Madame Besson - Chapitre 8

- Par l'auteur HDS Tayyip -
Récit érotique écrit par Tayyip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Madame Besson - Chapitre 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Madame Besson - Chapitre 8
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Chapitre 8 La chambre 50 Debout dans cette chambre crasseuse, meublée d'une table, d'un lit paillasse grisâtre et d'un lavabo ébréché, pratiquement nue, Mme Besson n'est pas gênée ou craintive, elle attend sa maitresse et selon les règles inculquées, ses cuisses sont largement écartées, elle sait qu'elle est là pour se faire prendre.
Léa de retour avec un groupe d'hommes impatients de désir, voit que son animal est prêt, debout, dressé, Mme Besson est devenue une catin de bas étage, aguicheuse, provocante, qui tortille et roule du cul en s'approchant des mâles avides de sexe.
Ils l'entourent. Un gars passe derrière elle, se frotte, elle sent la virilité de l'homme dans la raie de ses fesses nues, il la prend solidement par les hanches et rentre son vit dans le cul de la belle… doucement et fermement. Le gros sexe raide et gonflé va et vient dans son rectum. Elle a mal, elle le retient, elle sait qu'elle va se faire élargir, il pousse et la douleur se transforme en brûlure et en plaisir, son cul se met à vibrer et au moment ou il lâche la purée en de grandes giclées de foutre dans ses entrailles, elle jouit ! Il se retire et elle sens des doigts qui s'insinuent dans son cul plein de foutre, elle a la chair de poule, elle frémit de désir, embrassée de partout, elle branle les queues qui passent à portée de mains, elle est trempée, son jus dégouline le long de ses cuisses.
Une main lui pince les tétons avec ses ongles, surprise, elle crie, — Ta gueule salope ! On a raqué un max pour que tu sois un paillasson, alors tu es là pour encaisser, compris petite pute ! Si t'as pas bu assez de jus, on va t’en redonner !
— Oui monsieur, Elle a peur que l'on se plaigne d'elle à Mlle Fournier, elle ne veut pas être corrigée.
La mettant à genoux et lui maintenant la tête avec les mains, les hommes lui baisent la bouche. Les bites pénètrent jusqu’au fond de la gorge et en même temps, elle masturbe. Au bout d'un moment de ces gorges profondes, elle est relevée sans douceur par les cheveux, étendue sur la table, tête et jambes pendantes dans le vide, ses orifices sont autant d'appels, l'un d’entre eux approche son rondin raide pour lui péter le cul et la plante jusqu’aux couilles ! L'attaque est brutale, elle gueule, crie de douleur... et plaisir, elle s'offre même un peu plus, le cul bien relevé et l’imposante bite sort et rentre avec application.
— Tu sens ma grosse bite dans ton petit trou ? Ha Ha Ha ! Je vais te jouir dans le cul et te remplir de foutre !
Son cul regorge, un sperme épais et chaud coule le long des cuisses. Le baiseur se retire en laissant le trou du cul dilaté béant. Bien entendu, sans attendre une autre bite prend la place libre, les enculades se succédèrent. On ne lui laissa aucun répit. Elle est retournée dans tous les sens et baisée par tous les orifices. Elle jouit à chaque fois que des couilles lui frappent le sexe. Les queues qui s'empressent dans sa chatte la font gémir. La bouche n'est pas oubliée pour une gorge profonde, elle étouffe, suffoque, mais le boudin s'enfonce de plus en plus profondément, elle pousse quelques petits râles, mais ne proteste pas plus.
— Hein ma truie t’aime ça !
Les coups de queue redoublent de violence, dans un va-et-vient brutal, le mandrin sort et est radicalement réintroduit entièrement, le pilonnage fait son effet, sa chatte déborde de jute. Ils s’existent sur elle toujours aussi activement, sans fin, dans la chatte, dans la bouche.
— Elle te plait ma bite hein !
