Ma voisine est une bombe latine
Récit érotique écrit par Karen1964 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma voisine est une bombe latine
Je souhaiterais vous raconter l'histoire suivante, qui m'est arrivée il y a une dizaine d'années.
A l'époque j'habitais déjà dans l'appartement que j'occupe actuellement. Il se trouve au dernier étage d'un immeuble, un grand salon et une cuisine d'un coté, ma chambre à coucher et un petit bureau de l'autre coté. La chambre à coucher donne également sur une grande terrasse, ce qui est pratique c'est qu'il n'y a aucun vis-à-vis, en effet les immeubles voisins sont plus bas que le mien donc je peux en profiter pour prendre le soleil en toute tranquillité, le plus souvent dans la tenue d'Eve. Il y a la terrasse de l'appartement voisin, mais une grande barrière nous sépare, il faut être très acrobate pour réussir à voir quelquechose par dessus.
Au mois de mai un nouveau couple s'est installé en face, Jean-Claude et Susana, un petit bout de femme d'origine sud-américaine aux formes pulpeuses comme j'ai pu le constater lorsqu'ils ont invité tout l'immeuble pour fêter leur arrivée. La moitié ne sont hélas pas venus, ce qui n'était pas très gentil, passons. Je ne garderai pas un souvenir impérissable de Jean-Claude, il donnait l'impression de vouloir être ailleurs et ne se mêlait pas vraiment aux discussions. Susana par contre était tout son contraire, très agréable et ouverte, discutant et rigolant avec tout le monde, et très tactile également. La soirée s'est très bien passée finalement, j'ai pris beaucoup de plaisir à apprendre à la connaître, et me suis réjouie d'entamer des bons rapports de voisinage avec elle.
Quelque temps plus tard, c'était un dimanche en fin d'après-midi, je profitais des derniers rayons de soleil sur ma terrasse, nue dans le transat, en sirotant un verre de rosé bien frais. La sonnette de la porte a retenti, je me suis mise un paréo puis suis allée ouvrir. C'était Susana. Elle m'a demandé si je pouvais lui prêter un peu de sucre, en effet ils avaient pour tradition de préparer un gâteau aux pommes avant que son mari ne parte en déplacement professionnel pour la semaine, ce qui lui arrivait relativement souvent m'a-t-elle fait comprendre. Je l'ai invitée à entrer chez moi, puis nous sommes allées dans la cuisine. Je lui ai remis un paquet de sucre, puis nous avons discuté un peu, avant qu'elle ne retourne chez elle pour préparer le gâteau.
Le lendemain il faisait de nouveau temps superbe, comme durant toute la semaine d'ailleurs. A l'époque je terminais le travail plus tôt, ayant moins de responsabilités qu'actuellement, et je profitais de décompresser de la journée en buvant mon verre de rosé habituel, allongée nue sur mon transat. A un moment j'ai entendu du bruit provenant de la terrasse de Susana, elle devait sûrement faire pareil que moi, alors que son mari était absent. J'ai continué à feuilleter mon magazine, puis j'ai entendu un bruit qui me semblait familier. Tendant l'oreille je n'ai d'abord pas voulu le croire, mais c'était bien un bruit de succion, comme lorsque je me doigte. Susana se masturbait donc seule sur sa terrasse, ne sachant pas que je me trouvais à quelques mètres d'elle ! Cela a duré quelques minutes, puis la cadence s'est accélérée et j'ai entendu un petit cri étouffé, signifiant l'atteinte de sa jouissance. Puis j'ai entendu qu'elle a rangé le fauteuil et est rentrée chez elle. Cette écoute m'a évidemment excitée à mon tour, et je suis rentrée me caresser dans mon lit.
Le jour d'après, mardi, le même scénario s'est reproduit. Cette fois je me suis mise à me caresser pendant qu'elle le faisait de son coté, en essayant de faire le moins de bruit possible.
