Ma vie a changé depuis ce jour
Récit érotique écrit par Denis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie a changé depuis ce jour
En sortant de mon travail, ce jour là je me suis arrêté dans un bar pour boire un verre, c’est exceptionnel, car ma femme était chez ses parents pour le weekend. Une fois mon verre terminé je suis sortit et marche dans la rue. Une voiture se gare à côté de moi, mais je n'y prête pas attention, c'est très courant. Et l’homme au volant (que j’avais aperçu dans le bar me demande de monter dans la voiture sur un ton sec), je ne sais pourquoi mais je m’exécute sans un mot, une fois dans la voiture, il me dit je vais te mettre un bâillon et un loup, tu ne dois pas voir ou je t’emmène, et le laisse faire, il m'insère le bâillon dans la bouche qu’il attache derrière ma tête, et le loup sur mes yeux puis me dis baisse toi pour qu’on te voit pas.
Quelques temps plus tard, la voiture s'arrête. On me descend, et j'entends quelqu'un frapper à une porte. Elle s'ouvre, on me fait entrer, puis j’entends la porte de refermé. Tout ceci sans un mot.
On me change de pièce. On attache mes mains en hauteur, juste assez pour que je puisse tenir debout, et l'on commence à me déshabiller. On me met des anneaux aux pieds. Je suis tétanisé de peur, je n'ose pas me débattre.
Je suis désormais totalement nu. Un genou force entre mes cuisses afin que je les écarte. Une fois mes jambes bien écartées, mes anneaux sont accrochés au sol pour que je ne puisse plus rapprocher mes jambes. Je ne peux plus bouger.
Une paire de mains se pose sur mon corps. Elles glissent le long de mon cou, puis descendent sur mes bouts qui sont pincer sans trop de brutalité, qu’elles caressent, titillent, pincent. C’est à la fois douloureux, et agréable. Une bouffée de chaleur m’envahit. Puis, une des mains quitte mon torse et se dirige vers mon sexe. Le geste est brutal, les caresses sont rapides et puissantes. D’un seul cou, on me serre les couilles. Je frissonne, j’ai mal. Ma bite reste molle sous la douleur. Je comprends alors que mon corps ne m’appartient plus, je vais me fais posséder.
J’entends de petits bruits qui m’indiquent des mouvements. Les deux mains viennent alors se positionner sur mes hanches depuis derrière. Un doigt s’insinue dans ma raie fessière et me titille l’anus, une peur ou angoisse m’envahit, puis une langue fait suite aux précédentes caresses sur mon anus, a ce moment je comprends que je vais me faire dépuceler, et cette situation m’excite comme jamais.
Les mouvements sont plus doux. Mes bouts se durcissent sous le plaisir. La langue prend bien le temps d’humidifié ma rondelle. Puis c’est un doigt qui commence à pousser pour entrer dans mon cul, étrangement je trouve ça très bon, après plusieurs va et vient, un second doigt s’enfonce, une petite douleur très courte et le plaisir revient, le va et vient s’accentue ainsi que le plaisir en moi. Je profite réellement de la situation, et je voudrai que cet instant dur longtemps, mais ça ne sera pas le cas.
L’homme stoppe net ces « préliminaires », et c’est alors que je sens un sexe bandant se frotter contre ma rondelle (ne pouvant rien dire a cause du bâillon), je commence à soupirer. Il se base juste à l’entrée de mon anus, sans s’y introduire. Et intérieurement je n’attends que ça, qu’il enfonce son membre dans mon cul, je sens son souffle dans mon dos. Il ne me touche pas, juste son sexe qui effleure mes fesses.
C’est alors qu’un autre homme, placé devant moi, prends ma bite molle et la masse contre sa verge, elle me semble longue est grosse, des frissons parcourent à nouveau mon corps. Je ne sais pourquoi, mais à ce moment j’ai une envie folle de me faire bourrer en continu bien que c’est ma première relation sexuel avec un homme, mais une peur m’envahi, je me sens humilié et utilisé comme une poupée gonflable, et ceci me fait peur et m’excite en même temps.
