Ma vie de bâtard botteux. Chapitre 4
Récit érotique écrit par FarmerSonSub [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma vie de bâtard botteux. Chapitre 4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J'avais pourtant l'habitude de lécher de la bottes, mais là, c'était tout autre chose. Ce n'était plus des bottes vide dans un garage ou dans une grange. Cette fois-ci le paysan les portait encore. Et pas n'importe lequel.
Ça a dû durer une petite demi-heur. J'essaye de les entendre discuter, mais le bruit du PVC et des cuissards rend la tache difficile. Si je m'arrête, c'est Denis qui me botte le cul et Luc qui me rappelle à l'ordre. La chaleur dut au stress, mais aussi à tout mon équipement fond que je sens la sueur s'accumuler dans mes gants et dans mes bottes. Mais j'imagine que ce n'est pas le moment de faire mon difficile. Luc pris la parole plus fort.
"-Bon aller, c'est pas tout, mais va falloir accommoder le nouvel animal. On se revoit à l'occasion Denis, j'aurai surement besoin de tes talents de bricoleur pour certaine pièce."
Il m'empoigne par le col pour me lever et me fait un signe de main autoritaire pour que je marche derrière lui. La voiture est juste devant l'entré du garage. Peu de chance d'être vu.
Lux se dirige vers l'arrière au lieu de prendre place au volant.
"-Tu penses quand même pas que tu vas aller devant ? "
Il ouvre le coffre de l'utilitaire, m'empoigne le bras et me fait monter. Sans trop avoir le temps de comprendre je fini menotté. Il devait les avoir dans les poches de son pantalon de travaille. Après quoi les menotte sont enchainé à une chaine accroché au sol.
"-Tache de pas te péter la gueule mon cochon. Pas envie de devoir faire de détour par les pompiers. Et commence déjà à t'habituer à voyager derrière !"
Même pas le temps de répondre qu'il claque la porte. Je m'assois rapidement au sol et la voiture démarre rapidement. Les virage me bouscule un peu, mais je suis assez arnaché pour que les quelque impacte ne me fasse rien. On arrive assez vite, je suis trempé de sueur et l'inquiétude monte un peu. Dieu sait ce qu'il compte faire de moi. Il ouvre la porte et enlève la chaine qui attachait les menottes au sol.
"-Aller. Aujourd'hui je vais te montrer tes nouveaux locaux. La chambre, c'est bien beau, mais c'est pour les Hommes. Pas les lèche-bottes !"
Il me tient par derrière, mes mouvements sont moins assurés. Les cuissards pleins de flotte fond bien du bruit sur le sol et rendent les déplacements plus compliqués. Luc déverrouille la pièce à coter de ma chambre. C'est vrai que j'ignore tout le temps ce qu'elle contient.
Luc ouvre la porte et là, c'est le choc. Une grande pièce, sans fenêtres, le mur tapisser de cagoule, masque, fouet et autres outils dont j'ignore l'utilité. Dans un coin, une cage en métal d'environ 2m². Pas plus haute que 1m.
Alors que je suis encore sous le choc, Luc m'enfile rapidement quelque chose dans la bouche et me tiens la bouche fermer avec ses mains forte.
Après quelques secondes, je réalise. C'est infect ! Ma bouche est prise par une odeur et un gout rance de... Je le connais très bien.
"-Voila mon cochon. Pour que tu fasses pas trop de bruit, bâillonné avec ma vieille chaussette ! Je pense que tu les connais bien ? Celle que je porte quasiment à chaque fois au boulot en botte depuis ton arrivée. Je pense que tu n'as pas raté le fait que je ne les change presque pas."
Les larmes me montent aux yeux tellement l'odeur est forte et je tente de gueuler. Mais impossible, seul quelque sons atténué et incompréhensible sortent. Luc me tient fermement les mains dans le dos d'une main, et de l'autre maintien sa chaussette dans ma bouche. Luc se marre de mes tentatives futiles.
