Ma vie de libertin - De brèves aventures - Voyeurs
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - De brèves aventures - Voyeurs
C’était l’un des derniers soirs de mon séjour au Cap d’Agde et avant de retourner à mon bungalow sur le terrain de camping, je prenais un dernier verre au bar de la plage naturiste. Il n’y avait plus guère de clients car l’heure de la fermeture approchait et la nuit descendait doucement sur la mer. Nous étions quatre, deux jeunes femmes, Sergio, le barman, et moi. Les deux filles semblaient bien excitées par les nombreux verres d’alcool qu’elles venaient de boire depuis que je me trouvais là à bavarder avec Sergio avec qui je m’étais lié d’amitié.
Elles avaient environ 25 ans, bien bronzées, l’une légèrement plus grande que l’autre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu l’heure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt très échancré qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave.
Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement l’une contre l’autre. Avant qu’elles ne disparaissent dans l’obscurité nous avons pu voir qu’elles s’enlaçaient et s’embrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors qu’elles allaient certainement vers « la chambre d’amour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il s’agissait. C’était le lieu de retrouvailles des couples d’un moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre d’amour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il n’y avait personne d’autre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de s’embrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés. Nous allions avoir le spectacle d’une baise lesbienne. Nous nous sommes encore approchés. Nous n’étions plus qu’à une dizaine de mètres et, si elles nous avaient vus, elles n’en poursuivaient pas moins leurs échanges. J’étais émoustillé par le spectacle et ce qui allait suivre au point que ma bite était dressée dans mon bermuda et faisait une belle bosse sur le devant.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que l’une d’elle s’allongeait sur le sable, l’autre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte. Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de l’autre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul.
La même chose devait se passer à l’autre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. C’était chaud. Nous observions en silence afin d’éviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusqu’à ce que l’une et l’autre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face et de nous dire en riant comme des folles :
• Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir.
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusqu’à elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison comme c’était désormais la mode. Elles dirent en même temps :
• Approchez encore !
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle l’a pris en bouche et englouti d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge. Sergio avait le même traitement. Ma fellatrice savait y faire. Elle n’utilisait que sa langue et l’aspiration des joues pour me pomper. Je me retenais pour retarder ma jouissance tellement la caresse était bonne, mais je n’en pouvais plus, j’avais été sage toute la journée…
Je me suis retiré de sa bouche et j’ai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt elle m’a repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi. Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple s’est séparé. J’ai terminé la nuit avec Céline que j’ai baisée à deux reprises. Au petit matin elle s’est esquivée en me disant :
• Je vais retrouver mon mari ! Je lui ai laissé le champ libre cette nuit ! Je sais qu’il en a bien profité, donc pas de jaloux !
Voila ce qu’étaient les plages naturistes de la région du Cap d’Agde à l’époque. Il parait que c’est encore pire maintenant au point qu’une des plages est désormais baptisée « La baie des cochons ».
Elles avaient environ 25 ans, bien bronzées, l’une légèrement plus grande que l’autre, des formes agréables bien que menues et de longs cheveux châtain clair. Vu l’heure tardive, elles portaient un bermuda taillé dans un jean et un teeshirt très échancré qui laissait deviner une paire de seins libres de toute entrave.
Après avoir payé leurs consommations, elles se sont éloignées en direction de la mer serrées étroitement l’une contre l’autre. Avant qu’elles ne disparaissent dans l’obscurité nous avons pu voir qu’elles s’enlaçaient et s’embrassaient à bouche que veux-tu. Le barman me dit alors qu’elles allaient certainement vers « la chambre d’amour ». Je connaissais le lieu pour y être allé le premier soir pour découvrir ce dont il s’agissait. C’était le lieu de retrouvailles des couples d’un moment. On y voyait des hétérosexuels et des homosexuels hommes ou femmes.