Encore le lendemain, mercredi soir, je me suis demandée si elle allait recommencer. Alors que j'étais couchée dans mon transat, elle n'a pas tardé à recommencer. Cette fois je me suis dit qu'il fallait que je force le destin. Je me suis vêtue de mon paréo, puis suis allée sonner à sa porte, je voulais prétexter un manque de café et lui demander de m'en prêter un peu pour le lendemain matin. Après avoir sonné chez elle, je l'ai entendue dire "un moment", puis est venue ouvrir. J'ai tout de suite remarqué ses joues rougies, et sa respiration rapide. Elle était habillée d'un petit short et d'un top, et je n'ai pas pu m'empêcher de la détailler de la tête aux pieds.
- Bonsoir, je m'excuse de te déranger, mais je n'ai plus de café, pourrais-tu m'en prêter un peu pour demain matin ?
- Oui bien sûr, entre donc, je vais te donner ça.
Nous sommes allées dans sa cuisine, et en passant j'ai remarqué sur le lit de la chambre à coucher sa petite culotte et son soutien-gorge jetés sur le lit. Je lui ai demandé :
- Est-ce que tu voudrais venir boire un petit verre chez moi sur la terrasse, nous pourrions discuter un peu ?
- Oui, volontiers, mais vas-y déjà, j'arrive dans 2 petites minutes.
- D'accord, je laisse la porte entrouverte.
Je suis retournée chez moi, ou elle m'a rejointe tout de suite après. J'ai vu qu'elle avait remis ses sous-vêtements, le soutien gorge était visible sous son top. Pour ma part j'avais toujours mon paréo et rien en dessous. Nous sommes sorties sur la terrasse et je lui ai servi un verre de rosé. Le soleil allait encore briller pendant une demi-heure. Je lui ai dit :
- J'adore cette terrasse, j'aime profiter du soleil ici. Toi aussi tu le fais chez toi ?
- Euh.. oui ça m'arrive oui.
- En plus nous sommes tranquilles ici, personne ne peut voir ce que l'on fait ais-je dit en lui faisant un petit clin d'oeil.
Elle a rougi et a détourné son regard, je me suis demandée si elle savait que je savais...
- Voudrais-tu en profiter chez moi pour ce soir ? Mais je te préviens, je suis nature et j'aime prendre le soleil nue, j'espère que cela ne te dérange pas ?
- Euh.. non bien sûr, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux, m'a-t-elle dit en souriant.
Je me suis levée pour enlever mon paréo. Je sentais la chaleur envahir mon bas-ventre alors que son regard parcourait mon corps.
- Tu peux faire pareil si tu veux Susana, ne te gêne pas pour moi.
- D'accord alors.
Elle à retiré son top et son short, me laissant admirer ses dessous. Puis elle a retiré son soutien-gorge, dévoilant une superbe poitrine, des seins imposants et relativement fermes, avant d'enlever sa petite culotte. Ses fesses étaient larges, avec des jolies cuisses galbées, et un petit minou très bien entretenu, elle avait une petite barre horizontale comme toison. Nous nous sommes allongées sur notre transat respectif et avons trinqué. Je ne pouvais pas enlever mon regard de sa poitine, dont les tétons pointaient. Elle m'a simplement souri, et a pris ma main. Nous sommes restées allongées, la main dans la main, sans rien dire, simplement à nous regarder dans les yeux. Puis je lui ai dit :
- Tu est vraiment très belle, tu me donnes envie de t'embrasser, me le permets-tu ?
- J'en ai envie moi aussi...
Je me suis approchée, une main sous son coude, l'autre main derrière sa nuque, pour approcher mon visage et déposer mes lèvres sur les siennes. Nos langues se sont trouvées alors que nos mains parcouraient nos dos, en nous collant l'une à l'autre. Elle m'a dit :
- Tu sais Karen, depuis la soirée chez moi, j'ai eu envie de mieux te connaître, mais je n'osais espérer que cela se passe de cette manière...
- Moi aussi j'ai tout de suite flashé sur toi, mais je n'osais pas faire le premier pas. Ce soir je ne sais pas ce qui m'a pris, j'en avais trop envie...
