Ma vie sexuelle de travesti 17
Récit érotique écrit par annietv [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ma vie sexuelle de travesti 17
CH 17: Mon besoin de sexes s’accroit
Les semaines passaient et j’avais de plus en plus envie de sexe d’hommes. Paul me baisait les lundis, mercredis et vendredis parfois même le dimanche soir ou le samedi matin, mais malgré cela, les jours ou il ne venait pas j’étais en manque de sexe, en manque de sperme ! Je ne sais pas si c’était le fait d’être impuissant qui me procurait ces envies constantes, ou si Paul était devenu indispensable à ma vie de salope. Le résultat était là sans appel, mon cerveau demandait de la bite !
J’en avais parlé à Paul qui me rassurait et me complimentait d’avoir toujours envie de sexe. C’est aussi ce qu’il recherchait dans l’éducation d’une petite salope toujours prête à satisfaire les besoins sexuels des hommes. Il me proposait de m’emmener dans un club libertin dans lequel il pourra juger de mes compétences de salope durant une soirée jusqu’au petit matin.
Mes besoins sexuels sont devenus très différents de ceux que j’avais. Cela faisait plus de 9 mois que j’étais encagée en permanence avec une traite par mois et encore, quand Paul le voulait bien. Je n’avais plus vraiment l’envie de me toucher le sexe, de bander ou de me masturber, j’avais envie de sexes bien durs d’hommes dans ma bouche ou dans ma chatte culière, de sentir les hommes jouir en moi ou sur moi. Lors des sodomies je mouillais de plus en plus et il m’arrivait maintenant régulièrement de couler. Ce n’était pas des spasmes de jouissance mais une libération, un soulagement de se vider comme lorsqu’on fait pipi après s’être retenue un long moment. D’autre part je n’avais plus d’érection comme dans le passé, même devant Emilie, mon clito n’avait pas réagi face à cette belle petite brune aux jambes magnifiques. Je me sentais prête à être libérée de la cage de chasteté mais Paul voulait que je la porte encore pour être sûr que je sois totalement émasculée me disait-il.
Paul réserva deux entrées dans un club en Belgique pour notre soirée qu’il m’avait promis dans deux semaines un vendredi soir de 21h00 à 4h00. J’étais très excitée. Paul m’emmenait dans un club et le connaissant, ce devrait être une soirée inoubliable.
Enfin, le vendredi de notre sortie arrivait. Paul me fixa rendez-vous chez moi à 15h00. Il m’imposa la tenue soutien-gorge rouge et noir, porte jarretelles assortis, bas résilles, escarpins rouges pour les sous-vêtements que je devrais porter dans le club. Il compléta pour la route une mini-jupe noire et un chemisier gris clair, recouvert d’un impair rouge. Le maquillage devait être assez marqué, vernis à ongle rouge et pas de string ou culotte uniquement ma cage de chasteté sur laquelle il accrocha une petite clochette pour l’entendre à chaque fois que je me ferais baiser. Lorsque je pris les escaliers pour quitter l’appartement, la clochette tintait à chacun de mes pas. Nous nous installâmes dans la voiture et prîmes la direction du club. Nous nous arrêtâmes sur une aire de repos à mi-chemin. Je suis allée faire pipi aux toilettes dames et lorsque je suis revenue à la voiture, Paul m’emmena dans un fourré ou il me fit pencher en avant pour me sauter. Il éjacula en moi pour marquer son territoire comme il disait. Puis nous reprîmes la route et nous sommes arrivés au club à 21h15. Nous nous sommes présentés et avons donné nos test VIH négatifs puis nous sommes allés dans les vestiaires pour enlever mon impair, ma jupe et mon chemisier, le dresscode étant d’être en sous-vêtements sexy ou nus. Paul quant à lui était en Tshirt assez court et le sexe à l’air. Nous avons pris un cocktail au bar, les hommes me regardaient et leurs yeux se posaient sur mes fesses et ma cage de chasteté. Avec le tintement de la clochette, je ne passais pas inaperçu, et rapidement je fus baptisée « clochette ». Mon cœur battait fort en sentant les envies lubriques de ces hommes en quête d’une petite salope à utiliser.
