Madame la Directrice

- Par l'auteur HDS descollages -
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Récit libertin : Madame la Directrice Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Madame la Directrice
Venant de signer le contrat le plus juteux de sa carrière, Nathalie Fontaine, la Directrice de la société Drexia, invite son jeune commercial à prendre un dernier verre dans son bureau. Après quelques whiskys servis généreusement, les deux collègues de travail se détendent de plus en plus.



Aux environs de 18 h 00, un vendredi soir, les bureaux du 40ᵉ étage de la société Drexia étaient parfaitement déserts. Pourtant, l'ascenseur fit résonner ses portes métalliques pour se refermer aussitôt.

Après avoir traversé un couloir interminable mal éclairé, Madame la Directrice poussa la porte de son bureau pour laisser entrer un jeune homme habillé en costume cravate tenant une sacoche.

Une journée marathon s'achevait enfin. La tâche n'avait pas été simple, mais Alexandre, grâce à sa ténacité et son charisme, venait de conclure avec un partenaire commercial que tout le monde s'arrachait.

— Installez-vous ! dit d'une voix calme, la Directrice.

Impressionné par la grandeur du bureau, Alexandre s'effondra doucement dans le siège en cuir très confortable. Il défit légèrement le nœud de sa cravate, et prit le temps de détailler sommairement la pièce en tournant la tête.

— Je me suis permise de vous servir un verre de bourbon, ça ira ? dit-elle, joyeusement.

— Euh oui oui ! répondit-il, un peu timidement.

— Trinquons à notre victoire !

Les deux verres s'entrechoquèrent bruyamment. Nathalie Fontaine fixa longuement le jeune homme d'un regard intense. Alexandre soutint son regard séduisant, durant sept secondes, tout à fait délicieuses. Un frisson les parcourra tous les deux.

Puis, elle passa derrière son bureau, en ondulant légèrement les hanches. Elle posa son verre, et défit son chignon, laissant tomber ses jolis cheveux bruns sur ses petites épaules droites. La femme brune, d'une quarantaine d'années, déboutonna ensuite la veste de son tailleur en soupirant, laissant apparaître un petit haut noir orné de dentelles.

De son côté, Alexandre en profita pour évaluer sa poitrine, elle était à priori de taille moyenne, mais joliment dessinée. Il avait souvent maté de profil ses seins pendant leur trajet en voiture, sans compter ses jolies jambes fuselées qui faisaient pâlir de jalousie les minettes du service commercial.

Bien entendu, sa chef s'en était rendue compte. À force de se côtoyer de plus en plus, sur un plan purement professionnel, elle aurait pu le baiser si l'occasion s'était présentée.

Tous deux étaient des travailleurs acharnés, trop fréquemment les derniers à partir. Mais, étant donné sa position hiérarchique, elle s'était imposée certaines règles à ne pas franchir. Son poste lui avait demandé trop de sacrifices.

Craquer pour une histoire de cul aurait été trop stupide.

— Hou, mes pieds me font terriblement mal ! "Il faut souffrir pour être belle" comme dit l'adage, eh bien je vous le confirme, ces talons sont un véritable martyr. Vous avez de la chance vous les hommes ! lança-t-elle tout en posant ses escarpins à bout pointu sur le bureau.

Le jeune commercial fixa quelques secondes la paire de chaussures en exposition, éprouvant une sorte d'attirance mystérieuse teintée d'une pointe d'excitation. Nathalie eût le temps de saisir son regard, elle fût à nouveau parcourue d'un frisson très agréable dans le bas des reins.

— Oh mon Dieu mes jambes sont tellement lourdes, avancez votre siège, je vais commencer par soulager celle-ci, ça ne vous dérange si je la pose sur le bout de votre siège ? demanda-t-elle, tout en ayant pris déjà les devants.

— Pas du tout, Cloé ma fiancée a le même problème, je vous comprends vous savez. répondit-il, avec assurance.

— Tant mieux, vous me rendez un énorme service ! dit-elle, en posant son talon juste entre les jambes de son collègue de travail.

Ce serait mentir de dire qu'il n'avait rien senti. Le pied chaud ainsi placé, réveilla son sexe endormi sous son pantalon de costume.

En s'avançant un peu pour saisir son verre, l'orteil de Nathalie vint heurter involontairement la braguette de son collègue. Elle n'y prêta guère attention, pourtant du bout de son doigt de pied, elle avait deviné quelque chose de dur, et surtout d'une taille plutôt inhabituelle.

