Madame est servie!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 112 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 658 991 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 023 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Madame est servie!
Comme ça se fait souvent dans le métier qui est le mien, une fois la festivité terminé, tous le monde qui à œuvrer pour le bon fonctionnement de la journée est convié à se réunir autour d’un dîner, à la bonne franquette.
Et comme je suis du genre bien élevé j’attends gentiment dans mon bureau qu’on vienne me chercher. Et ce soir j’ai le privilège que ce soit la directrice de l’association en personne, qui vienne m’inviter.
-Encore merci Alain pour votre aide, me fait-elle en se posant sur le divan, je suis lessivé !
-Je vois ça !
-Vivement que tout cela se termine.
Je me lève de ma place et laisse tomber :
-Je suis à vous !
-Alain me fait-elle, ne me tenter pas !
Vue ma tête elle se doit d’ajouter.
-Je plaisantais ! Fait-elle en quittant sa place.
Elle se soulève, et retombe aussi vite l’instant d’après. Sur l’action sa jupette glisse vers le haut. Ses cuisses s’étalent à mon regard. J’y aperçois nettement un sexe lisse, parfaitement rasé. Au lieu de se rajuster, la directrice de l’association, tente de nouveau de s’extraire du divan. Elle écarte pour ça, une jambe et son sexe s’offre plus ouvert encore à mes yeux. Je ne peux m’interdire de fixer les petites lèvres, roses, presque rouges, sur l’entrée du vagin brillant et béant. Je crois même apercevoir un mince filet blanchâtre s’en écouler. Une boule de chaleur irradie mon bas-ventre.
-Eh bien Alain, quand vous aurez fini de vous rincer les yeux, vous aurez la gentillesse de me donner un coup de main de sortir de ce foutue divan, défoncé. On se demande bien comment?
-Avec plaisir Madame !
-Madame, voyons Alain, faites-moi plaisir appelez-moi Hélène s’il vous plaît !
-Comme vous désirez, Hélène.
Etant la directrice s’est donc Hélène qui installe les convives autour de la table. Et comme un fait exprès, ce soir là je me retrouve placé en fasse d’elle. Je suis pas moins flatté.
Durant le dîner, elle ne se prive pas de poser fréquemment un regard insistant sur moi. Un regard que je dirai très explicite. Qui dit clairement qu’il ne serait pas contre une éventuelle relation d’un soir.
D’ailleurs, je sens un pied s’infiltré entre mes jambes. J’écarte les miennes pour que son talon puisse prendre appui sur mon assise. Et une fois là, très virtuose avec les orteils, elle commence à me caresser le sexe à travers l’étoffe de mon pantalon.
Elle me fixe, sourire salace aux lèvres. Je sens dans son regard de la provocation. Je suis dans tous les états, comme à chaque fois qu’une femme me chercher. J’aime le plaisir et j’aime le partager. Il m’arrive assez fréquemment de prêter mes mains, ma bouche charitable, aux femmes. Mon oreille à leurs confidences gaillardes. Surtout à des femmes mariées, qui très tourmentées par des envies non assouvies, s’offre à mes envies, bien légitimes !
Je peux alors me permettre avec elles quelques fantaisies. Et elles ont redemande, les coquines !
J’ai une envie folle de lécher ce pied aux ongles laqués couleur DDE. Oui, de passer ma langue sur ses orteils et la remontée jusqu’à son sexe de bébé. C’est devenu une véritable obsession depuis notre tête à tête dans le bureau.
Alors que les convives le ventre plein, partent l’un après l’autre, elle insiste pour la première fois d’effectuer l’état des lieux. Allez donc savoir pourquoi ? J’ai la queue qui se trémousse au fond de mon slip. Encouragé par ce qui va peut-être arriver, je me permets même le luxe d’aller souhaiter une bonne nuit à l’époux, lui serrant la main chaleureusement.
La porte d’extérieur se ferme, je suis de nouveau en tête à tête avec Hélène. Je la sens se rétracter. A-t-elle peur de se retrouver seules avec moi. Je ne me pose pas la question longtemps. Surtout que je suis submergé par une forte excitation. Au point d’avoir tremper mon slip de liquide pré-éjaculatoire.
Sans qu’un mot soit dit, je l’attire dans mon bureau, et la plaque contre le mur de ce dernier. Sans préambule, j’enfouis ma main sous sa jupette. Qu’elle écarte complaisamment. Ses grandes lèvres s’ouvrent complètement, telle une fleur rosée. Les petites s’écartent aussi. Elle coule littéralement sur mes doigts.