En effet, l’homme qui venait de se coller contre moi devant, passe ses mains sur mes fesses afin de les écarter et l’homme qui est derrière moi, enfonce son sexe dans mon anus assez brutalement. Un cri de douleur est étouffé par le bâillon, et des larmes coulent sur mes joues. Je tente de rapprocher mes deux cuisses spontanément, mais je ne peux pas. L’homme devant moi murmure « chut ».
Les va et vient dans mon anus commencent, la pénétration est douloureuse, mais finalement mon corps s’adapte, mon anus se dilate. Le désir monte en moi. Je tente de me cambrer mais les menottes me l’interdisent, je suis réduit au strict minimum. Je tressaute de plaisir et après 10 longues minutes environ je joui. Mon orgasme est partagé entre douleur, peur, excitation, humiliation, envie…
Après les contractions de mon anus, l’homme se retire sans même avoir éjaculé. Je me sens vidé, je ne tiens plus sur mes jambes.
On me détache. J’ai du mal à marcher. On me place à califourchon sur ce que je pense être une poutre, on attache à nouveau mes chevilles, et menottes au sol, de telle manière que mon torse soit plaqué contre la poutre…J'ai toujours les yeux bandés.
Quelque chose de froid et visqueux est déposé sur mon anus, je sent que je vais à nouveau être sodomisé, et malgré mon anus douloureux, j’ai vraiment envie d’être encore pris. Je suis lessivé, et ce bâillon dans ma bouche me fait mal.
Un homme attrape mon front de sa main gauche et me tire la tête en arrière. Je suis entièrement cambrée. A nouveau quelque chose se présente devant mon anus, et sans ménagement, le pénètre, la douleur est vraiment acceptable. L'homme me tire la tête, et moi, j'essaie de me débattre mais je n'y arrive pas. Je crie, mais les sons sont étouffés par le bâillon. Une première claque frappe mes fesses. Il ne bouge pas, ne fait pas de va-et-vient. Sa main droite se balade sur ma croupe. C'est agréable, et me soulage brièvement.
Un souffle vient effleurer mon oreille:
"Je vais retirer le bâillon de ta bouche, mais si jamais, un seul son est prononcé..."
C'est la même voix que précédemment.
Le fait qu'il ne termine pas sa phrase, ne laisse rien présager de bon. Il ne tarde pas, et je constate que ses mains cherchent le nœud derrière ma nuque.
Enfin ma bouche est libre. Après quelques rictus forcés, je ne souhaite qu'une chose, c'est que l'homme qui est en moi me lâche les cheveux. Mais non, il ne le fait pas, et je ne tarde pas à savoir pourquoi. En effet, cette position est parfaite pour offrir ma bouche à l’autre homme.
Un sexe est aussitôt porté à ma bouche, et force mes lèvres à s'ouvrir.
L'homme qui me pénètre commence ses allées et venues en moi. La douleur me fait automatiquement ouvrir la bouche, et l'homme en face de moi s'y engouffre. Lorsque l'un ralentit, l'autre accélère. Je commence à frissonner, j'aime cette situation, deux hommes en moi, pour leur plus grand plaisir. Je donne de temps en temps des coups de reins pour recevoir allègrement ce sexe en profondeur, mais immédiatement je reçois une claque appuyée sur les fesses qui me fait comprendre que ce n'est pas moi qui mène la danse. Cependant, ce contact très agréable m'incite à recommencer... rien que pour recevoir une autre claque sur mes fesses, ça fait monter le plaisir en moi.
Un nouveau murmure:
" T’es ma salope et tu avale tout ... "
De toute façon, je ne pouvais faire autrement, tous les deux en moi. Je sens le sexe se contracter contre ma langue, et plusieurs giclées inondent ma gorge. Je récolte précieusement ce qui m'a été offert et avale tout, c’est bizarre comme goût, mais j’aimerais en avoir plus.
