Ma vie de bâtard boteux. Chapitre 3
Récit érotique écrit par FarmerSonSub [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie de bâtard boteux. Chapitre 3
Je n’ai pas trop l'habitude de bosser tôt le matin comme ça. En plus la nuit a été assez mouvementée avec les douleurs de la cage. Mais bon. Le souci de savoir où pouvait bien être les clés m'avais gardé bien réveillé.
La traite du matin c'est bien passer. Je crevais de chaud avec les deux couches d'équipements : la cotte Fendt et la salopette en PVC. Luc étais beaucoup moins bavard le matin. Il avait mis ses Dunlop Thermo avec un pantalon de travail Engelbert-Strauss vert et noir. Celui-ci était bien crade. Tout comme son t-shirt. Un vieux t-shirt de travail gris. Quand il levait les bras on sentait sa forte odeur de transpiration. Ça m'enivrait à chaque fois, mais j'étais vite rappeler a la réalité en sentant la cage sous ma cotte.
“ - Alors mon p'tit cochon ? Tu sembles crevé de chaud ! Tu verras tu t'y habiteras vite. T'aura bientôt l'impression d'être à poil quand tu portes ça !
-D'ailleurs, c'est vrai qu’on n'a acheté qu'une cotte ? Faudra que je t'en emprunte une quand je dois laver celle-ci.
-Oh on verra ça quand ça deviendra inquiétant. Pour le moment contente-toi de faire ce que je te dis ok ?”Luc était vraiment pas commode le matin. Mais bon, j'obéissais comme d'habitude. Je m'occupais des veaux, et de branché la machine a traite sur les animaux. Luc était un expert. Il faisait ça très rapidement mais pour moi c'était pas évident. Je le matais constamment. Ces bottes qui tapait au sol a chacun de ces pas lourds. Il était si viril. J'évitais constamment de trop me pencher en arriver pour que la cage ne soit pas visible. L'épaisse salopette en PVC était bien pratique finalement. Peu être un peu chaud, mais plutôt très pratique. Facile à rincer et protège bien.
" -Je n’étais pas forcément très convaincu par la salopette au début, mais c'est vraiment pratique ! Et comme tu dis je m'y habiterai.
-Tu devras vite t'y faire, j'ai toujours raison ! Et bon, tu vas pouvoir vraiment t'en servir. Faut donner un coup de jet à la salle de traite. Profite en pour me rincer les bottes. Elles sont vraiment crades. Les tiennes aussi d'ailleurs. Aller hop !"Je m'exécute. Il met ses énormes botte en avant et les pointes du doigt. Je les lave rapidement à l'eau. Il me regarde l'air satisfait.
"-Bon aller mon p'tit cochon, je te laisse laver tout ça, moi je rentre en avance. Tu me rejoins dès que tu as fini et on prend le p'tit déj'.
-Ça marche Luc ! À tout de suite."Je finissais mon boulot rapidement malgré l'excitation monstrueuse qui ne faisait que de me rappeler que je n'avais toujours pas retrouvé les clés de la cage. J'essaye de me branler et de me stimuler comme je peux, mais la cage et les deux couches d'équipement rendent la tâche impossible. Je suis terriblement frustré et je ne peux pas arrêter de penser a Luc.
En rentrant, malgré la chaleur et la transpiration, je reste équipé. Plus j'en enlève, plus Luc pourrai voir la bosse étrange que j'ai entre les jambes, et je ne veux clairement pas ça. J'arrive dans la cuisine. Luc est aussi toujours en tenue, fière, droit dans ses bottes, en train de se préparer un petit truc à manger.
"-Ah bah je vois que t'en est tombé amoureux de cette salopette ! Je pensais que tu l'enlèverai au moins pour venir manger. Enfin bon, c'est pas moi que ça dérange.
-Ouai, j'avais juste pas envie de perdre du temps pour me changer et te faire attendre.
