Ma vie16
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie16
-Tu as eu Franz pour garder ton trou bien ouvert et moi j’avais Hans qui s’occupait du mien. Tu veux bien leur montrer ta queue Hans ?
Il a défait la ceinture du short et ouvert la braguette le short est tombé à terre et je pense que c’est la vue de nos corps nus, mais le slip en dessous était rempli, recourbé vers le bas. Une fois à mi-cuisses, on a tous été étonné par l’engin pas encore raide mais déjà épais recouvert de sa peau sur le gland. Bruno l’a soulevé un peu montrant une paire de couilles à la dimension de l’engin.
Tu arrives à te prendre ça ? Même Franz était moins bien monté.
-L’avantage d’être le patron est de choisir la bonne personne pour la bonne place. Il n’est pas mon maître mais mon objet de plaisir, mon gode vivant.
Le simple fait d’être touché à fait dresser l’engin le rendant impressionnant. Le gland pas entièrement dégagé à lui seul avait la taille d’un poing fermé.
-Ce soir après manger je dormirais avec Éric et lui sera avec Will. Un peu d’équitation lui fera du bien et moi faire l’amour avec mon amour sera un délice. Il ne manque pas ton cuisinier ?
Il s’occupe en cuisine pour notre plaisir à tous et fera le bonheur de Jim je n’en doute pas.
-Bien, chacun aura un amant cette nuit. Et ne fais pas cette tête Will, Il est doux et ça rentrera même si tu gueules de plaisir. J’aime entendre cette musique. Et vous y passerez tous. Même toi Jim. Je sais que tu as déjà été passif avec Éric. Bon on ne reste pas dans l’entrée. Si j’ai vu les plans il y a un salon où nous pourrons discuter. Will va montrer les chambres à Hans qui montera les bagages. Il y en a peu.
Il s’est dévêtu, son corps glabre était toujours aussi beau et évidemment je me suis raidi le faisant sourire.
Alain est arrivé avec un petit chariot portant les verres, les bouteilles et des tas de petits canapés, rouge de confusion d’être nue alors que l’on bandait tous plus ou moins. Il avait passé du rouge autour de ses tétons et remuait des fesses.
-Si j’ai bien entendu je reste seul ?
Mais non idiote tu iras d’une chambre à l’autre réveiller les virilités qui défailliraient et tu t’occuperas de Jim.
-Hum. Oui vu comme ça je suis content. Je vous verrais tous en action. Les canapés sont saupoudrés de cardamone, Ils devraient vous aider s’il y en a besoin et j’ai préparé un repas léger mais qui tout en étant froid ne vous fera pas que dresser les cheveux sur la tête.
Il s’est assis à terre, la tête appuyée à l’accoudoir de Bruno. J’espère satisfaire le patron et être embauché.
-A propos, j’ai des nouvelles qui vous concernent tous mais je vous dirais ça demain car ce dont j’ai besoin, nul à part Éric ne peut me l’offrir alors à table vite.
Le repas fut vite expédié et chacun s’est dirigé vers sa chambre. Will faisait un peu la gueule, inquiet de la taille de la queue de Hans et dans la nôtre où tout était rangé le slip en cuir était en évidence sur le lit.
-Je sais que dans ton état tu ne peux pas l’enfiler à part mettre tes couilles dans l’anneau. Mets-le et approche.
Il m’a roulé une pelle d’enfer, pelotant mes fesses à travers le cuir et descendant le zip il a joué avec mon trou qui s’est ouvert sous ses doigts. Je n’attendais que ça et j’ai gémis de plaisir.
-Le travail de Franz a porté et tu as un cul comme une chatte en chaleur.
Il m’a renversé sur le lit et les yeux dans les miens n’a pas mis longtemps à se glisser en moi, fermant les yeux un instant pour savourer il a entamé les va et viens de l’amour tout en pelotant mes couilles et frottant ma queue raide dans le slip sur les petites pointes.
-Cette fois je ne vais pas me retenir et vite gicler mais je continuerais après et cette fois j’irais plus lentement. Retiens-toi car toi tu me prendras après.
