MA VOISINE BRIGITTE ET MOI...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MA VOISINE BRIGITTE ET MOI...
Je regardais la pendule situé sur la table de chevet pour m’apercevoir qu’il était l’heure de me préparer pour aller en court. À regret je coupais le disque qui tournait sur la platine. Finis Verdun ou Carcassonne. Un album fraichement sortie des bacs. J’enfilais mon blouson. Me saisis du cartable rouge qui faisait très sage écolier. Un choix de ma chère maman. J’y enfournais quelques affaires pour les courts de l’après-midi et je désertais la chambre. J’avais autant envie de prendre le chemin du lycée que celui de me suicider.
Alors que je pesais sur la poignée de la porte d’entrée, j’avertis à haute voix ma mère de mon départ. La lumière du pallier était déjà allumer, je m’engageais à descendre la première marche quand j’entendis qu’à l’étage inférieur en déverrouiller une porte. Deux rangées de marches plus tard, je surpris la voisine, Brigitte de son prénom, penchée sur ses bottes en train de faire glisser les fermetures Éclair. Elle venait de raccompagner ses jumelles à l’école. Une fine couche de neige soulignait la couture de ses chaussures. Trop préoccupée à ce qu’elle faisait, elle ne m’avait même pas calculé. Ce fut suite à un grincement de marche qu’elle s’aperçut de ma présence. Elle se redressa et prenant appuie à la rampe, elle se déchaussa tout en s’intéressant de moi du regard. Je n’avais à cet instant que d’yeux sur le pied gainé de nylon blanc qui sortie de la prison de cuir.
Putain ! Que j’avais une envie folle de toucher ce pied, de le sentir son odeur, de découvrir son goût.
- Salut jeune homme, fit-elle, en enfouissant le pied dans son chausson.
- Bonjour Madame. Répondais-je.
- Sale temps pour mettre un pied dehors ! Et le plus beau c’est qu’il prévoit à la météo, de nouveau de la neige ses prochains jours…
- Moi, je trouve cela très plaisant… un paysage tout blanc…
- … Oui et bien pas moi, si tu veux savoir. Et en plus de ça ils te font attendre une plombe devant les grilles de l’école. J’ai les pieds comme des glaçons.
- Il suffit seulement de les masser…
- Oui, c’est-ce qu’aurait fait mon mari s’il avait été là.
- Cela ne doit pas être la panacée pour lui de conduire son camion sur ses routes enneigées.
- Oh ! Ça va de ce côté il se trouve en ce moment au sud de l’Espagne. Rétorquait-elle, enfouissant son second pied dans le chausson.
J’avais de plus en plus de mal à me contenir à ne pas me jeter à ses pieds. J’étais fétichiste des petons féminins. Cela m’était venu comme ça, seulement en les regardant, attendant sagement une occasion pour les toucher, voir même pour les embrasser. Ce que je comptais bien faire ce jour là.
- Vous savez ! Si cela pourrais vous soulager, je me porte volontaire pour vous les masser.
- Quelle culot !
- Mais madame ! Je voulais seulement vous rendre service. Il n’y a rien de fautif à toucher des pieds.
- Mais je le sais parfaitement… je te charrier.
- Vous savez il m’arrive de le faire à ma mère, pour vous dire…
- C’est très gentil de ta part, mais à voire ton cartable, il me semble que tu as court non ? Je me trompe ?
- Non… non ! Vous avez parfaitement raison. Mais dans une heure. J’adore arrivé avant l’heure. Rejoindre les copains, enfin ! Vous comprenez…
- Oui parfaitement… moi aussi à ton âge je préférais me trouver loin de mes parents… fit-elle en pouffant de rire.
Après avoir reprit son sérieux, elle me proposa :
- Tout bien réfléchie je vais accepter ta proposition tellement mes pieds me brûlent à l‘instant que je te parle. J’ai l’impression qu’on me les pique avec des milliers d’épingles…
Pendant qu’elle parlait, je me prenais à penser au nombre de fois où j’avais humé ses chaussures qu’elle avait laissé au pas de sa porte. J’attendais que la lumière du hall se coupe pour passer à l‘acte. Après les avoir humés, je les dévorais de baisers, finissant par lécher les semelles.
- Tu rêves pour pauvre garçon !
- Non… non, j’étais en train de penser…
- Qu’attends-tu ? Tu rentres oui ou non ?
