Ma voisine (2)
Récit érotique écrit par Atypique [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma voisine (2)
Un SMS arrive ce matin « Salut ça va ? Tu veux passer quand pour mon courrier ? ».
C’est M. , nous sommes lundi, deux jours se sont écoulés depuis que nous avons fauté dans mon sous-sol. Elle n’a pas oublié que l’on devait se voir aujourd’hui, c’est plutôt bon signe…elle ne doit pas m’en vouloir. La revoir est quand même synonyme d’une douce souffrance bien qu’elle m’ait octroyée cette superbe faveur samedi, elle me hante toujours autant.
Je frappe à sa porte, elle ouvre et me sourit, comme d’habitude. « Salut salut » me dit-elle sur un petit ton chantant. J’entre, nous nous faisons la bise, tout ce qu’il y a de plus naturel. Ouf !
Nous nous installons dans le salon pour prendre un café et étudier le fameux courrier. M. est vêtue d’un pantalon noir type tailleur, de chaussures à petits talons, d’un pull et d’un gilet qui cache sa généreuse poitrine. Rien d’affriolant donc, cela devrait m’aider maîtriser mes poussées de libido. Elle s’installe dans un fauteuil en face de moi, je suis presque ravi de cette distance.
Je parcours le courrier, elle m’en explique le contexte. Je ne parviens pas à me concentrer sur ses paroles, mes yeux sont figés sur ses lèvres et le film de samedi dérouler dans mon esprit. Elle est prise d’une violente quinte de toux : « Ouh là, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as vu le médecin ? Tu prends quelque chose ? »
- Non, ça va, j’ai déjà eu ma dose de sirop samedi…
Et bam ! Celle-là je ne l’avais pas vu venir ! Elle ne dit plus rien mais son regard revanchard en dis-long.
Elle reprend l’air de rien : « Alors t’en penses quoi du courrier ?
- Effectivement ça a l’air assez officiel mais bon, c’est curieux quand même, tu as regardé sur internet pour voir si un cas d’arnaque était connu ?
- Non, attends je prends ma tablette
Elle vient alors s’asseoir à côté de moi pour que l’on fasse des recherches. J’essaie de soutenir son regard quand elle me parle et de ne pas me laisser distraire par sa présence. Elle doit percevoir ma gêne et s’en amuser intérieurement…
Elle me propose un café que j’accepte volontiers. Elle se lève et je ne peux m’empêcher de la suivre du regard. Il se porte sur sa démarche et inéluctablement son postérieur. Je le trouve plus rebondi encore que samedi dans son pantalon moulant, elle a travaillé ses fessiers hier ou quoi ?
Elle revient et me tend le café. Je suis tellement perturbé que je lâche la tasse dont le contenu se répand sur nos tenues respectives : « oh c’est pas vrai, j’ai deux mains gauche » dit-elle
- Non, non, M. c’est moi, je suis désolé
- Bon j’ai plus qu’à aller me changer, toi t’en as moins, tu peux aller frotter ton pantalon si tu veux
- Oui je veux bien, où ça ?
- Dans la salle de bain, à l’étage
- Merci
Alors que je finis de nettoyer mon pantalon, j’entends M. monter l’escalier. Je veille que la porte de la salle de bain soit bien fermée, elle m’a déjà surprise une fois en caleçon, pas deux même si les circonstances ne sont pas les mêmes. J’entends une autre porte s’ouvrir, certainement celle de sa chambre où elle va se changer, ouf…
Je sors de la salle de bain et remarque que M. a laissé la porte de sa chambre entrouverte, il me prend la folle envie de jouer les voyeurs. Je m’approche et glisse mon œil dans les quelques centimètres de l’ouverture. M. est en train d’enlever son pantalon, et le spectacle est au-dessus de mes espérances. Elle porte un shorty bleu en dentelle transparente, parfaitement ajusté à son anatomie. A ma grande surprise ses jambes sont habillées par de magnifique bas couleur chair. Elle enlève son pull également, tâché par le café, et je découvre – enfin – la réalité de sa poitrine. Elle est en effet généreuse mais semble ferme , je n’en vois pas plus car elle me tourne le dos.