"-T'inquiète pas ça ira mieux après quelque heures tu t'y ferras bien mon cochon ! "
Comment ça quelques heures ?! J'essaye encore de dire quelque chose pour protester avec le bâillon mais impossible. Luc me passe une sorte de gros collier de cuir autour du coup. C'est en fait un harnais de tête complet de style muselière. Il sécurise rapidement les lanières en bas pour que je ne puisse plus recracher la chaussette. Puis celle du haut. Menotté comme je suis, c'est impossible pour moi de faire quoi que ce soit. Luc me met un puissant coup de genou dans les couilles depuis l'arrière. La salopette en PVC et la cotte atténue un peu la force du coup, mais la cage a rendu mes couilles si pleines et sensibles que cette simulation de douleur est la meilleure que j'ai ressentie depuis longtemps. En même temps, il a une main libre pour m'appuyer sur la tête et m'enfiler dans la petite cage. Il me pousse au fond. Ne pouvant pas me retenir je m'écrase par terre. Il referme la porte et y met un gros cadenas à clé.
"-Voila mon cochon. Alors on va se mettre au clair maintenant. Ici, c'est ta nouvelle chambre. Tu dors ici, et tu y restes tant que j'ai pas besoin de toi. T'as pas trop de choix dans tous les cas. Y'a du boulot a la ferme, mais je vais te laisser un peu de temps de réflexion ici. Tu peux bien essayer de faire des conneries tu devrais pas aller bien loin. En plus avec les gants et les cuissards, tu dois avoir assez chaud. Ça devrait te tenir au calme. Et tiens avant que je parte de quoi te rafraichir un peu."
Luc sort alors sa bite de son pantalon de travail. Sans que j'ai le temps de le voir venir il me pisse sur la gueule. Le salop ! Je bouge un peu pour essayer d'éviter le jet, mais ça le fait juste marrer d'essayer de plus le possible me viser la gueule. Ma cotte est trempée de pisse odorante. J'en sens sur mon nez et qui coule déjà au fond de mes cuissards y rejoindre ma sueur et s'y mélanger.
"Aller a plus tard sous-merde ! "
Luc est sorti. Juste comme ça. J'essaye de trouver une position un peu confortable. Je trouve étonnement rapidement, mais l'odeur du bâillon et de la pisse est très forte. J'entends Luc se changer dans le garage à côté. Le bruit de ses bottes sur le sol et la porte qui claque. Il est vraiment parti ce salop... J'imagine qu'il est aller à la ferme s'occuper des animaux ? Si j'ai bien réfléchi, Luc devrai aller juste faire un tour à la ferme et nettoyer la stabulation. Après quoi ce sera l'heure de la traite. Il devrait venir me rechercher à ce moment-là ! Je sais pas si c'est une bonne chose cela dit. Ce temps en cage me laisse un peu de temps de réflexion sur ma situation. Bon. Luc à la vidéo de moi qui lèche ses bottes. Denis est au courant. Mais normalement personne d'autre. Donc Luc peut clairement faire pression... Mais après tout j'ai toujours voulu servir un paysan non ? Cette pensée rend ma bite serrée dans la cage et je me déteste d'arriver à être exciter de cette situation. Je suis perdu au milieu de nulle part. Enfin bon. J'imagine que Luc ne devrai pas me garder dans cette situation trop longtemps. J'ai bien compris que c'était un pervers, mais ça reste un bon gars ! Enfin je crois…
Je laisse mon esprit divaguer pendant un long moment. Je m'assoupi même, jusqu'à être réveillé par le bruit de la porte du garage. Luc ! Il doit être de retour de la ferme. Enfin je vais pouvoir être ressorti. Sa vieille chaussette ne me fait presque plus rien à l'odeur, mais en ravalant ma salive au réveille, le gout rance reviens. Quel porc ce Luc... Je m'attends à voir la porte qui me sépare du garage s'ouvrir, mais rien. À la place j'entends un autre pas que celui de Luc ! Merde il n'est pas seul. J'arrive un peu à entendre sa voix
"-Voilà la chambre du larbin ! Il a laissé quelque affaire. Je garde le téléphone et l'ordi portable. Ce con les a pas verrouillés donc je peux en faire ce que je veux. Les vêtements et le reste tu peux les récupérer et en faire ce que tu veux. "
Oh putain. Il est en train de vider ma chambre. Il déconnait pas en disant que ce serait ma nouvelle chambre ?! Mon téléphone, c'était mon dernier point de contact… Et il va pouvoir contrôler tout les nouveaux messages et y répondre à ma place… Moi qui espérais que mon un pote s'inquièterai de pas avoir de nouvelle, c'est la merde. Pendant que je panique, j'entends les aller-retour dans le garage. surement pour vider la chambre. Ça ne dure pas 5 minutes et j'entends une voiture partir.