Je ne sais pas si je vais tenir c’est si bon avec toi.
-Ne pense à rien.
Impossible avec toi dans mes fesses. Je l’ai senti frémir et se tendre contre moi attendre puis reprendre en des mouvements plus amples, profitant de son jus pour entrer et sortir de mon cul ben lubrifié maintenant. Il a collé ses lèvres à mon cou passant la langue humide et remontant sur mon visage, mes yeux. Je devais mouiller mon slip contre les pointes quand il s’est arrêté pour remonter sur moi et jouir. Le premier jet a atterri sur mon visage et le reste est descendu, chaque jet ayant moins de force avant de rouler sur le côté.
Tu es merveilleux mais vire ce slip et cette fois venge toi je veux être à toi.
Ce sera une douce vengeance, mais j’attendais ce moment moi aussi. Hans a du bien te préparer et je vais me glisser en toi, j’ai bavé comme un fou pendant que tu me prenais.
Aussitôt dis aussitôt fait et en effet j’ai pu le pénétrer très facilement. Contrairement à lui j’étais trop excité pour me retenir et je donnais de grands coups furieux dans ses fesses qui n’attendaient que ça. Je l’ai fait changer de position, aimant voir ses fesses et la raie sombre qui entourait l’anus. Je me suis replanté avec vigueur, tout passait facilement, je glissais dans ses fesses et me cramponnais à ses reins jusqu’à l’explosion finale. Je suis resté en lui sans bouger, toujours raide
Il était bien, moi aussi.
Alain est entré.
Tout se passe bien dirait-on. Peut-être une petite pipe à Bruno pour qu’il apprécie l’agression anale. Il a plongé sur le bord du lit, cherchant à passer sous le ventre et de la langue a tété le bout du gland.
Comment ça se passe ailleurs ?
-Oh Will a commencé par gueuler comme pas possible puis une fois pénétré a recommencé à bander. Ensuite j’ai entendu Hans râler doucement et quand ce fut son tour il a gémi comme une pucelle. Jim a aussi gueulé quand je l’ai pris mais pas autant que Will. Je n’aime pas trop mais pour une fois, j’ai aimé, il n‘est pas si serré que ça. J’y retourne sinon il va s’endormir. Bonne nuit les hommes.
J’ai repris les va et vient et il ondulait sous moi j’ai été un peu plus long mais j’ai pu me retirer juste au bon moment pour arroser ses fesses avant de les lécher.
On s’est étalé l’un contre l’autre.
-Il faut que je t’informe en premier des changements dans l’entreprise. Papa a décidé de lancer la marque « Pour ceux qui en ont » en Espagne et a seulement modifié un peu la photo où tu apparais, me mettant nu sur la boîte, ton bras passant devant mon sexe. Il s’est installé à Barcelone et ça démarre très fort comme ici. J’ai pris la direction de la brasserie de Munich à sa place et je peux maintenant me déplacer plus rapidement. Si tu estimes que Will fait du bon boulot je pense le mettre sous-directeur France et tu me rejoindrais comme associé à Munich. Tout ça dans disons cinq ans le temps que Will se mettre vraiment dans son rôle de chef.
Il faudra lui trouver un complément sexuel nécessaire à son épanouissement.
-C’est vrai qu’il a une petite bite même si elle est active. Mais une fois passé entre les compétences de Hans il devrait changer d’avis et de sens dans sa vie.
On remet ça ou on attend le matin ?
-Encore et demain aussi !
Il m’a fait rouler de côté pour en levant une de mes cuisses, s’enfoncer en moi. Quelle merveilleuse sensation d’être empli par son sexe qui remuait Il tenait ma cuisse et je me branlais en même temps, doucement pour juste entretenir l’état de mon sexe et dans un grognement primaire il a giclé de nouveau.
-Il va falloir que je te fasse connaître d’autres façon de prendre ton pied je suis sûr que tu vas te pâmer à la fin.
En attendant, suce-moi j’ai bavé et tu adores le goût de cette bave-là. Après je t’écartèle.