Le sexe énorme, odorant lui écartèle le museau, la bite a disparu dans la gorge de Mme Besson, elle grogne, la mâchoire est grande ouverte, elle bave, de sa bouche affamée elle continue à téter la bite. Elle lèche les couilles du mec, lui, baise sa bouche comme on baise un cul ou une chatte, il lui impose son rythme, il va jouir, — Avale tout souillure !
Le jet est puissant, il se vide dans son gosier, un peu de sperme coule le long de son menton et tombe sur le sol, — Salope ! Tu devais tout avaler ! Tu nettoies serpillière à sperme, !
Immédiatement, elle se cambre, se place à quatre pattes, la croupe bien en l’air, déploie sa langue et se met à lécher le foutre sur le sol qu’elle avait recraché. Regardant son amant de l'instant, elle ouvrit en grand la bouche pour bien lui montrer la semence récupérée. Elle aime le sperme, elle aime sentir les odeurs des sexes qui la font jouir.
Exhibée, souillée, humiliée, malmenée, elle est farcie de partout. Le corps de Mme Besson n'est plus que jouissance...
Léa, souriante, a assisté à la mise en vrac de son animal et mitraillé avec son téléphone pour prendre photos et vidéos, elle sait que Mme Besson va rapporter gros.
— Tu es une bonne chienne ! Je ne sais pas combien de queues tu peux avaler réceptacle à foutre, mais je suis contente de toi mon animal, lui dit-elle, — Besson va te laver et viens là, — Oh oui tout de suite Mlle Fournier, Roucoulante Mme Besson lui demande, — Vous allez caresser votre animal Mlle Fournier ?
Propre, Mme Besson s'approche et vient se coller au corps de Léa qui la gratifie d’un léger tapotement sur la joue et lui caresse doucement la tête et la croupe. Elle sait que sa propriétaire est contente d'elle.
— Je vais te laisser sous le contrôle du gérant, il sait fouetter les récalcitrantes ! Attention à toi !Travaille bien, je reviendrai te rechercher dans une quinzaine.
— Oui Mlle Fournier, je ne vous décevrai pas, tout mon corps est à votre disposition, à la disposition de vos clients.
Après ces journées intenses et ces longues nuits chambre 50, pour le plus grand bonheur du gérant et de Mlle Fournier, un matin, Léa vient rechercher Mme Besson pour la conduire près d’un parc en bordure de ville, — Aller au travail, je te surveille, n’oublie pas les photos et pense au fouet ! En ce qui concerne le tarif, aujourd'hui, tu diras aux clients qu’ils viennent me voir auparavant. Je serai assise là-bas.
— Maintenant applique-toi… Je veux te voir travailler, je me tiens à distance pour te surveiller… — Oui Mlle Fournier !
— À chaque faux pas ce sont 10 coups de trique qui viendront rougir ta peau !
— Je serai irréprochable Mlle Fournier… Léa traversa l'allée et rejoignit un petit banc à quelques dizaines de mètres.
Mme Besson s'installe alors sur un bout de trottoir, sa jupe ultra courte ne cache pratiquement rien, son haut revu et corrigé par Léa laisse apercevoir ses seins généreux hauts et fermes et juchée sur ses hauts talons, elle attend le client, elle se pavane.
Quelques voitures passent en ralentissant, mais ne s’arrêtent pas. Elle ondule, elle provoque, elle est de plus en plus chaude et sa chatte mouille généreusement, elle veut qu'un mâle vienne jouer avec elle. Elle a envie de sucer, de se faire baiser comme une salope et de sentir les bites dans son cul, dans son sexe, elle se sent comme une chienne en chaleur... après une quinzaine de minutes, une voiture s'arrête à sa hauteur, un homme d'une cinquantaine d’années descendit sa vitre.
— C’est combien ?