Il est temps que je redescende avant de me faire surprendre! Je me rassieds dans le canapé, je regarde M. descendre l’escalier et s’approcher, je la trouve encore plus belle que tout à l’heure. Est-ce du à mon petit espionnage ? Oui, probablement, mais pas que, on dirait que quelque chose a changé en elle. Elle se rassied à côté de moi : « ça y est tu as réussi à te nettoyer ? »
- Oui, je te remercie
- Et cette fois-ci je ne t’ai pas aidé…
Et bam, deuxième tournée avec cette allusion graveleuse à notre précédente entrevue, ça fait deux fois… que cherche-t-elle ? Me culpabiliser ?
Elle poursuit : « bon, c’est bon pour le courrier alors ?
- Oui, je pense
- Ok, super alors » termine-t-elle sèchement d’un ton laconique
- « Ah…euh…oui…. je vais te laisser alors
- Tu as le temps ?
- Euh…oui
- Bon alors j’ai un autre service à te demander
- Ok, c’est à quel sujet?
Elle se lève, et commence à se déshabiller devant moi. Je la regarde, pétrifié. Elle garde ses sous-vêtements, ses bas et ses chaussures. Elle me toise du regard : « pour ce que tu m’as fait subir l’autre jour, tu me dois une revanche »
- Ai-je le choix ?
- Oui, tu peux partir…
- Hum…non, je n’en ai pas envie
Elle plonge sa main dans le canapé pour en ressortir un jouet pour adulte : « Bonne réponse, alors voilà, la dernière fois tu as bien joui,, maintenant c’est à mon tour ! Tu vas devoir me faire jouir avec ça, tu n’as le droit de te servir de ton sexe ni même de te caresser, et je ne veux pas une goutte de toi sur mon canapé ! »
Je tends la main pour saisir cet objet nouveau pour moi, il est cylindrique et pointu, ne ressemble pas vraiment à un phalus. « Je n’ai plus de pile…» me précise-t-elle avec un sourire narquois.
Elle se plante face à moi, agite son bassin à quelques centimètres de mon visage. Elle se tourne et frotte ses fesses sur ma bouche. J’essaie de poser mes mains sur ses hanches mais je suis fermement recadré : « Non, aujourd’hui c’est moi qui vais te faire subir ». La jolie brunette a complètement pris possession de mon esprit et je suis incapable de lui résister. Elle prend ma main et la pose sur sa fesse : « caresse-moi maintenant ». Je m’exécute timidement. « Mieux que ça, faudrait quand même que ça m’excite un peu ». Je m’enhardis à caresser son postérieur au sujet duquel je me suis longtemps interrogé, il n’est finalement pas très rebondi mais ses fesses sont fermes, je m’imagine facilement lui administrer quelques claques. « N’y penses même pas » me dit-elle en devinant mes pensées lubriques. Elle continue de se déhancher sous mes mains dont elle a enfin accepté la présence. Je caresse ses jambes, ses hanches, son ventre, j’ose même introduire quelques doigts sous les bordures de son shorty, pour lui témoigner l’intérêt que je porte à son intimité. Elle se retourne, mets un pied sur le canapé pour écarter une cuisse et approche ma tête de son bas-ventre. Mes cheveux courts l’empêche de m’agripper, qu’importe, elle plaque ses mains sur mes tempes et m’appuie fort contre elle : « Alors, ça fait quoi ?
- Mmmmm…c’est bon
- Alors continue !
- Je peux me servir de ma langue ?
- Ah oui, j’ai oublié de te l’interdire, ok alors »
Je rêve de gouter son minou depuis des lustres, il ne m’en fallait pas plus. J’approche ma bouche de son entre-jambe et commence à lécher sa dentelle. Elle apprécie mes efforts dans un petit gémissement. Je redouble d’attention et suis récompensé en sentant le tissu s’humidifier. Pour la première fois je perçois l’odeur de son jus fruité qui ne coule pas encore mais dont je m’enivre déjà. Je ne peux lui prodiguer plus de plaisir sans avoir accès direct à sa chair, je tente d’écarter le rempart de dentelle mais elle me l’interdit : « pas encore ! ».
