Ma vie sexuelle de travesti 15

- Par l'auteur HDS annietv -
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Récit libertin : Ma vie sexuelle de travesti 15 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie sexuelle de travesti 15
CH 15 : L’humiliation, la honte
Mon corps se transformait, je sentais mes seins pousser un peu et ma cage de chasteté sous mon pantalon me rendait totalement impuissant. Il est vrai que Paul me faisait suivre un régime draconien à base de phyto œstrogène ce qui rendait mes tétons particulièrement sensibles et mes seins prenaient un peu de graisse. Lorsque je portais un T-shirt, mes tétons tout durs pointaient et ma poitrine gonflait ce qui devenait assez voyant. J’avais de plus en plus de mal à cacher toutes ces transformations que ce soient dans le milieu familial qu’à l’université. Je refusais sans cesse les invitations de mes camarades de classe, je ne faisais plus de sport à cause du changement de tenue. Tout le monde s’inquiétait de mon état de santé psychologique, moi qui aimais parfois les sorties entre potes ou bien les réunions de famille.

Durant les temps de repos à l’université, il y avait souvent des allusions de mes camarades sur ma sexualité. Bon nombre d’entre eux me considéraient comme homosexuel, ce qui était la réalité. Un jour, ayant très envie de faire pipi, j’allais aux toilettes et un des garçons présents me dit « tu te trompes, les toilettes filles c’est de l’autre côté ». Je lui répondis qu’il était très drôle et l’ai traité de « connard ». Je n’aurais jamais dû dire cela car il s’est approché de moi, les yeux méchants et fixes, il m’a saisi mes couilles et bien sûr a senti ma cage de chasteté.

Lui : « qu’est-ce qu’il a dans son pantalon, la salope, venez m’aider »

Deux d’entre eux me saisir par le bras et ils m’enlevèrent mon pantalon dévoilant ma cage de chasteté enfermant mon clito, puis mon t-shirt en dévoilant mon piercing de nombril et mon corps glabre ainsi que mes seins d’adolescente. J’entendis des « salope », « lopette », « pute », « pédale ». Toute mon intimité était dévoilée au grand jour. La honte s’abattait sur moi et je me mis à pleurer comme une fille. Ils riaient de moi et jetèrent mon pantalon et mon t-shirt dans la cuvette des toilettes et ont tiré la chasse d’eau puis m’ont laissé sur le sol, presque nue. Ma réputation de petite lope était faite et tout le monde fut au courant en quelques clics. Au début, j’avais du mal à accepter les regards sur moi mais après tout j’étais une salope, tout ce que j’aimais être. On me surnommait « la lope » et je ne pouvais que l’accepter. Dans mon casier je recevais des petits mots orduriers, des invitations à des partouzes. En dehors des cours, certains élèves venaient palper mon entre jambe de façon « fortuite » mais je n’étais pas dupe, ils venaient constater que ma cage était en place. Mes professeurs et la direction étaient aussi au courant de mon orientation sexuelle mais ne faisaient aucune allusion à cela.

Je n’osais même pas en parler à Paul, je n’aurais eu aucune aide et encore moins de réconfort. Il se serait moqué de moi et j’en aurais encore plus souffert.

Certes j’avais honte car j’étais étiquetée homo mais cela me permettait aussi de ne plus cacher ma féminité tout en continuant à porter des affaires de garçon au-dessus de mes effets de fille.
Le pire restait à venir. Quelques semaines plus tard, ma sœur organisait une fête pour son anniversaire et celui de son mari. J’y fut conviée et ai dû partir tout un Week-end. Paul en était très fâché mais je ne pouvais pas refuser.

Je suis arrivée le samedi midi, nous avons festoyé et nous nous sommes couchés dans la nuit du samedi au dimanche, très fatigués. Ma sœur m’avait fait coucher dans la chambre d’amis. Le lendemain je me levais vers dix heures et allais aux toilettes puis dans la salle de bain pour me doucher. Je me savonnais puis me rinçais et sortais de la douche. Je suis restée un moment à me caresser les seins qui poussaient en pointe. J’admirais ma poitrine quand soudain le porte s’ouvrit c’était ma sœur qui n’entendant plus de bruit pensait que j’étais sortie de la salle de bain, Elle me découvrit nue comme un ver, encagée avec mon piercing, sans un poil et mes seins d’adolescente. Elle resta figée tout comme moi et finit par refermer la porte en partant. J’étais tétanisée, ne sachant que faire, comment lui expliquer, quoi lui dire ? J’ai eu la honte de ma vie, elle avait un grand frère qui n’était, en réalité, qu’une femelle. J’ai essayé de la voir en tête à tête mais elle s’est dérobée et le reste de la journée s’est passée dans une ambiance glaciale jusqu’à ce que je parte.

Durant le voyage, mon esprit fut focalisé sur ce qui venait de se passer. Est-ce qu’elle en parlerait aux parents, à son mari, à ses amis ? L’image de son visage quand elle m’a vu entièrement nue me faisait peur. Puis des interrogations sur moi : comment en étais-je arrivée là ? Qu’étais-je devenue ? Pourquoi ai-je accepté ma féminisation, le percing ? Pourquoi étais-je si servile face aux hommes ? Pourquoi étais-je devenue un objet de plaisir ?

Toutes ses questions m’arrivaient au cerveau en vrac et pour la première fois je regrettais de ce que j’étais devenue. Puis le temps passant sur la route, je me raisonnais. Je me suis rappelée mon émoi quand j’ai rencontré ce jeune rouquin lorsque j’étais jeune, un signe de ma vraie sexualité. Mes attributs de garçon ne me permettaient pas d’être comme la plupart des hommes avec mon petit sexe. Soit, je restais seule toute ma vie avec pour seul plaisir sexuel : la masturbation, ou bien je devenais ce que je suis, une lopette qui prend son plaisir à travers celui des autres hommes.

D’autre part, ma condition de femelle me permettait d’assouvir le désir de plaire, d’être convoitée par les hommes. Sentir et voir un homme bander pour vous est quelque chose de très glorifiant. L’autre chose est que j’étais devenue addict à la bite. Le sexe des hommes me faisait tout de suite saliver, mes seins devenaient très sensibles, mon ventre ne demandait qu’à être rempli. Quand je croisais ou que j’étais en présence d’un homme, je pensais immédiatement à son chibre bien raide et dur. Et puis la semence des hommes était devenue une récompense pour la chienne que j’étais : le petit sucre au toutou quand il a bien travaillé. En définitif, devenir une femelle allait de soi, c’était ce qu’on pouvait appeler le destin et je ne pouvais pas lutter contre. Soit j’acceptais, soit je disparaissais.

Ma décision était prise de continuer dans la voie de la féminisation devenir une femelle utilisable par les vrais mâles avec toutes les difficultés que je pouvais rencontrer. J’avais hâte de retrouver Paul, j’arrivais bientôt à Lille !

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