Ma voisine, quelle coquine !

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma voisine, quelle coquine ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Ma voisine, quelle coquine !
Ces derniers temps, il était coutumier que je me trouvais dans le hall, nez à nez avec la voisine du troisième. Hasard ou non ? Je la trouvais toujours au même endroit. Appuyer sur les boites aux lettres son trousseau de clé en main. Néanmoins par pur politesse il m’était difficile de gravir les marches qui aller me mener jusqu’à chez moi sans avoir préalablement poussé la discutions avec elle. De choses banales, il est vrai.
Mais ce soir, à la différence de la veille, et des jours précédent, je trouvais Monique transformée. Hormis qu’elle était vêtue comme si elle sortait, son attitude n’était pas dans son état normal. Elle semblait avoir tapé lourdement dans la bouteille. S’exprimant de façon syncopée. Quand elle avait voulu se déplacer, je constatais qu’elle avait du mal. Elle titubait. Je jugeais qu’elle était ivre. La femme se dirigea en titubant vers l’escalier, qu’elle entreprit de gravir en s’accrochant à la rampe. À mi-chemin, elle se tordit la cheville. L’instant d’après, elle dévalait les marches en poussant des cris de frayeur. Je me précipitais et offrit d’aider la malheureuse à se relever.
-Rien de briser ? Lui envoyais-je.
Je n’étais pas pressé de tendre la main à la femme. Absente, celle-ci ne s’était pas rendu compte que sa jupe soulevée dévoilait ses cuisses gainées de bas. La femme se releva péniblement, en grimaçant de douleur. Elle accepta avec une expression de reconnaissance le secours que je lui offrais. Pour l’aider à rejoindre son domicile, je lui pris le bras, que j’enroulais autour de mon cou. Une odeur de transpiration chatouillait mes narines. Jetant un coup d’œil de biais sous le bras que je soutenais, j’aperçus une auréole à hauteur de son aisselle. Je lui proposais mon aide pour la ramener jusqu’à chez elle.
Mais alors quand gravissait les marches. Elle me confia qu’elle avait fêté l’anniversaire d’une collègue et que pour lui faire plaisir elle avait accepté de prendre des coupes de champagne. Mine de rien, elle était lourde et ne tenait pas sur ses guiboles. Arrivés devant sa porte, je lui pris des mains son trousseau, et déverrouiller l’accès. Une fois à l’intérieur, elle fonça s’affaler de tout son long sur le lit, puisqu’elle possédait un studio. Je pris un temps de réflexion pour savoir ce que je devais faire, alors qu’elle ne bougeait plus.
Pris d’une envie perverse, je m’approchais d’elle. Lâchement, profitant de l’occasion, je posais ma main sur sa poitrine. Je sentis la pointe de son sein droit durcir sous ma paume. Retenant mon souffle, je guettais la réaction de l’endormie. Les yeux fermés, elle ne remuait même pas. Sans le léger mouvement qui agitait sa poitrine, on l’aurait crue morte. Encouragé, je déboutonnais les boutons du haut de son chemisier. Avec convoitise je palpais les seins, m’étonnant de leur consistance à la fois souple et ferme.
Je frottais les bouts durcis, épais et longs qui ressemblaient à des doigts de nouveau né. D’instinct je les étirai. La seule réaction de Monique fut un discret soupir. N’y tenant plus, je retroussais l’ourlet de sa jupe. Les bords écartés du sexe laissaient voir un peu de chair rouge. Je ne pus me retenir de me pencher au-dessus du ventre de l’endormie. Une odeur enivrante monta à mes narines.
Avec prudence je me mis à effleurer du bout des doigts le pubis à poils rêches. Elle ne bougea toujours pas. Alors encouragé par son inaction, je m’efforçais d’élargir l’entaille avec deux doigts. J’eus l’impression que les lèvres charnues s’ouvraient d’elles-mêmes. De plus en plus excité, j’examinais la vulve. La couleur rouge de viande crue, la glaire translucide qui envahissait les replis, mais aussi cette odeur entêtante.
Les nymphes et l’entrée du vagin retinrent mon attention. Avec prudence j’enfonçais l’index dans l’orifice, le retirai quand les parois se refermèrent dessus.