Puis il laisse ma bouche tranquille, et celui qui m'encule lâche mon front. Je peux alors complètement apprécier cette pénétration, mon anus se contracte. L'homme sait que je vais jouir, et avant que je n’ai ma jouissance il porte sa main sur ma bouche, pour que je ne crie pas. Mes soubresauts lui font comprendre que j'ai joui. Il se retire et éjacule sur mes fesses.
Je me laisse totalement reposer contre la poutre. J'ai la tête qui tourne. Je pense que c'est terminé, et que l'on va me rapporter où on m'a embarqué, mais non, ce n'est pas fini...
On me détache. Bien évidemment, je ne prononce pas un mot, pour essayer d'abréger tout ceci. On me fait assoir sur une chaise, et mes poignets sont attachés dossier ainsi que mes chevilles aux pieds.
Toujours le même homme, qui me susurre:
"Je vais retirer le bandeau de tes yeux, mais n'oublie pas, pas un seul mot... tu es ma salope et tu aime être ma salope, ont va parler de la suite, tu vas devenir mon esclave…."
Le bandeau retiré, mes yeux ne sont pas trop surpris par la lumière car je suis dans un salon avec une lumière tamisée. Je tourne la tête pour apercevoir celui qui m'a accompagné pendant toutes ces pénétrations, c’est bien l’homme que j’au au bar, mais l’autre se tient dans un coin très sombre et je ne vois pas son visage.
L’homme du bar reprend la discussion :
"J’ai pris des photos et j’ai filmé, tu es une bonne salope obéissante et tu vas devenir ma salope soumise, ma pute mais surtout mon esclave, sexuellement je pourrais faire de toi tout ce que je veux sexuellement, tu ne dis rien, tu n’en parle à personne, je sais que tu es marié, et je ne ferais rien qui puisse te faire rompre, mais je veux un soumission totale, je ferais un contrat que tu devra signé, et seulement après je te laisserais partir et tu attendra mes ordres…."
C’est alors que l’homme dans l’ombre avança, et à ma grande surprise, je reconnais mon ex-patron, l’humiliation ne peux m'empêcher de prononcer son prénom par surprise... Angelo….
Dans mon prochain courrier je vous montrerais le contrat de soumission que j’ai du signé, et depuis….. pour mon plus grand plaisir je suis devenu l’esclave de l’homme du bar et de mon ex-patron Angelo, je me fait baiser une fois par semaine, plus les jours ou je reçois un ordre par téléphone, je dois prendre très souvent un jour de congé à mon travail pour ne pas éveillé de soupçon de ma femme, j’aime vivre ces deux relations sexuel si différente dans la plus discrétion.
Quelques temps plus tard, la voiture s'arrête. On me descend, et j'entends quelqu'un frapper à une porte. Elle s'ouvre, on me fait entrer, puis j’entends la porte de refermé. Tout ceci sans un mot.
On me change de pièce. On attache mes mains en hauteur, juste assez pour que je puisse tenir debout, et l'on commence à me déshabiller. On me met des anneaux aux pieds. Je suis tétanisé de peur, je n'ose pas me débattre.
Je suis désormais totalement nu. Un genou force entre mes cuisses afin que je les écarte. Une fois mes jambes bien écartées, mes anneaux sont accrochés au sol pour que je ne puisse plus rapprocher mes jambes. Je ne peux plus bouger.
Une paire de mains se pose sur mon corps. Elles glissent le long de mon cou, puis descendent sur mes bouts qui sont pincer sans trop de brutalité, qu’elles caressent, titillent, pincent. C’est à la fois douloureux, et agréable. Une bouffée de chaleur m’envahit. Puis, une des mains quitte mon torse et se dirige vers mon sexe. Le geste est brutal, les caresses sont rapides et puissantes. D’un seul cou, on me serre les couilles. Je frissonne, j’ai mal. Ma bite reste molle sous la douleur. Je comprends alors que mon corps ne m’appartient plus, je vais me fais posséder.
J’entends de petits bruits qui m’indiquent des mouvements. Les deux mains viennent alors se positionner sur mes hanches depuis derrière. Un doigt s’insinue dans ma raie fessière et me titille l’anus, une peur ou angoisse m’envahit, puis une langue fait suite aux précédentes caresses sur mon anus, a ce moment je comprends que je vais me faire dépuceler, et cette situation m’excite comme jamais.
