Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Nuit de folie à l'hôtel

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Nuit de folie à l'hôtel Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Nuit de folie à l'hôtel
Diane : Cette escapade à l’hôtel tombe à pic. Mon copain Hervé est absent pour plusieurs jours. Je suis arrivée en avance et, après être passée par la chambre que tu as réservée, je t’attends au bar où tu m’as donné rendez-vous.
J’ai mis, pour cette occasion que tu m’offres, cette robe fourreau moulante et fendue sur les cotés que j’aime porter lorsque je vais à un rendez-vous galant. Je suis excitée à l’idée de ce qui m’attend, et le simple frottement de mes cuisses gainées de mes bas de soie révolutionne ma libido. J’ai envie de toi, mon cœur.
Le souvenir me revient de ta queue gonflée dans mon cul bien offert lors de notre dernière rencontre chez moi. Te rappelles-tu ? Je t’ai préparé une surprise aujourd’hui, apprêtée, parfumée, féminine au possible, bien sur. Mais aussi, pour être prête quand tu soulèveras ma robe et caresseras mes fesses rebondies, j’ai introduit un Plug dans mon derrière, de manière à préparer mon petit trou à une intrusion directe. Humm ! Rien qu’en roulant du cul, je mouille déjà.

Moi : Nous quittons le bar et nous nous dirigeons vers les ascenseurs. Hélas, trois fois hélas, nous ne sommes pas seuls dans cet ascenseur qui nous emmène au 6ème étage de cet hôtel du 13ème arrondissement que tu sembles bien connaître aussi !
Tu me précèdes dans le couloir qui conduit à la chambre qui va nous accueillir pour une escapade amoureuse. Coquine, tu roules de hanches pour m’exciter par leur mouvement lascif. Nous entrons et je découvre avec délices le lit immense, pas très haut, qui, d’une certaine manière nous tend les bras.
Nous pouvons enfin nous enlacer et rien que de repenser aux derniers ébats dans ta chambre il y a bientôt un mois, j’ai déjà la bite qui se manifeste dans mon slip. J’ôte ton boléro de fourrure qui cache tes épaules et tes bras. Je découvre le profond décolleté que j’imaginais en voyant la partie basse de ta robe noire fendue jusqu’à mi-cuisse. Je salue TIC et TAC comme il se doit en les caressant de mes mains, en les pétrissant comme tu sais si bien le faire lorsque je te vois à l’écran pour me les présenter et m’exciter. Au travers du tissu, je sens les pointes qui durcissent. Je fais glisser les bretelles de ta robe et je vais poser mes lèvres sur tes tétons qui sont bandés très fort.
Pendant ce temps, ta main droite agile part en reconnaissance à la hauteur de ma ceinture que tu défais et ouvrant ma braguette, tu commences à masser ma bite et mes couilles par dessus le slip.
LA TENSION MONTE ! Pour te faciliter la tâche, je me défais de mes chaussures et de mon pantalon et, n’ayant plus sur moi que ma chemise et mon slip, je fais glisser ta robe en la passant par dessus tes épaules. Au passage, je continue de caresser TIC et TAC. Nos vêtements sont jetés n’importe où dans la chambre et tu ne portes plus qu’un mini string noir en dentelle sur le devant mais se réduisant à un simple cordon ensuite.
Mes derniers vêtements volent à leur tour et, c’est entièrement nu et le sexe dressé que je te conduis vers le lit sur lequel nous continuons de nous caresser pour achever de nous exciter et de nous placer dans la meilleure situation pour faire l’amour. Je fais glisser ton string ou plutôt je te l’arrache pour pouvoir t’enfourcher mais, d’un mouvement de tout ton corps, tu te mets sur le ventre et me présente ta face arrière où une fois encore, j’admire la courbure de tes hanches et la cambrure de tes reins avec ces deux belles petites fossettes et ce joli tatouage qui se trouve à hauteur de ta taille.
Je flatte ta croupe de mes mains et je ne tarde pas à découvrir la surprise qui m’attend entre tes jolies fesses ! UN PLUG en latex transparent ! Humm avec quels délices je le fais aller et venir dans ton petit trou. Je découvre ainsi la surprise que tu m’as réservée et là, je comprends mieux ces mouvements des hanches dans le couloir de l’hôtel étaient destinés à bien t’exciter aussi avec la présence de ce Plug dans ton petit trou !
Tu ronronnes comme une chatte et au bout de quelques minutes tu te relèves pour te mettre en levrette. Que j’aime cette position dans laquelle toute l’animalité de l’Homme se révèle ! Derrière toi je sors une dernière fois le Plug, je me couvre et j’introduis mon sexe prêt à exploser dans ton joli derrière.
Que tu es ouverte et mouillée ! J’imagine que tout comme moi, tu t’es fait un scénario avant de nous retrouver au bar de l’hôtel. Te tenant par la taille, je vais et viens dans ce fourreau brûlant et accueillant. Tu aimes çà ma jolie Diane et j’en profite.
Notre excitation est si vive que pour l’un et l’autre la jouissance ne tarde pas. Pendant que tu exprimes ton bonheur, un spasme me traverse les reins et je déverse mon sperme dans ton fourreau. Je suis quelque peu essoufflé de cet assaut et restant fiché en toi nous basculons sur le côté pour récupérer un peu !
QUE CET ASSAUT A ÉTÉ RUDE ! Après quelques minutes tu te dégages et nous nous mettons en 69. Tout en massant mes couilles tu prends mon sexe dans ta bouche et commences une lente et savante caresse alors que de mon côté, je pars explorer de mes doigts ta jolie fente bien lisse et légèrement parfumée où je déguste ta mouille qui ruisselle.
J’introduis quatre doigts et je te fiste un peu. J’ai les quatre doigts pleins de ton sirop d’amour et j’entre avec facilité dans ta chatte. De ton côté, tu ne cherches pas à me faire éjaculer dans ta bouche mais après quelques temps tu te dégages et, alors que je suis toujours sur le dos, tu viens t’empaler sur ma bite dressée. Tu me fais face et je peux tout à loisir pétrir tes jolis globes et en titiller les bouts. Aujourd’hui, pas besoin de préservatif ! L’un et l’autre, nous avons fait un test HIV. Nous pouvons donc baiser sans protection !
Tu roules des hanches pour bien me sentir en toi ! Quelle sensation divine ! Avec tes muscles intimes tu exerces des petites pressions sur ma bite fichée au plus profond de toi et je sens à nouveau la sève d’amour monter vers toi ! La jouissance ne vient pas tout de suite car je la retarde le plus possible pour que l’un et l’autre nous profitions bien de ces heures de folie amoureuse que nous nous offrons.
Alors qu’après t’avoir donné une première jouissance dans cette position, tout en étant encore empalée tu te retournes et tu me présentes une nouvelle fois ton dos. Je te prends par la taille et tu commences un lent mouvement de bas en haut en veillant à ne pas faire sortir ma bite de ta chatte. La vision de tes reins, de tes fesses fendues qui s’écrasent sur moi, ton œillet qui apparaît quelques fois ont vite fait d’achever de m’exciter et pour la seconde fois en cet après midi je me vide en toi.

