Madame Besson - Chapitre 5
Récit érotique écrit par Tayyip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Madame Besson - Chapitre 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Chapitre 5Tu pues salopeLéa ramassa le tee short de Mme Besson et lui dit de s’assoir dessus, pour ne pas salir les sièges de la voiture. Dans la voiture, les seins nus, exposés à tous, Mme Besson se blottit dans le coin et pleura doucement.
Lorsque la voiture s’arrêta Mme Besson regarda dehors et constata qu’elles n’étaient pas à la maison, mais devant celle des parents de Léa. La prof épuisée, en laisse, sans résistance, suivit Léa dans la cave jusqu’à une sorte de cage de chien en métal de soixante sur soixante-dix centimètres, Léa lui cingle les fesses avec la laisse et lui ordonne de se glisser à l'intérieur et referme la porte à clef.
Mme Besson sombra dans le sommeil, elle est recroquevillée et dans son cul et sa chatte les engins se rappelaient en permanence à son souvenir. Elle est réveillée brutalement par un jet d’eau froide, la mère de Léa l’aspergeait avec un tuyau d’eau. L’eau froide brulait ses seins et elle grelottait.
— J’espère que cela te rendra plus propre, tu empestes le foutre, salope.
L’eau s’arrêta et Mme Besson se retrouva dans le noir, claquant des dents, grelottante, ayant encore plus de froid, dans cette cage à chien. Plus tard la lumière revint et madame Fournier accompagnée de Lucas, le frère de Léa, descendaient l’escalier, la femme se dirigea vers Mme Besson, tandis que le frère alla vers une autre cage que Mme Besson n’avait pas encore remarquée. La mère de Léa sortit Mme Besson de sa cage en tirant violemment sur sa laisse, une fois dehors, la prof vit une jeune femme blonde nue à l’exception de hauts talons sortir da l'autre cage.
— C’est Sarah, l’esclave de Lucas, elle est en formation depuis un mois et elle progresse très bien. Amène-la ici Lucas, dit la mère de Léa, — Montre-nous comment tu sais embrasser, ma belle. Dit Lucas.
Sarah se pencha en avant et posa ses lèvres sur celles de l’enseignante choquée, qui se détourna. La mère de Léa tira brusquement sur la laisse de Mme Besson.
— Écoute-moi salope, tu fais ce que je te dis ou j’appelle ton mari, il serait surement heureux de voir sa femme, si belle ce matin. Mme Besson cria Non… je ferai tout ce que vous me demanderez, — Voilà qui est mieux, donnes un gros baiser à Sarah.
Elle sentit le coup d’une tige de cuir lui brûler le sein et Mme Besson posa ses lèvres sur celles de Sarah, qui glissa sa langue dans celle de Mme Besson. La prof n’avait même jamais pensé qu’elle pourrait un jour embrasser une autre femme et de cette façon !
Photo !
— Plus d’enthousiasme, veux-tu que ton mari vienne nous rejoindre ?
Mme Besson se donna totalement à la jeune femme. La langue de Sarah s’agite dans la bouche de Mme Besson, qui pour sa grande honte, sentit qu’elle commençait à mouiller. Cela dura jusqu’à ce que la mère de Léa leur dise d’arrêter. Sarah arrêta mais resta enlacée à Mme Besson, une main sur ses seins, l’autre sur son sexe.
Photo !
— Je veux voir cette chienne nue, Sarah déshabille là. Dit Lucas.
Sarah se mit à genoux devant Mme Besson et se battit pour enlever le jean serré. Mme Besson se laissa faire, le gode vibrant dans sa chatte libérée tomba sur le sol. Mme Besson se tenait nue devant ses tourmenteurs, avec un plug dans les fesses et ressentait curieusement une impression de vide depuis que le gode ne s'agitait plus en elle. Elle fut tirée de sa rêverie par un nouveau coup cinglant de cravache sur ses seins.
— Le dos sur cette table, écarte les cuisses.
Elle fut obligée de se mettre étendue les bras en croix, la tête pendante, exposant son cul et sa chatte. Elle pouvait voir sa position obscène dans un grand miroir fixé au plafond.
Mme Besson obéit et entendit Lucas ordonner à Sarah de retirer le plug des fesses de Mme Besson avec ses dents. Elle sentit le souffle de Sarah sur ses fesses et ses dents s’agiter dans son cul, saisir le plug et le retirer.
