Ma vie de libertin - De brèves aventures - Au hasard de la route.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - Au hasard de la route.
Deux ans plus tard… Au cours de l’été 1988, si mes souvenirs sont bons, j’ai passé une quinzaine de jours au Cap d’Agde dans un camp naturiste. Ces quelques jours ont été très chauds dans tous les sens du terme. C’était la première fois que je passais du temps dans ce camp car habituellement, je vais plutôt sur la côte vendéenne ou landaise. Je raconterai cela une autre fois.
Depuis l’aube, j’avais déjà fait pas mal de route et, pour faire une pause, je me suis arrêté une centaine de kilomètres après Clermont avant de poursuivre ma route vers le sud. Après un repas frugal fait essentiellement de fruits et d’une boisson fraîche, je me reposais sur un parking avant de reprendre la route. Je devais sommeiller un peu car j’ai été réveillé par des coups frappés contre la vitre du côté passager qui était légèrement ouverte. Que vois-je paraître ? Une jolie minette d’environ 25 ans, brune qui me demande :• Tout va bien ?
Je réponds par l’affirmative en disant que je me reposais car j’avais déjà fait plus de 300 km et que j’en avais encore pas mal à faire. De fil en aiguille, nous engageons la conversation. J’apprends que ma belle inconnue qui fait du stop, descend vers Nîmes où elle doit retrouver des amis et elle me demande si je peux la prendre pour la rapprocher.
Cela me fera une compagne de route et j’acquiesce bien volontiers. J’ai tout loisir de l’observer quand elle s’éloigne pour aller chercher son sac à dos qui est au pied d’un arbre à peu de distance. En plus d’un joli minois, elle a aussi un corps très agréable à regarder, des hanches et des cuisses pleines serrées dans un jean et le dos légèrement cambré. De face, c’est tout aussi charmant. Son buste aux seins bien bombés est moulé dans un T-shirt qui couvre un soutien gorge visible sous le tissu. Un joli brin de fille.
De retour près de la voiture, je mets son bagage dans le coffre au moment où elle me dit avec un grand sourire :• Je m’appelle Sylvie ! Merci de me prendre !
Sa compagnie est agréable, son bavardage n’a rien des mièvreries qu’on entend souvent dans la bouche des jeunes de son âge. A tel point que nous arrivons à Millau presque sans nous en rendre compte. Il faut que je fasse une nouvelle pause et surtout donner à boire à la voiture et aussi acheter de quoi manger en cours de route car j’arriverai assez tard au Cap. A cette époque, nous devions encore traverser la ville.
Chacun fait ses emplettes et après une heure de repos à l’ombre des grands platanes d’une place, nous reprenons la route pour traverser d’abord le plateau du Larzac puis continuer vers Montpellier. Le voyage se poursuit dans la bonne humeur. La nuit approche, nous allons terminer notre route bien après minuit.
Sylvie a vraiment eu une bonne idée de s’enquérir de moi en croyant que je ne me sentais pas bien. De ses propos, je découvre que, comme moi, c’est une amoureuse de la vie, libre de toute attache sentimentale, elle papillonne au gré de ses envies et des occasions qui s’offrent tout en poursuivant des études supérieures de langues orientales. Depuis que nous avons repris le trajet, ma compagne de route est assez agitée. Elle croise et décroise ses jambes, elle a le souffle court au point que je lui demande ce qui ne va pas. Elle me demande alors de trouver un coin discret pour s’arrêter prétextant un besoin pressant.
Au bout de quelques kilomètres, je m’arrête sur un petit parking bordé de bosquets d’arbres. Cela me semble le lieu idéal pour que Sylvie puisse s’isoler. Au bout de quelques temps, ne la voyant pas revenir, je l’appelle en lui disant que si elle ne veut pas arriver à Nîmes tard dans la nuit, il serait temps de reprendre la route. Elle me répond alors que ce n’est pas un souci et me demande de la rejoindre derrière les arbres car elle a besoin d’aide. Là, quelle n’est pas ma surprise !