Diane :
• Oh mon amour ! Comme j’ai aimé te chevaucher en te montrant mon cul ! J’ai vraiment senti ta queue au fond de moi. Humm ta giclée alors à déclenché chez moi une jouissance extrême, profonde, puissante.
Nous sommes tombés sur le coté, emboîtés comme des Lego et pour un instant, nous sommes restés là, haletants ! Et alors que je ne suis pas capable encore de décrire l’état d’abandon total dans lequel je me trouve, je sens tes bras autour de moi, comme une protection délicieuse. Je sens ton souffle, encore court, dans mon cou, et je déguste cette tendresse attentionnée avec volupté. Je me sens si décontractée que je ne dis mot, alors même que je sens ton corps contre le mien, je voudrais que cet instant dure éternellement. Je t’entends alors me chuchoter quelques mots dans l’oreille : - Humm coquine, tu m’as bien fait jouir. Merci amour.
Incapable de sortir un mot, je ne peux que ronronner comme une chatte comblée. Je crois que nous avons dormi ensuite. Parce que là je me réveille. Nous sommes toujours en cuillère. Étroitement enlacés, emboités tant et si bien qu’une raideur entre mes fesses me fait penser que tu es réveillé toi aussi. Je ne bouge pas, je goûte juste cette délicieuse tension de ton sexe contre mes fesses.
Au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus, et commence une douce ondulation de mon corps pour bien caler cette raideur entre mes fesses et puis aussi apporter quelque chose à cette action délicieuse ! Je t’appelle :
• Amour ?
Pas de réponse. Mon dieu tu dors encore ! Et pourtant tu bandes déjà comme un taureau. Doucement je me dégage de tes bras et me retourne face à toi. Je coule sous les draps et saisis dans ma bouche ce gland déjà dur. Je le caresse de ma langue, je le vois réagir, se durcir encore, rosir. Humm. Tu bouges un peu alors comme pour m’offrir un meilleur angle. Je retiens mon souffle et ne dis mot.
Mais heureusement, tu dors encore. Cette situation m’excite à fond… Je commence alors doucement à enfourner ce gland dans ma bouche baveuse et, ce faisant, je relève les yeux une seconde pour voir ton visage. Oh tu avais, je crois bien, les yeux ouverts ! Coquin de toi ! Je crois que tu faisais semblant de dormir ! Humm ta coquinerie m’excite encore d’avantage, d’autant que tu bandes à fond désormais !