Pour éviter que la situation devienne vraiment gênante, elle embraya la conversation sur des banalités. La vie trépidante parisienne, la météo, en passant par le dernier livre qu'elle avait dévoré jusqu'à 4 h 00 du matin, aux côtés de son mari endormi.

Mais, inconsciemment son orteil continuait son petit jeu de va-et-vient subtils, sans qu'elle ne s'en aperçoive, à vrai dire, c'était plutôt un tic. Désormais, son pied ne cessait de titiller la verge de notre ami qui commençait à cogner contre son boxer trop serré.

— Je ne vous demande pas de vous resservir, faites comme chez vous ! lança-t-elle, en continuant de se masser la cuisse.

Sur la petite table du mini-bar, il en profita aussi pour remplir le verre de Madame la Directrice, avec une dose un peu plus conséquente. Personne n'en tint rigueur.

Le voyant revenir vers elle, Nathalie ne pu s'empêcher de remarquer la bosse apparente dans son pantalon lorsqu'il lui tendit poliment son deuxième bourbon. Elle avait beau être un peu myope, cette vision immanquable la fit frémir délicieusement.

Pendant que Madame se rinçait l’œil ajustant ses lunettes, Alexandre regagna son fauteuil en l'avançant de quelques centimètres. Il sentit à nouveau le pied effleurer un peu mieux sa verge pour son plus grand bonheur.

— Parlez-moi de votre fiancée, Cloé, c'est ça ? Qu'est-ce qu'elle fait dans la vie déjà ? interrogea-t-elle, en inclinant légèrement la tête sur le côté.

— En fait, Cloé est infirmière à l'hôpital des armées de Percy, depuis trois ans.

— Ah, Mademoiselle est dans l'armée, hum pas trop dur de supporter tous ces beaux soldats autour d'elle ?

— Oh non, ce n'est pas un problème, question d'habitude, elle est vraiment passionnée par son métier, vous savez ! En plus, elle n'a pas trop le temps de penser à ça, il y a souvent des urgences à gérer.

— Vous savez ce que l'on dit à propos des infirmières, au lit ce sont, pardonnez-moi l'expression, ce sont de bonnes baiseuses ! dit-elle, grisée par la dernière rasade de whisky.

— Je n'ai pas à m'en plaindre ! lâcha-t-il, accompagné d'une petite toux nerveuse.
Malgré lui, la réponse était sortie, trop tard. Et la situation risquait maintenant de déraper sérieusement.

— Je vous taquine, vous n'étiez pas obligé de me répondre. dit-elle, le fixant malicieusement droit dans les yeux.

Tout à coup, quelque chose de lubrique flottait dans l'air, comme si un petit démon invisible était entré dans la pièce.

À présent, le pied de Madame, massait sans complexe, la verge qui se débattait férocement sous le pantalon noir bosselé. Alexandre commençait vraiment à se sentir mal à l'aise, il aurait voulu fuir en courant, mais quelque chose de plus puissant le retenait cloué dans ce fauteuil.

— Videz votre verre, notre conversation a assez duré, vous ne trouvez pas ? Et si vous me libériez cette chose qui semble vous faire si mal ? lança-t-elle, sur un ton calme, mais déterminé. J'ai envie de la caresser avec la plante de mon pied, vous allez voir, je suis très douée à ce petit jeu ! En tout cas, mon mari lui, en raffole.

Surpris par ses propos, le jeune commercial obéit et ouvrit lentement sa braguette, sous les yeux médusés de sa chef.

— Eh bien, dites donc, c'est un sacré engin que vous avez là ! laissez-moi deviner, elle doit être aux alentours de 20 centimètres, je me trompe ? annonça-t-elle, sur un ton affirmatif.

— Hum oui, je pense, on m'a toujours complimenté là-dessus. répondit-il, tout fier d'exhiber son sexe tendu, sans aucune pudeur.

Elle se leva d'un seul coup pour empoigner la bouteille d'alcool qu'elle versa brutalement. Jamais deux sans trois. Sauf que le dernier verre, trop rempli, dépassait la dose respectable. Inutile de préciser, qu'avec l'estomac vide, tout le monde sait ce que cela donne. Nathalie s'en fichait à présent, son petit protégé était désormais à sa merci, elle avait très envie de se lâcher.

