Ma vie bascule
Récit érotique écrit par John Rabbit [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie bascule
Je m’appelle Anna, je suis avocate, mariée et nous avons un enfant. J’ai tout pour être heureuse mais en cette soirée de jour de l’an, tout a basculé.
Nous faisions la fête à la maison, famille et amis étaient présents, l’ambiance était bonne et la soirée un peu alcoolisée. À un moment, je suis descendue à la cave pour remonter des bouteilles. Mon beau-frère est venu m’aider. Je ne connaissais pas bien Thomas, il est un peu plus jeune que moi (j’ai 30 ans) et il n’est pas très proche de son frère (mon mari). Enfin bref, avant de continuer, je vais me décrire un peu : je suis châtain, les cheveux longs, pas une grosse poitrine mais des jolies fesses paraît-il. Je descends donc les escaliers en première et mon beau-frère me suit. Arrivés en bas, je fais tomber la clé qui permet d’ouvrir la cave. Je me penche pour la ramasser et mon beau-frère, qui me suivait, ne fait pas attention et me percute… Vous voyez un peu la position… Il y a eu un moment de flottement mais je me suis redressée et retournée face à mon beau-frère. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé à ce moment-là mais on s’est embrassés, pas juste un petit bisou mais un baiser bien sauvage. Nous sommes entrés dans la cave en nous embrassant, je me suis retrouvée quasi assise sur un meuble, lui tout contre moi, nos bouches collées, ses mains glissant le long de mes bras pour finir sur mes fesses. Il quitta ma bouche pour faire glisser les bretelles de ma robe et il embrassa ma poitrine, ses mains passèrent sous ma robe. Il déboutonna son pantalon, je me suis retrouvée à genoux dans ma cave devant le sexe en érection de mon beau-frère. À ce moment-là, je ne contrôlais plus rien.
Ma main caressa son sexe et il s’approcha de plus en plus de ma bouche. Je commençais à me dire que je faisais une bêtise mais quelque chose d’incontrôlable me poussait à continuer et ma bouche s’ouvrit. Je ne l’ai pas fait longtemps mais je l’ai fait. Assez vite, il me releva et me pencha sur le meuble. Il remonta ma jupe, commença à frotter son sexe sur mon intimité mais nous avons repris nos esprits. Il se colla contre mon dos et nous nous sommes dit en même temps que nous ne pouvions pas faire ça. Nous nous sommes rhabillés et nous sommes remontés, faisant comme si de rien n’était. Il ne m’attirait pas, je le connaissais mal et nous avons failli fauter. Est-ce que ça a eu des conséquences sur la suite de ma vie ? Peut-être, mais en tout cas, nous n’en avons parlé qu’une fois, nous promettant de ne jamais en parler. C’était il y a un an et demi.
Six mois après, je ne pensais plus trop à cette histoire et ma vie continuait comme si de rien n’était. Je gérais mes dossiers et justement, en cette fin de journée, je devais revoir un client pour clôturer le dossier. Sans entrer dans les détails, c’était un jeune de 19 ans qui avait fait quelques bêtises, rien de bien méchant. Physiquement, en étant honnête, il était plutôt mignon et il avait un petit côté « je peux avoir ce que je veux ». Il vient à mon cabinet, on règle ce qui doit être fait, je me lève pour le raccompagner à la porte et il me dit que j’ai fait du super boulot, que je suis une super avocate. Je le remercie et il me dit « c’est vrai, vous êtes sacrément bonne ». Je bugue sur le double sens que pourrait avoir cette phrase et il rajoute « oui, là je parle pas de vos compétences d’avocate ». J’ai été perturbée, il a dû s’en rendre compte et il en profita pour m’inviter à sortir fêter notre « victoire ». Je lui ai dit que ce n’était pas possible, il me dit « bah sortons pour le plaisir alors ». J’ai rigolé devant tant d’assurance mais j’ai refusé. Il