Le plug retiré, Mme Besson se retrouva avec un grand trou béant et fut ahurie de constater que le plug et le gode, manquait à son corps.
Offerte sur cette table, la tête en bas, dans cette position évocatrice pour une gorge profonde, Mme Besson s'offrait. Sans hésiter, Lucas lui prenant les cheveux des deux mains lui enfonça dans le gosier, sans hésiter, sa bite dure, il voulait être sucé à fond... Elle laisse glisser le gland le long de son palais… Une fois la gorge atteinte, les glandes salivaires s’excitèrent et produisirent une abondante écume blanche, lubrifiant le passage. En crachant, grinchant, elle étouffe, expectore, ses yeux pleurent, elle est une oie gavée, elle ne rechigne pas, elle aime cet abattage, cette humiliation, cette dégradation à laquelle elle consent pleinement. Ça l’excite terriblement. Elle est contente, elle joui, elle fait jouir Lucas, elle sent les belles giclées au fond de sa gorge.
Qui suis-je se demande elle pour accepter ces douleurs, accepter que mon corps me dicte ma conduite... Elle se sentait prisonnière de ce mâle puissant, mais plutôt heureuse de l’être...
Mais madame Fournier qui n'entend pas en rester là lui rappelle sa soumission, — Léa m’a dit que tu as manqué d’enthousiasme hier soir, tu n’as pas encouragé tes partenaires à te peloter, à t’embrasser et maintenant tu fais tomber ton vibromasseur tout visqueux. De plus tu n’as pas donné assez de ferveurs aux baisers de Sarah, je crois que, comme Léa l’a dit, tu demandes à être punie.
— Oh Non madame Fournier, je suis désolé, ne me punissez pas, ne me battez pas… — Appelle-moi maîtresse !
— Oui maîtresse, répondit rapidement Mme Besson, ne me punissez pas maîtresse.
Eh bien, tu as le choix, soit tu veux être punie pour apprendre à obéir, soit, tu veux que ton mari vienne nous rejoindre ici, tu sauras bien lui expliquer ton dilemme, — Que fait-on ?
— S’il vous plait maîtresse, ne faites pas venir mon mari.
Smack, la tige de cuir frappe le sein droit de Mme Besson, juste en dessous du téton.
— Je ne t'ai pas demandé ce que j'avais à faire, mais de faire ton choix !
La douleur fut terrible, la prof en plus était pleine de crampes, elle devait faire son choix et maintenant.
— S’il vous plait maîtresse, punissez-moi pour apprendre à vous obéir.
Bégaya Mme Besson.
— Approche-toi salope, lui dit Mme FournierDocilement, Mme Besson s’approche de la maîtresse et voulut lui expliquer...
— Ta gueule ! Attache la laisse.
Mme Besson s’exécute. Mme Fournier la conduit au rez-de-chaussée en tirant derrière elle Mme Besson, comme une chienne que l'on emmène promener.
— Elle était prévenue, cette pute, annonce-t-elle à Lucas !
Mme Besson comprend qu’elle va être punie devant toute la famille de Léa. Ses yeux laissent passer des larmes. Mais elle savait bien que cela ne fléchirait pas Mme Fournier. Mme Fournier installe une petite table et tirant Mme Besson par la laisse l’amène à poser sa poitrine sur la table, exhibant ainsi ses fesses.
— Lucas, corrige cette petite salope, elle m’a désobéi. le fouet est le meilleur remède... Marque la bien, elle doit s'en souvenir. Lucas appliqua sa main sur sa bouche pour étouffer les cris.
— Alors pour être sûre que tu n’oublieras plus tes devoirs, tu vas y avoir droit ! pourquoi tes genoux sont serrés ?
— À genoux, cuisses ouvertes… et tu ne quittes pas la position sans ordre, dit Lucas, — Oh non monsieur Lucas, ne me battez pas… Lucas a dans les mains un martinet avec de longues lanières de cuir. Il lève le bras et l’abaisse violemment.
— Tu es là pour apprendre et obéir Besson, — Mais...,Silence, tu ne parles que lorsque je le dis !
Mme Besson, se fera fouetter et elle le sait, les coups s’abattront sur ses seins charnus, son dos, son cul.
Lucas fouettait, Mme Besson gémissait, la lanière cingle son cul, parfois, elle l'entoure complètement, venant finir sa course au ras du pubis.