Je me suis retenu, sa langue était râpeuse et c’est plein de vigueur que je me suis mis entre ses cuisses pour voir le plaisir monter en lui. J’ai limé comme un fou, il se branlait et c’est ensemble qu’on a joui.
- Le lit est assez grand pour dormir tranquille mais je veux te sentir près de moi.
J’avais roulé à côté de lui et après un doux baiser on s’est endormi se tenant par la main.
Il faisait jour quand je me suis réveillé. Il dormait encore mais pas tout le corps et ma bouche s’est refermée sur son sexe raide. Il s’est éveillé et m’a tenu la tête sur son sexe.
-Tu te rappelles nos jeux au château ?
J’ai hoché la tête sur sa queue et il m’a tenu plus fortement
-Alors avale j’ai envie de t’imposer ça.
Il a uriné dans ma gorge, j’avais du mal à tout avaler mais j’ai tenté. Il en a coulé de mes lèvres. Mais il m’a embrassé me léchant les lèvres ensuite.
-Voilà qui sera un de mes nouveaux de dressage. Tu finiras par aimer. Il y a une rivière en bas de la pelouse ?
Oui je te l’ai écrit.
-Bon alors tu sors et tu vas te laver dedans. Moi je prends une douche et je t’attends. Prend du savon de Marseille il ne pollue pas.
J’ai filé à travers la pelouse. L’eau était froide et j’ai débandé tout de suite en me lavant. Mes doigts entraient facilement dans mon cul et je l’ai nettoyé comme ça. Will descendait vers la rivière, bite molle, recroquevillée dans sa coquille.
Alors passé une bonne nuit ?
-Au début, l’horreur quand il a voulu me prendre avec sa grosse queue. C’est à coups de ceinturon qu’il a détendu mon corps pour me pénétrer. J’ai gueulé autant des coups que de me faire sodomiser. Le gland surtout a été dur à passer. Il m’a ramoné une bonne partie de la nuit. Une vraie machine et je dois me baigner pour refermer et raffermir mes muscles fessiers avant de me reprendre. Une vraie bête.
Bah d’après Alain tu as pris ton pied. Il t’a entendu gémir comme une fille.
-Je n’ai pas été le seul j’ai entendu couiner dans votre chambre. La vache elle est froide !
C’est fait pour, trempe tes fesses tu seras un peu refermé et bien moins souple. Fait comme moi, nettoie ton trou avec les doigts.
-Il est fermé mais c’est vrai que deux doigts rentrent facilement.
Je te laisse le savon, je vais voir comment ça se passe. En remontant j’ai senti l’odeur du café et une table était dressée sur la terrasse. Alain avait déjà tout préparé. Bruno attablé nu m’attendait.
-Ton petit cul va mieux ? Approche.
Il m’a roulé une pelle, sa main passant entre mes fesses, pressant un peu sur l’anus.
-On boit le café, on discute un moment avec Will, Alain et Hans. Demain dimanche je repars. Il y a l’aéroclub pas loin ou le pilote de l’hélico pourra se poser et m’amener à Munich. Toi tu garderas le collier pour travailler. Personne ne devra faire de remarque. A toi de l’imposer. Will également. Je pense laisser Hans à Paris il y a du monde au château qui le remplacera en attendant que tu me rejoignes. Je pense que Jim a acheté ce que je lui ai demandé et on descendra à la cave. Un bon repas et une sieste nous remettra en forme. Tout le monde a bu le café et mangé des croissants ? Oui ? Alors on descend.
La cave était séparée en deux et occupait tout le sous-sol de la villa.
-Passez tous une cagoule que vous ne voyez rien que des formes avant qu’on passe dans la pièce du fond. Toi aussi Éric. Toi tu as celle avec le trou niveau de la bouche. Restez là j’emmène Éric et je reviens.
Il m’a guidé jusqu’à ce que je bute sur un tabouret je pense.
-Palpe le avec les mains tu en as déjà vu.