-Bon réflexe mon cochon !"
La journée qui suivie était intense. J'en aurai presque oublié mes soucis. Mais bon, la présence viril et macho de Luc me rappelait constamment la cage. Si je savais où était ces clés, j'aurai pu apprécier la situation ! Je ne quittais toujours pas ma tenue pour les repas, et surtout en présence de Luc. Ça ne semblait pas le surprendre. Il continuait de m'appeler "mon cochon" en riant. C'est vrai que je suais comme un porc. Mais bon. Il le fallait.
Le soir, j'ai à peine pris dix minutes à essayer de trouver les clés avant de m'endormir de fatigue.
Le lendemain, même programme. Je remets la même tenue, le seul qui cache à peu près la forme de la cage. Je retrouve Luc vers 5 h 30.
"-Ah, t'avais pas besoin de la salopette aujourd'hui, mais bon, pas le temps mon cochon ! Faut aller se mettre au bout ! Faudra finir assez vite, je dois aller voir Denis. J'ai quelque p'tit truc à régler avec lui."C'était ma lueur d'espoir ! Si je pouvais avoir un moment seul sur la ferme, je trouverai surement une pince pour péter ce putain de cadenas ! La traite du matin c'est passé sans accro, et Luc est rapidement parti chez Denis sans prendre le temps de se changer de sa tenue crade. Je me dépêche alors d'aller chercher une boite à outil dans l'exploitation.
Après bien 15 minutes de recherche, je trouve enfin une pince. Mais impossible de péter le cadenas avec... Elle est trop grande pour ça. Je continue ma recherche, désespéré.
J'étais tellement stressé que je n'ai même pas entendu la voiture de Luc revenir. En pleine panique à essayer la 3eme pince que je trouve, Luc arrive soudain dans l'établie.
Je deviens pâle. Je ne sais même pas quoi dire. Je suis là, cotte et salopette en bas sur mes bottes, à essayer de casser le cadenas d'une cage de chasteté.
"-Tu fou là Hugo ?! Et c'est quoi ce bordel ?!
-Euh, je... J'ai trouvé ça dans la chambre et j'étais très curieux d'essayer mais c'est resté bloqué !"La colère de Luc laisse rapidement place à un fou rire de sa part"-Bah dis donc mon cochon ! Et ça fait 2 jours que t'es là-dedans ? Tu dois même plus pouvoir bander avec ça hahaha.
-Oui... Et c'est vraiment pas pratique du tout... J'ai merdé, j'aurai jamais dû tester ça, mais je suis peu être un peu trop curieux.
-Trop curieux oui c'est surement ça.... Bon laisse-moi voir ça. *Luc s'approche, et empoigne la cage dans ses mains rustres *. Heureusement que t'as une petite queue sinon ça aurai pu te faire bien plus mal ! Enfin bref. Deux solutions. Soit on va au pompier du coin, soit on va voir Denis. Lui a tout ce qu'il faut pour toute les situations."J'hésite un instant et je choisis qu'il est surement plus sage d'aller voir Denis. Il semblait m'apprécier, et ça m'évitera de faire circuler mon histoire dans tous les environs.
Je remonte vite ma cotte et ma salopette et on se met en route. Il y surtout un grand silence gênant. Je sais vraiment plus où me mettre. Luc ne semble pas trop poser de question. Tant mieux. J'aimerai vraiment que ça reste entre nous. On arrive rapidement chez Denis, j'ai vraiment envie que ce soit vite réglé et qu’on en parle plus.
"-Bon attend dans la voiture. Je vais voir si j'arrive à demander une pince à Denis sans que t'ai besoin de lui expliquer.
-Merci."J'attends cinq bonnes minutes, avant de voir Luc ressortir du hangar, sans rien.
