon, j’ai ouvert vite fait le zip. Le tissu fin qui retenait mes boules, laissait dépasser le gland.
-Joli. Tu vas faire un bel effet au lac.
On y va tout de suite ?
-Oui et comme je suis connu tu le seras aussi.
Arrête-toi avant j’ai besoin de faire pipi.
-Là mon gars c’est trop tard on y est dans trop peu de temps mais tu pourras te soulager dans l’eau.
Mais j’en bande, ça presse sur la vessie.
-Et alors Il y a plus de gays par ici que n’importe où ailleurs.
Il a pris une petite route jusqu’à un parking sus les arbres
-Descend et fais comme moi, ne garde que ton maillot
Tu es vache, ils vont voir mes fesses nues et que je bande.
-Dis-toi qu’on a tous une bite et un cul.
Nu avec juste un mini maillot moulant mon mec était beau et la voiture fermée il m’a guidé vers les arbres qui cachaient le plan d’eau. Là était étalés sur des serviettes garçons et filles en couple ou isolés mais pour la plupart nus ou presque mêlés à des personnes âgées sans complexe.
-Bienvenue en Bavière Éric.
Moi je ne voyais plus que l’étendue d’eau où je suis allé. Fraîche mais agréable Dès que j’ai pu j’ai lâché ma vessie me libérant d’un liquide gênant. Une fois satisfait j’ai cherché Bruno et l’ai vu en conversation avec deux nanas. J’en ai reconnu une que j’avais vu lors de l’orgie organisée par Bruno.
Elle aussi m’a reconnu.
Viens Éric, on est entre copines et copines. On attend un ami.
Je me suis allongé près de Bruno sur l’herbe.
-Tu as soulagé ta vessie ?
Euh oui. J’ai rougi devant l’air rigolard des nanas.
-Ne t’inquiètes pas on le fait tous. Voilà Willy. Hum toi t’as l’air en forme.
J’ai reconnu le mec de la boîte qui m’avait souri et fait un clin d’œil. Lui m’avait bien repéré et arboré une bosse importante sous un mini maillot jaune.
-Salut, Ric c’est ça ?
Non Éric.
-Ok tu es avec Bruno petit mec ?
Bruno a pris la parole.
-Oui il vit avec moi et a de très bons côtés. Tu les découvriras peut-être.
La fille qui m’avait vu a retenu avec peine un fou rire.
-Ha ! Avec lui ne joue pas Willy, tu n’es pas dans la même catégorie.
-Pourquoi ? Il est mignon comme tout dans son joli maillot.
-Aller fait donc comme lui, mets-toi à l’aise.
Il a rougi et a tout ôté sauf le boxer.
-Hé dis donc, t’as le clito en chaleur ou une micro-bite ?
Cette fois il était pivoine. La nana a passé la main sur le boxer.
-C’est amusant il bande, il est tout raide. Tu as déjà pris ton pied avec ce mini truc ? Bruno a arrêté les nanas.
-Arrêtez. Il est comme il est. N’ajoutez pas la méchanceté.
On n’est pas méchante mais se frotter sur son truc, rien que ça doit le faire jouir.
-Vous ne voyez donc pas les regards qu’il jette à Éric ?
-Oh non encore un gay ?
-Je n’ai rien contre les filles mais les mecs me plaisent plus. Tu peux comprendre ça ? Et arrête de lancer des allusions. Oui j’ai une petite queue mais j’ai un bon cul et ça tu ne peux pas le satisfaire.
Je ne disais rien dans mon coin mais je comprenais mieux le sourire et le clin d’œil.
-Et toi Éric tu ne dis rien qu’en penses-tu ?
Moi je le trouve mignon, le sexe n’a pas grosse importance car je te connais Bruno, c’est toi qui vas le baiser.
-Bah il s’offre déjà à toi et je sais que tu peux enculer un mec alors pourquoi pas le prendre.
Euh j’ai rarement baisé un garçon mais pourquoi pas s’il en a envie ben oui pourquoi pas.
Cette fois il en a rosi de plaisir et a baissé son boxer. Exhibant une bite de gamin de 5cm encapuchonnée avant de se mettre sur le dos par une pudeur déplacée. Ses fesses étaient fines comme sa taille et il se cambrait volontairement.
-Bon si on reste ici ce sera de l’attentat à la pudeur. Allons vers le parking il y a des toilettes handicapées. Pas les filles désolées. Et toi, remets ton boxer.
