Ma vie sexuelle de travesti 18 - histoire érotique

CH 18 : Paul m’a trouvé un nouveau job.

Cela faisait un peu plus d’un an que j’étais encagée en permanence, les massages au progesterol de mes seins et de mes couilles ont un peu modifié mon apparence. Mes petits seins avaient poussé en pointe, ce qui me plaisait énormément et mon sexe de garçon est devenu inerte. En plus, mes bourses ont diminué de volume à tel point que les deux anneaux qui maintenait la cage de chasteté arrivaient maintenant à glisser et j’en perdais le dispositif. Paul me mettait le plus petit maintenant

Un soir j’en fis part à Paul qui semblait assez satisfait de cela, moi qui craignais le mettre en colère. Il me proposa d’enlever ma cage de chasteté pendant quelques temps mais avec interdiction de me toucher le sexe, de le caresser et encore moins de l’astiquer. J’acceptais sa proposition avec joie surtout que je ne sentais plus le besoin d’avoir des activités sexuelles de garçon.
Le lundi soir suivant, Paul m’ôta ma cage de chasteté après m’avoir bien baisé et ce pour une période qu’il décidera. Il me précisa qu’en aucun cas je ne devais toucher à mon sexe, à le caresser et encore moins à le masturber. Je lui jurais sur ma tête et lui fis remarquer que je n’avais plus d’envie de jouir comme un garçon, de plus, depuis le temps que je portais la cage, mon sexe ne bandait plus.

En regardant ma petite bite, le gland recouvert du prépuce, il lui vint une idée. Il m’en fit part de suite. Il me proposait de me faire circoncire, ce qui permettrait à mon petit gland d’être en permanence découvert et cela ressemblerait un gros clito surtout que ce qui me reste de pénis s’était considérablement atrophié. Il me laissait le temps d’y réfléchir avant de lui donner réponse.

Un soir, Paul me complimentait sur mon corps et mes activités sexuelles en me disant que j’étais devenue une belle femelle, sexy et bonne au lit. Il m’expliquait avoir un ami totalement hétérosexuel qui cherchait une personne féminine pour avoir des rapports sexuels avec son fils qui avait eu un accident de moto et était paralysé des deux jambes. Son ami me rénumèrerait ce qui me ferait gagner un peu d’argent tout en faisant une œuvre charitable. Rendez vous fut pris avec son ami pour une rencontre avec son fils le lundi suivant.

Le jour du rendez-vous, Paul m’avait désigné ma tenue (ma jupette rose de tennis, un petit haut blanc dévoilant mon nombril et mon piercing ainsi que l’auréole de mes seins par transparence et des escarpins). Il vint me chercher et je dus le rejoindre à sa voiture qui m’attendait en bas de chez moi. Je me dépêchais de le rejoindre de peur de tomber sur un voisin. Nous sommes allés à La madeleine au nord de Lille, devant une belle maison de maitre. Le propriétaire nous ouvrit la porte :

(Patrick) : « Bonjour Paul, comment vas-tu ? »

(Paul) : « Bien et toi, je te présente ma salope annie, la femelle dont je t’ai parlé la dernière fois. Elle est douce et très gourmande de sexes d’homme donc si ton fils l’accepte elle sera tout à fait la bonne personne »

(Patrick) : « Elle sait ce qu’elle devra faire et dans quel contexte d’handicap ? »

(Paul) : « Oui je lui en ai parlé, il n’y a pas de problème de son côté »

(Patrick) : « Je vais voir Régis pour savoir s’il est disposé à vous rencontrer »

Patrick alla le voir et revint pour nous dire que c’était OK. Il m’emmena dans la chambre de son fils, il était dans un fauteuil roulant. Il me présentait comme une aide-soignante pour lui prodiguer des massages. J’en étais surprise ne connaissant rien au massage d’un corps, mes seules compétences étaient le massage des bites. Patrick me pousse vers le fauteuil de Régis et une de ses mains se pose sur ma cuisse. Régis se mets à me caresser la jambe et remonte sur mes fesses lui provoquant une superbe érection à la vue de la déformation de son jogging. Quand sa main baladeuse toucha mon petit clito, il fut surpris mais continua son action en guise d’approbation. Patrick prit la parole.

(Patrick) : « annie, peux tu venir les mardis soir puisque je sais que tes soirées des lundis, mercredis et vendredis sont occupées. Tu pourras commencer demain soir à 21h00 et ne soit pas en retard »

(Régis) : « C’est super, à demain soir annie »

Nous avons quitté Régis et avons regagner Paul qui était au salon.

(Patrick) : « Donc demain soir premier massage »

Une fois dans la voiture avec Paul, il me désignait sa braguette que j’ouvris en extrayant sa bite toute dure et me mis à le pomper jusqu’à son éjaculation. Arrivés chez moi, il m’encula sur la table de la cuisine et m’ordonna de lui envoyer un compte rendu de ma prestation, mardi soir après le rendez-vous.

C’était la première fois que j’allais avoir des relations sexuelles sans que Paul ne soit présent. J’arrivais à 21h00 comme convenu.

(Patrick) : « Régis t’attend dans son lit, j’ai installé une camera pour savoir ce qu’il se passe, il n’y a pas d’enregistrement, je regarderai en direct. Après tu viendras me rejoindre dans la cuisine pour me dire comment ça s’est passé. Allez en piste annie ! »

Je rentrais dans la chambre et Régis tournait la tête vers moi en me faisant signe d’avancer jusqu’à lui. Je me mis au bord du lit il me caressa les jambes comme la veille, je voyais sa queue soulever le drap, ça ressemblait a un chapiteau. Il enlevait le drap et son sexe long et fin pointait vers moi. Cela m’a fait saliver instantanément, ma bouche allait vers le gland ainsi pointé et le prenais en bouche pendant qu’il me pelotait les fesses et les cuisses. Je lui faisais une fellation son sexe était si dur que j’avais du mal a le décoller de son ventre. Au bout d’un bon moment de va et vient et de léchage il éjaculait en 5 jets puissants. En faisant la toilette de son sexe je m’apercevais qu’il ne débandait pas. Alors, j’ai repris mon activité de suceuse et il a joui une seconde fois m’arrosant le palet de son sperme. Après cette seconde jouissance, il me souriait plein de bonheur. Je lui déposais un baiser sur ses lèvres avant de le quitter et de rejoindre son père dans la cuisine.

(Patrick) : « bien annie, Régis semble avoir apprécié ta prestation et je dois dire que je ne l’avais pas vu aussi heureux et satisfait depuis longtemps. A Mardi prochain même heure. » En me tendant une enveloppe.

Je rentrais chez moi heureuse de mon activité du soir et j’en décrivais dans mon compte rendu les détails à Paul. Je ne devais pas ouvrir l’enveloppe avant mercredi soir quand Paul serait présent.