Ma voisine l'infirmière
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma voisine l'infirmière
J'habite un petit village depuis toujours. J'exerce une profession libérale en ville et je pars vers 7 h 30 le matin pour être à l'heure à mon cabinet. Habite aussi près de chez moi une infirmière de l'hôpital pendant ses jours de congés. Il arrive fréquemment qu'elle me demande de la prendre avec moi pour rejoindre son travail. J'accepte toujours, au moins je peux parler à quelque un pendant le court voyage. C'est une fille d'un trentaine d'année, plutôt jolie, sexy, et célibataire: je ne connais pas sa vie en ville. Un matin donc, elle vient chez moi, me demande de l'emmener en ville.
Je ne suis pas tout à fait près: je sors à peine de mon bain. Elle m'attend, tranquillement dans le salon. C'est-ce que je pense. Quand je sors de la salle de bain, je la vois dans le couloir qui attendait de me voir nu. C'est vrai que je sors toujours en petite tenue du bain. Je la regarde dans les yeux, un peu gêné: elle a son regard uniquement sur mon sexe. Elle reste immobile un moment avant de venir prendre ma bite dans la main. Je me laisse faire comme un bleu. Elle se baisse légèrement pour poser un petit bisou juste sur le bout. Souvent petit bisou fini en grande baise. Je téléphone à ma secrétaire pour lui dire que je serais très en retard.
Je la fais entrer dans la chambre où les draps sont en désordre, comme tout les jours: la femme de ménage vient dans l'après midi. Je commence à bander dur. Elle le sent bien la coquine. Elle lâche un instant ma pine pour poser ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un baiser du genre porno.
Nos langues s'en donne à cœur joie. Je fouille sa bouche: sa salive a un goût différent des autres.
Elle reprend ma bite pour me branler: elle est parfaite dans ce rôle. Parfaite et à l'affût de mes réactions: elle arrête quand elle sent que je vais jouir. Elle me fait coucher, se déshabille sans chichi pour me rejoindre, elle n'a pas dessous je l'accueille en l'embrassant encore une fois.
Mes mains ne restent pas immobiles: je lui prends un sein sur lequel je m'acharne en caresses. Je passe mon pouce sur ses tétons, sans arrêt, sans trop y appuyer. Elle gémit: c'est la première fois que quelqu'un lui fait ça. Je fais pareil sur son autre sein. Elle a repris ma bite: si elle ne me branle plus, elle la tâte sans arrêt depuis le gland jusqu'aux couilles. J'enlève les mains de sa poitrine pour en mettre une sur son bas ventre: elle tend son pubis vers ma main. Je n'hésite pas un seul instant j'y met ma main dans sa fente. Je ne cherche pas à la faire jouir aussitôt: je veux connaître son abricot en entier avant d'aller me fixer là où j'ai envie.
Elle se laisse caresser comme je veux. Je lui frôle le cul avant d'aller lui caresser les grosses lèvres, puis m'aventurer dans son vagin. J'y laisse deux doigts que je vais aller et venir. Je trouve son point G et là, très doucement je passe mes doigts. Elle se crispe et je sens son vagin se serrer et s'ouvrir pendant cette jouissance. Je laisse passer l'orage pour aller caresser un autre endroit que j'aime bien: le clitoris. Là encore je la fais jouir.
Heureusement elle a repris ma bite pour la branler légèrement. Maintenant il m'en faut beaucoup plus. Je la couche sur le dos, elle écarte les jambes. Je me met sur elle, sans chercher encore à la baiser: je veux simplement l'embrasser profondément avant. J'ai ma langue dans sa bouche quand elle prend ma bite pour la mettre dans sa chatte. J'aurais voulu attendre un instant: trop tard, je suis en elle: c'est chaud humide à souhait. C'est bon.
Nous commençons une baise à laquelle je ne m'attendais pas: c'est une furie au lit. Je suis à peine au fond de son vagin qu'elle se déchaîne: elle assure à elle seule les vas et viens. Je la sens jouir plusieurs fois: c'est agréable de sentir ses spasme autour de ma bite. Heureusement que je suis résistant à la jouissance. Ce dont elle devait se douter. Elle en a assez de rester sous moi.
Elle m'enjambe, me tourne le dos, prend ma pine pour la mettre dans son anus. Comme elle est penchée en avant je vois bien ma bite entrer et sortir de son cul. Je la sens encore jouir. Elle sait que je n'ai pas encore jouis: elle accélère les mouvements de ses fesses et enfin je lui remplis son intérieur.
