Madame Besson - Chapitre 3
Récit érotique écrit par Tayyip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Madame Besson - Chapitre 3
Chapitre 3Pour le principe— Je suis très fatiguée Besson et nous avons à faire demain pour élargir ton expérience. Monte dans la chambre.
Entrant Mme Besson regarda les choses qu’elles avaient achetées.
Léa prit la barre métallique et y glissa les cordes et ordonna à Mme Besson nue de se mettre à genoux au milieu de la pièce.
Léa lui attacha chaque poignet aux chevilles et glissa la barre de fer au milieu.
Cela eut pour effet de faire tomber Mme Besson, face contre terre, les jambes grandes écartées, les fesses en l’air.
— Oh non Mlle Fournier, s'il vous plait pas le fouet, je serai obéissante, Maintenant Besson comprend bien, cette position, à deux avantages, elle t'empêchera de te tripoter cette nuit et me permet de te fouetter sur les fesses pour te rappeler que tu dois toujours obéir sans poser de questions !
— Oh non Mlle Fournier pas le fouet, je vous en prie, Léa prit le fouet, un fouet utilisé pour le dressage des chevaux. Mme Besson sait que Léa va lui faire du mal... Sa Maîtresse va la fouetter !
Fuitiiiichh — Un, — Aie, s’il vous plait Mlle Fournier, NON, — Deux, Ses fesses étaient en feu, ses larmes coulaient… la douleur est fulgurante, maintenant qu’il est commencé elle a le sentiment que son calvaire ne s’arrêtera plus… Léa souriait en voyant les fesses rouges de sa prof.
— Sept. Cela suffira pour ce soir, Besson, remercie-moi de t'apprendre le respect. Pour souligner la hiérarchie qui s’impose, tu dormiras au pied du lit… Léa se déshabille et se glisse dans le lit, laissant sa prof attachée et pleurant sur la moquette.
— Bonne nuit, Besson et Léa tend sa main, — remercie ta maitresse, allez ma salope, lèche ma main, montre-moi que tu aimes avoir quelque chose de dur dans la bouche. Montre-moi quelle suceuse tu es, Mme Besson baise et lèche consciencieusement la main qui vient de la martyriser. Elle n’est plus qu’une pauvre fille brisée, entravée, les fesses en feu.
Léa fut réveillée par les gémissements de son enseignante, les yeux rouges et le visage marqué par les larmes. Elle est gisante au sol près du lit, les bras et jambes toujours contraintes et écartées par les liens et les menottes.
— Qu’est-ce qui ne va pas, Besson ?
Mme Besson leva les yeux et vit Léa nue devant elle, elle fut éblouie par la beauté de sa tourmenteuse, c’est une très jolie jeune femme, la poitrine ronde des hanches d’un galbe délicat et les cuisses longues, fuselées, élancées vers un sexe appelant la caresse.
— Je n’en peux plus Léa. C’est trop pour moi, tout le monde pourra comprendre pourquoi j’ai fait ces photos.
— Bien Besson, alors regardons-les.
Léa se leva, prit son portable et fit défiler les photos les unes après les autres.
— Maintenant, tu vas me dire, comment tu pourras les expliquer.
Elle lui mit sous le nez, la photo de Mme Besson en train de masturber son sexe rasé et sur son visage se lisait la jouissance… — Et celle-ci ?
Elle lui présenta les pires photos et Mme Besson comprit qu’elle était vaincue et se mit à pleurer.
— Maintenant Besson, que penses-tu pouvoir faire ?
— S’il te plaît Léa, ne montre jamais ces photos, je ferai tout ce que tu voudras.
— C’est bien, mais je constate que tu as oublié les règles minimales de respect ordonnées, comme les mains derrière le dos lorsque je te parle, les yeux toujours baissés, etc...
Je crois devoir te rafraîchir la mémoire… Je vais te fouetter, Léa saisit violemment Mme Besson par les cheveux et lui mit la tête contre la moquette, les fesses tendues en l’air, les cuisses écartées. Tu es mignonne présentée comme cela, tu as un cul magnifique, le sais-tu ?
— S’il vous plaît, Mlle Fournier, ne me battez pas.
— Écarte tes genoux ! Je veux bien te croire, mais ne penses-tu pas que tu devrais être punie pour ce manquement ?