Entre temps le barman avait terminé ses rangements et fermé boutique. Tous les deux nous nous sommes également dirigés vers la chambre d’amour. Le ciel était éclairé par la pleine lune et les étoiles ce qui fait que nous pouvions voir distinctement à une certaine distance ce qui se passait entre les dunes de sable en haut de la plage. Nous nous sommes approchés discrètement.
Il n’y avait personne d’autre que nos deux femelles en chaleur. A genoux, elles continuaient de s’embrasser à pleine bouche et de se caresser les seins sous les teeshirts à moitié relevés. Nous allions avoir le spectacle d’une baise lesbienne. Nous nous sommes encore approchés. Nous n’étions plus qu’à une dizaine de mètres et, si elles nous avaient vus, elles n’en poursuivaient pas moins leurs échanges. J’étais émoustillé par le spectacle et ce qui allait suivre au point que ma bite était dressée dans mon bermuda et faisait une belle bosse sur le devant.
Les deux coquines se sont mises nues et pendant que l’une d’elle s’allongeait sur le sable, l’autre se mettait au dessus en 69. Elles allaient se donner mutuellement du plaisir en se mangeant la chatte. Dans le clair obscur qui régnait sur la plage, nous voyions la langue de celle qui était au dessus laper la vulve de l’autre alors que de sa main elle pénétrait tantôt le vagin où elle disparaissait presque entièrement ou tantôt faisait aller et venir le majeur dans son cul.
La même chose devait se passer à l’autre extrémité car la fille qui nous faisait face ondulait de la croupe, certainement sous les assauts de sa complice. C’était chaud. Nous observions en silence afin d’éviter de nous faire remarquer, cependant, nous entendions les soupirs de volupté de nos deux belles, jusqu’à ce que l’une et l’autre exhalent presque en même temps leur jouissance.
Elles sont restées enlacées quelques minutes avant de se remettre à genoux et de nous faire face et de nous dire en riant comme des folles :
• Approchez ! Vous nous avez bien matées et laissées tranquilles ! A nous de vous faire plaisir.
Ces coquines savaient depuis le début que nous étions en train de les regarder. Nous avons fait les quelques mètres jusqu’à elles pour voir leur anatomie en détail. Elles avaient effectivement les seins menus mais avec des bouts assez proéminents. Toutes deux avaient la chatte dépourvue de toison comme c’était désormais la mode. Elles dirent en même temps :
• Approchez encore !
Comme un ballet bien réglé elles ont tendu leurs bras pour nous prendre au niveau des hanches. La plus petite a fait glisser mon bermuda et, libérant mon sexe dressé face à elle, elle l’a pris en bouche et englouti d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge. Sergio avait le même traitement. Ma fellatrice savait y faire. Elle n’utilisait que sa langue et l’aspiration des joues pour me pomper. Je me retenais pour retarder ma jouissance tellement la caresse était bonne, mais je n’en pouvais plus, j’avais été sage toute la journée…
Je me suis retiré de sa bouche et j’ai craché mon sperme sur ses seins. Aussitôt elle m’a repris en bouche pour extraire les dernières gouttes. Sergio a joui aussi presque en même temps que moi. Céline, ma fellatrice, et Coralie se sont rhabillées et tous les quatre, nous sommes retournés vers la route du bord de plage. Chaque couple s’est séparé. J’ai terminé la nuit avec Céline que j’ai baisée à deux reprises. Au petit matin elle s’est esquivée en me disant :
• Je vais retrouver mon mari ! Je lui ai laissé le champ libre cette nuit ! Je sais qu’il en a bien profité, donc pas de jaloux !
Voila ce qu’étaient les plages naturistes de la région du Cap d’Agde à l’époque. Il parait que c’est encore pire maintenant au point qu’une des plages est désormais baptisée « La baie des cochons ».
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sur un thème qu pourrait être glauque, c'est étonnamment frais et charmant. Une prouesse !
merci, vos mémoires sont excitantes