Elle se retourne pour que je m’occupe de son fessier de la même façon. Je peux poser mes mains sur ses cuisses, elle me laisse faire. Le contact de ses bas me ravi mais elle ne me laisse pas m’égarer trop longtemps : « tu t’occupes de moi ou de toi ? »
J’embrasse ses fesses, les caresse, et tout ce qu’il m’est permis de toucher : son dos, son ventre. Je n’ose m’aventurer vers sa poitrine qui attise pourtant ma curiosité mais elle m’offre cette découverte en guidant ma main jusqu’à un de ses seins : « Ils te plaisent ?
- Je ne sais pas encore
- Enlève mon soutif alors ! »
Je m’exécute. Je découvre ces deux jolis pamplemousses déjà gonflés de désir. Elle prends mes deux mains pour les poser sur sa poitrine : « et là maintenant ?
- Oui là c’est sur que ça change tout
- Caresse-moi !
- Comme ça…
- Oui, tu me de l’effet, tu le sens
- Je peux faire mieux encore
- Ah bon ? fais voir ce que tu sais faire alors ! »
Je me lève et l’enlace. J’embrasse son cou, tout en caressant sa poitrine. Elle n’est pas indifférente et l’exprime par un « mmm » de satisfaction, avant de me reprendre : « ne rêve pas hein, je ne te toucherai pas aujourd’hui ».
Elle monte sur la table du salon, se met à quatre pattes et se déhanche tel une strip-teaseuse « c’est l’heure » me dit-elle
- L’heure de quoi ?
- D’essayer de me faire jouir, enfin si tu y arrives…
- Tu as encore ton shorty…
- Je sais….débrouille-toi !
Je sais avec cette nouvelle injonction qu’il me sera interdit de le lui ôter. Je saisi le jouet qu’elle m’avait donné, l’appose sur ses lèvres à travers le shorty et la caresse de haut en bas, faisant rouler le cylindre de plastique d’une lèvre à l’autre. Sa respiration s’accélère, elle ne m’a rien dit depuis plusieurs minutes ce que je prends pour un encouragement. Le bout du jouet est devenu luisant, je regarde son shorty et remarque que le tissu est devenu bleu foncé. Elle se déhanche de plus en plus, il me faut trouver le moment opportun pour insinuer le tube du bonheur entre le tissu et sa peau. J’y parviens après quelques tentatives déposant l’extrémité du tube sur son bouton. Elle se fige instantanément comme pour s’offrir à lui et accepte volontiers la pénétration. Ses lèvres s’écartent, je vois un peu de jus couler et enfonce le gode sans hésitation. Elle souffle pendant cette douce et lente pénétration. Son minou a presque fini d’avaler le bâton qu’elle est prise d’un spasme. Je n’ose lui demander si ça va : « continue comme ça…tu t’y prends très bien » me rassure-t-elle.
J’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon boxer, et pendant que j’imagine mon sexe aller en elle, elle me demande de faire rentrer et sortir son remplaçant de plastique. Je vais et vient en elle, enfin, un accessoire va-et-vient qui est guidé par ma main, ça n’est pas pareil, pour moi. Elle semble y prendre énormément de plaisir, j’en viens à me demander si je serai capable de lui offrir autant de plaisir avec mon sexe.
Elle s’abandonne complètement à ce coït artificiel. Je ne retiens plus mon excitation et de mon autre main, déboutonne discrètement mon pantalon, pourvu qu’elle ne me surprenne pas ! Trop occupé à son plaisir, elle ne s’est pas rendue compte que j’astiquais mon sexe, au même rythme que j’allais et venais en elle. Je continue de braver l’interdit jusqu’à faire jouir ma belle trentenaire, elle atteint son plaisir sans signe avant coureur, se figeant soudainement et dans un petit gémissement. Je n’ai pas le temps de me remballer, elle se retourne et me surprend le sexe à la main, encore une fois: « T’avais pas le droit ! ». Elle ne peut finir sa phrase que mon membre expulse mon foutre qui atterrit sur le haut de sa cuisse mais je m’abstiens d’exprimer oralement ma jouissance. Elle saisit mon sexe fermement pour empêcher la deuxième salve de sortir, se retourne ouvre sa main pour que la deuxième giclée de mon jus se dépose sur sa poitrine gonflée : « T’es infernal ! Qu’est-ce que je t’avais dit ? »
- Que tu ne voulais pas de trace de moi sur ton canapé, là c’est pas sur ton canapé…
C’est M. , nous sommes lundi, deux jours se sont écoulés depuis que nous avons fauté dans mon sous-sol. Elle n’a pas oublié que l’on devait se voir aujourd’hui, c’est plutôt bon signe…elle ne doit pas m’en vouloir. La revoir est quand même synonyme d’une douce souffrance bien qu’elle m’ait octroyée cette superbe faveur samedi, elle me hante toujours autant.