Huitisch !!!!!!
Les coups de fouet pleuvent et la touche au milieu du dos, forts et cinglants, Lucas la traitait en soumise asservie. Mme Besson n’en pouvait plus et sanglotait convulsivement. Les fesses se marquent de zébrures rouges. « Un ». Deuxième coup très rapide. « Deux ». Lucas s’amuse beaucoup à faire attendre le coup ou à le doubler. « Neuf ». Lucas commença à frapper les seins de Mme Besson, insistant sur les mamelons, la prof subissait un martyre, la douleur lui faisait perdre pied, mais elle ne voulait pas crier, juste gémir.
Pour le dernier, c’est à toi Léa de décider où sera appliqué le martinet sur ton animal, dit Lucas,Sur ses pies de salope ! dit Léa, Le corps de madame Besson est strié de marques rouges, zébré de larges stries écarlates.
Elle a compris qu'il ne faut rien n’oublier des ordres ! Elle doit apprendre à obéir encore plus rapidement pour ne plus être battue.
Lucas s’approcha et posa sur chacun des tétons tuméfiés une pince à sein vibrante qu’il serra très fort. Mme Besson hurla de douleur. Monsieur Fournier mit la main entre les cuisses de Mme Besson et lui claqua la chatte, — sur mes genoux à plat ventre maintenant.
Après le fouet, la fessée. Mme Besson hurle de douleur à chaque claque que ses mains lui infligent, il enchaîne les coups par dizaines... Elle est là, les fesses rouges, défaite, à encaisser la raclée.
Monsieur Fournier lui remit la main entre les cuisses, ses doigts fouillent le sexe.
— Tu as la chatte toute mouillée, chienne, tu aimes cela ma salope, et la fessée recommence... une éternité, — lève-toi !
Mme Besson se lève, elle est debout, folle de douleur, les fesses rouges, le corps strié par les coups de fouet, pliée en deux, jambes largement écartées et monsieur Fournier soupir de plaisir en lui caressant les fesses et lui passant la main sur le sexe.
Mme Besson honteuse, ne savait pas ce qui se passait, elle sentait le feu en elle, ses tétons étaient douloureux, elle avait la chatte en feu.
— Es-tu prêtes à obéir la prof ? Demanda Mme Fournier.
Mme Besson dans un nuage dit, — Oui maîtresse, balbutia l'enseignante incohérente.
— As-tu oublié que ton corps nous appartient, lui dit monsieur Fournier, as-tu oublié les règles de ta propriétaire, quand tu seras offerte à la demande, ou vendue à des clients, c'est pour qu’ils te baisent, qu'ils te défoncent la rondelle, que tu les suces et qu'ils payent ! Tends tes fesses vers la queue de Lucas en attendant qu'il te bourre le cul, — Prends-la par le cul Lucas, défonce-la bien ! lui crie Mme Fournier. Ouvre le bien. Et toi, la salope, demande à Lucas de te défoncer. Exigea Mme Fournier.
— Oui fais-la gueuler, casse-lui le cul ! Ajoute monsieur Fournier, ramone la à mort, elle adore ça !
— Mme Besson regarde avec gourmandise le gourdin de Lucas. Prenez-moi par le cul, monsieur Lucas.
— S’il vous plait monsieur Lucas, baiser mon cul, je n’en peux plus, baisez-moi.
Murmure Mme Besson, — Tu n’es qu’une pute en dressage, utilise le vocabulaire des salopes comme toi.
— Enculez-moi monsieur Lucas, ouvrez-moi le petit, — alors suce-moi avant que je te la mette dans la rondelle.
— Oui monsieur Lucas, Elle avait fort envie de lui et sans hésiter, elle le suce, le lèche, l'avale profondément, sa queue est bonne, bien dure et belle.
Mme Besson caresse la bite de Lucas, — donnez-moi votre jus dans ma bouche, … elle gémit de plaisir, il est dur… — j'aime votre sexe monsieur Lucas, prenez mon petit trou, bourrez-moi le cul monsieur Lucas.