Quand elle revient vers moi, elle se couche encore à mes cotés, me demande de lui caresser les tétons comme je lui ai fait. Elle semble avoir pris goût à la chose. Elle reprend ma bite en main, me fait bander. Cette fois elle se tourne complètement pour une fellation: je n'ai jamais eu une telle impressions de plénitude qu'avec sa bouche. Elle fait tant et si bien que je jouis. Elle me tenait la bite avec sa main, je ne peux me dégager: je jouis dans sa bouche. Elle semble se régaler de mon sperme.
Nous finissons et enfin allons en ville. Pendant tout le trajet, c'est elle qui parle de ses expériences nombreuses.
Elle a baisé la première fois au village avec un garçon d'un autre village, pendant la fête. Elle en a jouit et depuis, elle ne se passe plus d'orgasmes: c'est plus fort qu'elle. Seule elle se branle toujours deux fois par jour, même ensuite à l'école d'infirmière. Là un soir elle s'est faite surprendre pas une autre élève qui au lieu de la dénoncer a préféré baiser avec elle. Depuis elle aime autant les filles que les garçons. A l'hôpital par contre elle s'abstient de tout débordement, mis à part ses masturbations journalières, sauf quand de nuit elle est de garde avec son amie. Elles ne se gênent plus pour se faire jouir; une assise, l'autre par terre, la tête entre les jambes de l'autre.
Elle a un logement en ville: elle ne reçoit personne, même pas son amante. Elle y a plusieurs godes dont elle se sert régulièrement.
J'ai donc affaire à une cinglée de la baise. D'ailleurs en me parlant elle s'excite tellement qu'elle relève sa jupe, passe sa main entre ses cuisses pour se branler devant moi. Je bande et le lui dit: pour le moment elle se donne du plaisir. Dès qu'elle a fini, elle me sort la pine, la prend dans la bouche. Je sais au moins une chose: il n'y aura pas de tâche suspecte sur mon siège. Quand elle a tout bien nettoyé elle remet sa main sur sa moule et recommence une branlette, juste avant d'arriver.
Elle vient toujours pour que je l'emmène en ville: elle arrive maintenant avec une heure d'avance.
Elle sait où me trouver: dans le bain: elle commence sa journée par me branler jusqu'à ce que le nuage de sperme surnage sur l'eau. Ensuite elle relève sa jupe ouvre ses jambes, en pose une sur la baignoire, juste à la hauteur de mon visage et se masturbe...
Je ne suis pas tout à fait près: je sors à peine de mon bain. Elle m'attend, tranquillement dans le salon. C'est-ce que je pense. Quand je sors de la salle de bain, je la vois dans le couloir qui attendait de me voir nu. C'est vrai que je sors toujours en petite tenue du bain. Je la regarde dans les yeux, un peu gêné: elle a son regard uniquement sur mon sexe. Elle reste immobile un moment avant de venir prendre ma bite dans la main. Je me laisse faire comme un bleu. Elle se baisse légèrement pour poser un petit bisou juste sur le bout. Souvent petit bisou fini en grande baise. Je téléphone à ma secrétaire pour lui dire que je serais très en retard.
Je la fais entrer dans la chambre où les draps sont en désordre, comme tout les jours: la femme de ménage vient dans l'après midi. Je commence à bander dur. Elle le sent bien la coquine. Elle lâche un instant ma pine pour poser ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un baiser du genre porno.
Nos langues s'en donne à cœur joie. Je fouille sa bouche: sa salive a un goût différent des autres.
Elle reprend ma bite pour me branler: elle est parfaite dans ce rôle. Parfaite et à l'affût de mes réactions: elle arrête quand elle sent que je vais jouir. Elle me fait coucher, se déshabille sans chichi pour me rejoindre, elle n'a pas dessous je l'accueille en l'embrassant encore une fois.
Mes mains ne restent pas immobiles: je lui prends un sein sur lequel je m'acharne en caresses. Je passe mon pouce sur ses tétons, sans arrêt, sans trop y appuyer. Elle gémit: c'est la première fois que quelqu'un lui fait ça. Je fais pareil sur son autre sein. Elle a repris ma bite: si elle ne me branle plus, elle la tâte sans arrêt depuis le gland jusqu'aux couilles. J'enlève les mains de sa poitrine pour en mettre une sur son bas ventre: elle tend son pubis vers ma main. Je n'hésite pas un seul instant j'y met ma main dans sa fente. Je ne cherche pas à la faire jouir aussitôt: je veux connaître son abricot en entier avant d'aller me fixer là où j'ai envie.
