Madame aime ça! - histoire érotique

Alors que je m’apprête à grimper dans ma voiture, je suis interpelé par un homme sortant de nulle part.
–Je peux vous parler, me fait-il.
-Je vous écoute.
-Cela vous dérange qu’on s’installe dans votre voiture ? Me lance-t-il en me désignant du menton les gens qui passent tout près de nous.
-Par le moins du monde, je vous en prie, fais-je en lui désignant le siège passager.
Il attend que je ferme ma portière pour enfin se lancer.
-Je pense que vous m’avez reconnu ?
-Bien entendu ! Le voyeur !
-Bonne réponse. Je suppose que ce n’était pas votre femme ?
-Vous supposez bien !
-Une connaissance ?
-Non, une parfaite inconnue !
-Et bien, elle en a pris plein le cul !
-Oui… je confirme…
-Et bien sachez que c’est en vous voyant que cela m’a donné une idée.
Là, il garde un temps le silence, avant de laisser tomber :
-Vous allez peut-être me prendre pour un dingue à alterner.
-Dîtes toujours, je vous ferai part de mon avis ensuite.
-Voilà, je suis marié à une femme merveilleuse que j’aime par-dessus tout, et cela depuis plus de vingt ans. Mais voilà, depuis pas mal de temps nos rapports sont au point mort, si vous voyez ce que j’essaie de vous faire comprendre.
-Je le comprends parfaitement, pour être moi-même passé par là.
-Vous êtes marié ?
-Je le suis, effectivement. J’espère que vous ne comptez tout de même pas me faire du chantage ?
-Loin de moi cette pensée. Le chantage ne fait pas partie de mon vocabulaire, je cherche seulement une aide, c’est tout. Et je pense avoir devant moi celui que je cherche.
-Et qu’est-ce qui vous fait croire cela ?
-Comment avez-vous fait avec votre femme, si cela n’est pas indiscret ?
-Vous parlez pour éviter le divorce ?
-Oui
-Nous avons fait appel à des partenaires, choisis dans le volé.
-Et ça a marché ?
-Je suis toujours en couple à ce jour.
-Ce qui ne vous interdit pas des écarts, comme j’ai pu en juger ?
-Oui… de part et d’autre du couple, d’ailleurs. C’est ce qui donne du piment à notre ménage.
-Vous vous racontez vos relations entre vous ?
-Je n’irais pas jusqu’à là !
-De mon côté, pas une seule fois je lui ai manqué de respect en allant chercher ailleurs. Il m’arrive, pour m’exciter, de faire appel à du porno. Ou alors, je fais marcher mon imagination. Imaginant pendant l’acte l’assistance d’un partenaire. Un collègue, un voisin, voire un inconnu, vu dans la rue. Bien entendu, après l’orgasme, et donc une fois l’excitation dissoute, jamais je n’ai osé lui soumettre cette drôle d’idée.
-Pourquoi ?
-Je ne sais pas moi-même !
-On ne va pas tourner encore autour du pot, vous espérez quoi de moi?
-Je me disais que vous pourriez m’aidez à me redonner envie de ma femme.
-En faisant quoi ?
-A votre avis !
-Je ne sais pas, je vous écoute.
-En prenant la place de mon imagination !
-Rien que ça ? Et vous pensez que vous allez accepter cela ?
-Comment ça ?
-Et bien ce n’est pas facile à accepter, croyez-moi, que sa propre femme prenne son pied avec un autre homme.
-Vous l’avez bien fait, vous !
-Nous ne sommes pas tous composés pareils.
-Je veux bien l’entendre… mais je suis décidé à passer le cap, si cela peut sauver mon couple.
-Et pourquoi moi ?
-Je pense, et sans me tromper, que vous êtes l’homme de la situation… et plus encore, quand je vous ai vue, avec cette femme. Croyez-moi ou pas, je me suis dit pour moi-même en vous voyant… c’est lui… oui c’est de lui que j’ai besoin… Alors vous acceptez ?
-Vous avez une photo récente de votre femme ?
Un tour de cadran plus tard. Après avoir bien approfondi la chose, j’ai suivis Lucien jusqu’à chez lui.
Ce dernier me fait entrer dans la chambre. Où je trouve sa femme, Maryse, dont la photo m’a fortement encouragé à accepter l’offre de son mari, allongée sur le ventre, la tête reposant sur l’oreiller. Elle dort, uniquement vêtue d’une nuisette.
