Ma vie de libertin - De brèves aventures : Train de nuit ou souvenirs des années 80.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures : Train de nuit ou souvenirs des années 80.
Avant que le T.G.V. n’envahisse le réseau des grandes lignes, les trains de nuit étaient nombreux. Ils permettaient de voyager sans perdre de temps et de dormir à peu près confortablement.
L’aventure que je vais vous conter date d’une trentaine d’années alors que je me rendais de Paris à Perpignan à la morte saison A cette époque, je cherchais à acheter un studio pas trop loin de la côte où j’allais presque tous les ans pour faire du naturisme.
Lorsque le train a quitté le gare de Paris-Austerlitz, je pensais être seul dans mon compartiment couchettes mais après environ un quart d’heure, le contrôleur est arrivé accompagné de deux femmes qui, visiblement n’avaient pas réservé ou s’étaient décidées pour un départ de dernière minute. Environ trente ans toutes les deux, autant l’une était brune, l’autre semblait être blonde naturelle.
Leurs bagages installés, leurs manteaux posés sur la couchette restée libre, j’ai pu voir combien l’une et l’autre étaient agréables à regarder, sveltes, d’une mise très soignée qui laissait voir des petits seins menus et haut placés sous un chemisier de soie. Les jupes, en tissu épais arrivaient à mi-mollet. Elles étaient chaussées de bottillons à talons arrivant au dessus de la cheville.
Nous avons lié connaissance. Même si à près de 45 ans, j’étais très libre dans mes relations avec les femmes, j’étais un peu gêné de la promiscuité à laquelle je n’étais pas préparé et qui allait être la notre tout au long de ce voyage. Je savais aussi que les femmes n’aiment pas se trouver dans cette situation.
Apparemment elles semblaient ne pas y prêter attention. Après quelques temps, elles sont sorties dans le couloir pour fumer une cigarette. J’ai donc proposé de me coucher en premier pendant qu’elles attendraient dans le couloir. Ce fut chose faite. Tourné contre la paroi du compartiment, j’ai pu entendre les frôlements de tissus lorsqu’elles se sont déshabillées et glissées dans les draps. Dans la pénombre bleutée du compartiment, nous nous apprêtions à passer une bonne nuit.
J’ai l’habitude de voyager en train et le balancement du wagon et les bruits de roulement ont généralement vite fait de m’endormir. Là, pas moyen de trouver une position confortable. J’étais troublé par les parfums capiteux que ces jeunes femmes dégageaient. Elles aussi semblaient avoir des difficultés à trouver le sommeil. Elles bavardaient à mi voix mais je ne comprenais pas ce qu’elles disaient.
Soudain, j’ai senti qu’une main se glissait sous la couverture à hauteur de mon bas ventre et une autre me caressait les cheveux pendant qu’une bouche cherchait la mienne. C’était une invitation à ne pas refuser. Je découvris ainsi la silhouette de Véronique, la blonde penchée sur moi alors que la brune regardait du haut de la couchette supérieure.
Mes mains partirent sous la petite nuisette opaque à la recherche des seins menus. Oh ! De jolis tétons bien saillants, mon rêve de toujours. Je les ai fait rouler sous mes doigts, arrachant de petits gémissements de plaisir à mon assaillante. J’ai repoussé le drap d’un mouvement de jambes. Véronique continuait de m’embrasser et je lui rendais bien volontiers ses baisers de plus en plus chauds. De ma main droite, je descendis jusqu’à son pubis. Elle était nue et aucun poil ne venait ombrager son sexe. Elle était en avance sur la mode actuelle où la grande majorité des femmes est rasée ou épilée.
De la paume j’ai massé son mont de Vénus, laissant courir un doigt dans sa fente déjà bien humide. Elle avait abandonné mon sexe pour jouir de ma caresse. Sa compagne Aline est alors descendue de sa couchette et venant se placer derrière elle, elle a empaumé les seins de Véronique pour les masser. J’étais tombé sur deux coquines bisexuelles qui étaient à la recherche d’une aventure sans lendemain.