Nous avons continué à nous embrasser, nos mains caressant nos seins et nos fesses. Je l'ai faite se mettre en arrière sur le transat, et me suis accroupie devant elle, en lui écartant les jambes. J'ai commencé à lui faire des bisous sur les genoux, pour remonter sur l'intérieur des cuisses, donnant des petits coups de langue au passage, avant d'arriver au niveau de sa chatte. J'ai fait le tour avec la langue, avant de doucement lécher son clito qui sortait d'entre ses lèvres. N'y tenant plus je l'ai pris entre mes lèvres et ai commencé à le sucer. Elle poussait des petits gémissements en se tortillant dans le fauteuil. Mes mains ont agrippé ses seins, je sentais ses pointes bien dure entre mes doigts, pendant que ma langue alternait entre son clito et pénétrait son petit minou. Au bout d'un moment elle a émis un petit râle, en serrant ses cuisses autour de mon visage. J'ai goûté son jus puis suis venue l'embrasser et lui faire profiter de son goût à son tour. Reprenant ses esprits elle m'a rendue la pareille, je me suis installée sur mon transat et ai écarté mes cuisses afin qu'elle s'occupe de moi. Elle m'a léché les lèvres et mon clito, avant de mettre un doigt, puis deux, me pénétrant ainsi, d'abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Je n'ai pas tardé à jouir à mon tour grace à sa langue, me laissant emporter dans un merveilleux orgasme.
Le soleil ayant désormais disparu derrière l'horizon je lui ai proposé d'aller dans la chambre où nos serions plus à l'aise. Nous avons refait l'amour dans mon lit, puis je lui ai suggéré de rester chez moi pour manger un morceau, avant de passer la nuit ensemble. Après avoir refait l'amour encore une fois, nous avons discuté un peu.
- Est-ce que tu manques vraiment de café ? J'ai vu un paquet plein dans ta cuisine ?
- Euh... en fait non, mais je t'ai entendue sur ta terrasse ces derniers jours, et je me suis dit qu'il fallait que j'en sache plus, en éclatant de rire.
- Tu m'as entendue ? C'est vrai ?
- Oui, tu étais discrète, mais pas assez, avant de repartir dans un éclat de rire.
Nous nous sommes endormies, puis le lendemain matin nous sommes levées tôt, avant de partir à notre travail respectif. Nous avons pris rendez-vous pour le soir pour continuer nos séances.
Cette fois nous avons essayé mes divers jouets pour nous faire plaisir, et jouir grace à eux, nos mains ainsi que nos langues. Nous ne sommes pas uniquement restées au lit. Après nous être doigtées, elle a mis mon gode-ceinture pour le garder pendant le repas. Pendant que je préparais à manger elle m'a prise dans la cuisine, puis ensuite nous sommes allées prendre une douche, ou elle m'a de nouveau prise dans la baignoire. Elle m'a également avoué apprécier la soumission, chose dont je n'ai pas trop l'expérience, mais qui s'est bien passée tout de même. Je l'ai attachée sur le lit avant de la pénétrer avec le gode-ceinture sur moi cette fois. Puis toujours attachée, elle m'a demandé si j'avais des bougies. J'en avais, elle m'a demandée d'en allumer une et de laisser la cire d'écouler sur ses tétons ainsi que sur son clito. Je lui ai demandé de me rendre la pareille, c'était la première fois que j'en faisais l'expérience. La chaleur de la cire sur mes tétons m'a excitée à un point inimaginable je dois avouer, puis elle m'a de nouveau prise avec le gode-ceinture. Nous sommes repassées sous la douche, puis sommes allées nous coucher ensemble dans mon lit pour essayer de dormir un peu.
Le lendemain matin au réveil, je me suis jetée sur elle, la couvrant de baiser et de léchouilles, avant de venir lui sucer son clito, en me mettant en position de 69. Nous avons joui ensemble, puis avons pris la douche ensemble en nous mettant le pommeau sur nos chattes respectives, jouissant une dernière fois avant de nous séparer pour aller au travail. Le soir son mari allait rentrer, nous ne nous sommes donc pas revues avant son prochain déplacement.
Ils ont déménagé après une année à mon grand regret, mais nous nous sommes vite retrouvées à chaque fois que son mari était absent. Elle m'a avoué qu'il n'était pas trop porté sur le sexe, et que de son coté il ne pensait qu'à sa jouissance, la laissant frustrée la plupart du temps. Nous avons gardé le contact après qu'ils ne soient partis, et nous continuons à nous écrire, mais hélas nous ne nous sommes pas revues depuis qu'ils sont partis vivre dans un autre pays européen.