— Désolé, je ne sais pas, il faut aller voir ma maitresse qui est sur le banc là-bas. Le gars se gara, alla voir Mlle Fournier et après quelques échanges, ils firent la transaction et lui revint la voir. Mlle Fournier lui avait dit « tu peux voir à son sexe brillant que c'est une mouilleuse qui attend avec impatience d'être baisée. Elle en est au début de sa formation de femelle salope, alors vas-y avec doigté pour la défoncer. Elle n'est pas juste une vide couille »… en tout cas, pas encore.
De retour vers Mme Besson, la main de l’homme attrape ses fesses et sa chatte. En sursautant Mme Besson essaya bien de baisser sa mini robe en signe de réprobation, mais en vain, l’homme ne lui lâcha pas la chatte. Les protestations de Mme Besson sont de pure forme. Elle se laisse tripoter sans rechigner gloussant même de plaisir. Il lui pousse la tête pour la mettre à genoux, lui pince le nez, de sorte que qu'elle soit contrainte d’ouvrir la bouche et d’un coup s’est enfourné en elle, de plus en plus profond, jusqu’à ce que sa gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement, alors la main droite de l'homme s’est abattue sur sa joue qui rougit, — Pompe, salope, tu es là pour ça.
Il lui baise la gorge tout en maltraitant ses seins. A aucun moment il ne s’est préoccupé de son plaisir... elle a aimé cela comme une chienne docile… Puis l’homme entraînant Mme Besson dans un coin se place devant elle, l’adosse contre un mur, lui relève franchement la jupe… elle écarte les cuisses.
— Plus haut sale chienne… Et écarte-toi mieux !
Passant une main entre les fesses, il lui pelote son minou bombé, glissant l’index dans sa fente et lui astique le clito. Mme Besson ne protesta pas et s’ouvre encore plus largement, facilitant ainsi les attouchements du mâle. Elle voulait jouir. Tantôt le doigt allait et venait le long du sillon, tantôt il la pénétrait. Délaissant le sexe il l’attrapa par les deux fesses et la serre contre lui afin de la frotter contre son sexe durci, d’abord lentement, puis plus fermement, le cul à l’air, elle répond au plaisir de l'homme, ses seins laiteux étaient denses et fermes, les tétons aguicheurs et l'homme se complait à les malaxer. Le sexe de Mme Besson, dégoulinant, avide, était prêt à recevoir le membre, ce phallus lui est dû.
L'homme la leva par le dessous des cuisses en la tenant sous les fesses son pieu bien raide dans la chatte. Il s’envoyait Mme Besson à grands coups de reins. Bloquée par le mur, les yeux fermés, Mme Besson se cramponne à son amant de passage par les épaules, les ongles sont enfoncés dans la chemise et le dos de l'homme qui la percute avec vigueur. Sa chatte subit ses assauts violents avec bonheur, ses gémissements se font plus profonds, plus intenses, sa chatte se contracte, son souffle s’arrête, puis l'homme s’arc-bouta dans un dernier soubresaut et s’enfonça au plus profond de Mme Besson, la comblant de son foutre chaud. L’inconnu qui venait de la souiller la reposa à terre. Les traces du déshonneur se répandent sur les cuisses encore ouvertes de Mme Besson.
Excité, un autre homme s’était rapproché et caressait la poitrine...
— Ne bouge pas, dit l'homme à Mme Besson.
— Présente bien ton cul !
Obéissante, Mme Besson se tourne, écarta les cuisses. L'homme la pencha la tête vers le sol, lui passa longuement la main entre les fesses qu'il écarta, la caresse de l’anus jusqu’au mont de vénus, s'empresse sur les fesses de la jeune femme, un doigt s'infiltre dans sa chatte humide et remonte vers son petit bourgeon, il le caresse en prenant bien soin de tracer de petits ronds autour du mont de vénus de Mme Besson. Elle ondule, frémit, roule, se balance, mais il reste dans cette région encore longtemps répandant la cyprine de la chatte jusqu'à bien humidifier le chemin tracé entre ses fesses et sans qu'elle ne s'y attende. L'homme lui lève le cul à hauteur de sa bite, Mme Besson était à nouveau prête, dégoulinante à souhait, elle minaude, flatte, tendant sa croupe, elle a appris à anticiper le désir des hommes, elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut et les lèvres ouvertes de son sexe sont une invitation à la pénétration. Elle était vraiment fendue comme une reine et chaude comme une chienne. Ces mamelles et ces trous étaient facilement accessibles. L'homme présenta son gland devant l’anus et força l’entrée.