Mme Besson ne savait que dire, elle voulait bien faire plaisir à son étudiante, mais ne voulait pas être encore frappée.
D’une toute petite voix, elle dit, — Oui Mlle Fournier.
— Tu n’as pas mérité une punition ?
— Si Mlle Fournier, — Si quoi, salope !
— J’ai... mérité une punition Mlle Fournier.
Bien, alors demande-moi de te flageller les fesses avec ce martinet afin de t’enseigner le respect.
— la prof sanglotait...
— S’il vous plaît Mlle Fournier, fouettez-moi, je dois apprendre à vous respecter, sanglota la pauvre prof.
Léa avait le martinet en main et commença la flagellation tout le devant du corps. Les lanières s'abattaient sur son ventre, ses cuisses, ses seins et même parfois atteignaient des points extrêmement sensibles entre les cuisses. Cette correction lui faisait un mal de chien et rapidement, Mme Besson hurla, pleura, supplia Léa d'arrêter... en pure perte. La punition dura. Et quand elle cessa, Léa demanda à Mme Besson, sans élever la voix, — Tu oublieras encore ma petite pute ? Veux-tu que je continue à la cravache sur tes mamelles ?
— Oh non, par pitié Mlle Fournier, bégaya Mme Besson entre deux sanglots, ne me battez plus, je serai attentive, je ferai tout ce que vous voudrez Mlle Fournier, Son corps était en feu, elle ne peut retenir un glapissement de douleur et un gémissement éploré — S’il vous plaît Mlle Fournier, arrêtez.
Ses jambes cèdent et elle tombe sur le sol à genoux en pleurant à chaudes larmes.
Léa saisie Mme Besson par les cheveux, la relève, la fait mettre à genoux les cuisses écartées, puis elle plonge un doigt dans son sexe ouvert et le ressort couvert de mouille… — Qu’est-ce que c’est que cela Besson, tu aimes te faire battre demanda sa jeune élève ?
Mme Besson ne sut que répondre, elle était si honteuse. Léa détacha la cheville du pied du lit et la remit debout.
— Maintenant Besson, pendant que je vais prendre une douche, je veux que tu me prépares le petit déjeuner avec des toasts. Tu ne te touches pas, tu restes nue et tu mets tes talons ! ordonna Léa, en claquant furieusement, les fesses rouges de Mme Besson.
— S’il vous plaît, je voudrais aller aux toilettes Mlle Fournier.
— Va préparer mes toasts. Si tu es sage, je t’autoriserai peut-être à faire pipi, après.
Mme Besson descendit à la cuisine et Léa prit une longue douche et descendit à son tour, seulement vêtue d’un long débardeur. En entrant dans la cuisine, elle trouva Mme Besson, assise à table, en train de boire une tasse de café, — Qui t’as autorisée à t’asseoir ? Qui t’a donné la permission de boire un café ?
Mme Besson, sauta sur ses jambes.
— J’avais oublié, excusez-moi, Mlle Fournier.
— Ici, immédiatement !
Smash ! Gifle, — Écarte grand tes cuisses.
Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait mais cette position, avec ses talons de 12 cm, lui faisait atrocement mal aux jambes.
Maintenant, reste comme cela, pendant que je bois mon café et que je réfléchisse à la façon de te faire enfin comprendre… Je t’ai dit que tu devais me demander ma permission en toute chose !
— Oui Mlle Fournier, je suis désolée, je n'ai pas fait attention, pardonnez-moi Mlle Fournier...
Léa s’assit et but tranquillement son café et mangea les toasts préparés par Mme Besson.
Dans cette position, très voluptueuse, nue dans la cuisine. Mme Besson commençait à avoir vraiment très mal, ses jambes la torturaient. Et sa vessie, son sexe ouvert… elle devait aller aux toilettes !
— Mlle Fournier, puis-je utiliser la salle de bains ?
— Du calme mon animal, je prends mon petit déjeuner, encore une marque de ton impatience et c’est le fouet. Tu oses m’interrompre pendant mon café !
Mme Besson essaya de se contrôler, de penser à autre chose… Léa finit tranquillement son déjeuner.
Photo !
Mme Besson ferma les yeux en imaginant ce qu’elle montrait sur cette photo. Elle entendit Léa ouvrir un tiroir, Aïe !, Ouïe !, La cuillère de bois s’abattit sur les fesses de Mme Besson qui sursauta et quitta sa position, pour protéger ses fesses.