Une claque énorme frappa l’intérieur de ses cuisses et Lucas s’installa entre ses jambes, inséra lentement sa bite dans le trou du cul, ce n’était pas facile, mais elle était déjà ouverte par le plug anal, sa chatte était trempée de mouille et il put passer sans trop de difficulté son gland. La pénétration fut douloureuse pour Mme Besson, mais dès que la tête fut passée, cela alla mieux. Elle était pénétrée profondément et âprement à chaque coup de boutoir elle gémissait en cambrant ses fesses pour faciliter et amplifier encore la pénétration.
Elle faisait doucement aller et venir son cul pour l’encourager à encore plus d’ardeur. Elle était folle de désir, folle d’envie de sentir Lucas au plus profond d’elle. La bite de Lucas est à son goût...
— Ohhh… aaahhh… En tremblant de tout son corps. Elle avait cette délicieuse sensation d’être prise au plus profond de ses entrailles.
Lucas agrippa ses mains sur les seins de Mme Besson, tira sur la chaîne fixée sur ses tétons martyrisés, elle ne savait plus où donner de la douleur, ses pauvres seins, son cul qui s’ouvrait sous la pression de la grosse bite de Lucas complètement entré en elle. Mme Besson crie, hurle, braille, pleure… Les va-et-vient continuent. Pour sa grande honte, cela lui fit comme un éclair de plaisir et bientôt elle ronronna de bonheur en essayant d’accompagner les mouvements de ce sexe qui vivait dans son ventre et lorsqu’elle le sentit se tendre et sentit le sperme de Lucas jaillir dans son cul, elle se cabra, elle allait jouir, Mme Besson gémit doucement, submergée par le désir non assouvi, mais Lucas au moment où elle commence à jouir, le sentit et se retira vivement, la laissant frustrée… elle bêla de dépit… Malgré tout, Mme Besson était à présent certaine qu'elle ferait la pute pour Lucas et le ferait tout pour lui plaire.
Lucas ordonna à Sarah de lui nettoyer la verge ce qu’elle fit sans hésitation. Sarah je te veux toujours à disposition, attentive au moindre de mes désirs. Je veux pouvoir tirer le meilleur parti de ton corps. Tu vois la prof, c’est ainsi que tu dois obéir, comme Sarah, sous peine de cravache.
— Compris salope ?
— Oui monsieur Lucas.
— D’autre part, tu dois te présenter comme l’animal de compagnie de Léa !
— Oui monsieur Lucas, l’animal de compagnie de Léa comprend.
Chapitre 5Tu pues salopeLéa ramassa le tee short de Mme Besson et lui dit de s’assoir dessus, pour ne pas salir les sièges de la voiture. Dans la voiture, les seins nus, exposés à tous, Mme Besson se blottit dans le coin et pleura doucement.
Lorsque la voiture s’arrêta Mme Besson regarda dehors et constata qu’elles n’étaient pas à la maison, mais devant celle des parents de Léa. La prof épuisée, en laisse, sans résistance, suivit Léa dans la cave jusqu’à une sorte de cage de chien en métal de soixante sur soixante-dix centimètres, Léa lui cingle les fesses avec la laisse et lui ordonne de se glisser à l'intérieur et referme la porte à clef.
Mme Besson sombra dans le sommeil, elle est recroquevillée et dans son cul et sa chatte les engins se rappelaient en permanence à son souvenir. Elle est réveillée brutalement par un jet d’eau froide, la mère de Léa l’aspergeait avec un tuyau d’eau. L’eau froide brulait ses seins et elle grelottait.
— J’espère que cela te rendra plus propre, tu empestes le foutre, salope.
L’eau s’arrêta et Mme Besson se retrouva dans le noir, claquant des dents, grelottante, ayant encore plus de froid, dans cette cage à chien. Plus tard la lumière revint et madame Fournier accompagnée de Lucas, le frère de Léa, descendaient l’escalier, la femme se dirigea vers Mme Besson, tandis que le frère alla vers une autre cage que Mme Besson n’avait pas encore remarquée. La mère de Léa sortit Mme Besson de sa cage en tirant violemment sur sa laisse, une fois dehors, la prof vit une jeune femme blonde nue à l’exception de hauts talons sortir da l'autre cage.
— C’est Sarah, l’esclave de Lucas, elle est en formation depuis un mois et elle progresse très bien. Amène-la ici Lucas, dit la mère de Léa, — Montre-nous comment tu sais embrasser, ma belle. Dit Lucas.
Sarah se pencha en avant et posa ses lèvres sur celles de l’enseignante choquée, qui se détourna. La mère de Léa tira brusquement sur la laisse de Mme Besson.