- Oui… oui Madame, fis-je en sautant les deux marches qui me rester à descendre avant d’atteindre le palier. Trois pas de plus et j’étais dans l‘entrée. Hormis une bouffée de chaleur, une odeur forte de friture me titilla les narines.
- N’oublie pas de retirer tes chaussures, me lâcha-t-elle, alors qu’elle posait sa paire de botte souillée sur un petit paillasson.
Elle ôta son manteau qu’elle cloua sur une patère. Ses longs chevaux blonds, encadraient un visage ingénu, aux traits fins, ruisselaient sur un chemisier blanc fermé par une série de boutons. Sa jupe plissée en velours descendait sous le genou. À peine avais-je cloué à mon tour mon blouson, qu’elle me prit par la main, et m’entraîna jusqu’au salon, tout en tortillant des fesses. Mon cœur tapait lourdement dans ma poitrine. Une laque sueur poissait mon dos. L’appartement était spacieuse, confortablement meublée.
Sitôt assis sur le canapé, elle se débarrassa de ses chaussons, puis s’y allongea de tout son long. Elle fit alors pivoter ses jambes pour les poser en appui sur mes genoux.
La télévision était allumée. À l’écran je reconnu Martine Chardon la présentatrice d’Aujourd’hui Madame, une émission que suivait aussi ma mère, là-haut au-dessus de nos têtes.
Sans perdre de temps, je me saisis entre mes mains un de ses pieds, et m’affairais de le réchauffer. Le contact avec ce peton gelé ensaché de nylon moite de sueur avait été pour moi aussi divin que le bouquet final d’un feu d’artifice. Pour vous dire mon émotion à cet instant là.
Elle s’attarda quelques instant à regarder mes doigts massaient lentement la voûte plantaire, avant de s’intéresser à ce qui se disait à l‘émission. Avec des gestes précis, je frictionnais savamment le pied. Certains auraient été dégoûtés d’y promener leurs doigts, mais pas moi. Tout au contraire, je prenais un certain plaisir, au point d’en avoir la verge, prendre de la consistance dans mon slip. Et la coquine ne mit pas longtemps à s’en apercevoir :
- Mais dis-moi, fit-elle à haute voix, me faisant sursauter. J’ai l’impression que tout ça à tendance à t’exciter.
- J’avoue que oui, vous avez de si jolis pieds !
D’un mouvement brusque elle récupéra son bien et elle lâcha :
- Montre-moi ça…
- Pardon !
- Retire ton pantalon…
Ma surprise fut telle, je restais sans réaction. D’un mouvement rapide, elle se précipitait à mes pieds. Elle me déboutonna ma braguette, et se retrouva-en tête à tête avec ma verge dressée. Cette confrontation lui donnait de l’audace. À en ouvrir mon pantalon, qu’elle tirait vers le bas pour me l‘ôter. Je soulevais mes fesses pour permettre le passage. Elle soupesa mes grosses couilles recouvertes de poils, avant d’y passer sa langue. Puis les goba, une puis l’autre pour mon plus grand plaisir.
Elle me happa la verge entre ses lèvres qui devint encore plus grosse, emplissant sa bouche.
Ce fut pour elle comme un déclic pour passer à autre chose. Le temps de se débarrasser de tout ce qui pourrait la gêner, puis elle vint s’accroupir sur moi. Elle ouvrait sa vulve du bout des doigts, puis insinua la pointe de ma verge entre les muqueuses humides. Un incroyable plaisir m'avait envahi lorsque Brigitte s’était laissée glissée sur ma verge, l’engloutissant entièrement dans son vagin. Elle entama très vite un va-et-vient de haut en bas. Soupirant de plus en plus fort alors que les parois de son con massaient agréablement ma queue.
Quand la jouissance l’emporta, elle frémissait de tout son corps. Engendrant des contractions plus intenses sur son vagin, qui engendrèrent mon éjaculation. Elle jouissait une seconde fois alors que je m’épandais en elle. La délectation absorbée, elle se dégagea de ma monture, prenant place à mes côtés.
- C’était bon ! Tu ne trouves pas ?
- Oui ! Très bon même…
- Mieux qu’avec la voisine du troisième ?
- Je ne vois pas où vous voulez en venir…
- Aller, je ne prends pour une niaise. Tu ne vas pas tout de même me faire croire qu’il ne se passe rien entre toi et la Bernadette.