MOI : Oui je dormais encore à moitié lorsque tu t’es glissée sous le drap pour entamer cette douce fellation, mais ta caresse a achevé de me réveiller et pour mieux la savourer, j’ai gardé les yeux fermés. Quand ta tête toute ébouriffée a émergé de sous le drap, je t’ai souri en esquissant un baiser de mes lèvres entrouvertes.
Quelle douceur et quel bonheur ! Tu remontes vers moi. Au passage, tu t’arranges pour que TIC et TAC viennent se placer de chaque côté de ma bite et tu entreprends un rapide va-et-vient qui achève de me faire bander. Puis ton visage arrive à hauteur du mien. Nous échangeons de doux baisers.
Blottie contre moi, je caresse ta nuque, mes doigts fourragent dans ta longue chevelure blonde et caressent aussi le creux entre tes épaules. Je laisse ma main droite courir le long de ton dos et je sens que tu frissonnes et tressailles de bonheur sous cette douce caresse. Tu ondules sur moi. Je sens mon sexe prisonnier entre tes cuisses, tu l’enserres et par un mouvement savant tu continues de me masturber. Je sens ta mouille qui s’écoule lentement de ta grotte d’amour. Nous savourons tous les deux ces doux moments qui suivent une bonne séance de baise mais qui en annoncent une autre.
J’ai très envie de toi mais je ne sais pas si je tiendrai la distance ! Oulla ! Que tu es gourmande ! Tu en veux encore ! Je ne sais si je pourrai te satisfaire une troisième fois en si peu d temps !
Mais oui ! Basculant sur le côté tu te mets de dos face à moi ! J’ai compris ! Tu veux une cuillère ! Une étreinte douce et lente ! D’accord, cela me convient tout à fait. Je me colle à toi. Tu ouvres légèrement le ciseau de tes cuisses pour que je puisse te posséder ainsi. Je sens les globes de tes fesses se loger contre mon bas ventre de part et d’autre de mon sexe qui pénètre en toi pour la troisième fois au cours de cet après midi déjà bien avancé puisque l’obscurité à gagné le ciel. Pendant mon va-et-vient, je peux d’une main caresser TIC et TAC, ces généreuses merveilles qui ornent ta poitrine ou aussi la passer dans tes cheveux. Nous échangeons de mots tendres. Que je suis bien, toute mon attention tournée vers un seul but : te rendre le bonheur que tu me donnes. Et tu apprécies…
Comme je m’y attendais ma jouissance est longue à venir mais la chaleur torride de ta grotte d’amour maintient mon érection au plus haut et une première fois tu exhales ton bonheur. Je continue mes mouvements, je sens tes muscles intimes exercer des douces pressions autour de mon sexe comme pour mieux le retenir et le masturber en même temps. Tu ondules de la taille. Brusquement, je sens que je vais venir. Tu dois le sentir aussi et c’est dans une jouissance partagée que ma sève s’écoule en toi avant de bientôt sombrer dans un sommeil réparateur.

Vers 22 heures, nous nous réveillons et tu me dis :
• J’ai faim !
Je commande un en-cas au service d’étage et après l’avoir dégusté en bavardant, nous nous glissons dans les draps. Il n’est plus question de bagatelle. Nous devons nous reposer. Demain est un autre jour mais hélas, nous ne le partagerons pas. Nous avons nos occupations.