— Écoute-moi salope, tu fais ce que je te dis ou j’appelle ton mari, il serait surement heureux de voir sa femme, si belle ce matin. Mme Besson cria Non… je ferai tout ce que vous me demanderez, — Voilà qui est mieux, donnes un gros baiser à Sarah.
Elle sentit le coup d’une tige de cuir lui brûler le sein et Mme Besson posa ses lèvres sur celles de Sarah, qui glissa sa langue dans celle de Mme Besson. La prof n’avait même jamais pensé qu’elle pourrait un jour embrasser une autre femme et de cette façon !
Photo !
— Plus d’enthousiasme, veux-tu que ton mari vienne nous rejoindre ?
Mme Besson se donna totalement à la jeune femme. La langue de Sarah s’agite dans la bouche de Mme Besson, qui pour sa grande honte, sentit qu’elle commençait à mouiller. Cela dura jusqu’à ce que la mère de Léa leur dise d’arrêter. Sarah arrêta mais resta enlacée à Mme Besson, une main sur ses seins, l’autre sur son sexe.
Photo !
— Je veux voir cette chienne nue, Sarah déshabille là. Dit Lucas.
Sarah se mit à genoux devant Mme Besson et se battit pour enlever le jean serré. Mme Besson se laissa faire, le gode vibrant dans sa chatte libérée tomba sur le sol. Mme Besson se tenait nue devant ses tourmenteurs, avec un plug dans les fesses et ressentait curieusement une impression de vide depuis que le gode ne s'agitait plus en elle. Elle fut tirée de sa rêverie par un nouveau coup cinglant de cravache sur ses seins.
— Le dos sur cette table, écarte les cuisses.
Elle fut obligée de se mettre étendue les bras en croix, la tête pendante, exposant son cul et sa chatte. Elle pouvait voir sa position obscène dans un grand miroir fixé au plafond.
Mme Besson obéit et entendit Lucas ordonner à Sarah de retirer le plug des fesses de Mme Besson avec ses dents. Elle sentit le souffle de Sarah sur ses fesses et ses dents s’agiter dans son cul, saisir le plug et le retirer.
Le plug retiré, Mme Besson se retrouva avec un grand trou béant et fut ahurie de constater que le plug et le gode, manquait à son corps.
Offerte sur cette table, la tête en bas, dans cette position évocatrice pour une gorge profonde, Mme Besson s'offrait. Sans hésiter, Lucas lui prenant les cheveux des deux mains lui enfonça dans le gosier, sans hésiter, sa bite dure, il voulait être sucé à fond... Elle laisse glisser le gland le long de son palais… Une fois la gorge atteinte, les glandes salivaires s’excitèrent et produisirent une abondante écume blanche, lubrifiant le passage. En crachant, grinchant, elle étouffe, expectore, ses yeux pleurent, elle est une oie gavée, elle ne rechigne pas, elle aime cet abattage, cette humiliation, cette dégradation à laquelle elle consent pleinement. Ça l’excite terriblement. Elle est contente, elle joui, elle fait jouir Lucas, elle sent les belles giclées au fond de sa gorge.
Qui suis-je se demande elle pour accepter ces douleurs, accepter que mon corps me dicte ma conduite... Elle se sentait prisonnière de ce mâle puissant, mais plutôt heureuse de l’être...
Mais madame Fournier qui n'entend pas en rester là lui rappelle sa soumission, — Léa m’a dit que tu as manqué d’enthousiasme hier soir, tu n’as pas encouragé tes partenaires à te peloter, à t’embrasser et maintenant tu fais tomber ton vibromasseur tout visqueux. De plus tu n’as pas donné assez de ferveurs aux baisers de Sarah, je crois que, comme Léa l’a dit, tu demandes à être punie.
— Oh Non madame Fournier, je suis désolé, ne me punissez pas, ne me battez pas… — Appelle-moi maîtresse !
— Oui maîtresse, répondit rapidement Mme Besson, ne me punissez pas maîtresse.
Eh bien, tu as le choix, soit tu veux être punie pour apprendre à obéir, soit, tu veux que ton mari vienne nous rejoindre ici, tu sauras bien lui expliquer ton dilemme, — Que fait-on ?
— S’il vous plait maîtresse, ne faites pas venir mon mari.
