Ma voisine branle bien...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma voisine branle bien...
Avant de m’installer devant mon ordinateur pour vous écrire une histoire, fantasme ou vécue, je suis passé à la grande maison pour savoir si on avait besoin de mes services. J’y rencontre Christine la aide cuisinière qui m’informe que je dois me rendre dans la chambre de la fille du propriétaire venue passée quelques jours dans le domaine avec sa copine Maude.
-Un problème de fermeture de fenêtre dans la salle de bains m’a-t-elle dit Tiya (prénom de la fille)
-Ouais je vais voir ça sur le champ. Plus vite fini plus vite parti ! Elles sont là ?
-Non parties faire un tour.
-Tant mieux !
Et sur ce dernier mot, je grimpe les étages pour arriver dans la salle de bains cité. La première chose que mes rétines accrochèrent sur le sol, sont les deux strings, un de couleur noir l’autre blanc. Tous deux en dentelle. Pas en boule comme il m’arrive de les trouvés, mais bien à plat sur le carrelage. L’un à côté de l’autre, comme exposés. Je me saisi du noir. Des émanations d’extrait de parfum de Tyia s’en échappent. Je le porte à mes narines hormis le parfum artificiel, il y a le sien personnel. Une touche de pipi, une de sueur, et une autre de mouille. Le cordon sent bien le cul. Je passe à l’autre, au blanc. Il est aussi appétissant que le noir, à une exception près le cordon pour sa part sent la merde. La coquine de Maude ne s’est pas essuyer le cul avant de se remettre le string.
Je remets les strings comme je les ai trouvé et referme la fenêtre. Pas de problème de ce côté-là, mais ça j’ai l’habitude, surtout avec cette catégorie de favoriser.
Je trouve dans la cuisine, de nouveau Christine juchée cette fois sur un escabeau en train de nettoyer les vitres. Cette jeune femme s’est très vite soumise à mes quatre volontés. C’est une véritable morte de faim sexuelle. Elle m’obéit par vice. Christine est une femme vénale, qui s’est amouraché de moi, malgré qu’elle soit mariée au jardinier.
Tout à sa tache, elle ne m’a pas entendu approcher. Je m’approche au plus près d’elle et je contemple la jeune femme avec satisfaction.
Elle est vêtue de l’uniforme adéquat du service, qui moule ses seins et son cul et dont la jupe courte laisse apercevoir ses jambes gainées de bas blanc.
Elle se dresse sur la pointe des pieds pour enlever une grotte de mouche du haut de la vitre. Je m’approche pour lui maintenir l’escabeau.
-C’est pas le moment de tomber ! Lui fais-je.
-Tu as déjà fini avec ta fenêtre ?
- Rien de bien compliquer !
Là, la voilà qui grimpe sur la plus haute marche, plaçant son cul à hauteur de mon visage.
-Tu me cherches ! Fais-je.
-Tu crois ?
-Tu n’as pas peur que ton mari nous surprenne ?
-Il est dans la roseraie !
Elle détend son corps pour reprendre son nettoyage. Ce qui fait remonter l’ourlet de sa jupe. Dévoilant par la même occasion un morceau de cuisse nue au-dessus de ses bas laiteux. En contre plongée, je découvre les rondeurs blanches de ses fesses. Je me demande si elle porte un sous-vêtement. Pour m’en assurer, je remonte ma main sous sa jupe, entre ses cuisses, et touche ses fesses fermes. Mes doigts s’insinuent dans la raie où ils ne rencontrent pas la plus petite bande de tissu.
-Mais tu as oublié de te passer une culotte ?
-Non ! Pas possible ! Comment ai-je pu oublier cela ?
-Je pense que c’est voulu. Juste pour te faire baiser !
-Qu’est-ce j’entends là, me faire baiser ! Comme si s’était mon genre. Je suis mariée Monsieur.
-Oui, comme tu es une chaude, oui ! Aller fais ce que tu as à faire je n’ai pas toute la journée !
Elle pose un pied sur la poignée de la fenêtre pour atteindre le haut de la baie. Ainsi, elle écarte largement les cuisses et me laisse par ce mouvement l’accès à son sexe.