Bon aller. Luc devrait venir me chercher pour aller à la traite. Et finalement. À part les cuissards et les gants, c'est presque comme avant ! Enfin sauf qu'il sait que je suis le dernier des lèche bottes...
Mais non... Pas de signe de Luc. Il est vraiment parti traire sans moi ?! Les cuissards sont trempés de pisse et de sueur. Je vais pas passer 2h encore dedans ! Je me débats comme je peux et en appuyant une botte sur l'autre j'arrive lentement à enlever les cuissardes. Mes pieds respirent enfin un peu et moi aussi. Je désespère quand même.
Je n'ai plus aucune affaire à part ce que Luc me donne. Je n'ai plus de moyen de contact avec l'extérieur et aucun moyen de partir. Quand bien même je le ferrai, si la vidéo de moi à quatre pattes en train de lécher ses bottes est envoyé à des potes ou autre, depuis mon téléphone, je n'aurai nulle part où aller... Je me repose comme je peux en m'appuyant sur les barreaux de la cage pour laisser le temps passer. Rien de mieux à faire de toute façon; Malgré le stress, j'arrive quand même à être excité par tout ça. Quel bâtard je suis.
J'avais pourtant l'habitude de lécher de la bottes, mais là, c'était tout autre chose. Ce n'était plus des bottes vide dans un garage ou dans une grange. Cette fois-ci le paysan les portait encore. Et pas n'importe lequel.
Ça a dû durer une petite demi-heur. J'essaye de les entendre discuter, mais le bruit du PVC et des cuissards rend la tache difficile. Si je m'arrête, c'est Denis qui me botte le cul et Luc qui me rappelle à l'ordre. La chaleur dut au stress, mais aussi à tout mon équipement fond que je sens la sueur s'accumuler dans mes gants et dans mes bottes. Mais j'imagine que ce n'est pas le moment de faire mon difficile. Luc pris la parole plus fort.
"-Bon aller, c'est pas tout, mais va falloir accommoder le nouvel animal. On se revoit à l'occasion Denis, j'aurai surement besoin de tes talents de bricoleur pour certaine pièce."
Il m'empoigne par le col pour me lever et me fait un signe de main autoritaire pour que je marche derrière lui. La voiture est juste devant l'entré du garage. Peu de chance d'être vu.
Lux se dirige vers l'arrière au lieu de prendre place au volant.
"-Tu penses quand même pas que tu vas aller devant ? "
Il ouvre le coffre de l'utilitaire, m'empoigne le bras et me fait monter. Sans trop avoir le temps de comprendre je fini menotté. Il devait les avoir dans les poches de son pantalon de travaille. Après quoi les menotte sont enchainé à une chaine accroché au sol.
"-Tache de pas te péter la gueule mon cochon. Pas envie de devoir faire de détour par les pompiers. Et commence déjà à t'habituer à voyager derrière !"