On voyait le phallus disparaître d'un coup dans le cul de Mme Besson. Elle était bel et bien devenue un paillasson. Personne n’aurait mieux présenté son croupion pour une enculade. Elle était sa pute et il l'utilisait comme il voulait, elle n'avait pas le moindre répit, la bite de l'homme, bien longue et bien grosse s'enfonçait loin, butant et tamponnant au plus profond à chaque fois qu'il l'enfilait... On devinait les chairs et le colon se dilater afin de laisser passer le vit, arrivé en butée, seules les couilles n’étaient pas à l’intérieur. Elle lutte, se contracte, tente de refermer ses cuisses mais il les maintient bien écartées. Elle sent sa mouille qui coule abondamment de son sexe ouvert. Elle peut apercevoir, entre ses jambes ouvertes, son jus couler sur la racine de la bite et sur les couilles.
Le corps affamé de Mme Besson en demande toujours plus encule-moi encore chéri, défonce-moi bien, fais-moi jouir, mon cul est compatible avec ta bite... La queue de l’homme lui ramone le cul et elle remue dans tous les sens comme un pantin désarticulé. Il jouit et lui balance la sauce dans le cul, il se retire et sans attendre, elle attrape le mandrin pour bien le nettoyer avec sa langue.
Léa laisse faire et contemple le spectacle en se promettant de punir Mme Besson pour cet abandon non autorisé avec un deuxième homme.
— Besson ! Ici ! Rapidement !
Sans retard, à moitié nue, Mme Besson répondit à l'appel de Léa, — Tu m’as encore mis très en colère mon animal, Que se passe-t-il ? Elle a pourtant été bien obéissante. Mme Besson ne comprend pas la remarque de Mlle Fournier.
— Tu dois d’obéir aux mâles qui te font l’honneur de payer pour te baiser. Être toujours prête à les remercier quand ils viennent pour t'utiliser !
—Tu bosses pour moi, tu dois te laisser manipuler, sinon c'est le fouet ! Vu salope— Mme Besson ne voulant pas être battue, sait qu’elle obéira, c’est tout.
Alors, tu as sucé combien de bites ma grosse pute ?
— Je ne sais pas, je n'ai pas compté… —Tu es fière de toi ? Est-ce que tu es une bonne putasse ?
— Je crois, je fais tout mon possible pour vous obéir et vous satisfaire Mlle Fournier, — Pourquoi ?
Elle comprend que son Mlle Fournier la met à l’épreuve.
— Ma bouche a sucé la bite du client et mon cul était disponible. II a joui et bien joui.
— Et tu n’as rien oublié, connasse ?
Mon dieu, elle a oublié de faire payer le deuxième client.
— N'as-tu pas mérité une punition Besson ?
À ces mots, Mme Besson se met à trembler.
— Si, Mlle Fournier,— Si quoi, salope ! Dis-moi, je le mérite !
— J’ai... mérité une punition Mlle Fournier.
Tu dois être dressée et pour cela, tu vas recevoir le fouet !
— Tu te fous immédiatement à poil et tu approches, ici tout de suite !
— En position, les cuisses écartées !
Mme Besson enlève son haut et sa jupe, elle est en talons, bas et porte jarretelle un peu en retrait de lisière du parc. Mlle Fournier, a sorti une paire de menottes en acier et lui attache brutalement les mains dans le dos. Une courte trique apparaît dans son autre main. Les coups partent et s’abattent violemment sur ses seins nus. Mme Besson se plie de douleur.