-Tu me pousses à la consommation, tu mériterais une bonne fessé. Fais-je.
-Fais-donc !
Je fouille la raie de la jeune femme. Mes doigts s’attardent sur l’orifice de l’anus. Du bout de l’index, je force le sphincter anal. Je récupère le doigt et le porte à mes narines.
-Tu n’as pas qu’oublier de te passer une culotte, tu as négligé de t’essuyer le cul après la grosse commission. Comme la-fait Maude.
-Qu’est-ce qu’elle a voir Maude là-dedans.
-Rien, je dis n’importe quoi… ne m’écoute pas…
Je reporte ma main sous sa jupe et caresse sa chatte. Elle pousse un faible gémissement lorsque mon doigt disparait dans son vagin. Elle tremble en équilibre sur un pied.
-Arrête je vais tomber à la fin !
-Avec tout ça tu me donnes envie de consommer !
-Et bien je vais descendre !
Je l’amène jusqu’à la buanderie. Alors que je verrouille la porte
Christine passe un bras autour de mon cou, l’autre dénudant ma queue. Suite à ça, elle noue ses jambes autour des miennes et bouge doucement, sa bouche soudée à ma bouche. Je sens le long de ma verge la douceur de sa chair, brûlante. Prenant appui sur mes épaules, elle monte, redescend lentement, remonte, encore et encore.
Puis elle se cambre légèrement, ses jambes appuyant sur mes cuisses et d’un seul mouvement s’empale avec un petit cri. Pendant quelques secondes, nous ne bougeons plus. Mes mains sous ses fesses. Christine commence à bouger, à son rythme, je sens les muscles de son vagin se contracter, se détendre autour de ma queue. Je sens que ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme. Je distingue les lèvres de l’aide cuisinière se pincer, son souffle se faire court.
-Alain, Alain, Oh oui… !
Elle gémit encore et encore. Me griffe le dos tandis que je me déverse en elle.
Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons, bouche contre bouche, ventre contre ventre. Je bande toujours, mais mon sexe est devenu si sensible que je bouge plus, les jambes de Christine me serrent comme un étau.
-Reste encore un peu en moi…
Un bruit de pas sur les gravillons se fait entendre.
-Merde Wyllie…
Elle défait l’anneau de ses jambes, s’ajuste et disparaît de ma vue. Quelques minutes plus tard je la trouve en compagnie de Wyllie son époux. Je me fais un plaisir de lui serrer la main. La même qui à fouiller la chatte de sa femme plus tôt. Je ne sais pourquoi mais je prends un pied pas possible à faire cela.
Il est temps pour moi d’écrire l’histoire que j’aimerais partager avec vous.
En sortant ce matin là de ma voiture pour me rendre dans ma maison secondaire, j’aperçois ma voisine qui en me voyant agite sa main. Je m’approche du grillage.
-Que je suis contente que vous soyez là ! Vous parlez d’une histoire, j’ai le robinet de la salle de bains qui ne se coupe plus, et donc l’eau coule sans que je sache comment faire pour la couper !
Je fais le tour du pâté de maison. Elle m’attend devant la porte du garage.
-Vous savez où se trouve le compteur d’eau ?
-Vous voulez que je téléphone à mon mari ?
-Il n’est pas là ?
-Non, parti pour un week-end de chasse !
-Alors comment voulez-vous le joindre ?
-Le portable !
-Ne l’embêter pas avec cela je vais m’en débrouiller.
Je fais le tour du garage et tombe sur des vannes. Sur l’un d’elle est indiquée (Eau ville). Alors je la tourne, pas sans mal.
J’envois Claudine au renseignement. Le temps d’arrivé jusqu’à la salle de bains et je l’entends dire que c’est bon.
Claudine est une vieille femme très bavarde, gentille. Assez courte sur pattes, elle a un physique assez singulier. Des cheveux coupés très court, poivre et sel.
Je démonte le robinet défectueux pour me rendre compte que la tête de robinet est HS. Je m’empresse de l’en lui faire part. elle est dans tous ses états.
-Et combien cela va me coûter.
-Une blinde Claudine.
-Vous plaisantez au moins ?
-Je n’ai jamais été aussi sérieux.
-Je vais me faire tuer par mon mari.
