Ma vie de libertin - De brèves aventures - En club libertin.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - En club libertin.
Pendant ces vacances au Cap d’Agde, je voulais aller voir ce que pouvait être un club libertin dans une petite ville.
A Paris, j’avais rencontré un couple qui, l’été précédent, avait fréquenté un club de la région, non loin de mon lieu de villégiature. Je m’étais renseigné et cela confirmait ce qui m’avait été dit. Ce club de rencontres libertines était soi-disant un must.
Malheureusement je devais me trouver une compagne de soirée pour y entrer car les hommes seuls n’y étaient pas autorisés en cette saison estivale. Au camping où je séjournais, tout le monde était en famille, sur les plages naturistes du secteur, tous se livraient le soir venu à des échanges de partenaires et personne n’avait besoin d’aller dans ce genre d’établissement pour assouvir sa soif de libertinage.
A tout hasard, je lançai un ballon d’essai à une des hôtesses de l’accueil de mon camping. En riant elle me dit en me tutoyant d’emblée :
• Tu ne m’étonnes pas ! Je sais ce que tu es venu chercher ! Je sais où ce club se trouve ! C’est bien connu dans la région.
• Si tu veux je t’invite !
La réponse a fusé immédiatement :
• D’accord, je suis partante ! Passe me prendre à l’accueil à 22 heures, le bureau sera fermé.
Çà ne me dérangeait pas de sortir avec une femme un peu plus âgée que moi. A l’heure dite, je l’ai vue arriver et se glisser à côté de moi dans ma voiture. Petite rousse d’environ 50/55 ans, avec des cheveux tombant sur les épaules, elle portait une mini robe en tissu léger qui descendait à mi cuisse, serrée par un cordon au dessus des seins dont les tétons pointaient.
Elle dégageait un parfum épicé qui allait lui bien. Son visage, illuminé par des yeux marron rieurs, était constellé de taches de rousseur. Par l’autoroute nous avons mis à peine plus d’une heure pour faire le trajet. Situé au centre du village dans une grosse maison cossue, le club semblait ce soir là attirer beaucoup de monde car il y avait de nombreuses voitures garées à proximité. Effectivement il y avait foule. Le bar était plein de monde et sur la piste de danse il y a avait une dizaine de couples. Avec Nadja ma compagne d’un soir nous avons parcouru les divers salons un verre à la main et découvert aussi la nouveauté de l’année, le sauna et le jacuzzi.
La soirée était lancée car dans les « coins câlins » il y avait déjà des couples et trios en pleine action. Nous avions laissé le principal de nos vêtements dans les casiers sécurisés prévus à cet effet à l’entrée du sex-shop et du bar. Je ne portais plus qu’un boxer siglé au nom du club et Nadja n’avait plus sur elle qu’un mini string dont les cordons barraient ses fesses. Au bas de son dos, elle avait un soleil tatoué et ses seins menus avaient des tétons saillants qui, sans doute sous l’effet de l’excitation du moment étaient sortis. On avait envie de les croquer, ce que je me suis empressé de faire dès que nous avons trouvé un endroit propice pour nous livrer à nos ébats.
Je n’allais pas me priver de baiser cette nana qui savait pourquoi elle avait accepté mon invitation. Nous étions allongés sur un podium recouvert de tissu satiné. D’une main je massais la chatte de Nadja et de l’autre, j’agaçais le bout des seins et je les suçais et les croquais. Ma belle ronronnait de plaisir et de son vagin s’écoulait une mouille abondante pendant qu’elle massait ma bite à moitié sortie du boxer. Je me suis couvert. Nous étions prêts. Je me plaçai entre ses cuisses à genoux et, remontant son bassin à la bonne hauteur je me glissai dans sa chatte. Oulla qu’elle était chaude et humide !
Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour atteindre la jouissance. Nadja me travaillait la queue avec ses muscles intimes et au moment où la jouissance l’emportait j’ai déversé dans le préservatif quelques jets de sperme violents. Depuis que j’étais en vacances, je baisais plusieurs fois par jour avec des partenaires différentes… N’était-ce pas ce que j’étais venu chercher au Cap ? A chaque fois l’ambiance de luxure était tellement excitante que cela nourrissait mes réserves de quadra...