— Remets tes mains en place, tu dois apprendre à obéir c'est le minimum de respect.
Aah ! Aah ! Aah !, — Je suis désolée, Mlle Fournier.
Ouïe ! Aah ! Aah ! Aah !,Sa deuxième correction en début de journée Mme Besson était effondrée, par la douleur, — Tu veux toujours utiliser les toilettes, Besson ?
— Oh Oui ! je le veux Mlle Fournier, Répondit-elle en larmes, elle espérait ne pas manquer de respect à son élève. Léa prit la laisse et l’accrocha au collier de sa prof et se dirigea vers la porte de derrière.
— Allons faire ce que me demande mon animal, va faire tes besoins dans le jardin, maintenant… Mme Besson ne put croire qu’elle allait uriner dans le jardin et devant son élève ! Léa amena la prof écarlate au milieu de la pelouse et dit, — Faits tout ce que tu as à faire, c’est ta dernière possibilité avant que nous partions faire des courses.
— Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela, ici, dit Mme Besson éperdue de honte.
Mais elle n’avait pas été aux toilettes depuis hier soir et aujourd’hui Léa lui avait formellement interdit les toilettes. Elle en avait désespérément besoin.
— Bien alors nous attendrons ce soir… Nous devons y aller, — Attendez !
Vaincue...
— Oui, — Ne me corrigez plus Mlle Fournier, je vais le faire.
— Alors vas-y, nous n’avons pas toute la journée !
Mme Besson essaya d’être gracieuse, accroupie en écarta largement les jambes et commença à uriner devant son élève… sur la pelouse, sa propre pelouse, devant son élève, une élève de 18 ans… Ayant satisfait ses besoins, la prof humiliée mais soulagée dit, — J’ai terminé, Mlle Fournier.
— C’est bien, les mains dans le dos, viens te faire cajoler par ta maitresse mon animal et viens me remercier d’être si attentive à tes désirs, Mme Besson nue, avec son collier et la laisse pendante entre ses seins, vint se coller et frotter son sexe au corps de Léa qui lui caressa la croupe, comme on récompense une bête obéissante. Léa glissa sa jambe entre les cuisses de la prof pour venir en contact du sexe gonflé de Mme Besson et jouer avec son clito tout tendu sous ses longues lèvres mouillées de plaisir. Mme Besson se frottait comme une chienne contre cette jambe. Elle était emportée dans un tourbillon de plaisir.
— Salope ! Tu meurs d’envie de te branler pour jouir, hein ?...
— Oui Mlle Fournier, ― Tu n’es pas là pour te branler petite salope, mais pour me servir.
— Supplie-moi, mon animal !
— Je vous en supplie Mlle Fournier, autorisez-moi à jouir sur votre cuisse.
— Je peux Mlle Fournier ? Je vous en prie… Je peux ?
Léa fait non de la tête, un petit sourire aux coins des lèvres.
— Continue de te branler comme cela, mais surtout, tu ne jouis pas pétasse ! Le plaisir est pour moi, pas pour toi ! Attention au fouet !
Dans un long mouvement de va et vient, Mme besson qui halète, caresse avec vigueur son sexe sur la jambe de Léa.
Léa regrettait de n’avoir eu qu’une cuillère pour battre sa prof, mais elle savait que les coups appliqués sur le sexe auraient donné encore plus d’envie à sa prof… La menace d'une punition était suffisante pour la rendre obéissante.
Photo !
— Allons-y, nous allons faire bon usage de ta carte de crédit, Besson, il va falloir t’habiller car la plupart de tes vêtements ont été mis à la décharge.
Tenu en laisse, elle entraîna sa prof dans la maison.
— Prends une douche et rejoins-moi dans notre chambre et ne joue surtout pas avec ta chatte !
Après une douche rapide, Mme Besson toujours nue, rejoignit Léa qu’elle trouva en jean et petit chemisier.
— Assied toi ici, je vais m'occuper de tes cheveux et de ton maquillage.