Bisous, Karen.
A l'époque j'habitais déjà dans l'appartement que j'occupe actuellement. Il se trouve au dernier étage d'un immeuble, un grand salon et une cuisine d'un coté, ma chambre à coucher et un petit bureau de l'autre coté. La chambre à coucher donne également sur une grande terrasse, ce qui est pratique c'est qu'il n'y a aucun vis-à-vis, en effet les immeubles voisins sont plus bas que le mien donc je peux en profiter pour prendre le soleil en toute tranquillité, le plus souvent dans la tenue d'Eve. Il y a la terrasse de l'appartement voisin, mais une grande barrière nous sépare, il faut être très acrobate pour réussir à voir quelquechose par dessus.
Au mois de mai un nouveau couple s'est installé en face, Jean-Claude et Susana, un petit bout de femme d'origine sud-américaine aux formes pulpeuses comme j'ai pu le constater lorsqu'ils ont invité tout l'immeuble pour fêter leur arrivée. La moitié ne sont hélas pas venus, ce qui n'était pas très gentil, passons. Je ne garderai pas un souvenir impérissable de Jean-Claude, il donnait l'impression de vouloir être ailleurs et ne se mêlait pas vraiment aux discussions. Susana par contre était tout son contraire, très agréable et ouverte, discutant et rigolant avec tout le monde, et très tactile également. La soirée s'est très bien passée finalement, j'ai pris beaucoup de plaisir à apprendre à la connaître, et me suis réjouie d'entamer des bons rapports de voisinage avec elle.
Quelque temps plus tard, c'était un dimanche en fin d'après-midi, je profitais des derniers rayons de soleil sur ma terrasse, nue dans le transat, en sirotant un verre de rosé bien frais. La sonnette de la porte a retenti, je me suis mise un paréo puis suis allée ouvrir. C'était Susana. Elle m'a demandé si je pouvais lui prêter un peu de sucre, en effet ils avaient pour tradition de préparer un gâteau aux pommes avant que son mari ne parte en déplacement professionnel pour la semaine, ce qui lui arrivait relativement souvent m'a-t-elle fait comprendre. Je l'ai invitée à entrer chez moi, puis nous sommes allées dans la cuisine. Je lui ai remis un paquet de sucre, puis nous avons discuté un peu, avant qu'elle ne retourne chez elle pour préparer le gâteau.
Le lendemain il faisait de nouveau temps superbe, comme durant toute la semaine d'ailleurs. A l'époque je terminais le travail plus tôt, ayant moins de responsabilités qu'actuellement, et je profitais de décompresser de la journée en buvant mon verre de rosé habituel, allongée nue sur mon transat. A un moment j'ai entendu du bruit provenant de la terrasse de Susana, elle devait sûrement faire pareil que moi, alors que son mari était absent. J'ai continué à feuilleter mon magazine, puis j'ai entendu un bruit qui me semblait familier. Tendant l'oreille je n'ai d'abord pas voulu le croire, mais c'était bien un bruit de succion, comme lorsque je me doigte. Susana se masturbait donc seule sur sa terrasse, ne sachant pas que je me trouvais à quelques mètres d'elle ! Cela a duré quelques minutes, puis la cadence s'est accélérée et j'ai entendu un petit cri étouffé, signifiant l'atteinte de sa jouissance. Puis j'ai entendu qu'elle a rangé le fauteuil et est rentrée chez elle. Cette écoute m'a évidemment excitée à mon tour, et je suis rentrée me caresser dans mon lit.
Le jour d'après, mardi, le même scénario s'est reproduit. Cette fois je me suis mise à me caresser pendant qu'elle le faisait de son coté, en essayant de faire le moins de bruit possible.
Encore le lendemain, mercredi soir, je me suis demandée si elle allait recommencer. Alors que j'étais couchée dans mon transat, elle n'a pas tardé à recommencer. Cette fois je me suis dit qu'il fallait que je force le destin. Je me suis vêtue de mon paréo, puis suis allée sonner à sa porte, je voulais prétexter un manque de café et lui demander de m'en prêter un peu pour le lendemain matin. Après avoir sonné chez elle, je l'ai entendue dire "un moment", puis est venue ouvrir. J'ai tout de suite remarqué ses joues rougies, et sa respiration rapide. Elle était habillée d'un petit short et d'un top, et je n'ai pas pu m'empêcher de la détailler de la tête aux pieds.
