Ma vie de libertin - De brèves aventures - Katy ou une bonne fortune.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - Katy ou une bonne fortune.
Ce texte relate une aventure qui m’est arrivée d’une manière tout à fait improbable.
En fait il s’agit de la lettre d’un libertin en voyage à sa complice de libertinage de l’époque…où internet n’existait pas encore…
« Ma tendre amie coquine !
Comme promis, je viens te raconter ma balade à Namur avec Katy, cette jeune femme de 35 ans, dont je t’ai parlé au téléphone il y a quelques jours.
En fait, comme je l’ai déjà dit, je l’ai rencontrée tout bêtement lundi dernier en fin de journée alors que nous faisions le plein de carburant de nos voitures à la frontière entre la France et le Luxembourg. Elle avait des difficultés pour ouvrir le réservoir et je l’ai aidée.
De fil en aiguille, nous avons bavardé un peu et nous avons échangé nos numéros de téléphone. J’aurais bien poursuivi notre discussion mais j’avais un rendez vous à ne pas manquer avec un membre de l’association que tu connais.
Le lendemain en soirée, elle m’a appelé à mon hôtel pour me remercier de ma gentillesse et m’a confirmé sa proposition de me faire découvrir la ville de Namur proprement dite, ville que je ne connaissais pas encore. Par contre, je connais assez bien toute la région des Ardennes belges jusqu’à Bruxelles où je suis déjà allé plusieurs fois voir des cousins il y a très longtemps.
Nous avons pris rendez-vous pour ce mercredi après-midi sur le parking devant la gare de Namur où il était prévu de nous retrouver vers midi. Au lieu de sa voiture, elle est arrivée avec un camping-car en disant ce serait plus pratique si nous voulons nous arrêter quelque part !
C’est mon mari qui avait l’autre voiture. Je crois que c’était une invitation non déguisée à ce qui allait se passer plus tard. Laissant là nos véhicules respectifs, nous nous sommes tout d’abord dirigés vers un petit restaurant en bordure de la Sambre où nous avons déjeuné sur la terrasse donnant sur la rivière. Puis nous nous sommes baladés un peu à pied sur les quais de la ville. Reprenant le camping car, Katy nous a emmené au parking de la citadelle qui domine le site.
Après une visite rapide, Katy m’a dit en glissant son bras sous le mien : - Viens ! Le camping car est dans un coin discret, tu vas me baiser, j’en ai envie !
Tu connais notre accord ! Quand une opportunité de baiser hors de notre couple coquin s’offre à nous, nous pouvons en profiter, sous réserve de nous raconter ensuite les diverses péripéties.
Quelle aubaine ! A mon âge, entre mes mariages, en dehors de toi, je n’avais jamais eu de maitresses autres que du même âge que moi. Là j’allais me faire une jeunette de 35 ans à peine alors que j’en ai 20 de plus...
Nous arrivons rapidement au camping-car et à peine entrés dans une semi pénombre propice, Katy m’enlace et commence à m’embrasser langoureusement. Nos corps sont pressés l’un contre l’autre, elle frotte son pubis contre le mien, avec une main, je sens les pointes de ses seins dressées alors que l’autre courre sur ses fesses pour mieux la plaquer contre moi.
Soudain Katy se met à genoux devant moi, dégrafe mon pantalon et d’un seul mouvement le fait descendre en même que mon slip. Elle glisse mon sexe dans sa bouche en le tétant goulument. Que c’était bon ! Une vraie pompeuse de bite. Lorsqu’elle me sent à point elle se relève, couvre mon sexe d’un préservatif (prudente et prévoyante la coquine).
Elle s’allonge sur le lit double qui est prêt, et, retroussant haut sa jupe elle me tend les bras en m’invitant à la prendre fort car elle sent que j’ai envie d’elle ! C’est vrai elle avait fait tout pour cela. En plus elle ne portait même pas de string ! Elle m’offrait la vue de sa chatte toute lisse et entr’ouverte.