— Tenez, buvez en même temps que je m'occupe de vous, ça va décupler votre désir ! murmura-t-elle.

Assise sur son bureau, elle enleva ses deux collants de soie noirs. Elle les fit rouler le long de ses mollets, comme la plus chaude des strip-teaseuses. Voulant le rendre fou, elle les lui jeta à la figure.

— Reniflez-moi ça, ils ont l'odeur du vice, vous ne trouvez pas ? Je ne connais à ce jour aucun homme capable de résister à ce parfum tellement singulier.

L'autre se garda de répondre, trop occupé à sentir les collants imprégnés de sueur mélangée au parfum Chanel.

Une fois retournée à sa place, elle retendit machinalement la jambe. Le pied, désormais nu, massait lentement le membre viril désormais à la verticale. Nathalie aimait s'attarder sur la partie rougeoyante, et vraiment sensible, située au sommet de ce sexe, qui palpitait selon ses volontés.

— Fermez les yeux et ne pensez à rien ! Votre petite Cloé a probablement dû se faire sauter par tout le régiment à l'heure où je vous parle, ne soyez pas naïf ! ricana-t-elle, tout en léchant les bords de son verre encore à moitié plein.

Étrangement, cette petite phrase fit déculpabiliser le jeune homme, il se laissa complètement aller. Les yeux fermés, rien ne comptait plus pour lui, que de sentir les frottements sur sa verge brûlante.

Elle profita de l'instant pour jeter un coup d’œil à l'horloge. L'instant était parfait.

— Ne trichez pas, enroulez mes collants pour cacher vos yeux, je vous prépare une petite surprise. Si vous trichez, je vous vire est-ce clair ? ordonna-t-elle, d'une voix forte.

Le ton impératif ne troubla pas Alexandre habitué au caractère de Madame. Il crut tout bonnement que sa chef continuait son petit jeu, et devenir son esclave, fit monter en lui une certaine excitation.

À présent, le jeune homme ne voyait réellement plus rien à présent. Elle avait pris la peine de faire quelques tests basiques, le pauvre était plongé dans l'obscurité totale.
Au même moment, derrière lui, la porte s'ouvrit machinalement.

C'était Jessica Rosario, une petite portugaise de 22 ans, en charge du ménage à partir de 19 h 00. Voyant de la lumière, elle hésita avant de poursuivre son chemin. Malgré tout, Nathalie lui fit signe qu'elle n'avait rien à craindre, tout en plaçant son index sur les lèvres, imposant silence et discrétion.

Tout en se rapprochant, dans sa jolie tenue noire et blanche, Jessica comprit très vite la scène, et manqua de glousser sur le coup en agitant une main dans tous les sens.

— J'en connais une qui aimerait bien vous sucer ? Elle est rarement visible, mais on en a tous besoin. Lança-t-elle, sur un ton léger.

— La petite blonde du standard ? Je ne la croise plus, j'ai souvent pensé à elle dans mes fantasmes les plus fous. Tenta de répondre Alexandre.

— Perdu ! Cette petite conne serait beaucoup trop prude pour ce genre d'exercice. Je vous donne une deuxième chance.

— Ou bien alors, voyons voir, oui cette jolie rousse qui vient de temps en temps pour remplir la machine à café, elle a vraiment des hanches de déesse ! risqua-t-il à nouveau, avec une pointe d'hésitation.

— Un cul de salope, vous voulez dire ! Cette petite a dû se faire culbuter c'est sûr. Mais non une fois encore, vous avez échoué.

Toujours massée par ce pied imperturbable, sa queue lui faisait extrêmement mal. L'explosion n'allait pas tarder.

— Madame, à ce rythme-là, vous allez me faire jouir pour de bon ! dit-il, en gémissant.

— Je peux arrêter si vous voulez, ça tombe bien quelqu'un va prendre le relais ! répondit-elle, en faisant signe à la jeune femme d'approcher.

— Je donnerai une fortune pour me soulager ! supplia-t-il, sur le point de se masturber.

— Ne faites rien, j'ai ici une experte qui risque de vous combler ! rit-elle, en mimant avec sa main l'action de pomper un homme, tout en déformant sa joue avec la langue.

Cette fois, il sentit deux lèvres délicates enserrer son gland. Sa bouche était chaude et attentionnée. Aucune dent ne vint heurter la partie sensible de sa verge impressionnante pendant les allées et venues. Sa bienfaitrice n'en était pas à sa première fellation.
Voyant cela, la Directrice cessa de jouer avec son pied : un peu lassée, mais très satisfaite du résultat.