Smack, la tige de cuir frappe le sein droit de Mme Besson, juste en dessous du téton.
— Je ne t'ai pas demandé ce que j'avais à faire, mais de faire ton choix !
La douleur fut terrible, la prof en plus était pleine de crampes, elle devait faire son choix et maintenant.
— S’il vous plait maîtresse, punissez-moi pour apprendre à vous obéir.
Bégaya Mme Besson.
— Approche-toi salope, lui dit Mme FournierDocilement, Mme Besson s’approche de la maîtresse et voulut lui expliquer...
— Ta gueule ! Attache la laisse.
Mme Besson s’exécute. Mme Fournier la conduit au rez-de-chaussée en tirant derrière elle Mme Besson, comme une chienne que l'on emmène promener.
— Elle était prévenue, cette pute, annonce-t-elle à Lucas !
Mme Besson comprend qu’elle va être punie devant toute la famille de Léa. Ses yeux laissent passer des larmes. Mais elle savait bien que cela ne fléchirait pas Mme Fournier. Mme Fournier installe une petite table et tirant Mme Besson par la laisse l’amène à poser sa poitrine sur la table, exhibant ainsi ses fesses.
— Lucas, corrige cette petite salope, elle m’a désobéi. le fouet est le meilleur remède... Marque la bien, elle doit s'en souvenir. Lucas appliqua sa main sur sa bouche pour étouffer les cris.
— Alors pour être sûre que tu n’oublieras plus tes devoirs, tu vas y avoir droit ! pourquoi tes genoux sont serrés ?
— À genoux, cuisses ouvertes… et tu ne quittes pas la position sans ordre, dit Lucas, — Oh non monsieur Lucas, ne me battez pas… Lucas a dans les mains un martinet avec de longues lanières de cuir. Il lève le bras et l’abaisse violemment.
— Tu es là pour apprendre et obéir Besson, — Mais...,Silence, tu ne parles que lorsque je le dis !
Mme Besson, se fera fouetter et elle le sait, les coups s’abattront sur ses seins charnus, son dos, son cul.
Lucas fouettait, Mme Besson gémissait, la lanière cingle son cul, parfois, elle l'entoure complètement, venant finir sa course au ras du pubis.
Huitisch !!!!!!
Les coups de fouet pleuvent et la touche au milieu du dos, forts et cinglants, Lucas la traitait en soumise asservie. Mme Besson n’en pouvait plus et sanglotait convulsivement. Les fesses se marquent de zébrures rouges. « Un ». Deuxième coup très rapide. « Deux ». Lucas s’amuse beaucoup à faire attendre le coup ou à le doubler. « Neuf ». Lucas commença à frapper les seins de Mme Besson, insistant sur les mamelons, la prof subissait un martyre, la douleur lui faisait perdre pied, mais elle ne voulait pas crier, juste gémir.
Pour le dernier, c’est à toi Léa de décider où sera appliqué le martinet sur ton animal, dit Lucas,Sur ses pies de salope ! dit Léa, Le corps de madame Besson est strié de marques rouges, zébré de larges stries écarlates.
Elle a compris qu'il ne faut rien n’oublier des ordres ! Elle doit apprendre à obéir encore plus rapidement pour ne plus être battue.
Lucas s’approcha et posa sur chacun des tétons tuméfiés une pince à sein vibrante qu’il serra très fort. Mme Besson hurla de douleur. Monsieur Fournier mit la main entre les cuisses de Mme Besson et lui claqua la chatte, — sur mes genoux à plat ventre maintenant.
Après le fouet, la fessée. Mme Besson hurle de douleur à chaque claque que ses mains lui infligent, il enchaîne les coups par dizaines... Elle est là, les fesses rouges, défaite, à encaisser la raclée.
Monsieur Fournier lui remit la main entre les cuisses, ses doigts fouillent le sexe.
— Tu as la chatte toute mouillée, chienne, tu aimes cela ma salope, et la fessée recommence... une éternité, — lève-toi !
Mme Besson se lève, elle est debout, folle de douleur, les fesses rouges, le corps strié par les coups de fouet, pliée en deux, jambes largement écartées et monsieur Fournier soupir de plaisir en lui caressant les fesses et lui passant la main sur le sexe.
Mme Besson honteuse, ne savait pas ce qui se passait, elle sentait le feu en elle, ses tétons étaient douloureux, elle avait la chatte en feu.