On est entré dans les toilettes assez large pour nous trois. Bruno bandait, à peine sa queue à l’air et moi en le voyant j’ai bandé aussi. Willy a baissé son boxer et a commencé à sucer Bruno puis a rapproché ma queue, passant de l’une à l’autre avant de se retourner, cambré. Montrant son anus en écartant les fesses.
-Vas-y Éric, enfile-moi ta queue. Bruno aura tes fesses et ça te poussera plus loin dans les miennes.
Son anus palpitait mais j’ai dû forcer. Heureusement Bruno m’a pénétré d’un coup me poussant dans le petit cul serré. Willy a poussé un grand cri de douleur et de plaisir. J’ai réalisé qu’il devait être puceau de ce côté aussi. Il secouait son petit membre et ajouté au plaisir ou douleur il n’a pas tardé à jouir. Je me suis dégagé de son cul et j’ai tendu ma queue. Il savait au moins faire ça et m’a sucé sans renâcler y prenant plaisir. Bruno lui a joui en moi et a dû s’essuyer la queue, il n’avait pas mis de capote.
-Comment connais-tu Éric ?
-Je travaille chez votre père dans le bureau en face de Mr Hans.
-Et en bon camarade tu as vu arriver Éric et tu as voulu sa queue. Je me trompe ?
-Non mais je ne m’attendais pas à le voir ici avec vous.
-Pas grave je ne suis pas jaloux même si j’aime Éric à ma façon. Si tu as un véhicule passe nous voir. Il se fait tard et on doit entrer pour manger.
Je passerais je connais le manoir de votre père.
Nous on loge dans l’ancienne écurie réhabilitée en pavillon de chasse. Gare-toi devant le perron et fous toi nu en approchant de la porte.
-Alors mets une assiette sur la table et une autre sur le sol. Éric va manger comme la chienne qu’il est, sans se laver le visage et bien sûr sans couverts. Dépêche-toi on va travailler tout à l’heure.
J’avais le sperme collé au visage et qui coulait dans l’assiette devant moi. Je pouvais me servir de mes doigts car c’était du poulet avec des petits pois. Je devais garder les coudes à terre et montrer la queue qui dépassait de mes fesses ouvertes. J’avais une cuisse et l’ai désossé comme un sauvage avant d’attraper les petits pois par petits coup de langue. Chaque geste faisait remuer la queue et le plug me faisant bander.
L’assiette suivante était une mousse au chocolat, très bonne mais qui hélas m’a barbouillé le visage.
-Tu es vraiment une chienne. Il a tiré d’un coup sec sur le plug. Va te laver et t’habiller. Lave aussi le plug. Tu mettras le costume gris et le maillot de bain à bretelles qui laisse ouverte les fesses. Si ce n’est pas trop tard on ira se baigner. Tu ne connais pas Munich mais il y a des lacs où le nudisme est largement toléré.
La douche m’a fait du bien mais j’ai dû faire vite et enfiler le maillot me faisait un corps curieux. Les bretelles descendant jusqu’au niveau de mon sexe et le tissu remontait derrière, laissant mes lobes fessiers dehors. En revanche le plaisir d’avoir un pantalon et le reste convenable m’a fait du bien. Bruno est venu me voir, lui aussi changé en futur patron bavarois avec le gilet caractéristique.
-La personne que tu vas rencontrer est un pro de l’informatique et de la logistique. Au début tout te paraîtra abscons mais tu devrais rapidement apprendre et j’espère maitriser le sujet. Je dois de mon côté travailler avec mon père. La gestion de l’entreprise n’est pas simple. Tu ne travailleras pas seul. D’autres espéraient avoir le poste que tu auras. A toi d’être ferme. Un détail quand on est seul, laisse ouvert ta braguette. Pense à la refermer en sortant de la voiture.
Oups, pardon. J’ai vite fait descendu le zip.
Dans la voiture la boîte automatique lui laissait la main droite libre pour fouiller le maillot à l’intérieur. Sa main pressait mes couilles, je gémissais et ne faisait nullement attention à la route.
-Remonte le zip on arrive.
J’ai obéi vite fait, il tournait et on était devant une barrière qui s’est levée. J’ai aperçu un gardien visage fermé derrière une vitre. L’usine ou tout au moins la brasserie était immense, de grands hangars ou j’ai aperçu d’immenses cuves bizarres. La voiture s’est arrêtée devant un immeuble de bureau. Cette fois c’était sérieux et mon avenir en dépendait. Bruno m’a mené vers un des bureaux du premier étage ou officiait un homme pratiquement de mon âge, devant au moins trois écrans.