me dit « bon alors, je n’ai pas le choix » et il s’approcha de moi. Il me dit « si je vous embrasse, vous portez plainte contre moi ? ». Je n’ai pas été capable de répondre, pourtant il laissa un peu de temps. Il approcha doucement sa bouche de la mienne et il m’embrassa. Au début, je gardais la bouche fermée mais j’ai cédé et sa langue est venue jouer avec la mienne. Malgré la situation, il restait doux, ses mains parcouraient mon corps et elles passèrent sous ma jupe, il attrapa mes fesses et se colla à moi. Il me dit à l’oreille « maintenant, tu vas me laisser faire, petite salope ». Ses mots me choquèrent mais en même temps, ça me donnait envie de continuer. Comme je ne protestais pas, il me retourna et me pencha sur mon bureau. Il se mit à genoux, remonta ma jupe, baissa ma culotte et il fit jouer sa langue sur mon intimité et mes fesses. Je prenais un plaisir monstre. Il se releva et me dit « à genoux ». Je me suis mise à genoux, il a sorti son sexe et je l’ai pris en bouche. Il me donnait des indications sur ce qu’il voulait que je fasse, s’il voulait que ça aille plus vite, plus doucement, que je suce ou lèche. Puis il le dit « arrête-toi, je ne veux pas jouir avant de t’avoir baisée ». Je lui dis qu’il ne faut pas faire ça, il me répondit que c’était trop tard et il avait raison, j’en avais aussi envie. Il me pencha de nouveau sur mon bureau, je lui dis de mettre une capote, il me dit qu’il n’en avait pas mais que je n’avais rien à craindre, qu’il se teste régulièrement et que lui aussi prenait un risque « salope comme je suis ». Bizarrement, je prenais cette insulte avec plaisir et il s’enfonça en moi. Il ne prenait pas en compte mon plaisir, il me prenait juste pour son plaisir à lui. Il voulut changer de position, il s’assit sur le canapé et je me suis retrouvée assise sur lui. Il me soulevait pour m’empaler sur lui. Il sentait que j’étais au bord de l’orgasme, il me disait d’attendre qu’il allait venir, je lui disais de ne pas jouir en moi, mais il me serrait contre lui. J’ai eu un orgasme, il se retira quand même et il remit son sexe dans ma bouche et il se vida dans ma gorge. Après ça, il me mit contre lui sur le canapé et nous sommes restés enlacés un petit moment. Il était redevenu tout tendre, mais il finit par dire « je sais qu’on ne se reverra jamais, mais avant de partir, je veux te prendre le cul ». J’ai protesté, je lui ai dit que je n’avais jamais fait ça et il me dit que c’était une raison de plus pour le faire. Tout en me disant cela, il commençait à me mettre en levrette et à préparer mes fesses à le recevoir. Il présenta son sexe à l’entrée, il y alla doucement, le faisant juste entrer et ressortir. Au fur et à mesure, il rentrait de plus en plus. J’avais mal mais je commençais à trouver du plaisir, il commença donc à accélérer. Il tapait de plus en plus fort, me mettant des petites fessées et me tirant les cheveux pour me cambrer plus. Il donnait tout ce qu’il avait, il prenait mes seins en mains, me disait « tu es trop bonne, tu as un cul de rêve, que j’étais une salope sous mes airs de femme sérieuse ». Il m’a aussi dit que cette fois, je n’y échapperais pas et qu’il allait se vider en moi. Je ne disais plus rien, juste des gémissements de plaisir sortaient de ma bouche. Je l’ai senti se crisper et dans un râle de plaisir, il jouit en moi. Il s’est écroulé sur moi, il est resté contre moi un moment, me disant que j’étais trop bonne… Puis il se releva, se rhabilla et il me dit merci et au revoir, me laissant seule et nue. Très vite, j’ai repris mes esprits et la honte m’a envahie. Il m’a fallu un peu de temps pour me remettre en état et rentrer chez moi…
Bien sûr, j’ai fait un test et tout va bien. Je sais que c’est mal, sortez couverts.