Elle se laisse caresser comme je veux. Je lui frôle le cul avant d'aller lui caresser les grosses lèvres, puis m'aventurer dans son vagin. J'y laisse deux doigts que je vais aller et venir. Je trouve son point G et là, très doucement je passe mes doigts. Elle se crispe et je sens son vagin se serrer et s'ouvrir pendant cette jouissance. Je laisse passer l'orage pour aller caresser un autre endroit que j'aime bien: le clitoris. Là encore je la fais jouir.
Heureusement elle a repris ma bite pour la branler légèrement. Maintenant il m'en faut beaucoup plus. Je la couche sur le dos, elle écarte les jambes. Je me met sur elle, sans chercher encore à la baiser: je veux simplement l'embrasser profondément avant. J'ai ma langue dans sa bouche quand elle prend ma bite pour la mettre dans sa chatte. J'aurais voulu attendre un instant: trop tard, je suis en elle: c'est chaud humide à souhait. C'est bon.
Nous commençons une baise à laquelle je ne m'attendais pas: c'est une furie au lit. Je suis à peine au fond de son vagin qu'elle se déchaîne: elle assure à elle seule les vas et viens. Je la sens jouir plusieurs fois: c'est agréable de sentir ses spasme autour de ma bite. Heureusement que je suis résistant à la jouissance. Ce dont elle devait se douter. Elle en a assez de rester sous moi.
Elle m'enjambe, me tourne le dos, prend ma pine pour la mettre dans son anus. Comme elle est penchée en avant je vois bien ma bite entrer et sortir de son cul. Je la sens encore jouir. Elle sait que je n'ai pas encore jouis: elle accélère les mouvements de ses fesses et enfin je lui remplis son intérieur.
Quand elle revient vers moi, elle se couche encore à mes cotés, me demande de lui caresser les tétons comme je lui ai fait. Elle semble avoir pris goût à la chose. Elle reprend ma bite en main, me fait bander. Cette fois elle se tourne complètement pour une fellation: je n'ai jamais eu une telle impressions de plénitude qu'avec sa bouche. Elle fait tant et si bien que je jouis. Elle me tenait la bite avec sa main, je ne peux me dégager: je jouis dans sa bouche. Elle semble se régaler de mon sperme.
Nous finissons et enfin allons en ville. Pendant tout le trajet, c'est elle qui parle de ses expériences nombreuses.
Elle a baisé la première fois au village avec un garçon d'un autre village, pendant la fête. Elle en a jouit et depuis, elle ne se passe plus d'orgasmes: c'est plus fort qu'elle. Seule elle se branle toujours deux fois par jour, même ensuite à l'école d'infirmière. Là un soir elle s'est faite surprendre pas une autre élève qui au lieu de la dénoncer a préféré baiser avec elle. Depuis elle aime autant les filles que les garçons. A l'hôpital par contre elle s'abstient de tout débordement, mis à part ses masturbations journalières, sauf quand de nuit elle est de garde avec son amie. Elles ne se gênent plus pour se faire jouir; une assise, l'autre par terre, la tête entre les jambes de l'autre.
Elle a un logement en ville: elle ne reçoit personne, même pas son amante. Elle y a plusieurs godes dont elle se sert régulièrement.
J'ai donc affaire à une cinglée de la baise. D'ailleurs en me parlant elle s'excite tellement qu'elle relève sa jupe, passe sa main entre ses cuisses pour se branler devant moi. Je bande et le lui dit: pour le moment elle se donne du plaisir. Dès qu'elle a fini, elle me sort la pine, la prend dans la bouche. Je sais au moins une chose: il n'y aura pas de tâche suspecte sur mon siège. Quand elle a tout bien nettoyé elle remet sa main sur sa moule et recommence une branlette, juste avant d'arriver.
Elle vient toujours pour que je l'emmène en ville: elle arrive maintenant avec une heure d'avance.
Elle sait où me trouver: dans le bain: elle commence sa journée par me branler jusqu'à ce que le nuage de sperme surnage sur l'eau. Ensuite elle relève sa jupe ouvre ses jambes, en pose une sur la baignoire, juste à la hauteur de mon visage et se masturbe...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire de baise, j'aimerais avoir à coté de chez moi une fille disponible qui soit accroc de la bite !
super bien une suite merci
quelle chance tu as eu.tous les jours je prie pour avoir une fille à baiser tous le
temps, mais je sais qu un jour j y arriverai
temps, mais je sais qu un jour j y arriverai