-Vous êtes désirable Hélène.
-C’est de ta faute, Alain, tu es un charmeur. Tu ne sais pas pour toi, mais ce matin, je savais qu’il allait ce passer quelque chose. J’étais très excitée de savoir que j’allais te rencontrer. Alors je me suis épilée. Il se dit que les hommes sont Friant de cela ! C’est ton cas j’espère ?
-Oui…oui ! Je lâche, loin d’être convainquant.
-Je ne te sens pas si enthousiaste que ça ? Je me trompe ?
-C’est que je suis très ému !
-C’est comme ça chez toi quand tu es ému ? Bon je ne sais pas toi, mais moi j’ai chaud ! Même très chaud !
D’un geste, elle se sépare de son chandail. Elle dégrafe son soutien-gorge, qu’elle jette sur le divan, rejoindre le haut. Et tout ça, sans me lâcher du regard une seule seconde, les seins braqués vers moi, provocants. Ils ne tombent pas du tout, alors que la femme est dans sa cinquantaine. Sa peau est presque transparente et les aréoles très roses. Elle a un très léger bourrelet au niveau du ventre.
-Tu me trouves comment ? Me demande-t-elle d’un air de défi. - -Bandante à souhait.
-Oui, c’est ce que je vois, dit-elle en désignant du menton mon bas-ventre.
-Tu veux la voir ?
Passant moi-aussi au tutoiement.
-C’est bien pour cela que j’ai tout fais pour me retrouver en tête à tête avec toi. Tu vois, du plaisir j’en manque avec Paul, (son époux). Et je tiens bien ce soir à en profiter au maximum. Tu ne peux pas savoir le bien que cela m’a fait de t’exhiber ma chatte chauve.
Et après ce dernier mot, elle s’allonge, le dos contre les coussins du divan. Elle me regarde. Elle me jauge, puis ouvre le compas de ses jambes en grand.
-Viens vite, me fait-elle. Elle n’attend que toi !
Son sexe est vraiment magnifique. Et même sans poil ! Ses lèvres bouffies et luisantes sont un appel au léchage. Il s’en écoule une jolie liqueur translucide. Je ne résiste pas, alors je m’agenouille auprès d’elle. Pour me trouver au plus près de sa chatte. L’odeur qui s’en dégage est très légère, douce. Juste en dessous, la rosette palpitante très légèrement ouverte. Comme pour la chatte, pas l’ombre d’un poil n’est visible.
Au moment où j’approche ma main, nous nous regardons fixement. Lorsque mes doigts se posent sur son intimité, là elle ferme les yeux, laissant partir sa tête en arrière. Sa bouche laisse échapper un gémissement. Je la caresse lentement, très lentement, même. Son souffle s’accélère. Mes mouvements sont de plus en plus appuyés, de plus en plus larges jusqu’à passer ma main sur la totalité de son sexe. Du plus haut vers le plus bas, descendant à la limite de son anus.
A l’entendre gémir, elle est satisfaite de mes services.
Je lèche mes doigts pour avoir le goût de sa mouille dans la bouche. Mes caresses sont de plus en plus appuyées. Hélène oscille du bassin, de bas en haut de plus en plus fort. Elle ne gémit plus maintenant, elle râle. Comme toujours dans ses moments là, je laisse de côté, mon propre plaisir pour me canaliser sur le sien.
D’une main je caresse sa vulve, de l’autre les contours de son anus. Les ondulations de son bassin sont de plus en plus fortes, de plus en plus appuyées. Elle va au-devant de mes caresses. Hélène est si dilater que je n’es aucun mal à lui fourrer trois doigts dans son four chaud. Je la branle amoureusement. Hélène pousse un grognement de plaisir et avance encore plus son bassin.
Je profite de ma main libre pour s’occuper de son anus. Je glisse d’abords un, puis deux, puis là-aussi, trois doigts. Au fil des pénétrations anales de plus en plus profondes. A entendre ses clameurs, je devine qu’elle aime ça.
Encouragé je branle inlassablement les deux orifices conjointement. Hélène s’agite de plus en plus. Accomplit presque un grand écart avec ses jambes. Elle me prend ma main droite avec ses deux mains pour me l’enfoncer tel qu’elle le ferait avec un gode.