En effet j’ai compris que c’était en fait un genre de truc ou s’allonger, qui allait me tenir les fesses ouvertes.
Je te retiens mais allonges sur le ventre toi et mets les mollets sur les montants de chaque côté. Oui. Maintenant appuies ton ventre sur le devant.
Il me tenait par le collier et j’ai senti une sorte de banc en skaï.
-Ne bouges plus Je vais passer des courroies sur ton dos et attacher tes mains et tes chevilles. Il s’est activé un moment pour m’immobiliser. On va jouer un peu Je vais les faire entrer un à un pour utiliser ta chatte de mec. Moi je te ferais sucer ou sucer un autre. Tu ne sauras pas qui mais si tu te refuses j’ai à la main une cravache pour te stimuler.
J’ai senti un courant d’air et sans doute guidé par Bruno Un sexe est passé entre mes fesses, se frottant dans la raie et durcissant. Il a mis un doigt et l’a retiré pour le saliver avant de le remettre et puis j’ai senti un sexe raide s’enfoncer en moi. Je bandais sans me retenir. Bruno dont je connaissais l’odeur m’a mis la bite en bouche.
-Suce petit bâtard.
Je me suis occupé, plus de Bruno que du sexe qui me labourais. De temps en temps il me laissait baver le temps de changer le mec derrière moi, le guidant et revenant dans ma bouche.
-Tu es vraiment beau quand tu te fais prendre. Vu de dessus la queue te ramone bien. Le pire est que tu ne sais pas qui te baise et que le mec ne sait pas qui il baise. Génial pour moi. Le prochain devrait te faire couiner mais t’es bien graissé maintenant.
Pour couiner j’ai gueulé sur la queue de Bruno qui me limait la bouche. J’étais comme une tranche de jambon bien beurrée de chaque côté. Quand le mec a joui il est sorti et Bruno m’a détaché.
-Viens les rejoindre tu ôteras la cagoule en même temps qu’eux Ils ne sauront pas qui ils ont baisé.
T’as aimé en tout cas, tu coules de la bite comme eux encore.
Alors Jim tu as apprécié comme tout le monde ?
-Oui monsieur Bruno.
Il a défait la ceinture du short et ouvert la braguette le short est tombé à terre et je pense que c’est la vue de nos corps nus, mais le slip en dessous était rempli, recourbé vers le bas. Une fois à mi-cuisses, on a tous été étonné par l’engin pas encore raide mais déjà épais recouvert de sa peau sur le gland. Bruno l’a soulevé un peu montrant une paire de couilles à la dimension de l’engin.
Tu arrives à te prendre ça ? Même Franz était moins bien monté.
-L’avantage d’être le patron est de choisir la bonne personne pour la bonne place. Il n’est pas mon maître mais mon objet de plaisir, mon gode vivant.
Le simple fait d’être touché à fait dresser l’engin le rendant impressionnant. Le gland pas entièrement dégagé à lui seul avait la taille d’un poing fermé.
-Ce soir après manger je dormirais avec Éric et lui sera avec Will. Un peu d’équitation lui fera du bien et moi faire l’amour avec mon amour sera un délice. Il ne manque pas ton cuisinier ?
Il s’occupe en cuisine pour notre plaisir à tous et fera le bonheur de Jim je n’en doute pas.
-Bien, chacun aura un amant cette nuit. Et ne fais pas cette tête Will, Il est doux et ça rentrera même si tu gueules de plaisir. J’aime entendre cette musique. Et vous y passerez tous. Même toi Jim. Je sais que tu as déjà été passif avec Éric. Bon on ne reste pas dans l’entrée. Si j’ai vu les plans il y a un salon où nous pourrons discuter. Will va montrer les chambres à Hans qui montera les bagages. Il y en a peu.
Il s’est dévêtu, son corps glabre était toujours aussi beau et évidemment je me suis raidi le faisant sourire.
Alain est arrivé avec un petit chariot portant les verres, les bouteilles et des tas de petits canapés, rouge de confusion d’être nue alors que l’on bandait tous plus ou moins. Il avait passé du rouge autour de ses tétons et remuait des fesses.