De plus, la deuxième partie du programme allait se montrer beaucoup plus distrayante. Elle se leva lentement les yeux rivés sur les petites lèvres charnues qui suçaient la friandise gonflée.

— Alors, dites-moi, ce changement vous convient-il ? interrogea-t-elle d'une voix douce.

— Eh bien, cette inconnue a un don, c'est certain ! haleta-t-il, tout en caressant les cheveux de sa bienfaitrice.

La petite brune ouvrit grand la bouche, sentant que le moment était venu à en croire les grimaces de son partenaire.

Sans prévenir, la semence épaisse jaillit par puissantes secousses. Elle attendit qu'il eût terminé de se vider complètement pour sucer à nouveau le bourgeon souillé de sperme tiède.

Jamais Cloé n'aurait pu faire une chose pareille. Il avait souvent essayé de la convaincre, avec bien des ruses, mais rien. Ce refus catégorique l'avait définitivement découragé.

— Je ne sais pas si c'est une cochonne, mais vous en tout cas, vous êtes en train de vous faire sucer comme un petit salaud ! Elle vous pompe aussi bien votre petite chérie ? Demanda la Directrice, excitée d'entendre la réponse.

— À vrai dire, pas vraiment, je, en fait, je n'ai jamais connu cette chance. Répondit-il, baissant piteusement la tête.

Maintenant que la petite suceuse lui avait prodigué les meilleurs soins du monde, elle méritait à son tour une récompense, c'était la moindre des choses.

— Je pense que votre petite chatte est assez humide, vous devriez pouvoir vous enfiler aisément sur cette bite aussi monstrueuse qu'appétissante n'est-ce pas ? Lança Nathalie.

De son côté, Jessica toute excitée, pris le temps prit le temps de faire glisser sa petite culotte blanche humide, le long de ses jambes bronzées. Mon Dieu que cette bite était énorme, et dire que ce cadeau était à portée de main. Quand elle allait raconter ça à ses meilleures copines crevant de jalousie, elle serait sûrement traitée de menteuse.

Malgré le pénis devenu mou, d'avoir donné un peu de sa liqueur d'amour, celui-ci ne tarda pas à se redresser au seul contact de la vulve poilue.

La jeune brune voulait qu'il goûtât aussi ses jolis seins dressés sous sa blouse de travail. Les mains du jeune homme trouvèrent sans difficulté le chemin le plus direct pour dégrafer le soutien-gorge de la torride inconnue. Il le fit descendre jusqu'au bas-ventre, et finit par le jeter par terre d'un geste nonchalant.

Avec une extrême attention, Alexandre prit soin de caresser sa poitrine nue, et s'autorisa à lui lécher les tétons durs d'excitation. Combien de fois, il avait fait crier Cloé rien qu'avec sa langue à cet endroit. Autant dire que Jessica se sentit partir dès les premiers suçotements de son assaillant.

— Vous voulez peut-être que je vous laisse tous les deux les amoureux ! dit Nathalie, sur un ton légèrement moqueur, ravit d'être la témoin d'une scène aussi chaude.

— Oh non, restez, ça m'excite de baiser devant vous avec elle ! répondit Alexandre, en parfaite connivence avec son intrigante.

Au bout de plusieurs minutes d'étreintes, le couple commençait à avoir terriblement chaud. Nathalie, d'habitude peu serviable, entreprit de les déshabiller un par un, en commençant bien entendue par le jeune homme.

Elle ôta sa veste, puis déboutonna sa chemise trempée de sueur. Sa main en profita pour parcourir les jolis pectoraux légèrement poilus, et descendre jusqu'aux abdominaux très impressionnants. Ce fut au tour des chaussures, chaussettes, pantalon et slip. Maniaque de nature, elle rangea de façon impeccable les effets sur une chaise attitrée.

Enfin Nathalie termina de faire la même chose avec Jessica, qui décidément, ne voulait plus lâcher son fougueux partenaire.

— Si vous voulez mon avis, vous seriez peut-être mieux à baiser sur mon bureau, non ? proposa-t-elle, voyant que les préliminaires allaient durer une éternité.

Madame la Directrice, dans un souci de confort, plaça un petit coussin sur son large bureau. Elle regagna son siège, et attendit que nos deux amoureux daignèrent accepter sa proposition.