- Non ! Où allez-vous donc chercher cela.
- C’est que j’ai remarqué que tu as passé pas mal de temps avec elle à la cour de la saison chaude, voilà ce qui me fait penser à cela. Et arrête veux-tu avec tes tu…
- Oh ! Il y a un malentendu, c’était pour lui donner un coup de main au potager.
- Seulement pour le potager ?
- Oui ! Seulement !
- Tu mens ! Fit-elle les yeux dans les yeux.
- Pas du tout, je dis que c’est la vérité…
- Et bien mon grand tu es un con…
- Comment ça ?
- Je suis assurément sûr que tu peux te la baiser cette pimbêche. D’ailleurs elle n’attend que ça. À l’époque où on s’adresser la parole, elle m’avait confessé qu’elle s’était marié à vingt-un ans, et qu’après la naissance de son troisième enfants c’est-à-dire Muriel, (ma copine de cul soit dit en passant), elle avait le sexe qui somnolait. Pour de dire ! Et ce que je te dis, remonte déjà à quelques mois. Alors crois moi mon grand, si un jour l’envie te venait de lui mettre une troussée, n‘hésite pas, fonce. Elle n’en sera que plus reconnaissante. Mais avant, j’ai encore envie de ta queue. Gare-là moi de nouveau dans mon garage.
Je la renversais sur le divan. Son sexe me narguer en se tortillant indécemment, les poils de sa toison avaient perdu de leur superbe. Ils étaient poisseux, collés et emmêlés. Mais à la voir dans cet état, j’étais de nouveau excité. Nous étions vraiment faits pour nous entendre !
J’entamais un va-et-vient rapide entre ses jambes. Elle s’y abandonna clouée sur les coussins, avant de se m’être à me décocher de grands coups de reins. Nos corps tressautaient sur le divan. À le faire se déplaçait sur le parquet. L’odeur de sexe et de sueur se mêlaient, s’entrechoquaient. Nos ventres faisaient de petits bruits visqueux en se décollant. Se mêlant aux clapotis du vagin.
C’était une lutte muette vicieuse, sans merci.
Malgré une première éjaculation, je n’ai pus résisté plus longtemps. Je lui ai envoyé tout ce que j’avais au fond du corps, la faisant beugler sous l‘arrosage.
Complètement exténué, je me suis affalé sur elle, écrasant son corps sous le mien. Les yeux dans les yeux, sans autre expression qu’un grand sourire en guise de merci, du plaisir partagé dans ces dernières minutes.
Alors que je pesais sur la poignée de la porte d’entrée, j’avertis à haute voix ma mère de mon départ. La lumière du pallier était déjà allumer, je m’engageais à descendre la première marche quand j’entendis qu’à l’étage inférieur en déverrouiller une porte. Deux rangées de marches plus tard, je surpris la voisine, Brigitte de son prénom, penchée sur ses bottes en train de faire glisser les fermetures Éclair. Elle venait de raccompagner ses jumelles à l’école. Une fine couche de neige soulignait la couture de ses chaussures. Trop préoccupée à ce qu’elle faisait, elle ne m’avait même pas calculé. Ce fut suite à un grincement de marche qu’elle s’aperçut de ma présence. Elle se redressa et prenant appuie à la rampe, elle se déchaussa tout en s’intéressant de moi du regard. Je n’avais à cet instant que d’yeux sur le pied gainé de nylon blanc qui sortie de la prison de cuir.
Putain ! Que j’avais une envie folle de toucher ce pied, de le sentir son odeur, de découvrir son goût.
- Salut jeune homme, fit-elle, en enfouissant le pied dans son chausson.
- Bonjour Madame. Répondais-je.
- Sale temps pour mettre un pied dehors ! Et le plus beau c’est qu’il prévoit à la météo, de nouveau de la neige ses prochains jours…
- Moi, je trouve cela très plaisant… un paysage tout blanc…
- … Oui et bien pas moi, si tu veux savoir. Et en plus de ça ils te font attendre une plombe devant les grilles de l’école. J’ai les pieds comme des glaçons.
- Il suffit seulement de les masser…
- Oui, c’est-ce qu’aurait fait mon mari s’il avait été là.
- Cela ne doit pas être la panacée pour lui de conduire son camion sur ses routes enneigées.