-Si j’ai bien entendu je reste seul ?
Mais non idiote tu iras d’une chambre à l’autre réveiller les virilités qui défailliraient et tu t’occuperas de Jim.
-Hum. Oui vu comme ça je suis content. Je vous verrais tous en action. Les canapés sont saupoudrés de cardamone, Ils devraient vous aider s’il y en a besoin et j’ai préparé un repas léger mais qui tout en étant froid ne vous fera pas que dresser les cheveux sur la tête.
Il s’est assis à terre, la tête appuyée à l’accoudoir de Bruno. J’espère satisfaire le patron et être embauché.
-A propos, j’ai des nouvelles qui vous concernent tous mais je vous dirais ça demain car ce dont j’ai besoin, nul à part Éric ne peut me l’offrir alors à table vite.
Le repas fut vite expédié et chacun s’est dirigé vers sa chambre. Will faisait un peu la gueule, inquiet de la taille de la queue de Hans et dans la nôtre où tout était rangé le slip en cuir était en évidence sur le lit.
-Je sais que dans ton état tu ne peux pas l’enfiler à part mettre tes couilles dans l’anneau. Mets-le et approche.
Il m’a roulé une pelle d’enfer, pelotant mes fesses à travers le cuir et descendant le zip il a joué avec mon trou qui s’est ouvert sous ses doigts. Je n’attendais que ça et j’ai gémis de plaisir.
-Le travail de Franz a porté et tu as un cul comme une chatte en chaleur.
Il m’a renversé sur le lit et les yeux dans les miens n’a pas mis longtemps à se glisser en moi, fermant les yeux un instant pour savourer il a entamé les va et viens de l’amour tout en pelotant mes couilles et frottant ma queue raide dans le slip sur les petites pointes.
-Cette fois je ne vais pas me retenir et vite gicler mais je continuerais après et cette fois j’irais plus lentement. Retiens-toi car toi tu me prendras après.
Je ne sais pas si je vais tenir c’est si bon avec toi.
-Ne pense à rien.
Impossible avec toi dans mes fesses. Je l’ai senti frémir et se tendre contre moi attendre puis reprendre en des mouvements plus amples, profitant de son jus pour entrer et sortir de mon cul ben lubrifié maintenant. Il a collé ses lèvres à mon cou passant la langue humide et remontant sur mon visage, mes yeux. Je devais mouiller mon slip contre les pointes quand il s’est arrêté pour remonter sur moi et jouir. Le premier jet a atterri sur mon visage et le reste est descendu, chaque jet ayant moins de force avant de rouler sur le côté.
Tu es merveilleux mais vire ce slip et cette fois venge toi je veux être à toi.
Ce sera une douce vengeance, mais j’attendais ce moment moi aussi. Hans a du bien te préparer et je vais me glisser en toi, j’ai bavé comme un fou pendant que tu me prenais.
Aussitôt dis aussitôt fait et en effet j’ai pu le pénétrer très facilement. Contrairement à lui j’étais trop excité pour me retenir et je donnais de grands coups furieux dans ses fesses qui n’attendaient que ça. Je l’ai fait changer de position, aimant voir ses fesses et la raie sombre qui entourait l’anus. Je me suis replanté avec vigueur, tout passait facilement, je glissais dans ses fesses et me cramponnais à ses reins jusqu’à l’explosion finale. Je suis resté en lui sans bouger, toujours raide
Il était bien, moi aussi.
Alain est entré.
Tout se passe bien dirait-on. Peut-être une petite pipe à Bruno pour qu’il apprécie l’agression anale. Il a plongé sur le bord du lit, cherchant à passer sous le ventre et de la langue a tété le bout du gland.
Comment ça se passe ailleurs ?
-Oh Will a commencé par gueuler comme pas possible puis une fois pénétré a recommencé à bander. Ensuite j’ai entendu Hans râler doucement et quand ce fut son tour il a gémi comme une pucelle. Jim a aussi gueulé quand je l’ai pris mais pas autant que Will. Je n’aime pas trop mais pour une fois, j’ai aimé, il n‘est pas si serré que ça. J’y retourne sinon il va s’endormir. Bonne nuit les hommes.