Tout en l'embrassant sur la bouche, Alexandre souleva d'un seul coup la jeune fille brune. Ainsi portée comme une plume, elle croisa les chevilles dans le dos, pendue à son cou par les bras. Il s'avança tout droit les yeux toujours bandés par les collants noirs bien serrés, puis heurta doucement le bord du bureau en bois massif.

Jessica s'allongea, et plaça le coussin sous sa tête. Nathalie en profita pour lui prodiguer quelques caresses sur ses jolis seins ronds, pendant que notre étalon la pénétrait lentement pour goûter chaque instant de plaisir.

Condamné à rester aveugle, il aurait tellement voulu voir ce corps nu. Mais, quand Madame la Directrice avait décidé quelque chose, il valait mieux lui obéir. Elle ne parlait jamais dans le vide.

— Maintenant Alexandre, je veux vous voir la baiser bien à fond, est-ce bien compris ! ordonna-t-elle, jubilant d'exercer son autorité.

— Bien Madame ! répondit l'autre, qui ne se fit pas prier.

À entendre le son humide des petites lèvres de la chatte trempée, il n'eût aucune peine à savoir que Jessica réclamait un changement de rythme. La jeune femme de ménage était fin prête à sentir les pénétrations de l'énorme membre viril ramoner son vagin plus en profondeur.

— Tu vas voir, avec moi, tu vas prendre ton pied petite salope ! commença-t-il à rugir, chauffé par les fortes doses de bourbon qui participèrent à décupler son excitation.

— Vous la tutoyez désormais ? dit doucement, Madame la Directrice sur un ton faussement innocent. Ce n'est pas une pute que je sache. À l'avenir, tenez un peu plus votre langage. Finit-elle par dire en ricanant.

— Si justement, c'est une pute, elle va voir ce que c'est de se faire défoncer avec une grosse queue comme la mienne ! dit-il, sur le ton de la défiance.

Madame la Directrice se délectait de voir ce jeune corps musclé s'agiter devant ses yeux enflammés. Ne pouvant résister plus longtemps, elle vint rejoindre le mâle en chaleur pour lui caresser le torse.

Au bout de quelques minutes à force jouer avec le feu, elle ne put s'empêcher d'embrasser ce corps si parfait. Au début, les baisers étaient doux, mais très vite, sa bouche eût envie de mordiller. Il sentait l'homme, le vrai, celui que toutes les femmes s'arrachent. Il possédait cette force naturelle qui rendrait folle la dernière des prudes.

Ses lèvres grimpèrent dans son cou, sur son menton mal rasé, puis vers sa bouche essoufflée. Il sentait l'alcool à plein nez, qu'importe. Elle voulait jouer avec sa langue. Plus que tout, elle souhaitait ardemment savoir comment il embrassait.

— Prends ma bouche, tu veux bien ? demanda-t-elle, se sentant fragile et vulnérable.

N'en croyant pas ses mots, dès le premier contact, il tournoya sa langue sur la sienne. Depuis le temps qu'il avait attendu ce moment. Ses mouvements de hanches stoppèrent net au grand désarroi de la petite brune.

Les deux souffles s'échangèrent, étouffant des petits cris passionnés. Leurs lèvres se firent bruyantes comme si elles goûtaient le fruit de la passion. La Directrice commença à gémir tout en pétrissant son torse en enfonçant ses ongles dans sa chair musclée.

— Finis de la baiser d'accord ? J'espère qu'il te restera un peu de force pour moi. chuchota-t-elle en lui suçant le lobe de l'oreille.

Rendu complètement fou, débordant de puissance, il reprit ses mouvements de bassin. Son sexe gonflé fit alors des va-et-vient dans un rythme effréné, comme s'il voulait en finir au plus vite avec sa partenaire, secouant la tête dans tous les sens.

— Oh comme c'est bon ! prends-moi la chatte, oui, plus vite ! Plus vite ! grogna Jessica, qui se masturbait le clitoris en même temps.

Après trois minutes de baise incontrôlable, Alexandre libéra un jet puissant dans le vagin de la petite brune. Un orgasme à l'unisson les fit hurler à faire trembler les murs. C'était si bon de pouvoir jouir sans retenue dans cette chorégraphie purement mécanique, mais tellement savoureuse.

Ravie d'avoir pris un plaisir phénoménal, elle profita de remercier son amant en l'embrassant avidement sur la bouche.