Même pas le temps de répondre qu'il claque la porte. Je m'assois rapidement au sol et la voiture démarre rapidement. Les virage me bouscule un peu, mais je suis assez arnaché pour que les quelque impacte ne me fasse rien. On arrive assez vite, je suis trempé de sueur et l'inquiétude monte un peu. Dieu sait ce qu'il compte faire de moi. Il ouvre la porte et enlève la chaine qui attachait les menottes au sol.
"-Aller. Aujourd'hui je vais te montrer tes nouveaux locaux. La chambre, c'est bien beau, mais c'est pour les Hommes. Pas les lèche-bottes !"
Il me tient par derrière, mes mouvements sont moins assurés. Les cuissards pleins de flotte fond bien du bruit sur le sol et rendent les déplacements plus compliqués. Luc déverrouille la pièce à coter de ma chambre. C'est vrai que j'ignore tout le temps ce qu'elle contient.
Luc ouvre la porte et là, c'est le choc. Une grande pièce, sans fenêtres, le mur tapisser de cagoule, masque, fouet et autres outils dont j'ignore l'utilité. Dans un coin, une cage en métal d'environ 2m². Pas plus haute que 1m.
Alors que je suis encore sous le choc, Luc m'enfile rapidement quelque chose dans la bouche et me tiens la bouche fermer avec ses mains forte.
Après quelques secondes, je réalise. C'est infect ! Ma bouche est prise par une odeur et un gout rance de... Je le connais très bien.
"-Voila mon cochon. Pour que tu fasses pas trop de bruit, bâillonné avec ma vieille chaussette ! Je pense que tu les connais bien ? Celle que je porte quasiment à chaque fois au boulot en botte depuis ton arrivée. Je pense que tu n'as pas raté le fait que je ne les change presque pas."
Les larmes me montent aux yeux tellement l'odeur est forte et je tente de gueuler. Mais impossible, seul quelque sons atténué et incompréhensible sortent. Luc me tient fermement les mains dans le dos d'une main, et de l'autre maintien sa chaussette dans ma bouche. Luc se marre de mes tentatives futiles.
"-T'inquiète pas ça ira mieux après quelque heures tu t'y ferras bien mon cochon ! "
Comment ça quelques heures ?! J'essaye encore de dire quelque chose pour protester avec le bâillon mais impossible. Luc me passe une sorte de gros collier de cuir autour du coup. C'est en fait un harnais de tête complet de style muselière. Il sécurise rapidement les lanières en bas pour que je ne puisse plus recracher la chaussette. Puis celle du haut. Menotté comme je suis, c'est impossible pour moi de faire quoi que ce soit. Luc me met un puissant coup de genou dans les couilles depuis l'arrière. La salopette en PVC et la cotte atténue un peu la force du coup, mais la cage a rendu mes couilles si pleines et sensibles que cette simulation de douleur est la meilleure que j'ai ressentie depuis longtemps. En même temps, il a une main libre pour m'appuyer sur la tête et m'enfiler dans la petite cage. Il me pousse au fond. Ne pouvant pas me retenir je m'écrase par terre. Il referme la porte et y met un gros cadenas à clé.
"-Voila mon cochon. Alors on va se mettre au clair maintenant. Ici, c'est ta nouvelle chambre. Tu dors ici, et tu y restes tant que j'ai pas besoin de toi. T'as pas trop de choix dans tous les cas. Y'a du boulot a la ferme, mais je vais te laisser un peu de temps de réflexion ici. Tu peux bien essayer de faire des conneries tu devrais pas aller bien loin. En plus avec les gants et les cuissards, tu dois avoir assez chaud. Ça devrait te tenir au calme. Et tiens avant que je parte de quoi te rafraichir un peu."
Luc sort alors sa bite de son pantalon de travail. Sans que j'ai le temps de le voir venir il me pisse sur la gueule. Le salop ! Je bouge un peu pour essayer d'éviter le jet, mais ça le fait juste marrer d'essayer de plus le possible me viser la gueule. Ma cotte est trempée de pisse odorante. J'en sens sur mon nez et qui coule déjà au fond de mes cuissards y rejoindre ma sueur et s'y mélanger.