Ses odeurs intimes me saoule. Je retire mes doigts de son anus, mais ce n’est pas le souhait d’Hélène, qui me retient la main et repousse mes doigts à l’intérieur. J’alterne les mouvements de chacun de mes poings. Elle agrippe les seins des deux mains et se les torture gentiment en étirant les tétons saillants. Elle halète de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en exhortations. J’agite alors, plus fort les doigts de la main qui a la charge de son sexe, pour caresser du pouce son bouton. Il est prêt à exploser, tant il est dur. Hélène se lâche complètement. Elle ne se prive pas de me parler crument. Pour une petite bourgeoise comme elle, cela fait tout drôle de l’entendre. Elle pousse des cris, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, elle inonde tout se qui la touche. Mes doigts, mes mains.
J’attends qu’elle ne supporte plus mes caresses pour récupérer mes doigts. Elle me regarde. Je profite de l’instant pour porter les doigts de ma main droite à mes lèvres. Le goût. Un délice. Et l’odeur ? Je vous laisse le deviner.
Je pose ma bouche au contact de son sexe. Son clitoris frétille encore en souvenir de mes caresses. Et c’est sur lui que ma langue se pose dans un premier temps, avant de faire connaissance avec ses lèvres. Et par la suite elle branle son vagin jusqu’à la souffrance. Puis se laisse aller jusqu’à rejoindre son anus béant. De temps à autre je relève la tête et constate avec plaisir qu’elle a les yeux fermé, la bourgeoise, et que sa bouche laisse sortir des mots encore et toujours aussi crus. Je plonge ensuite dans son antre secret et me délecte de chaque parcelle de son trou balle.
Quand ses gémissements se mutèrent en cris de plaisir, que les mouvements de son bassin s’accélèrent, je sus que j’avais gagné la partie. Il est temps pour moi de penser à ma jouissance.
Je me saisis de ma verge, la frotte le long de sa raie, plusieurs fois. Je lui caresse l’anus avec mon gland. Puis le place devant l’entrée de son rectum. Il bé. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse.
- C’est trop bon Hélène, je suis sur le point de t’enculer, j’en ai trop envie depuis longtemps.
-Ne te prive pas pour ça mon beau !
Je donne un coup de reins et mon gland est avalé par son cul. Je regarde ma bite s’enfoncer lentement dans l’anus de la bourgeoise. Sa rondelle se dilate et prends la forme de ma verge. Je m’enfonce peu à peu jusqu’aux couilles.
- Aiiiiie ! Va doucement mon chéri.
- Excuse-moi Hélène, c’est que j’en avais tellement envie.
-Pourquoi avoir choisi celui-là ?
-J’ai un faible pour les écuries !
Je la prends par les hanches et je commence à débourrer sa rondelle. Elle vient même, d’elle-même s’enculer sur mon sexe. Dont la dilatation extrême fait comprendre que je ne vais pas tarder à lui donner l’offrande. Je sais que mon plaisir ne sera complet que si je le dose savamment.
Il faut que je le calme, que je le modère. Alors je cessais tout balancement. Je me retire même, pour faire s’éloigner cette grosse envie de foutre. J’en profite pour admirer, une fois encore, l’orifice anal de la directrice. Il est complètement dilaté par mes va-et-vient. C‘était un large trou, très odorant.
L’envie de foutre retombé, je me suis réintroduis dedans. Pour le plus grand plaisir d’Hélène, qui roule des hanches. Elle semble dans un état second, elle transpire, tremble, ne se contrôle plus. Elle ne se soucie plus de rien. Nous sommes tous deux, des bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement à la jouissance. De sa bouche sort un grondement sourd presque effrayant.
Je donne plus que jamais des coups de reins à en perdre le souffle. Le regard de la directrice est étrangement trouble et elle halète. Avec un râle haché, je me laisse emporter par une jouissance fulgurante. Mon pénis envoie ses longues giclées de jouissance. Pendant un long moment, je reste immobile, alanguie par la puissance de l’orgasme.
Alors qu’elle se passe une culotte, elle lâche :
-Un match retour cela te dit ?
-Tiens tu te mets une culotte, maintenant ?
-Il ne faut pas que mon mari s’aperçoive que je me suis rasée la chatte.
-Parce que, il n’apprécierait pas ?
-Oh contraire ! Cela lui donnerait des tas d’idées. Et alors, il n’est pas question pour moi, de baiser de nouveau avec lui ! Cela me va bien qu’il me touche plus. A part cela le match retour.