"- Bon, il faut qu'il voit le cadenas. Je lui ai tout expliqué, ça restera entre nous, mais faut vite s'en occupé. C'est pas tout mais tes conneries nous mettent pas en avance ! "
Je rentre dans le hangar de Denis, il me salue comme si de rien n'était et me dit qu’il va s'occuper de mon souci. Il m'amène dans son bureau, une petite pièce à part avec ses documents et une petite télé.
Il me dit de lui monter ça. Je descends honteusement ma salopette puis la cotte, et lui montre ma cage. Ça le fait bien marrer, il me dit de m'assoir et qu’il arrive avec une pince pour couper tout ça. Je ne sais pas trop où Luc est mais j'ai trop de chose en tête a l'instant. D'un coup, la petite télé s'allume. Je n'y prête pas attention pendant quelque seconde, avant de réaliser que c'est une vidéo du garage de Luc qui y passe. On m'y voit clairement, c'était le premier soir, j'étais en cotte et botte, à quatre pattes devant les bottes de Luc à les lécher. Sans même que j'ai le temps de réfléchir, la porte s'ouvre derrière moi. C'était Luc.
"-Tu vois mon cochon, t'aurai peut-être dû faire gaffe a la camera de surveillance dans le garage ? Je me doutai bien de quelque chose, à voir comment tu bavais devant mes bottes.
-Je... C'est pas ce que tu crois Luc !
-C'est fini Luc. Maintenant c'est oui Chef.
-...."Je ne sais vraiment pas quoi dire, tout va si vite. Luc viens alors me chopper la cage et commence à serrer. Mes couilles me font terriblement mal, et la poigne rustre de Luc est très forte.
"-Alors on dit quoi mon p'tit cochon ?
-Oui Chef ! Pardon Chef, s'il vous plait relâcher mes couilles !
-Elles sont à moi maintenant. T'es à moi maintenant mon p'tit cochon. Ah tu te rend pas compte mais t'es dans la merde là. J'ai la vidéo, et si tu veux pas que ça finisse sur Internet et en message ton père, tu vas être un bon bâtard. Bon ça à pas l'air de trop te déranger, je vois que tu aimes déjà le gout de la botte !"Denis reviens à ce moment-là avec une nouvelle cotte dans les bras.
"-Tu penses que c'est le bon celui-ci ? Ça semble bien parti ! Il a pas pu résister à tes bottes le premier soir. Un bâtard de qualité ? Reste à voir s’il peut tenir la vie en tant que telle !
-Oh t'inquiète pas ! Celui-ci est loin de tout. Il est complètement dépendant. Ça sera facile de la maintenir. T'as déjà reçu la cotte ? Parfait."Ils parlaient comme si je n'étais pas là. Denis montre alors la cotte qu'il a entre les mains. À premier regarde elle ressemble a la mienne. Même couleur, mais sauf que sous le blason de Fendt, il y a écrit en grand, dans la même police : "Bâtard".
"-Voila mon cochon. Ce sera ta nouvelle tenue. Enfile-la en vitesse qu'on puisse avancer.
-Et pour la cage ?"J'ai même pas eu une seconde pour réagir que Luc me fout un gros coup de bottes aux couilles. Je suis genoux et je gueule un bon coup de surprise et de douleur.
" - Alors qu'on soit bien au clair bâtard, ça, c'était la punition légère. Pour commencer, tu ne parles pas tant que je te pose pas de question ou t'y invite pas. Deuxièmement, c'est Chef quand tu t'adresses à moi, et troisièmement, la cage tu vas la garder jusqu'a ce que t'en oublie que t'as une bite.