Les mouvements sont plus doux. Mes bouts se durcissent sous le plaisir. La langue prend bien le temps d’humidifié ma rondelle. Puis c’est un doigt qui commence à pousser pour entrer dans mon cul, étrangement je trouve ça très bon, après plusieurs va et vient, un second doigt s’enfonce, une petite douleur très courte et le plaisir revient, le va et vient s’accentue ainsi que le plaisir en moi. Je profite réellement de la situation, et je voudrai que cet instant dur longtemps, mais ça ne sera pas le cas.
L’homme stoppe net ces « préliminaires », et c’est alors que je sens un sexe bandant se frotter contre ma rondelle (ne pouvant rien dire a cause du bâillon), je commence à soupirer. Il se base juste à l’entrée de mon anus, sans s’y introduire. Et intérieurement je n’attends que ça, qu’il enfonce son membre dans mon cul, je sens son souffle dans mon dos. Il ne me touche pas, juste son sexe qui effleure mes fesses.
C’est alors qu’un autre homme, placé devant moi, prends ma bite molle et la masse contre sa verge, elle me semble longue est grosse, des frissons parcourent à nouveau mon corps. Je ne sais pourquoi, mais à ce moment j’ai une envie folle de me faire bourrer en continu bien que c’est ma première relation sexuel avec un homme, mais une peur m’envahi, je me sens humilié et utilisé comme une poupée gonflable, et ceci me fait peur et m’excite en même temps.
En effet, l’homme qui venait de se coller contre moi devant, passe ses mains sur mes fesses afin de les écarter et l’homme qui est derrière moi, enfonce son sexe dans mon anus assez brutalement. Un cri de douleur est étouffé par le bâillon, et des larmes coulent sur mes joues. Je tente de rapprocher mes deux cuisses spontanément, mais je ne peux pas. L’homme devant moi murmure « chut ».
Les va et vient dans mon anus commencent, la pénétration est douloureuse, mais finalement mon corps s’adapte, mon anus se dilate. Le désir monte en moi. Je tente de me cambrer mais les menottes me l’interdisent, je suis réduit au strict minimum. Je tressaute de plaisir et après 10 longues minutes environ je joui. Mon orgasme est partagé entre douleur, peur, excitation, humiliation, envie…
Après les contractions de mon anus, l’homme se retire sans même avoir éjaculé. Je me sens vidé, je ne tiens plus sur mes jambes.
On me détache. J’ai du mal à marcher. On me place à califourchon sur ce que je pense être une poutre, on attache à nouveau mes chevilles, et menottes au sol, de telle manière que mon torse soit plaqué contre la poutre…J'ai toujours les yeux bandés.
Quelque chose de froid et visqueux est déposé sur mon anus, je sent que je vais à nouveau être sodomisé, et malgré mon anus douloureux, j’ai vraiment envie d’être encore pris. Je suis lessivé, et ce bâillon dans ma bouche me fait mal.
Un homme attrape mon front de sa main gauche et me tire la tête en arrière. Je suis entièrement cambrée. A nouveau quelque chose se présente devant mon anus, et sans ménagement, le pénètre, la douleur est vraiment acceptable. L'homme me tire la tête, et moi, j'essaie de me débattre mais je n'y arrive pas. Je crie, mais les sons sont étouffés par le bâillon. Une première claque frappe mes fesses. Il ne bouge pas, ne fait pas de va-et-vient. Sa main droite se balade sur ma croupe. C'est agréable, et me soulage brièvement.
Un souffle vient effleurer mon oreille:
"Je vais retirer le bâillon de ta bouche, mais si jamais, un seul son est prononcé..."
C'est la même voix que précédemment.
Le fait qu'il ne termine pas sa phrase, ne laisse rien présager de bon. Il ne tarde pas, et je constate que ses mains cherchent le nœud derrière ma nuque.