Après avoir bu notre verre, Paul m’emmena dans une pièce ou se trouvait en son centre un carcan. Il me fit mettre mon poitrail sur la planchette, mon cou et poignets dans les trous et referma la partie supérieure de l’engin. Ainsi offerte, il me présenta sa queue à sucer. J’ouvris la bouche, il me prit la tête entre les deux mains et commença à me la baiser avec fermeté. Pendant ce temps cinq clients du club entraient dans la pièce et j’entendis des commentaires salasses, des mains me caressèrent et Paul s’arrêta net en leur disant : « au suivant, cette salope est à vous et elle aime la bite, profitez-en ». Aussitôt, une nouvelle queue remplaçait celle de Paul pour me baiser la bouche et je sentis une autre queue m’embrocher l’anus. Dans l’impossibilité de bouger, cul et bouche offerts, ils m’ont baisé à tour de rôle en éjaculant soit dans ma gorge soit dans mon ventre avec le bruit incessant de la clochette à chaque sodomie. Cela avait duré presque deux heures et j’avais mal à la mâchoire et ma rosette était très sensible au frottement bien que lubrifiée régulièrement avec du gel. Paul libéra mon corps endolori et je profitais de cette pause pour me tremper les fesses dans un bidet, l’eau tiède me fit un bien fou mais j’étais tellement heureuse d’être utilisée. Nous nous installâmes à une table de salon pour reprendre quelques forces en buvant un cocktail avec Paul qui était assez fier de ma prestation. Il m’en félicita puis quitta le salon sans me dire ce qu’il partait faire. Etant seule, quatre hommes vinrent m’entourer comme des rapaces tournant autour de leur proie et commencèrent à me peloter. Je me laissais aller aux caresses contemplant leurs queues qui prenaient volume et raideur. Ils me les caressèrent tendrement et je fus soulevée, emmenée dans une pièce avec un sling au centre et déposée dedans tout en étant pelotée par toutes ces mains. Mes jambes relevées je fus sodomisée tour à tour par les quatre males pendant que je tenais dans chaque main une queue et que ma langue léchait et suçait dès que possible. Je me faisais enculer en suspension, la clochette en action à chaque coup de bite dans mon fondement. Le bruit de la clochette avait alerté Paul de mon activité sexuelle et il débarqua avec deux autres males. Les sept me passèrent dessus. Être baisée ainsi dans un sling, c’était super, j’ai beaucoup aimé cette situation. Quand Paul sonna la fin, il me mit un plug anal et me fit nettoyer avec ma langue le sol couvert de sperme avec interdiction de me rincer le gosier pour garder le gout du cocktail de sperme lors du retour. Nous avons regagné les vestiaires, il était 3h30 du matin j’ai remis ma mini-jupe, mon soutien-gorge et chemisier.
Lorsque nous sommes entrés dans la voiture, Paul me fit enlever ma jupe, mon chemisier car il me trouvait très bien presque nue. Il ne me restait que mes bas et porte jarretelles. A peine sortie du parking qu’il fit glisser sa braguette, je compris qu’il me fallait lui faire une fellation. Je glissais ma tête entre le volant et son sexe que je pris en bouche. Je l’ai pompé près d’une demi-heure avant qu’il ne m’envoie quelques rasades de semence. Je lui fis la toilette et lui referma sa braguette. Je n’avais pas à me plaindre de cette soirée durant laquelle j’avais reçu une bonne quantité de sperme me remplissant l’estomac. J’avais passé une des plus belles soirées de ma vie et Paul avait été agréablement surpris de ma résistance aux assauts de tous ces mâles. Mon corps était très endolori mais j’étais heureuse et Paul était fier de sa salope.