-Oui... Oui Chef !"À partir de là, je sais que je suis dans la merde. Tout est allé si vite, et sur le moment je ne voyais aucune porte de sortie. En même temps, les journées d'abstinence d'avant se faisait sentir et j'étais incroyablement excité par la présence constante et viril de Luc. J'enlève donc rapidement mes bottes, mon ancienne cotte, et la salopette. Je me dépêche d'enfiler ma nouvelle cotte. C'est très étrange de la sentir encore toute neuve et propre sur moi. Je m'étais gentille ment habitué à être crade dans ma cotte. J'enfile la salopette PVC et m'apprête à remettre mes bottes quand Luc m'interrompe. Denis arrive alors avec une paire de cuissardes Bekina, complètement noir avec juste le nom de la marque en jaune, ainsi qu'une paire de gant en caoutchouc épais Marigold Emperor.
"-Voilà mon cochon. Va falloir que tu t'habitues, les bottes c'est bien mais pour les larbins dans ton genre, le plus y'en a le mieux c'est ! À partir de maintenant c'est ta tenue de base ok. Et tache d'en prendre soin, même si je les ai payé sur ton salaire c'est pas rien.
-Oui Chef ! Merci Chef !"J'avoue que j'avais souvent fantasmer sur les pêcheurs ou les égoutiers en cuissarde, alors passer mes journées à en porter me semblais terriblement excitant. Je sentais déjà que tout ça me tiendra bien chaud. Dès que je les enfile je peux sentir le haut de ces cuissardes se coller contre mon entre jambe, et le bruit du pvc contre le caoutchouc me rappelle bien vite que ma bite n'est plus mienne, à tenter de bander dans une cage, sous deux couches de vêtement de travail"Bah te voilà enfin présentable mon cochon ! Aller hope, tu vas pouvoir te mettre à quatre pattes et t'occuper de mes bottes le temps que moi et Denis on se boive une petite bière."Je m'exécute sans broncher, les couilles toujours en douleur suite au coup de bottes de Luc, et a la tension de la cage.
Je suis donc là, à quatre pattes, avec une cotte de ferme, une grosse salopette PVC, des cuissards et des gants en caoutchouc, dans un hangar perdu au milieu de nulle part, à servir un paysan pervers, qui me fait chanter au risque de révéler mes envies de larbins. La situation est extrême, mais pourtant je me sens à ma place, et heureux de pouvoir enfin lécher les bottes odorantes de Luc quand il les porte encore, sous les moqueries et insultes de ces deux mâles. Et dire que j'y suis bloqué pour encore un an...
La traite du matin c'est bien passer. Je crevais de chaud avec les deux couches d'équipements : la cotte Fendt et la salopette en PVC. Luc étais beaucoup moins bavard le matin. Il avait mis ses Dunlop Thermo avec un pantalon de travail Engelbert-Strauss vert et noir. Celui-ci était bien crade. Tout comme son t-shirt. Un vieux t-shirt de travail gris. Quand il levait les bras on sentait sa forte odeur de transpiration. Ça m'enivrait à chaque fois, mais j'étais vite rappeler a la réalité en sentant la cage sous ma cotte.
“ - Alors mon p'tit cochon ? Tu sembles crevé de chaud ! Tu verras tu t'y habiteras vite. T'aura bientôt l'impression d'être à poil quand tu portes ça !
-D'ailleurs, c'est vrai qu’on n'a acheté qu'une cotte ? Faudra que je t'en emprunte une quand je dois laver celle-ci.
-Oh on verra ça quand ça deviendra inquiétant. Pour le moment contente-toi de faire ce que je te dis ok ?”Luc était vraiment pas commode le matin. Mais bon, j'obéissais comme d'habitude. Je m'occupais des veaux, et de branché la machine a traite sur les animaux. Luc était un expert. Il faisait ça très rapidement mais pour moi c'était pas évident. Je le matais constamment. Ces bottes qui tapait au sol a chacun de ces pas lourds. Il était si viril. J'évitais constamment de trop me pencher en arriver pour que la cage ne soit pas visible. L'épaisse salopette en PVC était bien pratique finalement. Peu être un peu chaud, mais plutôt très pratique. Facile à rincer et protège bien.
" -Je n’étais pas forcément très convaincu par la salopette au début, mais c'est vraiment pratique ! Et comme tu dis je m'y habiterai.