J’ai fait voler mes vêtements pendant qu’elle achevait de se dénuder, dévoilant ainsi ses seins modestes mais appétissants, et, d’un mouvement rapide et profond, j’ai investi son sexe tout humide et chaud. Elle m’attendait vraiment la coquine. L’idée de se faire baiser ainsi l’avait déjà bien fait mouiller.
En appui sur mes bras je l’ai besognée avec force, faisant monter notre plaisir jusqu’au moment où notre jouissance commune a éclaté. Oulla ! La joute a été rude. J’étais essoufflé et je me suis affalé sur le côté pour retrouver mes esprits.
Katy est venue s’allonger sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne, pour m’embrasser dans le cou, disant à mon oreille, qu’elle avait eu envie de faire l’amour avec moi dés qu’elle m’avait vu si gentil et prévenant. Elle a ajouté que je l’avais bien comblée et qu’elle avait bien joui !
Après quelques temps nous nous sommes rhabillés. Katy m’a promis de venir par chez nous pour recommencer et pourquoi pas faire une partie à trois avec toi (je n’y crois pas trop car Paris, c’est loin de la Belgique). Elle m’explique qu’elle a de gros besoins sexuels qu’elle assouvit avec des partenaires plus âgés qu’elle. Libres ou pas, pour elle l’essentiel est de baiser sans attaches et sans contrainte.
Je retrouve ma voiture sur le parking de la gare, chacun repart de son côté. Ce sera peut être une rencontre sans lendemain ou quelques bonnes parties de jambes en l’air à deux ou à trois en perspective si par hasard elle vient dans notre région ? Qui sait ?
Voila le récit de mon escapade de cet après midi. Je rentre à mon hôtel. Il est 23 heures et je me languis de toi. J’ai hâte de finir mon périple dans le Grand Est pour te retrouver à la fin de la semaine… et qui sait, peut-être auras-tu une aventure à me raconter ?
Je t’embrasse tendrement ma belle coquine !
Ton gros chat ! »Hélas, Katy n’est jamais venue à Paris. Elle n’a jamais donné de ses nouvelles.
En fait il s’agit de la lettre d’un libertin en voyage à sa complice de libertinage de l’époque…où internet n’existait pas encore…
« Ma tendre amie coquine !
Comme promis, je viens te raconter ma balade à Namur avec Katy, cette jeune femme de 35 ans, dont je t’ai parlé au téléphone il y a quelques jours.
En fait, comme je l’ai déjà dit, je l’ai rencontrée tout bêtement lundi dernier en fin de journée alors que nous faisions le plein de carburant de nos voitures à la frontière entre la France et le Luxembourg. Elle avait des difficultés pour ouvrir le réservoir et je l’ai aidée.
De fil en aiguille, nous avons bavardé un peu et nous avons échangé nos numéros de téléphone. J’aurais bien poursuivi notre discussion mais j’avais un rendez vous à ne pas manquer avec un membre de l’association que tu connais.
Le lendemain en soirée, elle m’a appelé à mon hôtel pour me remercier de ma gentillesse et m’a confirmé sa proposition de me faire découvrir la ville de Namur proprement dite, ville que je ne connaissais pas encore. Par contre, je connais assez bien toute la région des Ardennes belges jusqu’à Bruxelles où je suis déjà allé plusieurs fois voir des cousins il y a très longtemps.
Nous avons pris rendez-vous pour ce mercredi après-midi sur le parking devant la gare de Namur où il était prévu de nous retrouver vers midi. Au lieu de sa voiture, elle est arrivée avec un camping-car en disant ce serait plus pratique si nous voulons nous arrêter quelque part !
C’est mon mari qui avait l’autre voiture. Je crois que c’était une invitation non déguisée à ce qui allait se passer plus tard. Laissant là nos véhicules respectifs, nous nous sommes tout d’abord dirigés vers un petit restaurant en bordure de la Sambre où nous avons déjeuné sur la terrasse donnant sur la rivière. Puis nous nous sommes baladés un peu à pied sur les quais de la ville. Reprenant le camping car, Katy nous a emmené au parking de la citadelle qui domine le site.