Nous faisions la fête à la maison, famille et amis étaient présents, l’ambiance était bonne et la soirée un peu alcoolisée. À un moment, je suis descendue à la cave pour remonter des bouteilles. Mon beau-frère est venu m’aider. Je ne connaissais pas bien Thomas, il est un peu plus jeune que moi (j’ai 30 ans) et il n’est pas très proche de son frère (mon mari). Enfin bref, avant de continuer, je vais me décrire un peu : je suis châtain, les cheveux longs, pas une grosse poitrine mais des jolies fesses paraît-il. Je descends donc les escaliers en première et mon beau-frère me suit. Arrivés en bas, je fais tomber la clé qui permet d’ouvrir la cave. Je me penche pour la ramasser et mon beau-frère, qui me suivait, ne fait pas attention et me percute… Vous voyez un peu la position… Il y a eu un moment de flottement mais je me suis redressée et retournée face à mon beau-frère. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé à ce moment-là mais on s’est embrassés, pas juste un petit bisou mais un baiser bien sauvage. Nous sommes entrés dans la cave en nous embrassant, je me suis retrouvée quasi assise sur un meuble, lui tout contre moi, nos bouches collées, ses mains glissant le long de mes bras pour finir sur mes fesses. Il quitta ma bouche pour faire glisser les bretelles de ma robe et il embrassa ma poitrine, ses mains passèrent sous ma robe. Il déboutonna son pantalon, je me suis retrouvée à genoux dans ma cave devant le sexe en érection de mon beau-frère. À ce moment-là, je ne contrôlais plus rien.
Ma main caressa son sexe et il s’approcha de plus en plus de ma bouche. Je commençais à me dire que je faisais une bêtise mais quelque chose d’incontrôlable me poussait à continuer et ma bouche s’ouvrit. Je ne l’ai pas fait longtemps mais je l’ai fait. Assez vite, il me releva et me pencha sur le meuble. Il remonta ma jupe, commença à frotter son sexe sur mon intimité mais nous avons repris nos esprits. Il se colla contre mon dos et nous nous sommes dit en même temps que nous ne pouvions pas faire ça. Nous nous sommes rhabillés et nous sommes remontés, faisant comme si de rien n’était. Il ne m’attirait pas, je le connaissais mal et nous avons failli fauter. Est-ce que ça a eu des conséquences sur la suite de ma vie ? Peut-être, mais en tout cas, nous n’en avons parlé qu’une fois, nous promettant de ne jamais en parler. C’était il y a un an et demi.
Six mois après, je ne pensais plus trop à cette histoire et ma vie continuait comme si de rien n’était. Je gérais mes dossiers et justement, en cette fin de journée, je devais revoir un client pour clôturer le dossier. Sans entrer dans les détails, c’était un jeune de 19 ans qui avait fait quelques bêtises, rien de bien méchant. Physiquement, en étant honnête, il était plutôt mignon et il avait un petit côté « je peux avoir ce que je veux ». Il vient à mon cabinet, on règle ce qui doit être fait, je me lève pour le raccompagner à la porte et il me dit que j’ai fait du super boulot, que je suis une super avocate. Je le remercie et il me dit « c’est vrai, vous êtes sacrément bonne ». Je bugue sur le double sens que pourrait avoir cette phrase et il rajoute « oui, là je parle pas de vos compétences d’avocate ». J’ai été perturbée, il a dû s’en rendre compte et il en profita pour m’inviter à sortir fêter notre « victoire ». Je lui ai dit que ce n’était pas possible, il me dit « bah sortons pour le plaisir alors ». J’ai rigolé devant tant d’assurance mais j’ai refusé. Il me dit « bon alors, je n’ai pas le choix » et il s’approcha de moi. Il me dit « si je vous embrasse, vous portez plainte contre moi ? ». Je n’ai pas été capable de répondre, pourtant il laissa un peu de temps. Il approcha doucement sa bouche de la mienne et il m’embrassa. Au début, je gardais la bouche fermée mais j’ai cédé et sa langue est venue jouer avec la mienne. Malgré la situation, il restait doux, ses mains parcouraient mon corps et elles passèrent sous ma jupe, il attrapa mes fesses et se colla à moi. Il me dit à l’oreille « maintenant, tu vas me laisser faire, petite