Nous sommes restés enlacés quelques minutes. Nous étions bien. Nous avons été rejoints par un couple d’une trentaine d’années, l’homme, un beau gosse aux muscles bien dessinés avec un sexe long et fin, sa compagne, une beurette grande et mince avec des seins menus, un piercing au nombril orné d’un tatouage avait le pubis nu et une chaînette pendant entre les cuisses.
Nadja me dit alors :
• J’ai envie d’une double pénétration, sa bite devrait me faire du bien dans mon cul !
Je n’étais pas contre et je le dis à nos futurs compagnons de jeux. La beurette m’a gobé immédiatement la bite pendant que Nadja achevait de faire monter la pression en faisant une gorge profonde à son copain. Dès qu’il a été couvert, ce dernier s’allongea sur le dos, prenant Nadja par la taille, il l’a plaça sur lui en amazone et introduisit sa queue dans le petit trou plissé. Après quelques mouvements de va-et-vient, il coucha Nadja sur lui, le dos contre son torse et, pour la maintenir dans cette position, il lui prit les seins. Je n’avais plus qu’à investir à nouveau la chatte qui s’offrait à moi.
Nous avons accordé nos mouvements pour que les pénétrations alternent. Je sentais au travers de la paroi le sexe de notre partenaire progresser jusqu’au fond de la gaine étroite de Nadja. J’avais déjà vécu ce genre de situation, c’est très excitant. Nadja exprimait bruyamment son plaisir :
• Allez-y ! Baisez-moi, enculez-moi ! Limez-moi bien ! C’est bon…
Elle avait de l’expérience et j’avais dragué sans le savoir une bonne baiseuse. La beurette se faisait plaisir toute seule en nous regardant. Au début, elle s’était contentée de caresser sa chatte les cuisses ouvertes, la chaînette partait des grandes lèvres où les extrémités étaient pincées, mais ensuite, elle a pris un gode articulé et l’a introduit au fond de son vagin. Notre jouissance est arrivée soudainement, tous les quatre en même temps. Nous sommes allés au bar prendre un verre tous ensemble puis nous nous sommes séparés.
De retour au Cap d’Agde, Nadja m’a invité à finir la nuit dans son appartement. Après une douche prise ensemble, je l’ai baisée encore une fois, mais là, c’était à mon tour de la sodomiser, son anus copieusement empli de gel. Elle aimait çà la coquine et elle jouissait aussi facilement d’être prise devant ou derrière.
A Paris, j’avais rencontré un couple qui, l’été précédent, avait fréquenté un club de la région, non loin de mon lieu de villégiature. Je m’étais renseigné et cela confirmait ce qui m’avait été dit. Ce club de rencontres libertines était soi-disant un must.
Malheureusement je devais me trouver une compagne de soirée pour y entrer car les hommes seuls n’y étaient pas autorisés en cette saison estivale. Au camping où je séjournais, tout le monde était en famille, sur les plages naturistes du secteur, tous se livraient le soir venu à des échanges de partenaires et personne n’avait besoin d’aller dans ce genre d’établissement pour assouvir sa soif de libertinage.
A tout hasard, je lançai un ballon d’essai à une des hôtesses de l’accueil de mon camping. En riant elle me dit en me tutoyant d’emblée :
• Tu ne m’étonnes pas ! Je sais ce que tu es venu chercher ! Je sais où ce club se trouve ! C’est bien connu dans la région.
• Si tu veux je t’invite !
La réponse a fusé immédiatement :
• D’accord, je suis partante ! Passe me prendre à l’accueil à 22 heures, le bureau sera fermé.
Çà ne me dérangeait pas de sortir avec une femme un peu plus âgée que moi. A l’heure dite, je l’ai vue arriver et se glisser à côté de moi dans ma voiture. Petite rousse d’environ 50/55 ans, avec des cheveux tombant sur les épaules, elle portait une mini robe en tissu léger qui descendait à mi cuisse, serrée par un cordon au dessus des seins dont les tétons pointaient.
Elle dégageait un parfum épicé qui allait lui bien. Son visage, illuminé par des yeux marron rieurs, était constellé de taches de rousseur. Par l’autoroute nous avons mis à peine plus d’une heure pour faire le trajet. Situé au centre du village dans une grosse maison cossue, le club semblait ce soir là attirer beaucoup de monde car il y avait de nombreuses voitures garées à proximité. Effectivement il y avait foule. Le bar était plein de monde et sur la piste de danse il y a avait une dizaine de couples. Avec Nadja ma compagne d’un soir nous avons parcouru les divers salons un verre à la main et découvert aussi la nouveauté de l’année, le sauna et le jacuzzi.