- Bonsoir, je m'excuse de te déranger, mais je n'ai plus de café, pourrais-tu m'en prêter un peu pour demain matin ?
- Oui bien sûr, entre donc, je vais te donner ça.
Nous sommes allées dans sa cuisine, et en passant j'ai remarqué sur le lit de la chambre à coucher sa petite culotte et son soutien-gorge jetés sur le lit. Je lui ai demandé :
- Est-ce que tu voudrais venir boire un petit verre chez moi sur la terrasse, nous pourrions discuter un peu ?
- Oui, volontiers, mais vas-y déjà, j'arrive dans 2 petites minutes.
- D'accord, je laisse la porte entrouverte.
Je suis retournée chez moi, ou elle m'a rejointe tout de suite après. J'ai vu qu'elle avait remis ses sous-vêtements, le soutien gorge était visible sous son top. Pour ma part j'avais toujours mon paréo et rien en dessous. Nous sommes sorties sur la terrasse et je lui ai servi un verre de rosé. Le soleil allait encore briller pendant une demi-heure. Je lui ai dit :
- J'adore cette terrasse, j'aime profiter du soleil ici. Toi aussi tu le fais chez toi ?
- Euh.. oui ça m'arrive oui.
- En plus nous sommes tranquilles ici, personne ne peut voir ce que l'on fait ais-je dit en lui faisant un petit clin d'oeil.
Elle a rougi et a détourné son regard, je me suis demandée si elle savait que je savais...
- Voudrais-tu en profiter chez moi pour ce soir ? Mais je te préviens, je suis nature et j'aime prendre le soleil nue, j'espère que cela ne te dérange pas ?
- Euh.. non bien sûr, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux, m'a-t-elle dit en souriant.
Je me suis levée pour enlever mon paréo. Je sentais la chaleur envahir mon bas-ventre alors que son regard parcourait mon corps.
- Tu peux faire pareil si tu veux Susana, ne te gêne pas pour moi.
- D'accord alors.
Elle à retiré son top et son short, me laissant admirer ses dessous. Puis elle a retiré son soutien-gorge, dévoilant une superbe poitrine, des seins imposants et relativement fermes, avant d'enlever sa petite culotte. Ses fesses étaient larges, avec des jolies cuisses galbées, et un petit minou très bien entretenu, elle avait une petite barre horizontale comme toison. Nous nous sommes allongées sur notre transat respectif et avons trinqué. Je ne pouvais pas enlever mon regard de sa poitine, dont les tétons pointaient. Elle m'a simplement souri, et a pris ma main. Nous sommes restées allongées, la main dans la main, sans rien dire, simplement à nous regarder dans les yeux. Puis je lui ai dit :
- Tu est vraiment très belle, tu me donnes envie de t'embrasser, me le permets-tu ?
- J'en ai envie moi aussi...
Je me suis approchée, une main sous son coude, l'autre main derrière sa nuque, pour approcher mon visage et déposer mes lèvres sur les siennes. Nos langues se sont trouvées alors que nos mains parcouraient nos dos, en nous collant l'une à l'autre. Elle m'a dit :
- Tu sais Karen, depuis la soirée chez moi, j'ai eu envie de mieux te connaître, mais je n'osais espérer que cela se passe de cette manière...
- Moi aussi j'ai tout de suite flashé sur toi, mais je n'osais pas faire le premier pas. Ce soir je ne sais pas ce qui m'a pris, j'en avais trop envie...