-Tu devras vite t'y faire, j'ai toujours raison ! Et bon, tu vas pouvoir vraiment t'en servir. Faut donner un coup de jet à la salle de traite. Profite en pour me rincer les bottes. Elles sont vraiment crades. Les tiennes aussi d'ailleurs. Aller hop !"Je m'exécute. Il met ses énormes botte en avant et les pointes du doigt. Je les lave rapidement à l'eau. Il me regarde l'air satisfait.
"-Bon aller mon p'tit cochon, je te laisse laver tout ça, moi je rentre en avance. Tu me rejoins dès que tu as fini et on prend le p'tit déj'.
-Ça marche Luc ! À tout de suite."Je finissais mon boulot rapidement malgré l'excitation monstrueuse qui ne faisait que de me rappeler que je n'avais toujours pas retrouvé les clés de la cage. J'essaye de me branler et de me stimuler comme je peux, mais la cage et les deux couches d'équipement rendent la tâche impossible. Je suis terriblement frustré et je ne peux pas arrêter de penser a Luc.
En rentrant, malgré la chaleur et la transpiration, je reste équipé. Plus j'en enlève, plus Luc pourrai voir la bosse étrange que j'ai entre les jambes, et je ne veux clairement pas ça. J'arrive dans la cuisine. Luc est aussi toujours en tenue, fière, droit dans ses bottes, en train de se préparer un petit truc à manger.
"-Ah bah je vois que t'en est tombé amoureux de cette salopette ! Je pensais que tu l'enlèverai au moins pour venir manger. Enfin bon, c'est pas moi que ça dérange.
-Ouai, j'avais juste pas envie de perdre du temps pour me changer et te faire attendre.
-Bon réflexe mon cochon !"
La journée qui suivie était intense. J'en aurai presque oublié mes soucis. Mais bon, la présence viril et macho de Luc me rappelait constamment la cage. Si je savais où était ces clés, j'aurai pu apprécier la situation ! Je ne quittais toujours pas ma tenue pour les repas, et surtout en présence de Luc. Ça ne semblait pas le surprendre. Il continuait de m'appeler "mon cochon" en riant. C'est vrai que je suais comme un porc. Mais bon. Il le fallait.
Le soir, j'ai à peine pris dix minutes à essayer de trouver les clés avant de m'endormir de fatigue.
Le lendemain, même programme. Je remets la même tenue, le seul qui cache à peu près la forme de la cage. Je retrouve Luc vers 5 h 30.
"-Ah, t'avais pas besoin de la salopette aujourd'hui, mais bon, pas le temps mon cochon ! Faut aller se mettre au bout ! Faudra finir assez vite, je dois aller voir Denis. J'ai quelque p'tit truc à régler avec lui."C'était ma lueur d'espoir ! Si je pouvais avoir un moment seul sur la ferme, je trouverai surement une pince pour péter ce putain de cadenas ! La traite du matin c'est passé sans accro, et Luc est rapidement parti chez Denis sans prendre le temps de se changer de sa tenue crade. Je me dépêche alors d'aller chercher une boite à outil dans l'exploitation.
Après bien 15 minutes de recherche, je trouve enfin une pince. Mais impossible de péter le cadenas avec... Elle est trop grande pour ça. Je continue ma recherche, désespéré.
J'étais tellement stressé que je n'ai même pas entendu la voiture de Luc revenir. En pleine panique à essayer la 3eme pince que je trouve, Luc arrive soudain dans l'établie.
Je deviens pâle. Je ne sais même pas quoi dire. Je suis là, cotte et salopette en bas sur mes bottes, à essayer de casser le cadenas d'une cage de chasteté.
"-Tu fou là Hugo ?! Et c'est quoi ce bordel ?!