- Oh ! Ça va de ce côté il se trouve en ce moment au sud de l’Espagne. Rétorquait-elle, enfouissant son second pied dans le chausson.
J’avais de plus en plus de mal à me contenir à ne pas me jeter à ses pieds. J’étais fétichiste des petons féminins. Cela m’était venu comme ça, seulement en les regardant, attendant sagement une occasion pour les toucher, voir même pour les embrasser. Ce que je comptais bien faire ce jour là.
- Vous savez ! Si cela pourrais vous soulager, je me porte volontaire pour vous les masser.
- Quelle culot !
- Mais madame ! Je voulais seulement vous rendre service. Il n’y a rien de fautif à toucher des pieds.
- Mais je le sais parfaitement… je te charrier.
- Vous savez il m’arrive de le faire à ma mère, pour vous dire…
- C’est très gentil de ta part, mais à voire ton cartable, il me semble que tu as court non ? Je me trompe ?
- Non… non ! Vous avez parfaitement raison. Mais dans une heure. J’adore arrivé avant l’heure. Rejoindre les copains, enfin ! Vous comprenez…
- Oui parfaitement… moi aussi à ton âge je préférais me trouver loin de mes parents… fit-elle en pouffant de rire.
Après avoir reprit son sérieux, elle me proposa :
- Tout bien réfléchie je vais accepter ta proposition tellement mes pieds me brûlent à l‘instant que je te parle. J’ai l’impression qu’on me les pique avec des milliers d’épingles…
Pendant qu’elle parlait, je me prenais à penser au nombre de fois où j’avais humé ses chaussures qu’elle avait laissé au pas de sa porte. J’attendais que la lumière du hall se coupe pour passer à l‘acte. Après les avoir humés, je les dévorais de baisers, finissant par lécher les semelles.
- Tu rêves pour pauvre garçon !
- Non… non, j’étais en train de penser…
- Qu’attends-tu ? Tu rentres oui ou non ?
- Oui… oui Madame, fis-je en sautant les deux marches qui me rester à descendre avant d’atteindre le palier. Trois pas de plus et j’étais dans l‘entrée. Hormis une bouffée de chaleur, une odeur forte de friture me titilla les narines.
- N’oublie pas de retirer tes chaussures, me lâcha-t-elle, alors qu’elle posait sa paire de botte souillée sur un petit paillasson.
Elle ôta son manteau qu’elle cloua sur une patère. Ses longs chevaux blonds, encadraient un visage ingénu, aux traits fins, ruisselaient sur un chemisier blanc fermé par une série de boutons. Sa jupe plissée en velours descendait sous le genou. À peine avais-je cloué à mon tour mon blouson, qu’elle me prit par la main, et m’entraîna jusqu’au salon, tout en tortillant des fesses. Mon cœur tapait lourdement dans ma poitrine. Une laque sueur poissait mon dos. L’appartement était spacieuse, confortablement meublée.
Sitôt assis sur le canapé, elle se débarrassa de ses chaussons, puis s’y allongea de tout son long. Elle fit alors pivoter ses jambes pour les poser en appui sur mes genoux.
La télévision était allumée. À l’écran je reconnu Martine Chardon la présentatrice d’Aujourd’hui Madame, une émission que suivait aussi ma mère, là-haut au-dessus de nos têtes.
Sans perdre de temps, je me saisis entre mes mains un de ses pieds, et m’affairais de le réchauffer. Le contact avec ce peton gelé ensaché de nylon moite de sueur avait été pour moi aussi divin que le bouquet final d’un feu d’artifice. Pour vous dire mon émotion à cet instant là.
Elle s’attarda quelques instant à regarder mes doigts massaient lentement la voûte plantaire, avant de s’intéresser à ce qui se disait à l‘émission. Avec des gestes précis, je frictionnais savamment le pied. Certains auraient été dégoûtés d’y promener leurs doigts, mais pas moi. Tout au contraire, je prenais un certain plaisir, au point d’en avoir la verge, prendre de la consistance dans mon slip. Et la coquine ne mit pas longtemps à s’en apercevoir :
- Mais dis-moi, fit-elle à haute voix, me faisant sursauter. J’ai l’impression que tout ça à tendance à t’exciter.
- J’avoue que oui, vous avez de si jolis pieds !
D’un mouvement brusque elle récupéra son bien et elle lâcha :
- Montre-moi ça…
- Pardon !