La belle m’attend n’ayant plus sur elle qu’un string minuscule et un soutien gorge effectivement bien rempli. C’est vraiment une belle fille, les hanches bien galbées, les seins ronds en pomme et haut perchés, des cheveux bruns mi longs qui encadrent un visage charmant. Elle sourit en voyant ma surprise :• Viens, je vais te dire MERCI à ma façon !
En se collant à moi, je sens ses seins se presser contre mon torse, son bassin qui ondule contre le mien et ses lèvres qui cherchent les miennes. Nous échangeons des baisers passionnés. Sa main droite s’est glissée entre nous et entreprend de masser ma bite qui est déjà à moitié bandée. Elle sait y faire la coquine. Mes légers vêtements ont eux aussi vite fait de voler à quelques mètres. Se mettant à genoux devant moi, Sylvie prend mon sexe en bouche et commence une fellation digne d’une professionnelle du sexe. Je ne peux rien faire d’autre que savourer la caresse tout en passant ma main dans ses cheveux. C’est sans vergogne que je vais baiser cette coquine qui à sa manière me fait du ‘rentre dedans’ ! Je lui dis :• Attention, je vais partir !
Elle se dégage et s’allonge sur l’herbe rase en me tendant les bras elle m’invite à la rejoindre. Elle saisit les dessous de ses cuisses et relève ses jambes écartées dans une pose d’une totale impudeur. Je mets mes bras en appui de chaque côté de son torse, j’embrasse et je suce un peu les tétons pendant que ma bite cherche l’entrée de sa grotte d’amour. Je l’investis d’une poussée lente et continue de façon à ce que Sylvie apprécie la pénétration. Sa chatte est trempée de mouille et chaude à souhait.
Quand elle sent que mon bassin est bien incrusté dans la fourche de ses cuisses, Sylvie rabat ses jambes sur mon dos et commence à onduler du bassin. Que c’est bon. Je ne sais s’il elle s’est fait un trip en cours de route car elle jouit rapidement au moment où je me déverse en elle. On n’a même pas eu le temps de nous protéger ! Pourtant, c’était les débuts du SIDA…L’étreinte a été brève mais totale, nous procurant une belle jouissance partagée. Nous restons ainsi quelque temps, emboîtés l’un dans l’autre avant de nous rhabiller et de reprendre la route. Mes vacances au Cap d’Agde commençaient bien !
Depuis l’aube, j’avais déjà fait pas mal de route et, pour faire une pause, je me suis arrêté une centaine de kilomètres après Clermont avant de poursuivre ma route vers le sud. Après un repas frugal fait essentiellement de fruits et d’une boisson fraîche, je me reposais sur un parking avant de reprendre la route. Je devais sommeiller un peu car j’ai été réveillé par des coups frappés contre la vitre du côté passager qui était légèrement ouverte. Que vois-je paraître ? Une jolie minette d’environ 25 ans, brune qui me demande :• Tout va bien ?
Je réponds par l’affirmative en disant que je me reposais car j’avais déjà fait plus de 300 km et que j’en avais encore pas mal à faire. De fil en aiguille, nous engageons la conversation. J’apprends que ma belle inconnue qui fait du stop, descend vers Nîmes où elle doit retrouver des amis et elle me demande si je peux la prendre pour la rapprocher.
Cela me fera une compagne de route et j’acquiesce bien volontiers. J’ai tout loisir de l’observer quand elle s’éloigne pour aller chercher son sac à dos qui est au pied d’un arbre à peu de distance. En plus d’un joli minois, elle a aussi un corps très agréable à regarder, des hanches et des cuisses pleines serrées dans un jean et le dos légèrement cambré. De face, c’est tout aussi charmant. Son buste aux seins bien bombés est moulé dans un T-shirt qui couvre un soutien gorge visible sous le tissu. Un joli brin de fille.
De retour près de la voiture, je mets son bagage dans le coffre au moment où elle me dit avec un grand sourire :• Je m’appelle Sylvie ! Merci de me prendre !