Je frappe à sa porte, elle ouvre et me sourit, comme d’habitude. « Salut salut » me dit-elle sur un petit ton chantant. J’entre, nous nous faisons la bise, tout ce qu’il y a de plus naturel. Ouf !
Nous nous installons dans le salon pour prendre un café et étudier le fameux courrier. M. est vêtue d’un pantalon noir type tailleur, de chaussures à petits talons, d’un pull et d’un gilet qui cache sa généreuse poitrine. Rien d’affriolant donc, cela devrait m’aider maîtriser mes poussées de libido. Elle s’installe dans un fauteuil en face de moi, je suis presque ravi de cette distance.
Je parcours le courrier, elle m’en explique le contexte. Je ne parviens pas à me concentrer sur ses paroles, mes yeux sont figés sur ses lèvres et le film de samedi dérouler dans mon esprit. Elle est prise d’une violente quinte de toux : « Ouh là, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as vu le médecin ? Tu prends quelque chose ? »
- Non, ça va, j’ai déjà eu ma dose de sirop samedi…
Et bam ! Celle-là je ne l’avais pas vu venir ! Elle ne dit plus rien mais son regard revanchard en dis-long.
Elle reprend l’air de rien : « Alors t’en penses quoi du courrier ?
- Effectivement ça a l’air assez officiel mais bon, c’est curieux quand même, tu as regardé sur internet pour voir si un cas d’arnaque était connu ?
- Non, attends je prends ma tablette
Elle vient alors s’asseoir à côté de moi pour que l’on fasse des recherches. J’essaie de soutenir son regard quand elle me parle et de ne pas me laisser distraire par sa présence. Elle doit percevoir ma gêne et s’en amuser intérieurement…
Elle me propose un café que j’accepte volontiers. Elle se lève et je ne peux m’empêcher de la suivre du regard. Il se porte sur sa démarche et inéluctablement son postérieur. Je le trouve plus rebondi encore que samedi dans son pantalon moulant, elle a travaillé ses fessiers hier ou quoi ?
Elle revient et me tend le café. Je suis tellement perturbé que je lâche la tasse dont le contenu se répand sur nos tenues respectives : « oh c’est pas vrai, j’ai deux mains gauche » dit-elle
- Non, non, M. c’est moi, je suis désolé
- Bon j’ai plus qu’à aller me changer, toi t’en as moins, tu peux aller frotter ton pantalon si tu veux
- Oui je veux bien, où ça ?
- Dans la salle de bain, à l’étage
- Merci
Alors que je finis de nettoyer mon pantalon, j’entends M. monter l’escalier. Je veille que la porte de la salle de bain soit bien fermée, elle m’a déjà surprise une fois en caleçon, pas deux même si les circonstances ne sont pas les mêmes. J’entends une autre porte s’ouvrir, certainement celle de sa chambre où elle va se changer, ouf…
Je sors de la salle de bain et remarque que M. a laissé la porte de sa chambre entrouverte, il me prend la folle envie de jouer les voyeurs. Je m’approche et glisse mon œil dans les quelques centimètres de l’ouverture. M. est en train d’enlever son pantalon, et le spectacle est au-dessus de mes espérances. Elle porte un shorty bleu en dentelle transparente, parfaitement ajusté à son anatomie. A ma grande surprise ses jambes sont habillées par de magnifique bas couleur chair. Elle enlève son pull également, tâché par le café, et je découvre – enfin – la réalité de sa poitrine. Elle est en effet généreuse mais semble ferme , je n’en vois pas plus car elle me tourne le dos.