La soirée était lancée car dans les « coins câlins » il y avait déjà des couples et trios en pleine action. Nous avions laissé le principal de nos vêtements dans les casiers sécurisés prévus à cet effet à l’entrée du sex-shop et du bar. Je ne portais plus qu’un boxer siglé au nom du club et Nadja n’avait plus sur elle qu’un mini string dont les cordons barraient ses fesses. Au bas de son dos, elle avait un soleil tatoué et ses seins menus avaient des tétons saillants qui, sans doute sous l’effet de l’excitation du moment étaient sortis. On avait envie de les croquer, ce que je me suis empressé de faire dès que nous avons trouvé un endroit propice pour nous livrer à nos ébats.
Je n’allais pas me priver de baiser cette nana qui savait pourquoi elle avait accepté mon invitation. Nous étions allongés sur un podium recouvert de tissu satiné. D’une main je massais la chatte de Nadja et de l’autre, j’agaçais le bout des seins et je les suçais et les croquais. Ma belle ronronnait de plaisir et de son vagin s’écoulait une mouille abondante pendant qu’elle massait ma bite à moitié sortie du boxer. Je me suis couvert. Nous étions prêts. Je me plaçai entre ses cuisses à genoux et, remontant son bassin à la bonne hauteur je me glissai dans sa chatte. Oulla qu’elle était chaude et humide !
Il ne nous a pas fallu attendre longtemps pour atteindre la jouissance. Nadja me travaillait la queue avec ses muscles intimes et au moment où la jouissance l’emportait j’ai déversé dans le préservatif quelques jets de sperme violents. Depuis que j’étais en vacances, je baisais plusieurs fois par jour avec des partenaires différentes… N’était-ce pas ce que j’étais venu chercher au Cap ? A chaque fois l’ambiance de luxure était tellement excitante que cela nourrissait mes réserves de quadra...
Nous sommes restés enlacés quelques minutes. Nous étions bien. Nous avons été rejoints par un couple d’une trentaine d’années, l’homme, un beau gosse aux muscles bien dessinés avec un sexe long et fin, sa compagne, une beurette grande et mince avec des seins menus, un piercing au nombril orné d’un tatouage avait le pubis nu et une chaînette pendant entre les cuisses.
Nadja me dit alors :
• J’ai envie d’une double pénétration, sa bite devrait me faire du bien dans mon cul !
Je n’étais pas contre et je le dis à nos futurs compagnons de jeux. La beurette m’a gobé immédiatement la bite pendant que Nadja achevait de faire monter la pression en faisant une gorge profonde à son copain. Dès qu’il a été couvert, ce dernier s’allongea sur le dos, prenant Nadja par la taille, il l’a plaça sur lui en amazone et introduisit sa queue dans le petit trou plissé. Après quelques mouvements de va-et-vient, il coucha Nadja sur lui, le dos contre son torse et, pour la maintenir dans cette position, il lui prit les seins. Je n’avais plus qu’à investir à nouveau la chatte qui s’offrait à moi.
Nous avons accordé nos mouvements pour que les pénétrations alternent. Je sentais au travers de la paroi le sexe de notre partenaire progresser jusqu’au fond de la gaine étroite de Nadja. J’avais déjà vécu ce genre de situation, c’est très excitant. Nadja exprimait bruyamment son plaisir :
• Allez-y ! Baisez-moi, enculez-moi ! Limez-moi bien ! C’est bon…
Elle avait de l’expérience et j’avais dragué sans le savoir une bonne baiseuse. La beurette se faisait plaisir toute seule en nous regardant. Au début, elle s’était contentée de caresser sa chatte les cuisses ouvertes, la chaînette partait des grandes lèvres où les extrémités étaient pincées, mais ensuite, elle a pris un gode articulé et l’a introduit au fond de son vagin. Notre jouissance est arrivée soudainement, tous les quatre en même temps. Nous sommes allés au bar prendre un verre tous ensemble puis nous nous sommes séparés.
De retour au Cap d’Agde, Nadja m’a invité à finir la nuit dans son appartement. Après une douche prise ensemble, je l’ai baisée encore une fois, mais là, c’était à mon tour de la sodomiser, son anus copieusement empli de gel. Elle aimait çà la coquine et elle jouissait aussi facilement d’être prise devant ou derrière.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire bien écrite