J’observais son visage. Rassuré, je poursuivis mon examen. Très vite, j’aperçus son bourgeon pointait tout en haut. Malgré le risque que cela pouvait enclencher, je me laissais aller à toucher le bulbe rouge. Aussitôt elle poussa un gémissement.
Prenant conscience de la gravité de la situation, je décrétais de quitter les lieux au plus vite, pour ne plus être inciter à aller plus loin. Mais alors que m’apprêter à prendre congé, elle s’accrochait à mon cou. Me volant même un baiser.
-Mais où vas-tu ? Me fit-elle, en s’accrochant à moi comme à une bouée. J’avais bien essayé de la contenir malgré moi. Mais elle insistait pour coller ses lèvres aux mienne, me pressant le sexe avec fièvre.
-Mais tu bandes ? Putain, ta queue est dure comme du bois.
Elle avait dit ça avec vulgarité. Elle me regardait droit dans les yeux, elle s’enfonçait même un doigt dans le vagin comme pour me provoquer. Elle semblait toute disposée à s’offrir à moi. Elle se caressait même le clito en gémissant, ses yeux étaient vitreux et je lus pleins d’envie dedans. Au point de m’encourager à plonger ma tête entre ses cuisses et entrepris de lui bouffer sa chatte odorante. Elle répondait à mon empressement par un grand soupir de satisfaction. Me plaquant mes lèvres contre sa foufoune. Qu’elle faisait remuer en même temps. Elle en voulait la cochonne. Quand, j’osais un doigt dans son cul, comme ‘aimais le faire, elle répondait avec un grand feulement. De son côté, elle se débarrassait de son chemisier, pour se torturer les nichons.
-Putain que c’est bon ! Mets-moi ta queue… vite… Je la pris sur le champ. Ses seins mous bourlinguaient en tous sens au rythme de mes coups de reins. Sa chatte était des plus juteuses, des plus accueillantes. Elle répliquait à mes va-et-vient par des coups de reins. Je la culbutais sans retenue, vu ses gémissements, elle avait l’air d’aimer cela d’être prise de la sorte. Bien sûr je ne m’étais pas gêner de déverser ma semence dans son vagin.
Mais alors que je rechargeais mes batteries, elle insistait que je lui mette dans le cul. Incontestablement cette partie de jambes en l’air l’avait complètement dégrisée. Pour cela, elle se mit complètement à poil. Elle se mit en position pour que je l’encule.
Lentement, je plaçais mon sexe entre ses fesses. Je le plaçai délicatement sur la raie et entamai un lent branle entre ses fesses. Au bout de quelques instants, j’accentuai la pression et c’est sans effort que mon gland pénétra l’anus soyeux. Je pense que je n’étais pas le premier à prendre ce chemin. Je continuai ma progression et bientôt, je me retrouvai enfoncé jusqu’à la garde entre les fesses de Monique. Avec d’infinies précautions, j’entamai un lent limage de ce cul superbe. Elle bougea alors son bras et je le vis disparaître sous elle, au bout de quelques instants, elle se remit à gémir, plus fort que la première fois. Cela ne faisait aucun doute, elle se masturbait pendant que je l’enculais.
Quelques minutes plus tard, je me vidai de nouveau, cette fois dans l’anus de ma voisine. Au moment de ma jouissance, elle avait eu un râle étouffé, je pense qu’elle aussi avait prit son pied.
Après avoir repris mes esprits, je me rhabillai. Puis je sortis du studio en jetant un dernier regard à Monique qui s’était endormi. Je l’aperçus les yeux mi-clos, m’observant à la dérobée un sourire complice sur son visage.
J’allai après avoir dîné, me coucher, de belles images gravées à jamais dans ma mémoire.
Le lendemain matin, je retrouvai Monique devant les boites à lettre. J’étais extrêmement gêné et je me demandais comment nous allions évoquer les événements de la veille, quand elle me déclara de ne plus se rapeler de ce qu’elle avait fait la veille. Je la regardai, elle avait accompagné ces paroles d’un sourire qui en disait long. Je pense qu’elle préférait que nous ne parlions pas de ce qui s’était passé.

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Histoire Erotique
Super bon



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