Bientôt les rôles ont changé. Véronique a fait glisser le pantalon de mon pyjama et, couvrant ma bite d’un préservatif, elle est venue s’empaler sur mon sexe dressé en me tournant le dos. Malgré la pénombre, la vue était charmante. Aline est venue au dessus de moi en m’enjambant et a présenté sa chatte imberbe au dessus de mon visage. J’ai relevé légèrement la tête et j’ai commencé un cunnilingus appuyé. La situation n’était pas très confortable en raison de l’exigüité de la couchette mais devant cette bonne occasion, j’aurais bien eu tort de me plaindre. Depuis quelques années, libre de toute attache sentimentale, je fréquentais assez régulièrement les clubs libertins qui ouvraient peu à peu dans la capitale et dans les environs.
Véronique se donnait à fond. Profitant de ma bite bien raide (à cet âge là, on a encore une vigueur certaine), elle faisait elle-même les mouvements de va-et-vient. J’étais occupé avec Aline que je maintenais par la taille pour l’empêcher de basculer. Ma langue faisait couler un flot de cyprine de sa chatte. Elle se frottait sur moi pour éprouver plus de sensations. Je n’étais plus maitre de la situation.
Véronique et Aline me faisaient l’amour comme deux cavales en chaleur. Mon plaisir montait et je n’allais pas tarder à me lâcher. Véronique a du le sentir car elle a fait travailler ses muscles intimes et là, la jouissance commune est arrivée, brutale et généreuse. Véronique s’est dégagée et après avoir retiré le préservatif elle s’est esclaffée en le nouant pour emprisonner mon sperme :
• Souvenir !
Même si Aline avait éprouvé du plaisir sous ma caresse, elle était insatisfaite. Elle fouilla rapidement dans son sac de voyage et en sortit un gode vibrant de belle taille et s’allongeant sur la couchette en face de moi, d’une main elle l’introduisit avec facilité dans sa chatte alors que l’autre venait agacer ses tétons.
Véronique et moi, nous nous sommes placés de part et d’autre, relevant la nuisette, nous sommes allés cueillir chacun un des tétons. Sous cette triple caresse, Aline n’a pas tardé à jouir à son tour.
Nous avons regagné chacun notre couchette et là, rapidement nous avons trouvé un sommeil réparateur. Au petit matin Aline et Véronique m’ont quitté à Narbonne et quelques temps après, j’arrivais à Perpignan.
(Nota : si je me souviens bien de cet épisode, j’ai complètement oublié les prénoms… mais ce n’est pas important, je les ai changés !).
L’aventure que je vais vous conter date d’une trentaine d’années alors que je me rendais de Paris à Perpignan à la morte saison A cette époque, je cherchais à acheter un studio pas trop loin de la côte où j’allais presque tous les ans pour faire du naturisme.
Lorsque le train a quitté le gare de Paris-Austerlitz, je pensais être seul dans mon compartiment couchettes mais après environ un quart d’heure, le contrôleur est arrivé accompagné de deux femmes qui, visiblement n’avaient pas réservé ou s’étaient décidées pour un départ de dernière minute. Environ trente ans toutes les deux, autant l’une était brune, l’autre semblait être blonde naturelle.
Leurs bagages installés, leurs manteaux posés sur la couchette restée libre, j’ai pu voir combien l’une et l’autre étaient agréables à regarder, sveltes, d’une mise très soignée qui laissait voir des petits seins menus et haut placés sous un chemisier de soie. Les jupes, en tissu épais arrivaient à mi-mollet. Elles étaient chaussées de bottillons à talons arrivant au dessus de la cheville.
Nous avons lié connaissance. Même si à près de 45 ans, j’étais très libre dans mes relations avec les femmes, j’étais un peu gêné de la promiscuité à laquelle je n’étais pas préparé et qui allait être la notre tout au long de ce voyage. Je savais aussi que les femmes n’aiment pas se trouver dans cette situation.
Apparemment elles semblaient ne pas y prêter attention. Après quelques temps, elles sont sorties dans le couloir pour fumer une cigarette. J’ai donc proposé de me coucher en premier pendant qu’elles attendraient dans le couloir. Ce fut chose faite. Tourné contre la paroi du compartiment, j’ai pu entendre les frôlements de tissus lorsqu’elles se sont déshabillées et glissées dans les draps. Dans la pénombre bleutée du compartiment, nous nous apprêtions à passer une bonne nuit.