-Chez toi !
-Bien sûr !
Et comme je suis du genre bien élevé j’attends gentiment dans mon bureau qu’on vienne me chercher. Et ce soir j’ai le privilège que ce soit la directrice de l’association en personne, qui vienne m’inviter.
-Encore merci Alain pour votre aide, me fait-elle en se posant sur le divan, je suis lessivé !
-Je vois ça !
-Vivement que tout cela se termine.
Je me lève de ma place et laisse tomber :
-Je suis à vous !
-Alain me fait-elle, ne me tenter pas !
Vue ma tête elle se doit d’ajouter.
-Je plaisantais ! Fait-elle en quittant sa place.
Elle se soulève, et retombe aussi vite l’instant d’après. Sur l’action sa jupette glisse vers le haut. Ses cuisses s’étalent à mon regard. J’y aperçois nettement un sexe lisse, parfaitement rasé. Au lieu de se rajuster, la directrice de l’association, tente de nouveau de s’extraire du divan. Elle écarte pour ça, une jambe et son sexe s’offre plus ouvert encore à mes yeux. Je ne peux m’interdire de fixer les petites lèvres, roses, presque rouges, sur l’entrée du vagin brillant et béant. Je crois même apercevoir un mince filet blanchâtre s’en écouler. Une boule de chaleur irradie mon bas-ventre.
-Eh bien Alain, quand vous aurez fini de vous rincer les yeux, vous aurez la gentillesse de me donner un coup de main de sortir de ce foutue divan, défoncé. On se demande bien comment?
-Avec plaisir Madame !
-Madame, voyons Alain, faites-moi plaisir appelez-moi Hélène s’il vous plaît !
-Comme vous désirez, Hélène.
Etant la directrice s’est donc Hélène qui installe les convives autour de la table. Et comme un fait exprès, ce soir là je me retrouve placé en fasse d’elle. Je suis pas moins flatté.
Durant le dîner, elle ne se prive pas de poser fréquemment un regard insistant sur moi. Un regard que je dirai très explicite. Qui dit clairement qu’il ne serait pas contre une éventuelle relation d’un soir.
D’ailleurs, je sens un pied s’infiltré entre mes jambes. J’écarte les miennes pour que son talon puisse prendre appui sur mon assise. Et une fois là, très virtuose avec les orteils, elle commence à me caresser le sexe à travers l’étoffe de mon pantalon.
Elle me fixe, sourire salace aux lèvres. Je sens dans son regard de la provocation. Je suis dans tous les états, comme à chaque fois qu’une femme me chercher. J’aime le plaisir et j’aime le partager. Il m’arrive assez fréquemment de prêter mes mains, ma bouche charitable, aux femmes. Mon oreille à leurs confidences gaillardes. Surtout à des femmes mariées, qui très tourmentées par des envies non assouvies, s’offre à mes envies, bien légitimes !
Je peux alors me permettre avec elles quelques fantaisies. Et elles ont redemande, les coquines !
J’ai une envie folle de lécher ce pied aux ongles laqués couleur DDE. Oui, de passer ma langue sur ses orteils et la remontée jusqu’à son sexe de bébé. C’est devenu une véritable obsession depuis notre tête à tête dans le bureau.
Alors que les convives le ventre plein, partent l’un après l’autre, elle insiste pour la première fois d’effectuer l’état des lieux. Allez donc savoir pourquoi ? J’ai la queue qui se trémousse au fond de mon slip. Encouragé par ce qui va peut-être arriver, je me permets même le luxe d’aller souhaiter une bonne nuit à l’époux, lui serrant la main chaleureusement.
La porte d’extérieur se ferme, je suis de nouveau en tête à tête avec Hélène. Je la sens se rétracter. A-t-elle peur de se retrouver seules avec moi. Je ne me pose pas la question longtemps. Surtout que je suis submergé par une forte excitation. Au point d’avoir tremper mon slip de liquide pré-éjaculatoire.
Sans qu’un mot soit dit, je l’attire dans mon bureau, et la plaque contre le mur de ce dernier. Sans préambule, j’enfouis ma main sous sa jupette. Qu’elle écarte complaisamment. Ses grandes lèvres s’ouvrent complètement, telle une fleur rosée. Les petites s’écartent aussi. Elle coule littéralement sur mes doigts.
-Vous êtes désirable Hélène.