J’ai repris les va et vient et il ondulait sous moi j’ai été un peu plus long mais j’ai pu me retirer juste au bon moment pour arroser ses fesses avant de les lécher.
On s’est étalé l’un contre l’autre.
-Il faut que je t’informe en premier des changements dans l’entreprise. Papa a décidé de lancer la marque « Pour ceux qui en ont » en Espagne et a seulement modifié un peu la photo où tu apparais, me mettant nu sur la boîte, ton bras passant devant mon sexe. Il s’est installé à Barcelone et ça démarre très fort comme ici. J’ai pris la direction de la brasserie de Munich à sa place et je peux maintenant me déplacer plus rapidement. Si tu estimes que Will fait du bon boulot je pense le mettre sous-directeur France et tu me rejoindrais comme associé à Munich. Tout ça dans disons cinq ans le temps que Will se mettre vraiment dans son rôle de chef.
Il faudra lui trouver un complément sexuel nécessaire à son épanouissement.
-C’est vrai qu’il a une petite bite même si elle est active. Mais une fois passé entre les compétences de Hans il devrait changer d’avis et de sens dans sa vie.
On remet ça ou on attend le matin ?
-Encore et demain aussi !
Il m’a fait rouler de côté pour en levant une de mes cuisses, s’enfoncer en moi. Quelle merveilleuse sensation d’être empli par son sexe qui remuait Il tenait ma cuisse et je me branlais en même temps, doucement pour juste entretenir l’état de mon sexe et dans un grognement primaire il a giclé de nouveau.
-Il va falloir que je te fasse connaître d’autres façon de prendre ton pied je suis sûr que tu vas te pâmer à la fin.
En attendant, suce-moi j’ai bavé et tu adores le goût de cette bave-là. Après je t’écartèle.
Je me suis retenu, sa langue était râpeuse et c’est plein de vigueur que je me suis mis entre ses cuisses pour voir le plaisir monter en lui. J’ai limé comme un fou, il se branlait et c’est ensemble qu’on a joui.
- Le lit est assez grand pour dormir tranquille mais je veux te sentir près de moi.
J’avais roulé à côté de lui et après un doux baiser on s’est endormi se tenant par la main.
Il faisait jour quand je me suis réveillé. Il dormait encore mais pas tout le corps et ma bouche s’est refermée sur son sexe raide. Il s’est éveillé et m’a tenu la tête sur son sexe.
-Tu te rappelles nos jeux au château ?
J’ai hoché la tête sur sa queue et il m’a tenu plus fortement
-Alors avale j’ai envie de t’imposer ça.
Il a uriné dans ma gorge, j’avais du mal à tout avaler mais j’ai tenté. Il en a coulé de mes lèvres. Mais il m’a embrassé me léchant les lèvres ensuite.
-Voilà qui sera un de mes nouveaux de dressage. Tu finiras par aimer. Il y a une rivière en bas de la pelouse ?
Oui je te l’ai écrit.
-Bon alors tu sors et tu vas te laver dedans. Moi je prends une douche et je t’attends. Prend du savon de Marseille il ne pollue pas.
J’ai filé à travers la pelouse. L’eau était froide et j’ai débandé tout de suite en me lavant. Mes doigts entraient facilement dans mon cul et je l’ai nettoyé comme ça. Will descendait vers la rivière, bite molle, recroquevillée dans sa coquille.
Alors passé une bonne nuit ?
-Au début, l’horreur quand il a voulu me prendre avec sa grosse queue. C’est à coups de ceinturon qu’il a détendu mon corps pour me pénétrer. J’ai gueulé autant des coups que de me faire sodomiser. Le gland surtout a été dur à passer. Il m’a ramoné une bonne partie de la nuit. Une vraie machine et je dois me baigner pour refermer et raffermir mes muscles fessiers avant de me reprendre. Une vraie bête.