salope ». Ses mots me choquèrent mais en même temps, ça me donnait envie de continuer. Comme je ne protestais pas, il me retourna et me pencha sur mon bureau. Il se mit à genoux, remonta ma jupe, baissa ma culotte et il fit jouer sa langue sur mon intimité et mes fesses. Je prenais un plaisir monstre. Il se releva et me dit « à genoux ». Je me suis mise à genoux, il a sorti son sexe et je l’ai pris en bouche. Il me donnait des indications sur ce qu’il voulait que je fasse, s’il voulait que ça aille plus vite, plus doucement, que je suce ou lèche. Puis il le dit « arrête-toi, je ne veux pas jouir avant de t’avoir baisée ». Je lui dis qu’il ne faut pas faire ça, il me répondit que c’était trop tard et il avait raison, j’en avais aussi envie. Il me pencha de nouveau sur mon bureau, je lui dis de mettre une capote, il me dit qu’il n’en avait pas mais que je n’avais rien à craindre, qu’il se teste régulièrement et que lui aussi prenait un risque « salope comme je suis ». Bizarrement, je prenais cette insulte avec plaisir et il s’enfonça en moi. Il ne prenait pas en compte mon plaisir, il me prenait juste pour son plaisir à lui. Il voulut changer de position, il s’assit sur le canapé et je me suis retrouvée assise sur lui. Il me soulevait pour m’empaler sur lui. Il sentait que j’étais au bord de l’orgasme, il me disait d’attendre qu’il allait venir, je lui disais de ne pas jouir en moi, mais il me serrait contre lui. J’ai eu un orgasme, il se retira quand même et il remit son sexe dans ma bouche et il se vida dans ma gorge. Après ça, il me mit contre lui sur le canapé et nous sommes restés enlacés un petit moment. Il était redevenu tout tendre, mais il finit par dire « je sais qu’on ne se reverra jamais, mais avant de partir, je veux te prendre le cul ». J’ai protesté, je lui ai dit que je n’avais jamais fait ça et il me dit que c’était une raison de plus pour le faire. Tout en me disant cela, il commençait à me mettre en levrette et à préparer mes fesses à le recevoir. Il présenta son sexe à l’entrée, il y alla doucement, le faisant juste entrer et ressortir. Au fur et à mesure, il rentrait de plus en plus. J’avais mal mais je commençais à trouver du plaisir, il commença donc à accélérer. Il tapait de plus en plus fort, me mettant des petites fessées et me tirant les cheveux pour me cambrer plus. Il donnait tout ce qu’il avait, il prenait mes seins en mains, me disait « tu es trop bonne, tu as un cul de rêve, que j’étais une salope sous mes airs de femme sérieuse ». Il m’a aussi dit que cette fois, je n’y échapperais pas et qu’il allait se vider en moi. Je ne disais plus rien, juste des gémissements de plaisir sortaient de ma bouche. Je l’ai senti se crisper et dans un râle de plaisir, il jouit en moi. Il s’est écroulé sur moi, il est resté contre moi un moment, me disant que j’étais trop bonne… Puis il se releva, se rhabilla et il me dit merci et au revoir, me laissant seule et nue. Très vite, j’ai repris mes esprits et la honte m’a envahie. Il m’a fallu un peu de temps pour me remettre en état et rentrer chez moi…
Bien sûr, j’ai fait un test et tout va bien. Je sais que c’est mal, sortez couverts.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Intrigue et rythme? tu n'es pas a Hollywood ici...
Excellente histoire ! Grande imagination qui fait bander Qualités d’écriture Connaissa parfaite du vocabulaire
Mathys un 74
Mathys un 74
je trouve cette histoire très bien écrite, par quelqu'un qui sait utiliser le passé simple (et ça devient rare !)
Sur le fond, l'histoire est plaisante et ne mérite pas les commentaires précédents.
Nous sommes sur un site d'histoires de sexe, pas dans un cours de morale
Sur le fond, l'histoire est plaisante et ne mérite pas les commentaires précédents.
Nous sommes sur un site d'histoires de sexe, pas dans un cours de morale
en gros c est l’histoire d’une nympho qui baise tout ce qui bouge … sans plus …. l’histoire n’a pas de rythme et l’intrigue inexistante
Pour preserver sa dignite, une femme ne doit pas ceder a tout venant. Une femme digne n est pas une loque.