-C’est de ta faute, Alain, tu es un charmeur. Tu ne sais pas pour toi, mais ce matin, je savais qu’il allait ce passer quelque chose. J’étais très excitée de savoir que j’allais te rencontrer. Alors je me suis épilée. Il se dit que les hommes sont Friant de cela ! C’est ton cas j’espère ?
-Oui…oui ! Je lâche, loin d’être convainquant.
-Je ne te sens pas si enthousiaste que ça ? Je me trompe ?
-C’est que je suis très ému !
-C’est comme ça chez toi quand tu es ému ? Bon je ne sais pas toi, mais moi j’ai chaud ! Même très chaud !
D’un geste, elle se sépare de son chandail. Elle dégrafe son soutien-gorge, qu’elle jette sur le divan, rejoindre le haut. Et tout ça, sans me lâcher du regard une seule seconde, les seins braqués vers moi, provocants. Ils ne tombent pas du tout, alors que la femme est dans sa cinquantaine. Sa peau est presque transparente et les aréoles très roses. Elle a un très léger bourrelet au niveau du ventre.
-Tu me trouves comment ? Me demande-t-elle d’un air de défi. - -Bandante à souhait.
-Oui, c’est ce que je vois, dit-elle en désignant du menton mon bas-ventre.
-Tu veux la voir ?
Passant moi-aussi au tutoiement.
-C’est bien pour cela que j’ai tout fais pour me retrouver en tête à tête avec toi. Tu vois, du plaisir j’en manque avec Paul, (son époux). Et je tiens bien ce soir à en profiter au maximum. Tu ne peux pas savoir le bien que cela m’a fait de t’exhiber ma chatte chauve.
Et après ce dernier mot, elle s’allonge, le dos contre les coussins du divan. Elle me regarde. Elle me jauge, puis ouvre le compas de ses jambes en grand.
-Viens vite, me fait-elle. Elle n’attend que toi !
Son sexe est vraiment magnifique. Et même sans poil ! Ses lèvres bouffies et luisantes sont un appel au léchage. Il s’en écoule une jolie liqueur translucide. Je ne résiste pas, alors je m’agenouille auprès d’elle. Pour me trouver au plus près de sa chatte. L’odeur qui s’en dégage est très légère, douce. Juste en dessous, la rosette palpitante très légèrement ouverte. Comme pour la chatte, pas l’ombre d’un poil n’est visible.
Au moment où j’approche ma main, nous nous regardons fixement. Lorsque mes doigts se posent sur son intimité, là elle ferme les yeux, laissant partir sa tête en arrière. Sa bouche laisse échapper un gémissement. Je la caresse lentement, très lentement, même. Son souffle s’accélère. Mes mouvements sont de plus en plus appuyés, de plus en plus larges jusqu’à passer ma main sur la totalité de son sexe. Du plus haut vers le plus bas, descendant à la limite de son anus.
A l’entendre gémir, elle est satisfaite de mes services.
Je lèche mes doigts pour avoir le goût de sa mouille dans la bouche. Mes caresses sont de plus en plus appuyées. Hélène oscille du bassin, de bas en haut de plus en plus fort. Elle ne gémit plus maintenant, elle râle. Comme toujours dans ses moments là, je laisse de côté, mon propre plaisir pour me canaliser sur le sien.
D’une main je caresse sa vulve, de l’autre les contours de son anus. Les ondulations de son bassin sont de plus en plus fortes, de plus en plus appuyées. Elle va au-devant de mes caresses. Hélène est si dilater que je n’es aucun mal à lui fourrer trois doigts dans son four chaud. Je la branle amoureusement. Hélène pousse un grognement de plaisir et avance encore plus son bassin.
Je profite de ma main libre pour s’occuper de son anus. Je glisse d’abords un, puis deux, puis là-aussi, trois doigts. Au fil des pénétrations anales de plus en plus profondes. A entendre ses clameurs, je devine qu’elle aime ça.
Encouragé je branle inlassablement les deux orifices conjointement. Hélène s’agite de plus en plus. Accomplit presque un grand écart avec ses jambes. Elle me prend ma main droite avec ses deux mains pour me l’enfoncer tel qu’elle le ferait avec un gode.