Après une visite rapide, Katy m’a dit en glissant son bras sous le mien : - Viens ! Le camping car est dans un coin discret, tu vas me baiser, j’en ai envie !
Tu connais notre accord ! Quand une opportunité de baiser hors de notre couple coquin s’offre à nous, nous pouvons en profiter, sous réserve de nous raconter ensuite les diverses péripéties.
Quelle aubaine ! A mon âge, entre mes mariages, en dehors de toi, je n’avais jamais eu de maitresses autres que du même âge que moi. Là j’allais me faire une jeunette de 35 ans à peine alors que j’en ai 20 de plus...
Nous arrivons rapidement au camping-car et à peine entrés dans une semi pénombre propice, Katy m’enlace et commence à m’embrasser langoureusement. Nos corps sont pressés l’un contre l’autre, elle frotte son pubis contre le mien, avec une main, je sens les pointes de ses seins dressées alors que l’autre courre sur ses fesses pour mieux la plaquer contre moi.
Soudain Katy se met à genoux devant moi, dégrafe mon pantalon et d’un seul mouvement le fait descendre en même que mon slip. Elle glisse mon sexe dans sa bouche en le tétant goulument. Que c’était bon ! Une vraie pompeuse de bite. Lorsqu’elle me sent à point elle se relève, couvre mon sexe d’un préservatif (prudente et prévoyante la coquine).
Elle s’allonge sur le lit double qui est prêt, et, retroussant haut sa jupe elle me tend les bras en m’invitant à la prendre fort car elle sent que j’ai envie d’elle ! C’est vrai elle avait fait tout pour cela. En plus elle ne portait même pas de string ! Elle m’offrait la vue de sa chatte toute lisse et entr’ouverte.
J’ai fait voler mes vêtements pendant qu’elle achevait de se dénuder, dévoilant ainsi ses seins modestes mais appétissants, et, d’un mouvement rapide et profond, j’ai investi son sexe tout humide et chaud. Elle m’attendait vraiment la coquine. L’idée de se faire baiser ainsi l’avait déjà bien fait mouiller.
En appui sur mes bras je l’ai besognée avec force, faisant monter notre plaisir jusqu’au moment où notre jouissance commune a éclaté. Oulla ! La joute a été rude. J’étais essoufflé et je me suis affalé sur le côté pour retrouver mes esprits.
Katy est venue s’allonger sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne, pour m’embrasser dans le cou, disant à mon oreille, qu’elle avait eu envie de faire l’amour avec moi dés qu’elle m’avait vu si gentil et prévenant. Elle a ajouté que je l’avais bien comblée et qu’elle avait bien joui !
Après quelques temps nous nous sommes rhabillés. Katy m’a promis de venir par chez nous pour recommencer et pourquoi pas faire une partie à trois avec toi (je n’y crois pas trop car Paris, c’est loin de la Belgique). Elle m’explique qu’elle a de gros besoins sexuels qu’elle assouvit avec des partenaires plus âgés qu’elle. Libres ou pas, pour elle l’essentiel est de baiser sans attaches et sans contrainte.
Je retrouve ma voiture sur le parking de la gare, chacun repart de son côté. Ce sera peut être une rencontre sans lendemain ou quelques bonnes parties de jambes en l’air à deux ou à trois en perspective si par hasard elle vient dans notre région ? Qui sait ?
Voila le récit de mon escapade de cet après midi. Je rentre à mon hôtel. Il est 23 heures et je me languis de toi. J’ai hâte de finir mon périple dans le Grand Est pour te retrouver à la fin de la semaine… et qui sait, peut-être auras-tu une aventure à me raconter ?
Je t’embrasse tendrement ma belle coquine !
Ton gros chat ! »Hélas, Katy n’est jamais venue à Paris. Elle n’a jamais donné de ses nouvelles.
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