Léa la coiffa et la maquilla à outrance, faux cils, fard à paupières bleu, eyeliner noir, se et un rouge à lèvres rose bonbon accentuant encore davantage sa bouche qui allait devenir celle d'une pompeuse de queues. Un style qui lui donnait l’air de ce qu'elle était promise à devenir... une putain. Se regardant dans la glace, Mme Besson eut du mal à se reconnaître.
— Maintenant, nous allons t’habiller, met ceci ! dit Léa, en lui jetant le porte jarretelle noire et des bas fumés.
— Puis-je m’asseoir sur le lit. Mlle Fournier ? demanda Mme Besson, craignant de se faire encore punir.
— Bien sûr, dit Léa en la regardant mettre ses bas et découvrir son sexe.
Photo !
— Met tes talons ! Nous veillerons à t’en acheter d’autres.
Mme Besson attacha ses bas et glissa ses pieds douloureux dans les hauts talons, se regarda dans la glace et put voir une femme nue vêtue de bas et d’un porte jarretelle, sans culotte, ni soutien-gorge… l’image de sa honte !
— Besson, puisque tu n’as pas pu reprendre les ourlets de tes robes, il va falloir en acheter d’autres. En attendant, allons dans la chambre d'amis.
— Mlle Fournier, il n'y a que d'anciens vêtements de jeune fille, ces affaires sont bien trop petites pour moi.
— J'ai vu Besson, mais tu portes des vêtements bien trop larges pour mettre ton corps en valeur !
Léa entraîna Mme Besson dans la chambre d'amis et attrapa une petite jupe si courte qu'elle lui arrive à peine à hauteur des bas et cache tout juste les fesses et, lorsqu'elle marche, si elle virevolte, elle laisse entrevoir son intimité. Un petit top qui moule sa poitrine complète la tenue. On aperçoit ses tétons dressés à travers le tissu, qui se dessinent et marquent le contour de ses seins.
Photo !
C’était une tenue de salope, de putain… Se regardant dans le miroir, Mme Besson savait qu’elle allait devoir porter cette tenue infâme et perdre encore plus de sa dignité… Bien entendu, elle ne fut pas autorisée à mettre un slip ou un soutien-gorge. Léa lui mit ses lunettes de soleil, elle n’était plus reconnaissable, au moins personne ne pourrait reconnaître la digne enseignante Mme Besson...
Met ton collier et sa laisse dans ton sac à main et allons-y.
Entrant Mme Besson regarda les choses qu’elles avaient achetées.
Léa prit la barre métallique et y glissa les cordes et ordonna à Mme Besson nue de se mettre à genoux au milieu de la pièce.
Léa lui attacha chaque poignet aux chevilles et glissa la barre de fer au milieu.
Cela eut pour effet de faire tomber Mme Besson, face contre terre, les jambes grandes écartées, les fesses en l’air.
— Oh non Mlle Fournier, s'il vous plait pas le fouet, je serai obéissante, Maintenant Besson comprend bien, cette position, à deux avantages, elle t'empêchera de te tripoter cette nuit et me permet de te fouetter sur les fesses pour te rappeler que tu dois toujours obéir sans poser de questions !
— Oh non Mlle Fournier pas le fouet, je vous en prie, Léa prit le fouet, un fouet utilisé pour le dressage des chevaux. Mme Besson sait que Léa va lui faire du mal... Sa Maîtresse va la fouetter !
Fuitiiiichh — Un, — Aie, s’il vous plait Mlle Fournier, NON, — Deux, Ses fesses étaient en feu, ses larmes coulaient… la douleur est fulgurante, maintenant qu’il est commencé elle a le sentiment que son calvaire ne s’arrêtera plus… Léa souriait en voyant les fesses rouges de sa prof.
— Sept. Cela suffira pour ce soir, Besson, remercie-moi de t'apprendre le respect. Pour souligner la hiérarchie qui s’impose, tu dormiras au pied du lit… Léa se déshabille et se glisse dans le lit, laissant sa prof attachée et pleurant sur la moquette.
— Bonne nuit, Besson et Léa tend sa main, — remercie ta maitresse, allez ma salope, lèche ma main, montre-moi que tu aimes avoir quelque chose de dur dans la bouche. Montre-moi quelle suceuse tu es, Mme Besson baise et lèche consciencieusement la main qui vient de la martyriser. Elle n’est plus qu’une pauvre fille brisée, entravée, les fesses en feu.