Le souffle régulier soulève l’opulente chevelure déployée sur l’oreiller. Mon attention se centralise sur la transparence sur ce qu’elle porte. Très vite ma queue se trouve à l’étroit dans mon slip. Avec l’aval du mari je m’approche du lit. Du bout des doigts, j’effleure sa hanche. La respiration de Maryse est toujours aussi régulière. Je fais glisser ma main au centre de son corps. À travers le voile, je sens la chaleur de son sexe irradier le bout de mes doigts.
Elle ouvre ses cuisses. Ce qui permet à ma main d’être au contact de sa féminité. J’augmente légèrement la pression de mon doigt. J’appuie mon geste, poussant le léger voile à l’intérieur de l’affolante grotte. Elle mouille ! Mon index est déjà presqu’entièrement engloutie. Les cuisses s’écartent de plus belle, le souffle de Maryse se fait plus oppressant.
Je retire mon doigt luisant de mouille. Il s’avère qu’elle lâche un soupir de dépit. Suivi d’un autre, plus fort celui-là. Profitant qu’elle ouvre en grand le compas de ses cuisses, je glisse sous le voile pour accéder à sa chatte. La palpation de la chair intime me rend comme fou.
Je remarque que Maryse a ouvert les yeux. Qu’elle me fixe du regard, alors que mes doigts s’activent en elles. Ses reins vont au-devant d’eux. Elle va jusqu’à replier ses genoux pour faciliter l’accès de sa féminité. Elle me fixe intensément, sans que je puisse dire avec certitude si elle est en colère, ou autre chose.
Je fais glisser mon pantalon le long de mes cuisses, lui exhibant par ce geste ma verge. Là, ses yeux s'exorbitent pendant que ses lèvres forment un "O majuscule" :
- Mais…mais !… Que faites-vous…? Me lâche-t-elle.
- J’ai envie de vous faire du bien ! Fais-je en sautant sur son lit.
- Non… Je vous en prie… Que va dire mon mar…
-T’inquiète mon bébé, fais la voix du mari, c’est moi qui l’ai fait venir…
-Bon… ! Lâche-t-elle. Si c’est toi, alors !
Et là, j’approche mes lèvres des siennes. Je viole sa bouche, sous les yeux du mari. Elle gémit et répond à mon baiser. J’en profite de l’instant pour plaquer mon bas-ventre au sien. Glissant mes mains jusqu’à ses fesses. Elle pousse du bassin. Comme pour m’inviter à prendre de nouveau acquisition de son sexe. Conjointement, je pétris son cul en le tirant à moi. Mon accolade se fait plus profonde. Quand enfin, j’éloigne mes lèvres des siennes, c’est pour constater qu’une révolution a ravagé son visage. Des larmes ont répandu la légère trace de rimmel qui entourait ses yeux quelques instants auparavant. Nos souffles chaotiques se répondent, y mêlant des gémissements. Je lui dis simplement :
-Cela te dit que je te suce le sexe, Maryse ?
-Je… je ne sais pas ce qu’en pense mon mari ?
-Je pense qu’il est parfaitement d’accord… sinon il m’aurait jamais fais venir jusqu’à toi, ma belle Maryse !
Ses lèvres frémissent comme si elle allait pleurer. Pour toute réponse, je pose ma bouche sur son sexe odorant. Elle écarte les cuisses comme pour me faciliter le passage. Et elle se laisse fouiller entre les jambes, tout en ronronnant et en se tortillant. Elle ondule des reins alors que je frôle son pompon parfumée et masturbent ses lèvres gorgées de désir. Je lui excite aussi le clitoris, et comme elle se met à respirer plus fort et à gesticuler nerveusement des jambes, je me focalise de la brosser rapidement avec ma langue. Lequel se lubrifie à grosses gouttes. Tout en la dégustant, à l’aide de mes mains, je lui tripote la poitrine. J’ai à désir fou de la faire grimper au rideau, et ça, devant son mari, Lucien.
D’une langue aiguisée, je fouille avec de petits coups subtils l’ouverture moelleuse de son vagin. Résultat, la jouissance la transperce, au point qu’elle me presse très fort ma tête avec ses cuisses. Elle jouit. Oui elle jouit, comme une malade dans ma bouche. Et je bois au maximum ce qu’elle me donne.