Il est temps que je redescende avant de me faire surprendre! Je me rassieds dans le canapé, je regarde M. descendre l’escalier et s’approcher, je la trouve encore plus belle que tout à l’heure. Est-ce du à mon petit espionnage ? Oui, probablement, mais pas que, on dirait que quelque chose a changé en elle. Elle se rassied à côté de moi : « ça y est tu as réussi à te nettoyer ? »
- Oui, je te remercie
- Et cette fois-ci je ne t’ai pas aidé…
Et bam, deuxième tournée avec cette allusion graveleuse à notre précédente entrevue, ça fait deux fois… que cherche-t-elle ? Me culpabiliser ?
Elle poursuit : « bon, c’est bon pour le courrier alors ?
- Oui, je pense
- Ok, super alors » termine-t-elle sèchement d’un ton laconique
- « Ah…euh…oui…. je vais te laisser alors
- Tu as le temps ?
- Euh…oui
- Bon alors j’ai un autre service à te demander
- Ok, c’est à quel sujet?
Elle se lève, et commence à se déshabiller devant moi. Je la regarde, pétrifié. Elle garde ses sous-vêtements, ses bas et ses chaussures. Elle me toise du regard : « pour ce que tu m’as fait subir l’autre jour, tu me dois une revanche »
- Ai-je le choix ?
- Oui, tu peux partir…
- Hum…non, je n’en ai pas envie
Elle plonge sa main dans le canapé pour en ressortir un jouet pour adulte : « Bonne réponse, alors voilà, la dernière fois tu as bien joui,, maintenant c’est à mon tour ! Tu vas devoir me faire jouir avec ça, tu n’as le droit de te servir de ton sexe ni même de te caresser, et je ne veux pas une goutte de toi sur mon canapé ! »
Je tends la main pour saisir cet objet nouveau pour moi, il est cylindrique et pointu, ne ressemble pas vraiment à un phalus. « Je n’ai plus de pile…» me précise-t-elle avec un sourire narquois.
Elle se plante face à moi, agite son bassin à quelques centimètres de mon visage. Elle se tourne et frotte ses fesses sur ma bouche. J’essaie de poser mes mains sur ses hanches mais je suis fermement recadré : « Non, aujourd’hui c’est moi qui vais te faire subir ». La jolie brunette a complètement pris possession de mon esprit et je suis incapable de lui résister. Elle prend ma main et la pose sur sa fesse : « caresse-moi maintenant ». Je m’exécute timidement. « Mieux que ça, faudrait quand même que ça m’excite un peu ». Je m’enhardis à caresser son postérieur au sujet duquel je me suis longtemps interrogé, il n’est finalement pas très rebondi mais ses fesses sont fermes, je m’imagine facilement lui administrer quelques claques. « N’y penses même pas » me dit-elle en devinant mes pensées lubriques. Elle continue de se déhancher sous mes mains dont elle a enfin accepté la présence. Je caresse ses jambes, ses hanches, son ventre, j’ose même introduire quelques doigts sous les bordures de son shorty, pour lui témoigner l’intérêt que je porte à son intimité. Elle se retourne, mets un pied sur le canapé pour écarter une cuisse et approche ma tête de son bas-ventre. Mes cheveux courts l’empêche de m’agripper, qu’importe, elle plaque ses mains sur mes tempes et m’appuie fort contre elle : « Alors, ça fait quoi ?
- Mmmmm…c’est bon
- Alors continue !
- Je peux me servir de ma langue ?
- Ah oui, j’ai oublié de te l’interdire, ok alors »
Je rêve de gouter son minou depuis des lustres, il ne m’en fallait pas plus. J’approche ma bouche de son entre-jambe et commence à lécher sa dentelle. Elle apprécie mes efforts dans un petit gémissement. Je redouble d’attention et suis récompensé en sentant le tissu s’humidifier. Pour la première fois je perçois l’odeur de son jus fruité qui ne coule pas encore mais dont je m’enivre déjà. Je ne peux lui prodiguer plus de plaisir sans avoir accès direct à sa chair, je tente d’écarter le rempart de dentelle mais elle me l’interdit : « pas encore ! ».