Léa fut réveillée par les gémissements de son enseignante, les yeux rouges et le visage marqué par les larmes. Elle est gisante au sol près du lit, les bras et jambes toujours contraintes et écartées par les liens et les menottes.
— Qu’est-ce qui ne va pas, Besson ?
Mme Besson leva les yeux et vit Léa nue devant elle, elle fut éblouie par la beauté de sa tourmenteuse, c’est une très jolie jeune femme, la poitrine ronde des hanches d’un galbe délicat et les cuisses longues, fuselées, élancées vers un sexe appelant la caresse.
— Je n’en peux plus Léa. C’est trop pour moi, tout le monde pourra comprendre pourquoi j’ai fait ces photos.
— Bien Besson, alors regardons-les.
Léa se leva, prit son portable et fit défiler les photos les unes après les autres.
— Maintenant, tu vas me dire, comment tu pourras les expliquer.
Elle lui mit sous le nez, la photo de Mme Besson en train de masturber son sexe rasé et sur son visage se lisait la jouissance… — Et celle-ci ?
Elle lui présenta les pires photos et Mme Besson comprit qu’elle était vaincue et se mit à pleurer.
— Maintenant Besson, que penses-tu pouvoir faire ?
— S’il te plaît Léa, ne montre jamais ces photos, je ferai tout ce que tu voudras.
— C’est bien, mais je constate que tu as oublié les règles minimales de respect ordonnées, comme les mains derrière le dos lorsque je te parle, les yeux toujours baissés, etc...
Je crois devoir te rafraîchir la mémoire… Je vais te fouetter, Léa saisit violemment Mme Besson par les cheveux et lui mit la tête contre la moquette, les fesses tendues en l’air, les cuisses écartées. Tu es mignonne présentée comme cela, tu as un cul magnifique, le sais-tu ?
— S’il vous plaît, Mlle Fournier, ne me battez pas.
— Écarte tes genoux ! Je veux bien te croire, mais ne penses-tu pas que tu devrais être punie pour ce manquement ?
Mme Besson ne savait que dire, elle voulait bien faire plaisir à son étudiante, mais ne voulait pas être encore frappée.
D’une toute petite voix, elle dit, — Oui Mlle Fournier.
— Tu n’as pas mérité une punition ?
— Si Mlle Fournier, — Si quoi, salope !
— J’ai... mérité une punition Mlle Fournier.
Bien, alors demande-moi de te flageller les fesses avec ce martinet afin de t’enseigner le respect.
— la prof sanglotait...
— S’il vous plaît Mlle Fournier, fouettez-moi, je dois apprendre à vous respecter, sanglota la pauvre prof.
Léa avait le martinet en main et commença la flagellation tout le devant du corps. Les lanières s'abattaient sur son ventre, ses cuisses, ses seins et même parfois atteignaient des points extrêmement sensibles entre les cuisses. Cette correction lui faisait un mal de chien et rapidement, Mme Besson hurla, pleura, supplia Léa d'arrêter... en pure perte. La punition dura. Et quand elle cessa, Léa demanda à Mme Besson, sans élever la voix, — Tu oublieras encore ma petite pute ? Veux-tu que je continue à la cravache sur tes mamelles ?
— Oh non, par pitié Mlle Fournier, bégaya Mme Besson entre deux sanglots, ne me battez plus, je serai attentive, je ferai tout ce que vous voudrez Mlle Fournier, Son corps était en feu, elle ne peut retenir un glapissement de douleur et un gémissement éploré — S’il vous plaît Mlle Fournier, arrêtez.
Ses jambes cèdent et elle tombe sur le sol à genoux en pleurant à chaudes larmes.
Léa saisie Mme Besson par les cheveux, la relève, la fait mettre à genoux les cuisses écartées, puis elle plonge un doigt dans son sexe ouvert et le ressort couvert de mouille… — Qu’est-ce que c’est que cela Besson, tu aimes te faire battre demanda sa jeune élève ?
Mme Besson ne sut que répondre, elle était si honteuse. Léa détacha la cheville du pied du lit et la remit debout.
— Maintenant Besson, pendant que je vais prendre une douche, je veux que tu me prépares le petit déjeuner avec des toasts. Tu ne te touches pas, tu restes nue et tu mets tes talons ! ordonna Léa, en claquant furieusement, les fesses rouges de Mme Besson.