Aaaaah !
Léa lui tire brutalement les cheveux en arrière et Mme Besson ne peut rien faire pour éviter les coups qui s’abattent régulièrement sur ses seins, elle ondule du bassin pour s'échapper, ses tétons se marquent, comme ses fesses, de stries violacées.
Les voyeurs pouvaient entendre les cris et les pleurs, — Voyons si tu as retenu la leçon, dit Mlle Fournier, — J’écarterai mes cuisses pour montrer ma chatte et mon cul à baiser. J’ouvrirai la bouche pour sucer vos clients. Je mettrai les mains derrière la tête pour redresser mes nichons, je me laisserai palper par vos clients et je les remercierai toujours, — Compris ma pute ?
— Oui Mlle Fournier, dit madame Besson en ravalant ses larmes. Pardonnez-moi, pardonnez-moi Mlle Fournier, je serai plus attentive, — Allez, au travail.
Un nouveau client, un grand noir, fait un signe impératif à Mme Besson, puis tel un prédateur, il tourne autour d’elle.
— Viens me sucer !
Mme Besson se présente pour offrir sa bouche. Le client lui bloque la tête sans merci pour être sûr de jouir dans sa bouche, il fiche sa longue et épaisse tige veinée et raide au fond de sa gorge et du bout du doigt il joue avec l’anus qui s’ouvre involontairement. Sa main glisse le long des courbes, il joue avec son désir, ses gémissements lui indiquent pourtant ce qu’elle veut, il sait qu’elle est là, submergée par l’envie de se faire prendre sauvagement. Elle est sa garce, sa salope, sa chose, elle est à lui. Elle met tout son cœur et tout son dévouement, mais ça ne suffit pas. Une claque violente sur le cul lui rappelle son devoir ! Elle sursaute, visiblement surprise,mais en redemande. Le grand noir, très excité, appuie de plus en plus sur la tête de Mme Besson, elle avale comme elle peut la tige, le gland se frayant un chemin entre ses lèvres.
Elle le branle dans sa bouche soyeuse, sa langue en léchant tous les côtés, aspire le membre foncé. Ses lèvres se tordent sous la taille de la chose, elle regarde rapidement le grand noir, ce dernier fixant ses seins qui se balancent, sans que les mains de l’homme les retiennent. Elle pompe, tandis qu’un deuxième doigt s’enfonce dans son intimité. Il sait y faire le salaud.
— Suce à fond, Alors Mme Besson aspire de plus en plus fort tout en tenant fermement la base de la bite, il grogne, il lui baise la bouche et lui branle le cul dans le même temps, il est venu patiemment, pas à pas, à ses fins, elle a la bouche pleine, les mains posées sur le torse puissant du client elle sait qu'ensuite le pieux va prendre la direction de son cul, Mme Besson a les yeux écarquillés, il l'encule maintenant et elle se lève à chaque coup de queue qu'il lui donne, elle halète. Ses yeux clos, son râle, sa bouche légèrement ouverte trahissent une expression de désir. Pour être encore mieux baisée, elle enroule les jambes autour de la taille de l'homme. Il la laboure « Salope, putain, chienne, cochonne, vide-couilles », elle aime ces mots crus qui eux aussi la font jouir.
Quand Mlle Fournier voit que sa salope a bien été nourrie au foutre et qu'elle commence à donner des signes de fatigue, elle décide qu'il est temps de rentrer à la maison, d’autant plus qu’il faut que sa poule reparte travailler le lendemain matin de bonne heure.
— Besson ici ! Nous rentrons ! Demain je te déposerai, tu seras seule, j'ai des courses à faire, mais je passerai dans la journée chercher la comptée. Compris mon animal ?
Mme Besson était heureuse de cette courte indépendance, Oh, oui Mlle Fournier, vous serez contente de votre animal, je vous le promets.

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Texte coquin : Madame Besson - Chapitre 8
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