Bah d’après Alain tu as pris ton pied. Il t’a entendu gémir comme une fille.
-Je n’ai pas été le seul j’ai entendu couiner dans votre chambre. La vache elle est froide !
C’est fait pour, trempe tes fesses tu seras un peu refermé et bien moins souple. Fait comme moi, nettoie ton trou avec les doigts.
-Il est fermé mais c’est vrai que deux doigts rentrent facilement.
Je te laisse le savon, je vais voir comment ça se passe. En remontant j’ai senti l’odeur du café et une table était dressée sur la terrasse. Alain avait déjà tout préparé. Bruno attablé nu m’attendait.
-Ton petit cul va mieux ? Approche.
Il m’a roulé une pelle, sa main passant entre mes fesses, pressant un peu sur l’anus.
-On boit le café, on discute un moment avec Will, Alain et Hans. Demain dimanche je repars. Il y a l’aéroclub pas loin ou le pilote de l’hélico pourra se poser et m’amener à Munich. Toi tu garderas le collier pour travailler. Personne ne devra faire de remarque. A toi de l’imposer. Will également. Je pense laisser Hans à Paris il y a du monde au château qui le remplacera en attendant que tu me rejoignes. Je pense que Jim a acheté ce que je lui ai demandé et on descendra à la cave. Un bon repas et une sieste nous remettra en forme. Tout le monde a bu le café et mangé des croissants ? Oui ? Alors on descend.
La cave était séparée en deux et occupait tout le sous-sol de la villa.
-Passez tous une cagoule que vous ne voyez rien que des formes avant qu’on passe dans la pièce du fond. Toi aussi Éric. Toi tu as celle avec le trou niveau de la bouche. Restez là j’emmène Éric et je reviens.
Il m’a guidé jusqu’à ce que je bute sur un tabouret je pense.
-Palpe le avec les mains tu en as déjà vu.
En effet j’ai compris que c’était en fait un genre de truc ou s’allonger, qui allait me tenir les fesses ouvertes.
Je te retiens mais allonges sur le ventre toi et mets les mollets sur les montants de chaque côté. Oui. Maintenant appuies ton ventre sur le devant.
Il me tenait par le collier et j’ai senti une sorte de banc en skaï.
-Ne bouges plus Je vais passer des courroies sur ton dos et attacher tes mains et tes chevilles. Il s’est activé un moment pour m’immobiliser. On va jouer un peu Je vais les faire entrer un à un pour utiliser ta chatte de mec. Moi je te ferais sucer ou sucer un autre. Tu ne sauras pas qui mais si tu te refuses j’ai à la main une cravache pour te stimuler.
J’ai senti un courant d’air et sans doute guidé par Bruno Un sexe est passé entre mes fesses, se frottant dans la raie et durcissant. Il a mis un doigt et l’a retiré pour le saliver avant de le remettre et puis j’ai senti un sexe raide s’enfoncer en moi. Je bandais sans me retenir. Bruno dont je connaissais l’odeur m’a mis la bite en bouche.
-Suce petit bâtard.
Je me suis occupé, plus de Bruno que du sexe qui me labourais. De temps en temps il me laissait baver le temps de changer le mec derrière moi, le guidant et revenant dans ma bouche.
-Tu es vraiment beau quand tu te fais prendre. Vu de dessus la queue te ramone bien. Le pire est que tu ne sais pas qui te baise et que le mec ne sait pas qui il baise. Génial pour moi. Le prochain devrait te faire couiner mais t’es bien graissé maintenant.
Pour couiner j’ai gueulé sur la queue de Bruno qui me limait la bouche. J’étais comme une tranche de jambon bien beurrée de chaque côté. Quand le mec a joui il est sorti et Bruno m’a détaché.
-Viens les rejoindre tu ôteras la cagoule en même temps qu’eux Ils ne sauront pas qui ils ont baisé.
T’as aimé en tout cas, tu coules de la bite comme eux encore.
Alors Jim tu as apprécié comme tout le monde ?
-Oui monsieur Bruno.
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