— S’il vous plaît, je voudrais aller aux toilettes Mlle Fournier.
— Va préparer mes toasts. Si tu es sage, je t’autoriserai peut-être à faire pipi, après.
Mme Besson descendit à la cuisine et Léa prit une longue douche et descendit à son tour, seulement vêtue d’un long débardeur. En entrant dans la cuisine, elle trouva Mme Besson, assise à table, en train de boire une tasse de café, — Qui t’as autorisée à t’asseoir ? Qui t’a donné la permission de boire un café ?
Mme Besson, sauta sur ses jambes.
— J’avais oublié, excusez-moi, Mlle Fournier.
— Ici, immédiatement !
Smash ! Gifle, — Écarte grand tes cuisses.
Mme Besson fit ce que Léa lui ordonnait mais cette position, avec ses talons de 12 cm, lui faisait atrocement mal aux jambes.
Maintenant, reste comme cela, pendant que je bois mon café et que je réfléchisse à la façon de te faire enfin comprendre… Je t’ai dit que tu devais me demander ma permission en toute chose !
— Oui Mlle Fournier, je suis désolée, je n'ai pas fait attention, pardonnez-moi Mlle Fournier...
Léa s’assit et but tranquillement son café et mangea les toasts préparés par Mme Besson.
Dans cette position, très voluptueuse, nue dans la cuisine. Mme Besson commençait à avoir vraiment très mal, ses jambes la torturaient. Et sa vessie, son sexe ouvert… elle devait aller aux toilettes !
— Mlle Fournier, puis-je utiliser la salle de bains ?
— Du calme mon animal, je prends mon petit déjeuner, encore une marque de ton impatience et c’est le fouet. Tu oses m’interrompre pendant mon café !
Mme Besson essaya de se contrôler, de penser à autre chose… Léa finit tranquillement son déjeuner.
Photo !
Mme Besson ferma les yeux en imaginant ce qu’elle montrait sur cette photo. Elle entendit Léa ouvrir un tiroir, Aïe !, Ouïe !, La cuillère de bois s’abattit sur les fesses de Mme Besson qui sursauta et quitta sa position, pour protéger ses fesses.
— Remets tes mains en place, tu dois apprendre à obéir c'est le minimum de respect.
Aah ! Aah ! Aah !, — Je suis désolée, Mlle Fournier.
Ouïe ! Aah ! Aah ! Aah !,Sa deuxième correction en début de journée Mme Besson était effondrée, par la douleur, — Tu veux toujours utiliser les toilettes, Besson ?
— Oh Oui ! je le veux Mlle Fournier, Répondit-elle en larmes, elle espérait ne pas manquer de respect à son élève. Léa prit la laisse et l’accrocha au collier de sa prof et se dirigea vers la porte de derrière.
— Allons faire ce que me demande mon animal, va faire tes besoins dans le jardin, maintenant… Mme Besson ne put croire qu’elle allait uriner dans le jardin et devant son élève ! Léa amena la prof écarlate au milieu de la pelouse et dit, — Faits tout ce que tu as à faire, c’est ta dernière possibilité avant que nous partions faire des courses.
— Mlle Fournier, je ne peux pas faire cela, ici, dit Mme Besson éperdue de honte.
Mais elle n’avait pas été aux toilettes depuis hier soir et aujourd’hui Léa lui avait formellement interdit les toilettes. Elle en avait désespérément besoin.
— Bien alors nous attendrons ce soir… Nous devons y aller, — Attendez !
Vaincue...
— Oui, — Ne me corrigez plus Mlle Fournier, je vais le faire.
— Alors vas-y, nous n’avons pas toute la journée !
Mme Besson essaya d’être gracieuse, accroupie en écarta largement les jambes et commença à uriner devant son élève… sur la pelouse, sa propre pelouse, devant son élève, une élève de 18 ans… Ayant satisfait ses besoins, la prof humiliée mais soulagée dit, — J’ai terminé, Mlle Fournier.
— C’est bien, les mains dans le dos, viens te faire cajoler par ta maitresse mon animal et viens me remercier d’être si attentive à tes désirs, Mme Besson nue, avec son collier et la laisse pendante entre ses seins, vint se coller et frotter son sexe au corps de Léa qui lui caressa la croupe, comme on récompense une bête obéissante. Léa glissa sa jambe entre les cuisses de la prof pour venir en contact du sexe gonflé de Mme Besson et jouer avec son clito tout tendu sous ses longues lèvres mouillées de plaisir. Mme Besson se frottait comme une chienne contre cette jambe. Elle était emportée dans un tourbillon de plaisir.