-Pourquoi ça ?
-Il va encore dire que je suis la cause du problème. Que je ne fais pas assez attention avec le matériel.
-Bon Claudine je vais pour ma part à la recherche d’une tête.
-Vous avez besoin d’argent ?
-J’ai ce qu’il faut sur moi.
- Ne prenez pas le plus chère ! Je compte sur vous !
-Je prendrais d’abord celui dont j’ai besoin !
Heureusement pour moi, je n’ai pas trop galérer pour lui mettre la main dessus. Sitôt de retour, je l’ai installé sous les yeux témoins de Claudine. Elle n’était pas mécontente que ça fonctionne.
-Bien et maintenant combien je vous dois, me dit-elle.
-Dans un premier temps j’aimerais que vous m’offriez un café, s’il vous plaît !
-Avec plaisir.
Elle me tourne le dos et, le buste incliné, elle s’affaire. J’en profite pour poser mon regard sur sa paire de grosses fesses enfoui sous un leggings de couleur noire. Qui lui moule les cuisses et le postérieur comme une seconde peau. Les sphères sont parfaitement rondes. Une croupe somptueuse. Le textile est tellement tendu qu’on distingue parfaitement les contours de sa petite culotte et les torsades des dentelles de la lingerie qui s’incrustent sur l’étoffe immaculée.
Il m’en faut pas plus pour effectuer les quelques pas qui m’éloigne d’elle.
-Comme ça votre mari est absent ?
-Oui… comme je vous l’ai dit !
-Alors nous sommes seuls. Et donc tranquille…
-Oui…
-Donc nous pouvons vous et moi faire des choses…
-Des choses… quel genre de chose.
-Un peu d’imagination Claudine !
-Non… vous n’y pensez pas…
Elle répond d’une voix rauque. Son air timide a disparu. Je l’oblige à poser la main sur mon sexe.
-Touchez.
-Mais enfin Alain… à quoi jouez-vous ?
-Je me fais payer la facture, voyez-vous ?
Pour toute réponse elle enveloppe toute ma queue. L’excitation lui donne de la hardiesse. Je la guide, lui montrant, en appuyant dessus où je veux qu’elle place ses doigts.
-J’aime bien quand me la touche !
L’excitation me fait bredouiller mais je poursuis avec obstination la suite.
-Continuez !
Rouge et respirant bruyamment, elle s’exécute. Je donne des coups de reins en soupirant avec force.
-C’est bon ! Faite coulisser vos doigts, petite coquine !
Elle remue sa main, très vite.
Elle se recule vivement quand je veux lui baisser son leggings.
-Oh, non !
-Vous avez peur de quoi ? Je veux juste vous rendre la caresse !
Elle est très intimité malgré son excitation bien visible.
-Je ne sais pas si je veux !
-Mais grosse bigote, je suis sûr que vous allez aimer comme j’ai aimé moi aussi.
Ses réticences commencent à m’énerver. Sans fioritures, je lui baisse le leggings et sa culotte en dentelle couleur champagne, d’un même mouvement, avant de m’accroupir à ses pieds. Sa chatte est incroyable fournis en poil, et l’odeur !
Je pose un baiser sur la couverture de poils. Très vite, l’envie me submerge de passer aux choses sérieuses. De me goinfrer de cette chatte. Je fais faire un demi-tour à Claudine pour m’occuper sérieusement du côté pile, qui m’intéresse davantage. Mes mains pétrissent les sphères moelleuses. Quand après lui avoir léché le petit trou, très amer, j’y enfonce mon index curieux et agile.
Après quelques instants d’hésitation, je décide de tenter quelque chose. Je m’enhardis et avance une main un peu tremblante vers ces merveilles. Je saisis délicatement le haut d’un des bonnets et tire légèrement dessus, puis j’enlève brusquement la main, prêt à affronter une réprimande de sa part.
Rien ne vient, au contraire j’ai même l’impression que son sourire s’est accentué. La coquine attend la suite. Je m’affaire alors de mettre à l’air libre
un gros sein tout blanc. Je répète l’opération et dégage son jumeau. Pendant toutes ces opérations, je surveille le visage de Claudine du coin de l’œil.