Enfin ma bouche est libre. Après quelques rictus forcés, je ne souhaite qu'une chose, c'est que l'homme qui est en moi me lâche les cheveux. Mais non, il ne le fait pas, et je ne tarde pas à savoir pourquoi. En effet, cette position est parfaite pour offrir ma bouche à l’autre homme.
Un sexe est aussitôt porté à ma bouche, et force mes lèvres à s'ouvrir.
L'homme qui me pénètre commence ses allées et venues en moi. La douleur me fait automatiquement ouvrir la bouche, et l'homme en face de moi s'y engouffre. Lorsque l'un ralentit, l'autre accélère. Je commence à frissonner, j'aime cette situation, deux hommes en moi, pour leur plus grand plaisir. Je donne de temps en temps des coups de reins pour recevoir allègrement ce sexe en profondeur, mais immédiatement je reçois une claque appuyée sur les fesses qui me fait comprendre que ce n'est pas moi qui mène la danse. Cependant, ce contact très agréable m'incite à recommencer... rien que pour recevoir une autre claque sur mes fesses, ça fait monter le plaisir en moi.
Un nouveau murmure:
" T’es ma salope et tu avale tout ... "
De toute façon, je ne pouvais faire autrement, tous les deux en moi. Je sens le sexe se contracter contre ma langue, et plusieurs giclées inondent ma gorge. Je récolte précieusement ce qui m'a été offert et avale tout, c’est bizarre comme goût, mais j’aimerais en avoir plus.
Puis il laisse ma bouche tranquille, et celui qui m'encule lâche mon front. Je peux alors complètement apprécier cette pénétration, mon anus se contracte. L'homme sait que je vais jouir, et avant que je n’ai ma jouissance il porte sa main sur ma bouche, pour que je ne crie pas. Mes soubresauts lui font comprendre que j'ai joui. Il se retire et éjacule sur mes fesses.
Je me laisse totalement reposer contre la poutre. J'ai la tête qui tourne. Je pense que c'est terminé, et que l'on va me rapporter où on m'a embarqué, mais non, ce n'est pas fini...
On me détache. Bien évidemment, je ne prononce pas un mot, pour essayer d'abréger tout ceci. On me fait assoir sur une chaise, et mes poignets sont attachés dossier ainsi que mes chevilles aux pieds.
Toujours le même homme, qui me susurre:
"Je vais retirer le bandeau de tes yeux, mais n'oublie pas, pas un seul mot... tu es ma salope et tu aime être ma salope, ont va parler de la suite, tu vas devenir mon esclave…."
Le bandeau retiré, mes yeux ne sont pas trop surpris par la lumière car je suis dans un salon avec une lumière tamisée. Je tourne la tête pour apercevoir celui qui m'a accompagné pendant toutes ces pénétrations, c’est bien l’homme que j’au au bar, mais l’autre se tient dans un coin très sombre et je ne vois pas son visage.
L’homme du bar reprend la discussion :
"J’ai pris des photos et j’ai filmé, tu es une bonne salope obéissante et tu vas devenir ma salope soumise, ma pute mais surtout mon esclave, sexuellement je pourrais faire de toi tout ce que je veux sexuellement, tu ne dis rien, tu n’en parle à personne, je sais que tu es marié, et je ne ferais rien qui puisse te faire rompre, mais je veux un soumission totale, je ferais un contrat que tu devra signé, et seulement après je te laisserais partir et tu attendra mes ordres…."
C’est alors que l’homme dans l’ombre avança, et à ma grande surprise, je reconnais mon ex-patron, l’humiliation ne peux m'empêcher de prononcer son prénom par surprise... Angelo….
Dans mon prochain courrier je vous montrerais le contrat de soumission que j’ai du signé, et depuis….. pour mon plus grand plaisir je suis devenu l’esclave de l’homme du bar et de mon ex-patron Angelo, je me fait baiser une fois par semaine, plus les jours ou je reçois un ordre par téléphone, je dois prendre très souvent un jour de congé à mon travail pour ne pas éveillé de soupçon de ma femme, j’aime vivre ces deux relations sexuel si différente dans la plus discrétion.
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