- Retire ton pantalon…
Ma surprise fut telle, je restais sans réaction. D’un mouvement rapide, elle se précipitait à mes pieds. Elle me déboutonna ma braguette, et se retrouva-en tête à tête avec ma verge dressée. Cette confrontation lui donnait de l’audace. À en ouvrir mon pantalon, qu’elle tirait vers le bas pour me l‘ôter. Je soulevais mes fesses pour permettre le passage. Elle soupesa mes grosses couilles recouvertes de poils, avant d’y passer sa langue. Puis les goba, une puis l’autre pour mon plus grand plaisir.
Elle me happa la verge entre ses lèvres qui devint encore plus grosse, emplissant sa bouche.
Ce fut pour elle comme un déclic pour passer à autre chose. Le temps de se débarrasser de tout ce qui pourrait la gêner, puis elle vint s’accroupir sur moi. Elle ouvrait sa vulve du bout des doigts, puis insinua la pointe de ma verge entre les muqueuses humides. Un incroyable plaisir m'avait envahi lorsque Brigitte s’était laissée glissée sur ma verge, l’engloutissant entièrement dans son vagin. Elle entama très vite un va-et-vient de haut en bas. Soupirant de plus en plus fort alors que les parois de son con massaient agréablement ma queue.
Quand la jouissance l’emporta, elle frémissait de tout son corps. Engendrant des contractions plus intenses sur son vagin, qui engendrèrent mon éjaculation. Elle jouissait une seconde fois alors que je m’épandais en elle. La délectation absorbée, elle se dégagea de ma monture, prenant place à mes côtés.
- C’était bon ! Tu ne trouves pas ?
- Oui ! Très bon même…
- Mieux qu’avec la voisine du troisième ?
- Je ne vois pas où vous voulez en venir…
- Aller, je ne prends pour une niaise. Tu ne vas pas tout de même me faire croire qu’il ne se passe rien entre toi et la Bernadette.
- Non ! Où allez-vous donc chercher cela.
- C’est que j’ai remarqué que tu as passé pas mal de temps avec elle à la cour de la saison chaude, voilà ce qui me fait penser à cela. Et arrête veux-tu avec tes tu…
- Oh ! Il y a un malentendu, c’était pour lui donner un coup de main au potager.
- Seulement pour le potager ?
- Oui ! Seulement !
- Tu mens ! Fit-elle les yeux dans les yeux.
- Pas du tout, je dis que c’est la vérité…
- Et bien mon grand tu es un con…
- Comment ça ?
- Je suis assurément sûr que tu peux te la baiser cette pimbêche. D’ailleurs elle n’attend que ça. À l’époque où on s’adresser la parole, elle m’avait confessé qu’elle s’était marié à vingt-un ans, et qu’après la naissance de son troisième enfants c’est-à-dire Muriel, (ma copine de cul soit dit en passant), elle avait le sexe qui somnolait. Pour de dire ! Et ce que je te dis, remonte déjà à quelques mois. Alors crois moi mon grand, si un jour l’envie te venait de lui mettre une troussée, n‘hésite pas, fonce. Elle n’en sera que plus reconnaissante. Mais avant, j’ai encore envie de ta queue. Gare-là moi de nouveau dans mon garage.
Je la renversais sur le divan. Son sexe me narguer en se tortillant indécemment, les poils de sa toison avaient perdu de leur superbe. Ils étaient poisseux, collés et emmêlés. Mais à la voir dans cet état, j’étais de nouveau excité. Nous étions vraiment faits pour nous entendre !
J’entamais un va-et-vient rapide entre ses jambes. Elle s’y abandonna clouée sur les coussins, avant de se m’être à me décocher de grands coups de reins. Nos corps tressautaient sur le divan. À le faire se déplaçait sur le parquet. L’odeur de sexe et de sueur se mêlaient, s’entrechoquaient. Nos ventres faisaient de petits bruits visqueux en se décollant. Se mêlant aux clapotis du vagin.
C’était une lutte muette vicieuse, sans merci.
Malgré une première éjaculation, je n’ai pus résisté plus longtemps. Je lui ai envoyé tout ce que j’avais au fond du corps, la faisant beugler sous l‘arrosage.
Complètement exténué, je me suis affalé sur elle, écrasant son corps sous le mien. Les yeux dans les yeux, sans autre expression qu’un grand sourire en guise de merci, du plaisir partagé dans ces dernières minutes.
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