La situation m’excite au plus haut point. Au stade où j’en étais, je décide de profiter à fond de la situation. Perdant toute retenue, c’est à pleines mains que je me mets à malaxer la poitrine de la voisine. Les soupesant et appréciant leur élasticité. Puis je me saisis de ma queue bandée. Avec mon gland, je me mets à la frotter sur la généreuse poitrine. Passant d’un sein à l’autre. Je suis comme aliéné et maintenant prêt à toutes les malices.
J’approche ma figure au niveau de ses pieds encore chaussés. Je déchausse le droit m’attarde un moment sur son pied avant de me laisser tenter à faire grimper mes lèvres le long des sa jambe. Arrivé en haut de sa cuisse, je marque une pause, détaillant ses jambes. Puis je reprends ma découverte. J’entends pour la première fois Claudine gémir doucement.
Mes mains repartent en exploration et c’est avec délice qu’elles reprennent possession des fesses. Mes doigts parcourent sa raie, titillant l’anus et jouant avec les petits plis de ce dernier. Je descends encore et me mets en devoir de tâter sa figue, en appréciant sa texture. Puis délicatement, d’une main, j’entrouvre ses lèvres. Cette image de la partie la plus intime de la voisine est celle de trop. Je sens maintenant monter en moi une jouissance et je sais que je ne pourrais tenir plus longtemps.
Je saisis alors rapidement mon sexe tendu et entame un furieux branle. La jouissance ne tarde pas, brutale. Je me vide, de grands jets de sperme épais giclent, atterrissant sur le dos et les fesses de Claudine. Le sperme dégouline partout, jusque sur son sexe entrouvert.
Je suis apaisé, mais je veux encore profiter du spectacle. Me repositionne, le visage à quelques centimètres de son sexe, humant avec délectation son odeur propre. Ceci me donne une nouvelle vigueur et je sens ma queue durcir à nouveau. Je me saisis une fois encore la main de la voisine et la pose une fois encore sur ma verge puis, refermant ses doigts dessus j’entame un lent va-et-vient.
Je lâche sa main et Claudine continue à me branler.
-Oui… oui Claudine, faite-moi jouir…
-Comme je fais c’est bien ?
-C’est parfait…
J’ai joui quelques instants plus tard, pour mon plus grand plaisir et celui de ma vieille voisine.
-Un problème de fermeture de fenêtre dans la salle de bains m’a-t-elle dit Tiya (prénom de la fille)
-Ouais je vais voir ça sur le champ. Plus vite fini plus vite parti ! Elles sont là ?
-Non parties faire un tour.
-Tant mieux !
Et sur ce dernier mot, je grimpe les étages pour arriver dans la salle de bains cité. La première chose que mes rétines accrochèrent sur le sol, sont les deux strings, un de couleur noir l’autre blanc. Tous deux en dentelle. Pas en boule comme il m’arrive de les trouvés, mais bien à plat sur le carrelage. L’un à côté de l’autre, comme exposés. Je me saisi du noir. Des émanations d’extrait de parfum de Tyia s’en échappent. Je le porte à mes narines hormis le parfum artificiel, il y a le sien personnel. Une touche de pipi, une de sueur, et une autre de mouille. Le cordon sent bien le cul. Je passe à l’autre, au blanc. Il est aussi appétissant que le noir, à une exception près le cordon pour sa part sent la merde. La coquine de Maude ne s’est pas essuyer le cul avant de se remettre le string.
Je remets les strings comme je les ai trouvé et referme la fenêtre. Pas de problème de ce côté-là, mais ça j’ai l’habitude, surtout avec cette catégorie de favoriser.
Je trouve dans la cuisine, de nouveau Christine juchée cette fois sur un escabeau en train de nettoyer les vitres. Cette jeune femme s’est très vite soumise à mes quatre volontés. C’est une véritable morte de faim sexuelle. Elle m’obéit par vice. Christine est une femme vénale, qui s’est amouraché de moi, malgré qu’elle soit mariée au jardinier.
Tout à sa tache, elle ne m’a pas entendu approcher. Je m’approche au plus près d’elle et je contemple la jeune femme avec satisfaction.