Durant le voyage, Paul alluma le plafonnier pour m’exhiber lors des dépassements de poids lourds. Il ralentissait même pour que le conducteur puisse se rincer l’œil ; mes seins à l’air, mon clito encagé et mes jambes gainées de mes bas résilles. Lorsque nous sommes arrivés en face de mon immeuble, Paul me confisqua mes habits et je dus monter les escaliers, quasiment nue. Heureusement un samedi à 5h30 il n’y a pas trop de monde. Il ouvrit la porte me poussa contre le fauteuil et m’encula après avoir retiré le plug. Il féconda une dernière fois sa chienne et me quitta avec un air de satisfaction en me disant que j’étais vraiment une superbe salope. Ce qui était totalement vrai puisque j’avais gouté au sperme de Paul et celui de onze males. Je me suis effondrée sur mon lit, sans me démaquiller pour ce qu’il en restait et j’ai dormi jusqu’à 16h00 en ce samedi.
A peine réveillée, je sentais des courbatures dans tout mon corps et lorsque j’ai touché ma chatte anale, elle me fit grimacer de douleur. Moi qui étais en manque de bites, j’avais été gâtée. Je me passais une nuisette rose, j’enlevais la clochette et commençais à ranger mon appartement, lavais la vaisselle qui était restée la veille en plan. Puis je pris une bonne douche chaude pour enlever toutes les traces de semence mâle séchée sur mon corps.
Les semaines suivantes furent plus classiques et Paul venait me baiser trois soirées par semaine ce qui me comblait. J’aurais aimé que nous passions nos nuits ensemble, que je puisse m’occuper de lui nuit et jour mais fréquenter un homme marié me l’interdisait.
Les semaines passaient et j’avais de plus en plus envie de sexe d’hommes. Paul me baisait les lundis, mercredis et vendredis parfois même le dimanche soir ou le samedi matin, mais malgré cela, les jours ou il ne venait pas j’étais en manque de sexe, en manque de sperme ! Je ne sais pas si c’était le fait d’être impuissant qui me procurait ces envies constantes, ou si Paul était devenu indispensable à ma vie de salope. Le résultat était là sans appel, mon cerveau demandait de la bite !
J’en avais parlé à Paul qui me rassurait et me complimentait d’avoir toujours envie de sexe. C’est aussi ce qu’il recherchait dans l’éducation d’une petite salope toujours prête à satisfaire les besoins sexuels des hommes. Il me proposait de m’emmener dans un club libertin dans lequel il pourra juger de mes compétences de salope durant une soirée jusqu’au petit matin.
Mes besoins sexuels sont devenus très différents de ceux que j’avais. Cela faisait plus de 9 mois que j’étais encagée en permanence avec une traite par mois et encore, quand Paul le voulait bien. Je n’avais plus vraiment l’envie de me toucher le sexe, de bander ou de me masturber, j’avais envie de sexes bien durs d’hommes dans ma bouche ou dans ma chatte culière, de sentir les hommes jouir en moi ou sur moi. Lors des sodomies je mouillais de plus en plus et il m’arrivait maintenant régulièrement de couler. Ce n’était pas des spasmes de jouissance mais une libération, un soulagement de se vider comme lorsqu’on fait pipi après s’être retenue un long moment. D’autre part je n’avais plus d’érection comme dans le passé, même devant Emilie, mon clito n’avait pas réagi face à cette belle petite brune aux jambes magnifiques. Je me sentais prête à être libérée de la cage de chasteté mais Paul voulait que je la porte encore pour être sûr que je sois totalement émasculée me disait-il.
Paul réserva deux entrées dans un club en Belgique pour notre soirée qu’il m’avait promis dans deux semaines un vendredi soir de 21h00 à 4h00. J’étais très excitée. Paul m’emmenait dans un club et le connaissant, ce devrait être une soirée inoubliable.