"Aller a plus tard sous-merde ! "
Luc est sorti. Juste comme ça. J'essaye de trouver une position un peu confortable. Je trouve étonnement rapidement, mais l'odeur du bâillon et de la pisse est très forte. J'entends Luc se changer dans le garage à côté. Le bruit de ses bottes sur le sol et la porte qui claque. Il est vraiment parti ce salop... J'imagine qu'il est aller à la ferme s'occuper des animaux ? Si j'ai bien réfléchi, Luc devrai aller juste faire un tour à la ferme et nettoyer la stabulation. Après quoi ce sera l'heure de la traite. Il devrait venir me rechercher à ce moment-là ! Je sais pas si c'est une bonne chose cela dit. Ce temps en cage me laisse un peu de temps de réflexion sur ma situation. Bon. Luc à la vidéo de moi qui lèche ses bottes. Denis est au courant. Mais normalement personne d'autre. Donc Luc peut clairement faire pression... Mais après tout j'ai toujours voulu servir un paysan non ? Cette pensée rend ma bite serrée dans la cage et je me déteste d'arriver à être exciter de cette situation. Je suis perdu au milieu de nulle part. Enfin bon. J'imagine que Luc ne devrai pas me garder dans cette situation trop longtemps. J'ai bien compris que c'était un pervers, mais ça reste un bon gars ! Enfin je crois…
Je laisse mon esprit divaguer pendant un long moment. Je m'assoupi même, jusqu'à être réveillé par le bruit de la porte du garage. Luc ! Il doit être de retour de la ferme. Enfin je vais pouvoir être ressorti. Sa vieille chaussette ne me fait presque plus rien à l'odeur, mais en ravalant ma salive au réveille, le gout rance reviens. Quel porc ce Luc... Je m'attends à voir la porte qui me sépare du garage s'ouvrir, mais rien. À la place j'entends un autre pas que celui de Luc ! Merde il n'est pas seul. J'arrive un peu à entendre sa voix
"-Voilà la chambre du larbin ! Il a laissé quelque affaire. Je garde le téléphone et l'ordi portable. Ce con les a pas verrouillés donc je peux en faire ce que je veux. Les vêtements et le reste tu peux les récupérer et en faire ce que tu veux. "
Oh putain. Il est en train de vider ma chambre. Il déconnait pas en disant que ce serait ma nouvelle chambre ?! Mon téléphone, c'était mon dernier point de contact… Et il va pouvoir contrôler tout les nouveaux messages et y répondre à ma place… Moi qui espérais que mon un pote s'inquièterai de pas avoir de nouvelle, c'est la merde. Pendant que je panique, j'entends les aller-retour dans le garage. surement pour vider la chambre. Ça ne dure pas 5 minutes et j'entends une voiture partir.
Bon aller. Luc devrait venir me chercher pour aller à la traite. Et finalement. À part les cuissards et les gants, c'est presque comme avant ! Enfin sauf qu'il sait que je suis le dernier des lèche bottes...
Mais non... Pas de signe de Luc. Il est vraiment parti traire sans moi ?! Les cuissards sont trempés de pisse et de sueur. Je vais pas passer 2h encore dedans ! Je me débats comme je peux et en appuyant une botte sur l'autre j'arrive lentement à enlever les cuissardes. Mes pieds respirent enfin un peu et moi aussi. Je désespère quand même.
Je n'ai plus aucune affaire à part ce que Luc me donne. Je n'ai plus de moyen de contact avec l'extérieur et aucun moyen de partir. Quand bien même je le ferrai, si la vidéo de moi à quatre pattes en train de lécher ses bottes est envoyé à des potes ou autre, depuis mon téléphone, je n'aurai nulle part où aller... Je me repose comme je peux en m'appuyant sur les barreaux de la cage pour laisser le temps passer. Rien de mieux à faire de toute façon; Malgré le stress, j'arrive quand même à être excité par tout ça. Quel bâtard je suis.
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