Elle est vêtue de l’uniforme adéquat du service, qui moule ses seins et son cul et dont la jupe courte laisse apercevoir ses jambes gainées de bas blanc.
Elle se dresse sur la pointe des pieds pour enlever une grotte de mouche du haut de la vitre. Je m’approche pour lui maintenir l’escabeau.
-C’est pas le moment de tomber ! Lui fais-je.
-Tu as déjà fini avec ta fenêtre ?
- Rien de bien compliquer !
Là, la voilà qui grimpe sur la plus haute marche, plaçant son cul à hauteur de mon visage.
-Tu me cherches ! Fais-je.
-Tu crois ?
-Tu n’as pas peur que ton mari nous surprenne ?
-Il est dans la roseraie !
Elle détend son corps pour reprendre son nettoyage. Ce qui fait remonter l’ourlet de sa jupe. Dévoilant par la même occasion un morceau de cuisse nue au-dessus de ses bas laiteux. En contre plongée, je découvre les rondeurs blanches de ses fesses. Je me demande si elle porte un sous-vêtement. Pour m’en assurer, je remonte ma main sous sa jupe, entre ses cuisses, et touche ses fesses fermes. Mes doigts s’insinuent dans la raie où ils ne rencontrent pas la plus petite bande de tissu.
-Mais tu as oublié de te passer une culotte ?
-Non ! Pas possible ! Comment ai-je pu oublier cela ?
-Je pense que c’est voulu. Juste pour te faire baiser !
-Qu’est-ce j’entends là, me faire baiser ! Comme si s’était mon genre. Je suis mariée Monsieur.
-Oui, comme tu es une chaude, oui ! Aller fais ce que tu as à faire je n’ai pas toute la journée !
Elle pose un pied sur la poignée de la fenêtre pour atteindre le haut de la baie. Ainsi, elle écarte largement les cuisses et me laisse par ce mouvement l’accès à son sexe.
-Tu me pousses à la consommation, tu mériterais une bonne fessé. Fais-je.
-Fais-donc !
Je fouille la raie de la jeune femme. Mes doigts s’attardent sur l’orifice de l’anus. Du bout de l’index, je force le sphincter anal. Je récupère le doigt et le porte à mes narines.
-Tu n’as pas qu’oublier de te passer une culotte, tu as négligé de t’essuyer le cul après la grosse commission. Comme la-fait Maude.
-Qu’est-ce qu’elle a voir Maude là-dedans.
-Rien, je dis n’importe quoi… ne m’écoute pas…
Je reporte ma main sous sa jupe et caresse sa chatte. Elle pousse un faible gémissement lorsque mon doigt disparait dans son vagin. Elle tremble en équilibre sur un pied.
-Arrête je vais tomber à la fin !
-Avec tout ça tu me donnes envie de consommer !
-Et bien je vais descendre !
Je l’amène jusqu’à la buanderie. Alors que je verrouille la porte
Christine passe un bras autour de mon cou, l’autre dénudant ma queue. Suite à ça, elle noue ses jambes autour des miennes et bouge doucement, sa bouche soudée à ma bouche. Je sens le long de ma verge la douceur de sa chair, brûlante. Prenant appui sur mes épaules, elle monte, redescend lentement, remonte, encore et encore.
Puis elle se cambre légèrement, ses jambes appuyant sur mes cuisses et d’un seul mouvement s’empale avec un petit cri. Pendant quelques secondes, nous ne bougeons plus. Mes mains sous ses fesses. Christine commence à bouger, à son rythme, je sens les muscles de son vagin se contracter, se détendre autour de ma queue. Je sens que ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme. Je distingue les lèvres de l’aide cuisinière se pincer, son souffle se faire court.
-Alain, Alain, Oh oui… !
Elle gémit encore et encore. Me griffe le dos tandis que je me déverse en elle.
Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons, bouche contre bouche, ventre contre ventre. Je bande toujours, mais mon sexe est devenu si sensible que je bouge plus, les jambes de Christine me serrent comme un étau.
-Reste encore un peu en moi…
Un bruit de pas sur les gravillons se fait entendre.