Ses odeurs intimes me saoule. Je retire mes doigts de son anus, mais ce n’est pas le souhait d’Hélène, qui me retient la main et repousse mes doigts à l’intérieur. J’alterne les mouvements de chacun de mes poings. Elle agrippe les seins des deux mains et se les torture gentiment en étirant les tétons saillants. Elle halète de plus en plus fort, ses gémissements se transforment en exhortations. J’agite alors, plus fort les doigts de la main qui a la charge de son sexe, pour caresser du pouce son bouton. Il est prêt à exploser, tant il est dur. Hélène se lâche complètement. Elle ne se prive pas de me parler crument. Pour une petite bourgeoise comme elle, cela fait tout drôle de l’entendre. Elle pousse des cris, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, elle inonde tout se qui la touche. Mes doigts, mes mains.
J’attends qu’elle ne supporte plus mes caresses pour récupérer mes doigts. Elle me regarde. Je profite de l’instant pour porter les doigts de ma main droite à mes lèvres. Le goût. Un délice. Et l’odeur ? Je vous laisse le deviner.
Je pose ma bouche au contact de son sexe. Son clitoris frétille encore en souvenir de mes caresses. Et c’est sur lui que ma langue se pose dans un premier temps, avant de faire connaissance avec ses lèvres. Et par la suite elle branle son vagin jusqu’à la souffrance. Puis se laisse aller jusqu’à rejoindre son anus béant. De temps à autre je relève la tête et constate avec plaisir qu’elle a les yeux fermé, la bourgeoise, et que sa bouche laisse sortir des mots encore et toujours aussi crus. Je plonge ensuite dans son antre secret et me délecte de chaque parcelle de son trou balle.
Quand ses gémissements se mutèrent en cris de plaisir, que les mouvements de son bassin s’accélèrent, je sus que j’avais gagné la partie. Il est temps pour moi de penser à ma jouissance.
Je me saisis de ma verge, la frotte le long de sa raie, plusieurs fois. Je lui caresse l’anus avec mon gland. Puis le place devant l’entrée de son rectum. Il bé. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse.
- C’est trop bon Hélène, je suis sur le point de t’enculer, j’en ai trop envie depuis longtemps.
-Ne te prive pas pour ça mon beau !
Je donne un coup de reins et mon gland est avalé par son cul. Je regarde ma bite s’enfoncer lentement dans l’anus de la bourgeoise. Sa rondelle se dilate et prends la forme de ma verge. Je m’enfonce peu à peu jusqu’aux couilles.
- Aiiiiie ! Va doucement mon chéri.
- Excuse-moi Hélène, c’est que j’en avais tellement envie.
-Pourquoi avoir choisi celui-là ?
-J’ai un faible pour les écuries !
Je la prends par les hanches et je commence à débourrer sa rondelle. Elle vient même, d’elle-même s’enculer sur mon sexe. Dont la dilatation extrême fait comprendre que je ne vais pas tarder à lui donner l’offrande. Je sais que mon plaisir ne sera complet que si je le dose savamment.
Il faut que je le calme, que je le modère. Alors je cessais tout balancement. Je me retire même, pour faire s’éloigner cette grosse envie de foutre. J’en profite pour admirer, une fois encore, l’orifice anal de la directrice. Il est complètement dilaté par mes va-et-vient. C‘était un large trou, très odorant.
L’envie de foutre retombé, je me suis réintroduis dedans. Pour le plus grand plaisir d’Hélène, qui roule des hanches. Elle semble dans un état second, elle transpire, tremble, ne se contrôle plus. Elle ne se soucie plus de rien. Nous sommes tous deux, des bêtes avides de plaisirs, s’amenant mutuellement à la jouissance. De sa bouche sort un grondement sourd presque effrayant.
Je donne plus que jamais des coups de reins à en perdre le souffle. Le regard de la directrice est étrangement trouble et elle halète. Avec un râle haché, je me laisse emporter par une jouissance fulgurante. Mon pénis envoie ses longues giclées de jouissance. Pendant un long moment, je reste immobile, alanguie par la puissance de l’orgasme.
Alors qu’elle se passe une culotte, elle lâche :
-Un match retour cela te dit ?
-Tiens tu te mets une culotte, maintenant ?
-Il ne faut pas que mon mari s’aperçoive que je me suis rasée la chatte.
-Parce que, il n’apprécierait pas ?
-Oh contraire ! Cela lui donnerait des tas d’idées. Et alors, il n’est pas question pour moi, de baiser de nouveau avec lui ! Cela me va bien qu’il me touche plus. A part cela le match retour.
-Chez toi !
-Bien sûr !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant. Quand le retour ?