-Euh, je... J'ai trouvé ça dans la chambre et j'étais très curieux d'essayer mais c'est resté bloqué !"La colère de Luc laisse rapidement place à un fou rire de sa part"-Bah dis donc mon cochon ! Et ça fait 2 jours que t'es là-dedans ? Tu dois même plus pouvoir bander avec ça hahaha.
-Oui... Et c'est vraiment pas pratique du tout... J'ai merdé, j'aurai jamais dû tester ça, mais je suis peu être un peu trop curieux.
-Trop curieux oui c'est surement ça.... Bon laisse-moi voir ça. *Luc s'approche, et empoigne la cage dans ses mains rustres *. Heureusement que t'as une petite queue sinon ça aurai pu te faire bien plus mal ! Enfin bref. Deux solutions. Soit on va au pompier du coin, soit on va voir Denis. Lui a tout ce qu'il faut pour toute les situations."J'hésite un instant et je choisis qu'il est surement plus sage d'aller voir Denis. Il semblait m'apprécier, et ça m'évitera de faire circuler mon histoire dans tous les environs.
Je remonte vite ma cotte et ma salopette et on se met en route. Il y surtout un grand silence gênant. Je sais vraiment plus où me mettre. Luc ne semble pas trop poser de question. Tant mieux. J'aimerai vraiment que ça reste entre nous. On arrive rapidement chez Denis, j'ai vraiment envie que ce soit vite réglé et qu’on en parle plus.
"-Bon attend dans la voiture. Je vais voir si j'arrive à demander une pince à Denis sans que t'ai besoin de lui expliquer.
-Merci."J'attends cinq bonnes minutes, avant de voir Luc ressortir du hangar, sans rien.
"- Bon, il faut qu'il voit le cadenas. Je lui ai tout expliqué, ça restera entre nous, mais faut vite s'en occupé. C'est pas tout mais tes conneries nous mettent pas en avance ! "
Je rentre dans le hangar de Denis, il me salue comme si de rien n'était et me dit qu’il va s'occuper de mon souci. Il m'amène dans son bureau, une petite pièce à part avec ses documents et une petite télé.
Il me dit de lui monter ça. Je descends honteusement ma salopette puis la cotte, et lui montre ma cage. Ça le fait bien marrer, il me dit de m'assoir et qu’il arrive avec une pince pour couper tout ça. Je ne sais pas trop où Luc est mais j'ai trop de chose en tête a l'instant. D'un coup, la petite télé s'allume. Je n'y prête pas attention pendant quelque seconde, avant de réaliser que c'est une vidéo du garage de Luc qui y passe. On m'y voit clairement, c'était le premier soir, j'étais en cotte et botte, à quatre pattes devant les bottes de Luc à les lécher. Sans même que j'ai le temps de réfléchir, la porte s'ouvre derrière moi. C'était Luc.
"-Tu vois mon cochon, t'aurai peut-être dû faire gaffe a la camera de surveillance dans le garage ? Je me doutai bien de quelque chose, à voir comment tu bavais devant mes bottes.
-Je... C'est pas ce que tu crois Luc !
-C'est fini Luc. Maintenant c'est oui Chef.
-...."Je ne sais vraiment pas quoi dire, tout va si vite. Luc viens alors me chopper la cage et commence à serrer. Mes couilles me font terriblement mal, et la poigne rustre de Luc est très forte.
"-Alors on dit quoi mon p'tit cochon ?
-Oui Chef ! Pardon Chef, s'il vous plait relâcher mes couilles !
-Elles sont à moi maintenant. T'es à moi maintenant mon p'tit cochon. Ah tu te rend pas compte mais t'es dans la merde là. J'ai la vidéo, et si tu veux pas que ça finisse sur Internet et en message ton père, tu vas être un bon bâtard. Bon ça à pas l'air de trop te déranger, je vois que tu aimes déjà le gout de la botte !"Denis reviens à ce moment-là avec une nouvelle cotte dans les bras.