J’ai l’habitude de voyager en train et le balancement du wagon et les bruits de roulement ont généralement vite fait de m’endormir. Là, pas moyen de trouver une position confortable. J’étais troublé par les parfums capiteux que ces jeunes femmes dégageaient. Elles aussi semblaient avoir des difficultés à trouver le sommeil. Elles bavardaient à mi voix mais je ne comprenais pas ce qu’elles disaient.
Soudain, j’ai senti qu’une main se glissait sous la couverture à hauteur de mon bas ventre et une autre me caressait les cheveux pendant qu’une bouche cherchait la mienne. C’était une invitation à ne pas refuser. Je découvris ainsi la silhouette de Véronique, la blonde penchée sur moi alors que la brune regardait du haut de la couchette supérieure.
Mes mains partirent sous la petite nuisette opaque à la recherche des seins menus. Oh ! De jolis tétons bien saillants, mon rêve de toujours. Je les ai fait rouler sous mes doigts, arrachant de petits gémissements de plaisir à mon assaillante. J’ai repoussé le drap d’un mouvement de jambes. Véronique continuait de m’embrasser et je lui rendais bien volontiers ses baisers de plus en plus chauds. De ma main droite, je descendis jusqu’à son pubis. Elle était nue et aucun poil ne venait ombrager son sexe. Elle était en avance sur la mode actuelle où la grande majorité des femmes est rasée ou épilée.
De la paume j’ai massé son mont de Vénus, laissant courir un doigt dans sa fente déjà bien humide. Elle avait abandonné mon sexe pour jouir de ma caresse. Sa compagne Aline est alors descendue de sa couchette et venant se placer derrière elle, elle a empaumé les seins de Véronique pour les masser. J’étais tombé sur deux coquines bisexuelles qui étaient à la recherche d’une aventure sans lendemain.
Bientôt les rôles ont changé. Véronique a fait glisser le pantalon de mon pyjama et, couvrant ma bite d’un préservatif, elle est venue s’empaler sur mon sexe dressé en me tournant le dos. Malgré la pénombre, la vue était charmante. Aline est venue au dessus de moi en m’enjambant et a présenté sa chatte imberbe au dessus de mon visage. J’ai relevé légèrement la tête et j’ai commencé un cunnilingus appuyé. La situation n’était pas très confortable en raison de l’exigüité de la couchette mais devant cette bonne occasion, j’aurais bien eu tort de me plaindre. Depuis quelques années, libre de toute attache sentimentale, je fréquentais assez régulièrement les clubs libertins qui ouvraient peu à peu dans la capitale et dans les environs.
Véronique se donnait à fond. Profitant de ma bite bien raide (à cet âge là, on a encore une vigueur certaine), elle faisait elle-même les mouvements de va-et-vient. J’étais occupé avec Aline que je maintenais par la taille pour l’empêcher de basculer. Ma langue faisait couler un flot de cyprine de sa chatte. Elle se frottait sur moi pour éprouver plus de sensations. Je n’étais plus maitre de la situation.
Véronique et Aline me faisaient l’amour comme deux cavales en chaleur. Mon plaisir montait et je n’allais pas tarder à me lâcher. Véronique a du le sentir car elle a fait travailler ses muscles intimes et là, la jouissance commune est arrivée, brutale et généreuse. Véronique s’est dégagée et après avoir retiré le préservatif elle s’est esclaffée en le nouant pour emprisonner mon sperme :
• Souvenir !
Même si Aline avait éprouvé du plaisir sous ma caresse, elle était insatisfaite. Elle fouilla rapidement dans son sac de voyage et en sortit un gode vibrant de belle taille et s’allongeant sur la couchette en face de moi, d’une main elle l’introduisit avec facilité dans sa chatte alors que l’autre venait agacer ses tétons.
Véronique et moi, nous nous sommes placés de part et d’autre, relevant la nuisette, nous sommes allés cueillir chacun un des tétons. Sous cette triple caresse, Aline n’a pas tardé à jouir à son tour.
Nous avons regagné chacun notre couchette et là, rapidement nous avons trouvé un sommeil réparateur. Au petit matin Aline et Véronique m’ont quitté à Narbonne et quelques temps après, j’arrivais à Perpignan.
(Nota : si je me souviens bien de cet épisode, j’ai complètement oublié les prénoms… mais ce n’est pas important, je les ai changés !).
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Hum...