-Hans je te présente Éric que tu vas former au métier. Il est français et suivra aussi une formation accélérée d’allemand. Il a une bonne formation de mathématique et il lui manque la pratique de la logistique. Le fameux quoi, quand et où. Je vois derrière la vitre les déçus qui aspiraient à ce poste mais je veux que ce soit lui en qui j’ai toute confiance.
La poignée de main de Hans fut cordiale.
-Du sang neuf, pas encore contaminé par les façons obsolètes de la logistique à former ?
Totalement je sais qu’il y a des usines et des magasins mais j’ignore le cheminement entre les deux.
-Parfait dans ceux qui sont derrière la vitre qui ferme mon bureau, fort peu savent réellement le but de notre travail. Tu verras des jaloux mais en cas de besoins viens me voir. Pour le moment assieds-toi et tente de suivre ce que je fais.
Bruno était parti sur un je vous le laisse, je repasse la journée finie.
-Bon, je vais te présenter aux autres, jaloux ou pas ils doivent te connaître.
Il a passé une porte en verre.
-Mesdames et Messieurs voici un nouveau complètement nul en logistique à qui je vais devoir faire fonctionner l’esprit en logisticien. Il restera un moment avec moi et aura un poste de travail à côté de vous plus tard.
Ils étaient tous de mon âge ou presque et si certains me lançaient des regards mauvais pensant que je prenais leur place d’autres étaient indifférents et même un m’a fait un clin d’œil tout souriant. De retour dans le bureau, Hans a éloigné un peu son fauteuil et les leçons ont commencé j’ai assez vite compris le côté stock, un peu plus lent à saisir le juste à temps mais il était content de mes débuts et quand Bruno est venu me chercher je n’avais pas l’impression d’être resté si longtemps.
-Je vous le prends il est l’heure.
-Tu m’affoles toi. Vivement ce soir. J’ai passé l’après-midi à entendre parler de chiffres et de résultats. Mon père compte vraiment sur toi pour lancer sa marque en France. Il a décidé pour les Français de changer l’étiquette en mettant une photo de toi torse nu mais en gardant le logo. Pour les hommes qui aiment. Il tient à ce que l’on voie bien ton visage et tes anneaux de tétons. Une grande fête sera organisée dans le Marais avec un énorme tonneau sur un chariot tiré par des grands chevaux frisons. Là ça va avoir de la gueule.
Hé, mais avec ma tête on va me reconnaître !
-Tu t’en fous, ton père t’a viré alors au pire il sera jaloux de ton succès. Aller on est dans la voiture, fait ce que je t’ai dit.
Ho pardon, j’ai ouvert vite fait le zip. Le tissu fin qui retenait mes boules, laissait dépasser le gland.
-Joli. Tu vas faire un bel effet au lac.
On y va tout de suite ?
-Oui et comme je suis connu tu le seras aussi.
Arrête-toi avant j’ai besoin de faire pipi.
-Là mon gars c’est trop tard on y est dans trop peu de temps mais tu pourras te soulager dans l’eau.
Mais j’en bande, ça presse sur la vessie.
-Et alors Il y a plus de gays par ici que n’importe où ailleurs.
Il a pris une petite route jusqu’à un parking sus les arbres
-Descend et fais comme moi, ne garde que ton maillot
Tu es vache, ils vont voir mes fesses nues et que je bande.
-Dis-toi qu’on a tous une bite et un cul.
Nu avec juste un mini maillot moulant mon mec était beau et la voiture fermée il m’a guidé vers les arbres qui cachaient le plan d’eau. Là était étalés sur des serviettes garçons et filles en couple ou isolés mais pour la plupart nus ou presque mêlés à des personnes âgées sans complexe.
-Bienvenue en Bavière Éric.
Moi je ne voyais plus que l’étendue d’eau où je suis allé. Fraîche mais agréable Dès que j’ai pu j’ai lâché ma vessie me libérant d’un liquide gênant. Une fois satisfait j’ai cherché Bruno et l’ai vu en conversation avec deux nanas. J’en ai reconnu une que j’avais vu lors de l’orgie organisée par Bruno.
Elle aussi m’a reconnu.
Viens Éric, on est entre copines et copines. On attend un ami.
Je me suis allongé près de Bruno sur l’herbe.
-Tu as soulagé ta vessie ?