Nous avons continué à nous embrasser, nos mains caressant nos seins et nos fesses. Je l'ai faite se mettre en arrière sur le transat, et me suis accroupie devant elle, en lui écartant les jambes. J'ai commencé à lui faire des bisous sur les genoux, pour remonter sur l'intérieur des cuisses, donnant des petits coups de langue au passage, avant d'arriver au niveau de sa chatte. J'ai fait le tour avec la langue, avant de doucement lécher son clito qui sortait d'entre ses lèvres. N'y tenant plus je l'ai pris entre mes lèvres et ai commencé à le sucer. Elle poussait des petits gémissements en se tortillant dans le fauteuil. Mes mains ont agrippé ses seins, je sentais ses pointes bien dure entre mes doigts, pendant que ma langue alternait entre son clito et pénétrait son petit minou. Au bout d'un moment elle a émis un petit râle, en serrant ses cuisses autour de mon visage. J'ai goûté son jus puis suis venue l'embrasser et lui faire profiter de son goût à son tour. Reprenant ses esprits elle m'a rendue la pareille, je me suis installée sur mon transat et ai écarté mes cuisses afin qu'elle s'occupe de moi. Elle m'a léché les lèvres et mon clito, avant de mettre un doigt, puis deux, me pénétrant ainsi, d'abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Je n'ai pas tardé à jouir à mon tour grace à sa langue, me laissant emporter dans un merveilleux orgasme.
Le soleil ayant désormais disparu derrière l'horizon je lui ai proposé d'aller dans la chambre où nos serions plus à l'aise. Nous avons refait l'amour dans mon lit, puis je lui ai suggéré de rester chez moi pour manger un morceau, avant de passer la nuit ensemble. Après avoir refait l'amour encore une fois, nous avons discuté un peu.
- Est-ce que tu manques vraiment de café ? J'ai vu un paquet plein dans ta cuisine ?
- Euh... en fait non, mais je t'ai entendue sur ta terrasse ces derniers jours, et je me suis dit qu'il fallait que j'en sache plus, en éclatant de rire.
- Tu m'as entendue ? C'est vrai ?
- Oui, tu étais discrète, mais pas assez, avant de repartir dans un éclat de rire.
Nous nous sommes endormies, puis le lendemain matin nous sommes levées tôt, avant de partir à notre travail respectif. Nous avons pris rendez-vous pour le soir pour continuer nos séances.
Cette fois nous avons essayé mes divers jouets pour nous faire plaisir, et jouir grace à eux, nos mains ainsi que nos langues. Nous ne sommes pas uniquement restées au lit. Après nous être doigtées, elle a mis mon gode-ceinture pour le garder pendant le repas. Pendant que je préparais à manger elle m'a prise dans la cuisine, puis ensuite nous sommes allées prendre une douche, ou elle m'a de nouveau prise dans la baignoire. Elle m'a également avoué apprécier la soumission, chose dont je n'ai pas trop l'expérience, mais qui s'est bien passée tout de même. Je l'ai attachée sur le lit avant de la pénétrer avec le gode-ceinture sur moi cette fois. Puis toujours attachée, elle m'a demandé si j'avais des bougies. J'en avais, elle m'a demandée d'en allumer une et de laisser la cire d'écouler sur ses tétons ainsi que sur son clito. Je lui ai demandé de me rendre la pareille, c'était la première fois que j'en faisais l'expérience. La chaleur de la cire sur mes tétons m'a excitée à un point inimaginable je dois avouer, puis elle m'a de nouveau prise avec le gode-ceinture. Nous sommes repassées sous la douche, puis sommes allées nous coucher ensemble dans mon lit pour essayer de dormir un peu.
Le lendemain matin au réveil, je me suis jetée sur elle, la couvrant de baiser et de léchouilles, avant de venir lui sucer son clito, en me mettant en position de 69. Nous avons joui ensemble, puis avons pris la douche ensemble en nous mettant le pommeau sur nos chattes respectives, jouissant une dernière fois avant de nous séparer pour aller au travail. Le soir son mari allait rentrer, nous ne nous sommes donc pas revues avant son prochain déplacement.
Ils ont déménagé après une année à mon grand regret, mais nous nous sommes vite retrouvées à chaque fois que son mari était absent. Elle m'a avoué qu'il n'était pas trop porté sur le sexe, et que de son coté il ne pensait qu'à sa jouissance, la laissant frustrée la plupart du temps. Nous avons gardé le contact après qu'ils ne soient partis, et nous continuons à nous écrire, mais hélas nous ne nous sommes pas revues depuis qu'ils sont partis vivre dans un autre pays européen.
Bisous, Karen.
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