Enfin, le vendredi de notre sortie arrivait. Paul me fixa rendez-vous chez moi à 15h00. Il m’imposa la tenue soutien-gorge rouge et noir, porte jarretelles assortis, bas résilles, escarpins rouges pour les sous-vêtements que je devrais porter dans le club. Il compléta pour la route une mini-jupe noire et un chemisier gris clair, recouvert d’un impair rouge. Le maquillage devait être assez marqué, vernis à ongle rouge et pas de string ou culotte uniquement ma cage de chasteté sur laquelle il accrocha une petite clochette pour l’entendre à chaque fois que je me ferais baiser. Lorsque je pris les escaliers pour quitter l’appartement, la clochette tintait à chacun de mes pas. Nous nous installâmes dans la voiture et prîmes la direction du club. Nous nous arrêtâmes sur une aire de repos à mi-chemin. Je suis allée faire pipi aux toilettes dames et lorsque je suis revenue à la voiture, Paul m’emmena dans un fourré ou il me fit pencher en avant pour me sauter. Il éjacula en moi pour marquer son territoire comme il disait. Puis nous reprîmes la route et nous sommes arrivés au club à 21h15. Nous nous sommes présentés et avons donné nos test VIH négatifs puis nous sommes allés dans les vestiaires pour enlever mon impair, ma jupe et mon chemisier, le dresscode étant d’être en sous-vêtements sexy ou nus. Paul quant à lui était en Tshirt assez court et le sexe à l’air. Nous avons pris un cocktail au bar, les hommes me regardaient et leurs yeux se posaient sur mes fesses et ma cage de chasteté. Avec le tintement de la clochette, je ne passais pas inaperçu, et rapidement je fus baptisée « clochette ». Mon cœur battait fort en sentant les envies lubriques de ces hommes en quête d’une petite salope à utiliser.
Après avoir bu notre verre, Paul m’emmena dans une pièce ou se trouvait en son centre un carcan. Il me fit mettre mon poitrail sur la planchette, mon cou et poignets dans les trous et referma la partie supérieure de l’engin. Ainsi offerte, il me présenta sa queue à sucer. J’ouvris la bouche, il me prit la tête entre les deux mains et commença à me la baiser avec fermeté. Pendant ce temps cinq clients du club entraient dans la pièce et j’entendis des commentaires salasses, des mains me caressèrent et Paul s’arrêta net en leur disant : « au suivant, cette salope est à vous et elle aime la bite, profitez-en ». Aussitôt, une nouvelle queue remplaçait celle de Paul pour me baiser la bouche et je sentis une autre queue m’embrocher l’anus. Dans l’impossibilité de bouger, cul et bouche offerts, ils m’ont baisé à tour de rôle en éjaculant soit dans ma gorge soit dans mon ventre avec le bruit incessant de la clochette à chaque sodomie. Cela avait duré presque deux heures et j’avais mal à la mâchoire et ma rosette était très sensible au frottement bien que lubrifiée régulièrement avec du gel. Paul libéra mon corps endolori et je profitais de cette pause pour me tremper les fesses dans un bidet, l’eau tiède me fit un bien fou mais j’étais tellement heureuse d’être utilisée. Nous nous installâmes à une table de salon pour reprendre quelques forces en buvant un cocktail avec Paul qui était assez fier de ma prestation. Il m’en félicita puis quitta le salon sans me dire ce qu’il partait faire. Etant seule, quatre hommes vinrent m’entourer comme des rapaces tournant autour de leur proie et commencèrent à me peloter. Je me laissais aller aux caresses contemplant leurs queues qui prenaient volume et raideur. Ils me les caressèrent tendrement et je fus soulevée, emmenée dans une pièce avec un sling au centre et déposée dedans tout en étant pelotée par toutes ces mains. Mes jambes relevées je fus sodomisée tour à tour par les quatre males pendant que je tenais dans chaque main une queue et que ma langue léchait et suçait dès que possible. Je me faisais enculer en suspension, la clochette en action à chaque coup de bite dans mon fondement. Le bruit de la clochette avait alerté Paul de mon activité sexuelle et il débarqua avec deux autres males. Les sept me passèrent dessus. Être baisée ainsi dans un sling, c’était super, j’ai beaucoup aimé cette situation. Quand Paul sonna la fin, il me mit un plug anal et me fit nettoyer avec ma langue le sol couvert de sperme avec interdiction de me rincer le gosier pour garder le gout du cocktail de sperme lors du retour. Nous avons regagné les vestiaires, il était 3h30 du matin j’ai remis ma mini-jupe, mon soutien-gorge et chemisier.