— Salope ! Tu meurs d’envie de te branler pour jouir, hein ?...
— Oui Mlle Fournier, ― Tu n’es pas là pour te branler petite salope, mais pour me servir.
— Supplie-moi, mon animal !
— Je vous en supplie Mlle Fournier, autorisez-moi à jouir sur votre cuisse.
— Je peux Mlle Fournier ? Je vous en prie… Je peux ?
Léa fait non de la tête, un petit sourire aux coins des lèvres.
— Continue de te branler comme cela, mais surtout, tu ne jouis pas pétasse ! Le plaisir est pour moi, pas pour toi ! Attention au fouet !
Dans un long mouvement de va et vient, Mme besson qui halète, caresse avec vigueur son sexe sur la jambe de Léa.
Léa regrettait de n’avoir eu qu’une cuillère pour battre sa prof, mais elle savait que les coups appliqués sur le sexe auraient donné encore plus d’envie à sa prof… La menace d'une punition était suffisante pour la rendre obéissante.
Photo !
— Allons-y, nous allons faire bon usage de ta carte de crédit, Besson, il va falloir t’habiller car la plupart de tes vêtements ont été mis à la décharge.
Tenu en laisse, elle entraîna sa prof dans la maison.
— Prends une douche et rejoins-moi dans notre chambre et ne joue surtout pas avec ta chatte !
Après une douche rapide, Mme Besson toujours nue, rejoignit Léa qu’elle trouva en jean et petit chemisier.
— Assied toi ici, je vais m'occuper de tes cheveux et de ton maquillage.
Léa la coiffa et la maquilla à outrance, faux cils, fard à paupières bleu, eyeliner noir, se et un rouge à lèvres rose bonbon accentuant encore davantage sa bouche qui allait devenir celle d'une pompeuse de queues. Un style qui lui donnait l’air de ce qu'elle était promise à devenir... une putain. Se regardant dans la glace, Mme Besson eut du mal à se reconnaître.
— Maintenant, nous allons t’habiller, met ceci ! dit Léa, en lui jetant le porte jarretelle noire et des bas fumés.
— Puis-je m’asseoir sur le lit. Mlle Fournier ? demanda Mme Besson, craignant de se faire encore punir.
— Bien sûr, dit Léa en la regardant mettre ses bas et découvrir son sexe.
Photo !
— Met tes talons ! Nous veillerons à t’en acheter d’autres.
Mme Besson attacha ses bas et glissa ses pieds douloureux dans les hauts talons, se regarda dans la glace et put voir une femme nue vêtue de bas et d’un porte jarretelle, sans culotte, ni soutien-gorge… l’image de sa honte !
— Besson, puisque tu n’as pas pu reprendre les ourlets de tes robes, il va falloir en acheter d’autres. En attendant, allons dans la chambre d'amis.
— Mlle Fournier, il n'y a que d'anciens vêtements de jeune fille, ces affaires sont bien trop petites pour moi.
— J'ai vu Besson, mais tu portes des vêtements bien trop larges pour mettre ton corps en valeur !
Léa entraîna Mme Besson dans la chambre d'amis et attrapa une petite jupe si courte qu'elle lui arrive à peine à hauteur des bas et cache tout juste les fesses et, lorsqu'elle marche, si elle virevolte, elle laisse entrevoir son intimité. Un petit top qui moule sa poitrine complète la tenue. On aperçoit ses tétons dressés à travers le tissu, qui se dessinent et marquent le contour de ses seins.
Photo !
C’était une tenue de salope, de putain… Se regardant dans le miroir, Mme Besson savait qu’elle allait devoir porter cette tenue infâme et perdre encore plus de sa dignité… Bien entendu, elle ne fut pas autorisée à mettre un slip ou un soutien-gorge. Léa lui mit ses lunettes de soleil, elle n’était plus reconnaissable, au moins personne ne pourrait reconnaître la digne enseignante Mme Besson...
Met ton collier et sa laisse dans ton sac à main et allons-y.
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