Sa compagnie est agréable, son bavardage n’a rien des mièvreries qu’on entend souvent dans la bouche des jeunes de son âge. A tel point que nous arrivons à Millau presque sans nous en rendre compte. Il faut que je fasse une nouvelle pause et surtout donner à boire à la voiture et aussi acheter de quoi manger en cours de route car j’arriverai assez tard au Cap. A cette époque, nous devions encore traverser la ville.
Chacun fait ses emplettes et après une heure de repos à l’ombre des grands platanes d’une place, nous reprenons la route pour traverser d’abord le plateau du Larzac puis continuer vers Montpellier. Le voyage se poursuit dans la bonne humeur. La nuit approche, nous allons terminer notre route bien après minuit.
Sylvie a vraiment eu une bonne idée de s’enquérir de moi en croyant que je ne me sentais pas bien. De ses propos, je découvre que, comme moi, c’est une amoureuse de la vie, libre de toute attache sentimentale, elle papillonne au gré de ses envies et des occasions qui s’offrent tout en poursuivant des études supérieures de langues orientales. Depuis que nous avons repris le trajet, ma compagne de route est assez agitée. Elle croise et décroise ses jambes, elle a le souffle court au point que je lui demande ce qui ne va pas. Elle me demande alors de trouver un coin discret pour s’arrêter prétextant un besoin pressant.
Au bout de quelques kilomètres, je m’arrête sur un petit parking bordé de bosquets d’arbres. Cela me semble le lieu idéal pour que Sylvie puisse s’isoler. Au bout de quelques temps, ne la voyant pas revenir, je l’appelle en lui disant que si elle ne veut pas arriver à Nîmes tard dans la nuit, il serait temps de reprendre la route. Elle me répond alors que ce n’est pas un souci et me demande de la rejoindre derrière les arbres car elle a besoin d’aide. Là, quelle n’est pas ma surprise !
La belle m’attend n’ayant plus sur elle qu’un string minuscule et un soutien gorge effectivement bien rempli. C’est vraiment une belle fille, les hanches bien galbées, les seins ronds en pomme et haut perchés, des cheveux bruns mi longs qui encadrent un visage charmant. Elle sourit en voyant ma surprise :• Viens, je vais te dire MERCI à ma façon !
En se collant à moi, je sens ses seins se presser contre mon torse, son bassin qui ondule contre le mien et ses lèvres qui cherchent les miennes. Nous échangeons des baisers passionnés. Sa main droite s’est glissée entre nous et entreprend de masser ma bite qui est déjà à moitié bandée. Elle sait y faire la coquine. Mes légers vêtements ont eux aussi vite fait de voler à quelques mètres. Se mettant à genoux devant moi, Sylvie prend mon sexe en bouche et commence une fellation digne d’une professionnelle du sexe. Je ne peux rien faire d’autre que savourer la caresse tout en passant ma main dans ses cheveux. C’est sans vergogne que je vais baiser cette coquine qui à sa manière me fait du ‘rentre dedans’ ! Je lui dis :• Attention, je vais partir !
Elle se dégage et s’allonge sur l’herbe rase en me tendant les bras elle m’invite à la rejoindre. Elle saisit les dessous de ses cuisses et relève ses jambes écartées dans une pose d’une totale impudeur. Je mets mes bras en appui de chaque côté de son torse, j’embrasse et je suce un peu les tétons pendant que ma bite cherche l’entrée de sa grotte d’amour. Je l’investis d’une poussée lente et continue de façon à ce que Sylvie apprécie la pénétration. Sa chatte est trempée de mouille et chaude à souhait.
Quand elle sent que mon bassin est bien incrusté dans la fourche de ses cuisses, Sylvie rabat ses jambes sur mon dos et commence à onduler du bassin. Que c’est bon. Je ne sais s’il elle s’est fait un trip en cours de route car elle jouit rapidement au moment où je me déverse en elle. On n’a même pas eu le temps de nous protéger ! Pourtant, c’était les débuts du SIDA…L’étreinte a été brève mais totale, nous procurant une belle jouissance partagée. Nous restons ainsi quelque temps, emboîtés l’un dans l’autre avant de nous rhabiller et de reprendre la route. Mes vacances au Cap d’Agde commençaient bien !
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