Il est temps que je m’occupe de mon plaisir. Je me masturbe sous les yeux de Maryse, et de Lucien. D’une façon très provocante. Je savoure d’avance ce que je vais lui faire subir. Surtout en voyant cette chatte prête à être prise. Et cela tombe bien, j’ai ma queue déjà bien excitée. Mais je veux prendre mon temps. Je veux en donner un peu plus encore au mari. Lui qui tient maintenant sa queue en main, en train de se branler. J’adore jouir devant un voyeur, ou voyeuse. Mais aussi faire jouir !
Je me mets à lécher les pieds de Maryse. Et la coquine n’est pas insensible à cette caresse. Elle le fait même savoir. Réprimandant son mari à en prendre de la graine. Encouragé par ce reproche, je lui tète les gros orteils. Son corps frémit sous mes tétées.
Il est temps vraiment pour moi de penser, à ma jouissance. Lentement, j’enfourne pour cela, ma verge dans son ventre. Elle me serre bien et je donne des coups de reins profonds et sauvages qui la font jouir sur le coup. Elle gigote des reins en ondulant diaboliquement et en me serrant le plus possible, sans doute à la recherche d’autres orgasmes. J’attends patiemment qu’elle y arrive pour changer de logement.
- Oh ! Quand même pas ! Pas par là.
Mes doigts crispés sur ses fesses, je les écarte largement. Le bout de ma queue se pose déjà au centre de son anus. Son vagin plus haut, dégorge de mouille, alors que son trou du cul m’autorise mon intrusion.
- Pousse comme pour chier… Offre ton cul Maryse ! Tu vas voir tu vas aimé !
Avec un abandon trouble, elle se lâche en faisant avancer son cul au-devant de ma verge. Mon gland disparait dans son anus.
-Tu vois Lucien ? J’encule ta femme, ça ne te rappel rien ?
-Je vois ça… laisse tomber son mari.
Maryse de son côté, pousse un cri quand mon pénis est entièrement fiché dans son sphincter. Le conduit s’est assoupli. Avec des exhalaisons de surprise, elle commence à apprécier mes coups de reins. Comme souvent dans ce cas de relation, je retire ma verge pour mieux la replonger dans son cul. Sans continence, je me colle contre ses fesses, reste quelques instants immobiles, avant de décocher des grands coups. Elle les accompagne de gémissement. Je me secoue entièrement.
- Elle a l’air d’aimer ça ta Maryse, Lucien ! Rappel toi bien de ça !
- Oui ! Oui ! Fait Maryse. C’est bon… mon chéri.
-Je te l’avais dit Maryse !
-Oui mais jusqu’à maintenant, ceux qui ont essayé m’ont toujours fait mal !
Sa confession me procure une jouissance spéciale. Alors que Maryse halète, hoquette, elle veut comme moi, que cela dure une éternité. Mais très vite une houle sauvage que je connais parfaitement, monte du fond de mes reins. Je ne peux m’empêcher de juter mon sperme dans son cul. Je l’inonde de ma jouissance. Je la remplis d’une onctueuse semence. Sitôt retirer, Lucien a pris le relais.
-J’aimerais moi-aussi profiter ! Me fait-il en faisant disparaître sa queue dans le fion de son épouse.
-Tu ne vas pas être déçus !
C’est un rapide le Lucien. Après seulement quelques coups de reins, je l’entends jouir. Quelques temps plus tard j’ai revu Maryse.
-Je ne cesse de penser à toi. Me lâche-t-elle.
Ses yeux luisent d’un désir sans retenue qui m’alourdi le sexe.
Je l’amène tout de suite dans un endroit isolé et là je lui fais de nouveau découvrir les joies du cunnilingus. Je la lèche, la suce, mordille son clito en la branlant avec trois doigts. Ma bouche gourmande suce avidement en savourant son goût si délicat.
Après lui avoir donné ce qu’elle désirait de moi, elle m’avoue qu’elle ne peut plus résister à la tentation du contact de ma bouche sur ses petites lèvres. De ma langue qui s’insinue dans son vagin.
Je la regarde se rajuster. Remettre de l’ordre dans sa coiffure, dans sa tenue. Redevenue très civilisée, elle me demande si on peut se revoir le lendemain. Là, je m’entends lui dire.
-Oui… bien sûr… pourquoi pas !
-Alors, à demain !