-Merde Wyllie…
Elle défait l’anneau de ses jambes, s’ajuste et disparaît de ma vue. Quelques minutes plus tard je la trouve en compagnie de Wyllie son époux. Je me fais un plaisir de lui serrer la main. La même qui à fouiller la chatte de sa femme plus tôt. Je ne sais pourquoi mais je prends un pied pas possible à faire cela.
Il est temps pour moi d’écrire l’histoire que j’aimerais partager avec vous.
En sortant ce matin là de ma voiture pour me rendre dans ma maison secondaire, j’aperçois ma voisine qui en me voyant agite sa main. Je m’approche du grillage.
-Que je suis contente que vous soyez là ! Vous parlez d’une histoire, j’ai le robinet de la salle de bains qui ne se coupe plus, et donc l’eau coule sans que je sache comment faire pour la couper !
Je fais le tour du pâté de maison. Elle m’attend devant la porte du garage.
-Vous savez où se trouve le compteur d’eau ?
-Vous voulez que je téléphone à mon mari ?
-Il n’est pas là ?
-Non, parti pour un week-end de chasse !
-Alors comment voulez-vous le joindre ?
-Le portable !
-Ne l’embêter pas avec cela je vais m’en débrouiller.
Je fais le tour du garage et tombe sur des vannes. Sur l’un d’elle est indiquée (Eau ville). Alors je la tourne, pas sans mal.
J’envois Claudine au renseignement. Le temps d’arrivé jusqu’à la salle de bains et je l’entends dire que c’est bon.
Claudine est une vieille femme très bavarde, gentille. Assez courte sur pattes, elle a un physique assez singulier. Des cheveux coupés très court, poivre et sel.
Je démonte le robinet défectueux pour me rendre compte que la tête de robinet est HS. Je m’empresse de l’en lui faire part. elle est dans tous ses états.
-Et combien cela va me coûter.
-Une blinde Claudine.
-Vous plaisantez au moins ?
-Je n’ai jamais été aussi sérieux.
-Je vais me faire tuer par mon mari.
-Pourquoi ça ?
-Il va encore dire que je suis la cause du problème. Que je ne fais pas assez attention avec le matériel.
-Bon Claudine je vais pour ma part à la recherche d’une tête.
-Vous avez besoin d’argent ?
-J’ai ce qu’il faut sur moi.
- Ne prenez pas le plus chère ! Je compte sur vous !
-Je prendrais d’abord celui dont j’ai besoin !
Heureusement pour moi, je n’ai pas trop galérer pour lui mettre la main dessus. Sitôt de retour, je l’ai installé sous les yeux témoins de Claudine. Elle n’était pas mécontente que ça fonctionne.
-Bien et maintenant combien je vous dois, me dit-elle.
-Dans un premier temps j’aimerais que vous m’offriez un café, s’il vous plaît !
-Avec plaisir.
Elle me tourne le dos et, le buste incliné, elle s’affaire. J’en profite pour poser mon regard sur sa paire de grosses fesses enfoui sous un leggings de couleur noire. Qui lui moule les cuisses et le postérieur comme une seconde peau. Les sphères sont parfaitement rondes. Une croupe somptueuse. Le textile est tellement tendu qu’on distingue parfaitement les contours de sa petite culotte et les torsades des dentelles de la lingerie qui s’incrustent sur l’étoffe immaculée.
Il m’en faut pas plus pour effectuer les quelques pas qui m’éloigne d’elle.
-Comme ça votre mari est absent ?
-Oui… comme je vous l’ai dit !
-Alors nous sommes seuls. Et donc tranquille…
-Oui…
-Donc nous pouvons vous et moi faire des choses…
-Des choses… quel genre de chose.
-Un peu d’imagination Claudine !
-Non… vous n’y pensez pas…
Elle répond d’une voix rauque. Son air timide a disparu. Je l’oblige à poser la main sur mon sexe.
-Touchez.
-Mais enfin Alain… à quoi jouez-vous ?
-Je me fais payer la facture, voyez-vous ?
Pour toute réponse elle enveloppe toute ma queue. L’excitation lui donne de la hardiesse. Je la guide, lui montrant, en appuyant dessus où je veux qu’elle place ses doigts.
-J’aime bien quand me la touche !
L’excitation me fait bredouiller mais je poursuis avec obstination la suite.