"-Tu penses que c'est le bon celui-ci ? Ça semble bien parti ! Il a pas pu résister à tes bottes le premier soir. Un bâtard de qualité ? Reste à voir s’il peut tenir la vie en tant que telle !
-Oh t'inquiète pas ! Celui-ci est loin de tout. Il est complètement dépendant. Ça sera facile de la maintenir. T'as déjà reçu la cotte ? Parfait."Ils parlaient comme si je n'étais pas là. Denis montre alors la cotte qu'il a entre les mains. À premier regarde elle ressemble a la mienne. Même couleur, mais sauf que sous le blason de Fendt, il y a écrit en grand, dans la même police : "Bâtard".
"-Voila mon cochon. Ce sera ta nouvelle tenue. Enfile-la en vitesse qu'on puisse avancer.
-Et pour la cage ?"J'ai même pas eu une seconde pour réagir que Luc me fout un gros coup de bottes aux couilles. Je suis genoux et je gueule un bon coup de surprise et de douleur.
" - Alors qu'on soit bien au clair bâtard, ça, c'était la punition légère. Pour commencer, tu ne parles pas tant que je te pose pas de question ou t'y invite pas. Deuxièmement, c'est Chef quand tu t'adresses à moi, et troisièmement, la cage tu vas la garder jusqu'a ce que t'en oublie que t'as une bite.
-Oui... Oui Chef !"À partir de là, je sais que je suis dans la merde. Tout est allé si vite, et sur le moment je ne voyais aucune porte de sortie. En même temps, les journées d'abstinence d'avant se faisait sentir et j'étais incroyablement excité par la présence constante et viril de Luc. J'enlève donc rapidement mes bottes, mon ancienne cotte, et la salopette. Je me dépêche d'enfiler ma nouvelle cotte. C'est très étrange de la sentir encore toute neuve et propre sur moi. Je m'étais gentille ment habitué à être crade dans ma cotte. J'enfile la salopette PVC et m'apprête à remettre mes bottes quand Luc m'interrompe. Denis arrive alors avec une paire de cuissardes Bekina, complètement noir avec juste le nom de la marque en jaune, ainsi qu'une paire de gant en caoutchouc épais Marigold Emperor.
"-Voilà mon cochon. Va falloir que tu t'habitues, les bottes c'est bien mais pour les larbins dans ton genre, le plus y'en a le mieux c'est ! À partir de maintenant c'est ta tenue de base ok. Et tache d'en prendre soin, même si je les ai payé sur ton salaire c'est pas rien.
-Oui Chef ! Merci Chef !"J'avoue que j'avais souvent fantasmer sur les pêcheurs ou les égoutiers en cuissarde, alors passer mes journées à en porter me semblais terriblement excitant. Je sentais déjà que tout ça me tiendra bien chaud. Dès que je les enfile je peux sentir le haut de ces cuissardes se coller contre mon entre jambe, et le bruit du pvc contre le caoutchouc me rappelle bien vite que ma bite n'est plus mienne, à tenter de bander dans une cage, sous deux couches de vêtement de travail"Bah te voilà enfin présentable mon cochon ! Aller hope, tu vas pouvoir te mettre à quatre pattes et t'occuper de mes bottes le temps que moi et Denis on se boive une petite bière."Je m'exécute sans broncher, les couilles toujours en douleur suite au coup de bottes de Luc, et a la tension de la cage.
Je suis donc là, à quatre pattes, avec une cotte de ferme, une grosse salopette PVC, des cuissards et des gants en caoutchouc, dans un hangar perdu au milieu de nulle part, à servir un paysan pervers, qui me fait chanter au risque de révéler mes envies de larbins. La situation est extrême, mais pourtant je me sens à ma place, et heureux de pouvoir enfin lécher les bottes odorantes de Luc quand il les porte encore, sous les moqueries et insultes de ces deux mâles. Et dire que j'y suis bloqué pour encore un an...
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