— Es-tu prêtes à obéir la prof ? Demanda Mme Fournier.
Mme Besson dans un nuage dit, — Oui maîtresse, balbutia l'enseignante incohérente.
— As-tu oublié que ton corps nous appartient, lui dit monsieur Fournier, as-tu oublié les règles de ta propriétaire, quand tu seras offerte à la demande, ou vendue à des clients, c'est pour qu’ils te baisent, qu'ils te défoncent la rondelle, que tu les suces et qu'ils payent ! Tends tes fesses vers la queue de Lucas en attendant qu'il te bourre le cul, — Prends-la par le cul Lucas, défonce-la bien ! lui crie Mme Fournier. Ouvre le bien. Et toi, la salope, demande à Lucas de te défoncer. Exigea Mme Fournier.
— Oui fais-la gueuler, casse-lui le cul ! Ajoute monsieur Fournier, ramone la à mort, elle adore ça !
— Mme Besson regarde avec gourmandise le gourdin de Lucas. Prenez-moi par le cul, monsieur Lucas.
— S’il vous plait monsieur Lucas, baiser mon cul, je n’en peux plus, baisez-moi.
Murmure Mme Besson, — Tu n’es qu’une pute en dressage, utilise le vocabulaire des salopes comme toi.
— Enculez-moi monsieur Lucas, ouvrez-moi le petit, — alors suce-moi avant que je te la mette dans la rondelle.
— Oui monsieur Lucas, Elle avait fort envie de lui et sans hésiter, elle le suce, le lèche, l'avale profondément, sa queue est bonne, bien dure et belle.
Mme Besson caresse la bite de Lucas, — donnez-moi votre jus dans ma bouche, … elle gémit de plaisir, il est dur… — j'aime votre sexe monsieur Lucas, prenez mon petit trou, bourrez-moi le cul monsieur Lucas.
Une claque énorme frappa l’intérieur de ses cuisses et Lucas s’installa entre ses jambes, inséra lentement sa bite dans le trou du cul, ce n’était pas facile, mais elle était déjà ouverte par le plug anal, sa chatte était trempée de mouille et il put passer sans trop de difficulté son gland. La pénétration fut douloureuse pour Mme Besson, mais dès que la tête fut passée, cela alla mieux. Elle était pénétrée profondément et âprement à chaque coup de boutoir elle gémissait en cambrant ses fesses pour faciliter et amplifier encore la pénétration.
Elle faisait doucement aller et venir son cul pour l’encourager à encore plus d’ardeur. Elle était folle de désir, folle d’envie de sentir Lucas au plus profond d’elle. La bite de Lucas est à son goût...
— Ohhh… aaahhh… En tremblant de tout son corps. Elle avait cette délicieuse sensation d’être prise au plus profond de ses entrailles.
Lucas agrippa ses mains sur les seins de Mme Besson, tira sur la chaîne fixée sur ses tétons martyrisés, elle ne savait plus où donner de la douleur, ses pauvres seins, son cul qui s’ouvrait sous la pression de la grosse bite de Lucas complètement entré en elle. Mme Besson crie, hurle, braille, pleure… Les va-et-vient continuent. Pour sa grande honte, cela lui fit comme un éclair de plaisir et bientôt elle ronronna de bonheur en essayant d’accompagner les mouvements de ce sexe qui vivait dans son ventre et lorsqu’elle le sentit se tendre et sentit le sperme de Lucas jaillir dans son cul, elle se cabra, elle allait jouir, Mme Besson gémit doucement, submergée par le désir non assouvi, mais Lucas au moment où elle commence à jouir, le sentit et se retira vivement, la laissant frustrée… elle bêla de dépit… Malgré tout, Mme Besson était à présent certaine qu'elle ferait la pute pour Lucas et le ferait tout pour lui plaire.
Lucas ordonna à Sarah de lui nettoyer la verge ce qu’elle fit sans hésitation. Sarah je te veux toujours à disposition, attentive au moindre de mes désirs. Je veux pouvoir tirer le meilleur parti de ton corps. Tu vois la prof, c’est ainsi que tu dois obéir, comme Sarah, sous peine de cravache.
— Compris salope ?
— Oui monsieur Lucas.
— D’autre part, tu dois te présenter comme l’animal de compagnie de Léa !
— Oui monsieur Lucas, l’animal de compagnie de Léa comprend.
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