Lorsque nous sommes entrés dans la voiture, Paul me fit enlever ma jupe, mon chemisier car il me trouvait très bien presque nue. Il ne me restait que mes bas et porte jarretelles. A peine sortie du parking qu’il fit glisser sa braguette, je compris qu’il me fallait lui faire une fellation. Je glissais ma tête entre le volant et son sexe que je pris en bouche. Je l’ai pompé près d’une demi-heure avant qu’il ne m’envoie quelques rasades de semence. Je lui fis la toilette et lui referma sa braguette. Je n’avais pas à me plaindre de cette soirée durant laquelle j’avais reçu une bonne quantité de sperme me remplissant l’estomac. J’avais passé une des plus belles soirées de ma vie et Paul avait été agréablement surpris de ma résistance aux assauts de tous ces mâles. Mon corps était très endolori mais j’étais heureuse et Paul était fier de sa salope.
Durant le voyage, Paul alluma le plafonnier pour m’exhiber lors des dépassements de poids lourds. Il ralentissait même pour que le conducteur puisse se rincer l’œil ; mes seins à l’air, mon clito encagé et mes jambes gainées de mes bas résilles. Lorsque nous sommes arrivés en face de mon immeuble, Paul me confisqua mes habits et je dus monter les escaliers, quasiment nue. Heureusement un samedi à 5h30 il n’y a pas trop de monde. Il ouvrit la porte me poussa contre le fauteuil et m’encula après avoir retiré le plug. Il féconda une dernière fois sa chienne et me quitta avec un air de satisfaction en me disant que j’étais vraiment une superbe salope. Ce qui était totalement vrai puisque j’avais gouté au sperme de Paul et celui de onze males. Je me suis effondrée sur mon lit, sans me démaquiller pour ce qu’il en restait et j’ai dormi jusqu’à 16h00 en ce samedi.
A peine réveillée, je sentais des courbatures dans tout mon corps et lorsque j’ai touché ma chatte anale, elle me fit grimacer de douleur. Moi qui étais en manque de bites, j’avais été gâtée. Je me passais une nuisette rose, j’enlevais la clochette et commençais à ranger mon appartement, lavais la vaisselle qui était restée la veille en plan. Puis je pris une bonne douche chaude pour enlever toutes les traces de semence mâle séchée sur mon corps.
Les semaines suivantes furent plus classiques et Paul venait me baiser trois soirées par semaine ce qui me comblait. J’aurais aimé que nous passions nos nuits ensemble, que je puisse m’occuper de lui nuit et jour mais fréquenter un homme marié me l’interdisait.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu es morte ou quoi ?????! Plus de vidéo où photos juste des textes qui ne veulent rien dire
J'ai adoré ctte histoire et je dois avouer que j'aimerai vivre la même chose avec un amant viril et partageur qui offrirait ma bouche et mon cul à ceux qui auraient envie d'une pute comme moi.j'ai 77 ans et je rêve de me faire baiser ainsi, souvent et par plusieurs mâles les uns après les autres.
Et bah dis donc , tu dois avoir une sacré garde robe pour t'habiller en pute