Elle se retourne pour que je m’occupe de son fessier de la même façon. Je peux poser mes mains sur ses cuisses, elle me laisse faire. Le contact de ses bas me ravi mais elle ne me laisse pas m’égarer trop longtemps : « tu t’occupes de moi ou de toi ? »
J’embrasse ses fesses, les caresse, et tout ce qu’il m’est permis de toucher : son dos, son ventre. Je n’ose m’aventurer vers sa poitrine qui attise pourtant ma curiosité mais elle m’offre cette découverte en guidant ma main jusqu’à un de ses seins : « Ils te plaisent ?
- Je ne sais pas encore
- Enlève mon soutif alors ! »
Je m’exécute. Je découvre ces deux jolis pamplemousses déjà gonflés de désir. Elle prends mes deux mains pour les poser sur sa poitrine : « et là maintenant ?
- Oui là c’est sur que ça change tout
- Caresse-moi !
- Comme ça…
- Oui, tu me de l’effet, tu le sens
- Je peux faire mieux encore
- Ah bon ? fais voir ce que tu sais faire alors ! »
Je me lève et l’enlace. J’embrasse son cou, tout en caressant sa poitrine. Elle n’est pas indifférente et l’exprime par un « mmm » de satisfaction, avant de me reprendre : « ne rêve pas hein, je ne te toucherai pas aujourd’hui ».
Elle monte sur la table du salon, se met à quatre pattes et se déhanche tel une strip-teaseuse « c’est l’heure » me dit-elle
- L’heure de quoi ?
- D’essayer de me faire jouir, enfin si tu y arrives…
- Tu as encore ton shorty…
- Je sais….débrouille-toi !
Je sais avec cette nouvelle injonction qu’il me sera interdit de le lui ôter. Je saisi le jouet qu’elle m’avait donné, l’appose sur ses lèvres à travers le shorty et la caresse de haut en bas, faisant rouler le cylindre de plastique d’une lèvre à l’autre. Sa respiration s’accélère, elle ne m’a rien dit depuis plusieurs minutes ce que je prends pour un encouragement. Le bout du jouet est devenu luisant, je regarde son shorty et remarque que le tissu est devenu bleu foncé. Elle se déhanche de plus en plus, il me faut trouver le moment opportun pour insinuer le tube du bonheur entre le tissu et sa peau. J’y parviens après quelques tentatives déposant l’extrémité du tube sur son bouton. Elle se fige instantanément comme pour s’offrir à lui et accepte volontiers la pénétration. Ses lèvres s’écartent, je vois un peu de jus couler et enfonce le gode sans hésitation. Elle souffle pendant cette douce et lente pénétration. Son minou a presque fini d’avaler le bâton qu’elle est prise d’un spasme. Je n’ose lui demander si ça va : « continue comme ça…tu t’y prends très bien » me rassure-t-elle.
J’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon boxer, et pendant que j’imagine mon sexe aller en elle, elle me demande de faire rentrer et sortir son remplaçant de plastique. Je vais et vient en elle, enfin, un accessoire va-et-vient qui est guidé par ma main, ça n’est pas pareil, pour moi. Elle semble y prendre énormément de plaisir, j’en viens à me demander si je serai capable de lui offrir autant de plaisir avec mon sexe.
Elle s’abandonne complètement à ce coït artificiel. Je ne retiens plus mon excitation et de mon autre main, déboutonne discrètement mon pantalon, pourvu qu’elle ne me surprenne pas ! Trop occupé à son plaisir, elle ne s’est pas rendue compte que j’astiquais mon sexe, au même rythme que j’allais et venais en elle. Je continue de braver l’interdit jusqu’à faire jouir ma belle trentenaire, elle atteint son plaisir sans signe avant coureur, se figeant soudainement et dans un petit gémissement. Je n’ai pas le temps de me remballer, elle se retourne et me surprend le sexe à la main, encore une fois: « T’avais pas le droit ! ». Elle ne peut finir sa phrase que mon membre expulse mon foutre qui atterrit sur le haut de sa cuisse mais je m’abstiens d’exprimer oralement ma jouissance. Elle saisit mon sexe fermement pour empêcher la deuxième salve de sortir, se retourne ouvre sa main pour que la deuxième giclée de mon jus se dépose sur sa poitrine gonflée : « T’es infernal ! Qu’est-ce que je t’avais dit ? »
- Que tu ne voulais pas de trace de moi sur ton canapé, là c’est pas sur ton canapé…
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