Moi : La nuit a été paisible et lorsque nous nous réveillons nous sommes dans la même position que la veille. Tu es lovée entre mes bras, tes fesses contre mon bas ventre et mon sexe logé entre tes globes fessiers. Que c’est bon et merveilleux d’avoir passé cette nuit ensemble, d’avoir partagé ce doux moment d’intimité d’un sommeil commun.
Cela ne m’étais pas arrivé depuis longtemps car depuis quelques années, je n’ai connu que de brèves étreintes avec des partenaires d’un après midi et nous nous séparions sans nous engager avec un rendez-vous ou même un échange de téléphone. Là nous en sommes à notre seconde rencontre et je te dis au creux de l’oreille :
• Diane ma douce, que c’est bon d’être avec toi ! J’aime te faire l’amour à la fois pour mon plaisir mais aussi pour t’en donner beaucoup.
Tu me remercies en te tournant vers moi. Je peux voir dans tes yeux que ce bonheur est partagé. Je ne sais comment est mon visage mais Oulla ! Que tes yeux sont cernés ! Familièrement je t’en fais la remarque.
Face à moi dans le lit dévasté par nos étreintes de la veille, tu entreprends un lent mouvement de tout ton corps. Tic et Tac sont écrasés contre mon torse alors que ton bassin ondule contre le mien et tes jambes se mêlent aux miennes. Cette savante caresse réveille ma libido et mon sexe commence à se redresser. Une fois encore tu descends vers lui. Au passage tu loges encore une fois ma bite entre Tic et Tac (tu as deviné que j’aime) et après quelques va-et-vient, tu finis par gober mon gland avec tes lèvres. Lorsque mon sexe est à ton goût tu te mets en levrette en me disant :
• Viens, baise moi une dernière fois !
C’est vrai que lors de notre première rencontre je t’avais déjà prise dans cette position mais après quelques secondes tu m’avais demandé de te prendre ton petit trou (comme tu dis). Je me place derrière toi. J’admire encore une fois la courbe de tes hanches et la cambrure de tes reins. Je m’enfonce dans ta grotte d’amour humide à souhait.
Nous accordons nos mouvements. Chaque fois que j’arrive au fond de ta chatte, je sens tes muscles intimes qui pressent mon gland. Que c’est bon ! Tellement bon que je sens ma jouissance arriver. Tu dois le sentir aussi car encore une fois nous sommes emportés en même temps par le plaisir. Je suis un peu essoufflé ! Oh que c’est bon ! Nous nous désunissons.
Pendant que tu pars vers la salle de bains, je commande un copieux petit déjeuner au service d’étage. Il arrive au moment où, resplendissante tu sors de la salle de bain. Coquine ! Tu avais prévu une tenue de rechange ! Là tu ressemble à une femme d’affaires : tailleur strict, chemisier opaque, etc. Tu n’as plus rien de la « femme fatale » qui m’attendait au bar hier en milieu d’après midi.
Nous prenons notre petit déjeuner assez rapidement car tu as un rendez vous en fin de matinée pour ton boulot. De mon côté, je dois récupérer ma voiture dans un parking proche afin de regagner ma lointaine province. Tu me quittes dans le hall de l’hôtel pour prendre un taxi. Après avoir réglé la note, je pars à pieds vers le parking. Tout en marchant, je savoure les sensations qui sont encore très présentes (un peu de fatigue aussi ?).
Quel bonheur d’avoir pu échanger nos coordonnées et mis sur pied notre première rencontre il y a quelques semaines à l’insu d’Hervé. L’hôtel est plus discret pour toi. Tes voisins curieux ne peuvent pas savoir que tu as un coquin en ce moment.


A bientôt ma belle Diane !


Diane : Je t’ai quitté l’esprit encore tout occupé par le souvenir de nos ébats. Humm ! Mais il me faut absolument revenir à la réalité du moment : j’ai ce matin un rendez vous professionnel important et je dois me concentrer pour ne pas rater l’affaire.
A vrai dire, j’ai bien du mal. Mon esprit se disperse et j’ai sans arrêt des images très excitantes de nos corps unis dans l’émotion qui me reviennent à l’esprit.
Mon dieu ! Diane, concentre-toi un peu ! C’est donc un peu inquiète et fébrile que j’arrive à mon rendez vous. Je vérifie rapidement dans l’ascenseur mon rouge et la mèche de mon chignon. J’ai l’impression que mon plaisir se voit encore sur mon visage. Allez, Diane, concentre-toi !
Je suis accueillie par la secrétaire qui m’annonce et me voilà dans le bureau de mon interlocuteur. Une bonne inspiration, et je me lance ! Je guette discrètement ses réactions au fil de l’exposé de mon projet. Je le vois sourire, écouter, acquiescer de façon régulière. Plutôt bon signe, je prends confiance et termine mon laïus avec plus d’assurance que je ne l’ai commencé. Bref, mon projet est accepté, et il me fait même ce petit commentaire qui me trouble encore :
• Comment refuser quoi que ce soit à une femme si brillamment épanouie ?
En tout cas je comprends bien le message. Loin d’être un problème, la trace indélébile de nos plaisirs charnels est juste un avantage pour moi dans ces moments importants. Je garde ça en tête, c’est promis !
En m’éloignant de la société, je laisse mon esprit réinvestir totalement le souvenir de notre nuit délicieuse. Je souris sans même m’en rendre compte. J’attrape mon téléphone. Je veux te laisser un message :
• À quand notre prochain rendez vous ?
Voyons… je veux trouver un endroit chaud, délicat, sensuel, qui sera digne de nos ébats. Humm. Je vais trouver ça ! Peut être à la mer ? Oh oui, une escapade à Deauville. Ce n’est pas l’été encore, mais la mer est belle en cette période et la ville calme, j’aime bien Deauville hors saison. Je vais préparer un petit week-end, qui, je l’espère te tentera…

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