Euh oui. J’ai rougi devant l’air rigolard des nanas.
-Ne t’inquiètes pas on le fait tous. Voilà Willy. Hum toi t’as l’air en forme.
J’ai reconnu le mec de la boîte qui m’avait souri et fait un clin d’œil. Lui m’avait bien repéré et arboré une bosse importante sous un mini maillot jaune.
-Salut, Ric c’est ça ?
Non Éric.
-Ok tu es avec Bruno petit mec ?
Bruno a pris la parole.
-Oui il vit avec moi et a de très bons côtés. Tu les découvriras peut-être.
La fille qui m’avait vu a retenu avec peine un fou rire.
-Ha ! Avec lui ne joue pas Willy, tu n’es pas dans la même catégorie.
-Pourquoi ? Il est mignon comme tout dans son joli maillot.
-Aller fait donc comme lui, mets-toi à l’aise.
Il a rougi et a tout ôté sauf le boxer.
-Hé dis donc, t’as le clito en chaleur ou une micro-bite ?
Cette fois il était pivoine. La nana a passé la main sur le boxer.
-C’est amusant il bande, il est tout raide. Tu as déjà pris ton pied avec ce mini truc ? Bruno a arrêté les nanas.
-Arrêtez. Il est comme il est. N’ajoutez pas la méchanceté.
On n’est pas méchante mais se frotter sur son truc, rien que ça doit le faire jouir.
-Vous ne voyez donc pas les regards qu’il jette à Éric ?
-Oh non encore un gay ?
-Je n’ai rien contre les filles mais les mecs me plaisent plus. Tu peux comprendre ça ? Et arrête de lancer des allusions. Oui j’ai une petite queue mais j’ai un bon cul et ça tu ne peux pas le satisfaire.
Je ne disais rien dans mon coin mais je comprenais mieux le sourire et le clin d’œil.
-Et toi Éric tu ne dis rien qu’en penses-tu ?
Moi je le trouve mignon, le sexe n’a pas grosse importance car je te connais Bruno, c’est toi qui vas le baiser.
-Bah il s’offre déjà à toi et je sais que tu peux enculer un mec alors pourquoi pas le prendre.
Euh j’ai rarement baisé un garçon mais pourquoi pas s’il en a envie ben oui pourquoi pas.
Cette fois il en a rosi de plaisir et a baissé son boxer. Exhibant une bite de gamin de 5cm encapuchonnée avant de se mettre sur le dos par une pudeur déplacée. Ses fesses étaient fines comme sa taille et il se cambrait volontairement.
-Bon si on reste ici ce sera de l’attentat à la pudeur. Allons vers le parking il y a des toilettes handicapées. Pas les filles désolées. Et toi, remets ton boxer.
On est entré dans les toilettes assez large pour nous trois. Bruno bandait, à peine sa queue à l’air et moi en le voyant j’ai bandé aussi. Willy a baissé son boxer et a commencé à sucer Bruno puis a rapproché ma queue, passant de l’une à l’autre avant de se retourner, cambré. Montrant son anus en écartant les fesses.
-Vas-y Éric, enfile-moi ta queue. Bruno aura tes fesses et ça te poussera plus loin dans les miennes.
Son anus palpitait mais j’ai dû forcer. Heureusement Bruno m’a pénétré d’un coup me poussant dans le petit cul serré. Willy a poussé un grand cri de douleur et de plaisir. J’ai réalisé qu’il devait être puceau de ce côté aussi. Il secouait son petit membre et ajouté au plaisir ou douleur il n’a pas tardé à jouir. Je me suis dégagé de son cul et j’ai tendu ma queue. Il savait au moins faire ça et m’a sucé sans renâcler y prenant plaisir. Bruno lui a joui en moi et a dû s’essuyer la queue, il n’avait pas mis de capote.
-Comment connais-tu Éric ?
-Je travaille chez votre père dans le bureau en face de Mr Hans.
-Et en bon camarade tu as vu arriver Éric et tu as voulu sa queue. Je me trompe ?
-Non mais je ne m’attendais pas à le voir ici avec vous.
-Pas grave je ne suis pas jaloux même si j’aime Éric à ma façon. Si tu as un véhicule passe nous voir. Il se fait tard et on doit entrer pour manger.
Je passerais je connais le manoir de votre père.
Nous on loge dans l’ancienne écurie réhabilitée en pavillon de chasse. Gare-toi devant le perron et fous toi nu en approchant de la porte.
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