-Continuez !
Rouge et respirant bruyamment, elle s’exécute. Je donne des coups de reins en soupirant avec force.
-C’est bon ! Faite coulisser vos doigts, petite coquine !
Elle remue sa main, très vite.
Elle se recule vivement quand je veux lui baisser son leggings.
-Oh, non !
-Vous avez peur de quoi ? Je veux juste vous rendre la caresse !
Elle est très intimité malgré son excitation bien visible.
-Je ne sais pas si je veux !
-Mais grosse bigote, je suis sûr que vous allez aimer comme j’ai aimé moi aussi.
Ses réticences commencent à m’énerver. Sans fioritures, je lui baisse le leggings et sa culotte en dentelle couleur champagne, d’un même mouvement, avant de m’accroupir à ses pieds. Sa chatte est incroyable fournis en poil, et l’odeur !
Je pose un baiser sur la couverture de poils. Très vite, l’envie me submerge de passer aux choses sérieuses. De me goinfrer de cette chatte. Je fais faire un demi-tour à Claudine pour m’occuper sérieusement du côté pile, qui m’intéresse davantage. Mes mains pétrissent les sphères moelleuses. Quand après lui avoir léché le petit trou, très amer, j’y enfonce mon index curieux et agile.
Après quelques instants d’hésitation, je décide de tenter quelque chose. Je m’enhardis et avance une main un peu tremblante vers ces merveilles. Je saisis délicatement le haut d’un des bonnets et tire légèrement dessus, puis j’enlève brusquement la main, prêt à affronter une réprimande de sa part.
Rien ne vient, au contraire j’ai même l’impression que son sourire s’est accentué. La coquine attend la suite. Je m’affaire alors de mettre à l’air libre
un gros sein tout blanc. Je répète l’opération et dégage son jumeau. Pendant toutes ces opérations, je surveille le visage de Claudine du coin de l’œil.
La situation m’excite au plus haut point. Au stade où j’en étais, je décide de profiter à fond de la situation. Perdant toute retenue, c’est à pleines mains que je me mets à malaxer la poitrine de la voisine. Les soupesant et appréciant leur élasticité. Puis je me saisis de ma queue bandée. Avec mon gland, je me mets à la frotter sur la généreuse poitrine. Passant d’un sein à l’autre. Je suis comme aliéné et maintenant prêt à toutes les malices.
J’approche ma figure au niveau de ses pieds encore chaussés. Je déchausse le droit m’attarde un moment sur son pied avant de me laisser tenter à faire grimper mes lèvres le long des sa jambe. Arrivé en haut de sa cuisse, je marque une pause, détaillant ses jambes. Puis je reprends ma découverte. J’entends pour la première fois Claudine gémir doucement.
Mes mains repartent en exploration et c’est avec délice qu’elles reprennent possession des fesses. Mes doigts parcourent sa raie, titillant l’anus et jouant avec les petits plis de ce dernier. Je descends encore et me mets en devoir de tâter sa figue, en appréciant sa texture. Puis délicatement, d’une main, j’entrouvre ses lèvres. Cette image de la partie la plus intime de la voisine est celle de trop. Je sens maintenant monter en moi une jouissance et je sais que je ne pourrais tenir plus longtemps.
Je saisis alors rapidement mon sexe tendu et entame un furieux branle. La jouissance ne tarde pas, brutale. Je me vide, de grands jets de sperme épais giclent, atterrissant sur le dos et les fesses de Claudine. Le sperme dégouline partout, jusque sur son sexe entrouvert.
Je suis apaisé, mais je veux encore profiter du spectacle. Me repositionne, le visage à quelques centimètres de son sexe, humant avec délectation son odeur propre. Ceci me donne une nouvelle vigueur et je sens ma queue durcir à nouveau. Je me saisis une fois encore la main de la voisine et la pose une fois encore sur ma verge puis, refermant ses doigts dessus j’entame un lent va-et-vient.
Je lâche sa main et Claudine continue à me branler.
-Oui… oui Claudine, faite-moi jouir…
-Comme je fais c’est bien ?
-C’est parfait…
J’ai joui quelques instants plus tard, pour mon plus grand plaisir et celui de ma vieille voisine.
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