Les deux corps en sueur se frôlèrent une dernière fois en guise d'adieux.
Un peu à la hâte, Jessica s'éclipsa portant ses chaussures à la main. Elle fit un clin d’œil complice à Madame, et repartit sur la pointe des pieds. La porte grinça, puis se ferma complètement, laissant place au silence.

— Maintenant qu'elle est partie, tu peux retirer mes collants de tes yeux. Le petit jeu t'a plus ? Je préfère baiser avec un homme qui s'est vidé les couilles au moins deux fois, ça laisse beaucoup plus de place à d'autres choses plus intenses, crois-en mon expérience. dit-elle, finissant de boire son verre.

Le jeune commercial se frotta ses yeux, en les clignant un peu, gêné par la lumière crue du plafonnier, et déposa délicatement les collants noirs sur le bureau.

— Aimerais-tu goûter ma chatte avec ta langue, c'est mon péché mignon ! souffla-t-elle en s'allongeant sur le bureau. J'aime les hommes qui savent titiller mon clitoris, c'est un vrai bonheur ! Tu lui a déjà fait un cunnilingus à ta chérie dis-moi ?

— Non hélas ! Selon ses dires les femmes aurait nettement une meilleure façon de le faire. Répondit-il, en s'avançant un peu, baissant la tête.

— J'ai eu des expériences au dortoir des filles, je confirme que les demoiselles ont un avantage certain, du fait de connaître leur sexe dans les moindres détails, mais, se faire lécher par un homme ça peut être aussi un vrai délice, surtout quand la femme peut guider son élève. Alors, tu vas faire exactement ce que je te dis, et tout ira pour le mieux.Après ça tu pourras faire grimper au septième ciel n'importe quelle frigide du quartier. Ça te tente ?

Au même moment le téléphone de Madame la Directrice se fit remarquer en mode vibreur. Voyant le numéro, elle décrocha. Une voix féminine lui répondit.

— Votre commande est prête, voulez-vous que je vous l'apporte à votre bureau, c'est bien au 40ᵉ étage, porte 16 n'est-ce-pas ? dit la voix au bout du téléphone.

— Oui, merci Mademoiselle, entrez sans frapper nous vous attendons. Termina-t-elle, en appuyant sur la touche rouge.

Elle se redressa de son fauteuil en s'habillant précipitamment tout en faisant signe à Alexandre d'en faire de même.

Sans comprendre vraiment pourquoi il fallait interrompre leur jeu érotique.

— Je crois qu'il y a un petit contretemps. Il faut qu'on s'habille et vite. Il est déjà 20 h 00, le temps passe tellement vite. J'ai besoin de reprendre un peu de force, toi aussi non ? Pour le dessert, il faudra que tu patientes encore un peu. Quelqu'un est déjà en chemin pour nous apporter les menus accompagnés de plusieurs bouteilles de rosé. annonça-t-elle, remettant de l'ordre dans ses cheveux.

Elle revint vers lui pour ajuster sa cravate et l'aider à mettre sa veste convenablement défroissant les derniers plis. Il fallait effacer les traces du petit intermède. De son côté, elle prit aussi le temps de remettre son rouge à lèvres, et appliquer un léger fond de teint. Ses mains ajustèrent son chignon redevenu impeccable.

— Fais comme si tu étais toujours en pleine discussion avec moi, remets-toi ici comme tout à l'heure. Ordonna-t-elle à voix basse.

Deux minutes plus tard, le tintement de l'ascenseur résonna dans le couloir. Les portes s'ouvrirent. Prêtant un peu l'oreille, le jeune commercial devina un bruit de pas qui s'avançaient. On eût dit qu'il y avait deux personnes. Étrange.
Un toc toc sourd résonna à la porte.

— Entrez, c'est ouvert ! répondit Madame La Directrice, affichant un sourire énigmatique, presque jubilatoire.

Le jeune homme prit la peine de se retourner. Il n'en croyait pas ses yeux. Loin d'imaginer ce couple-là, il mit la main devant sa bouche.

— Mais, ce n'est pas possible, enfin, je veux dire, tu étais invitée aussi, et tu. dit-il le souffle coupé par cette surprise de taille. Eh, Monsieur, on se connaît bien sûr, je devais partir de toute façon ça tombe bien, prenez mon siège, je vous en prie.

— Du calme voyons, plus on est de fous plus on... lança-t-elle, en faisant signe à Alexandre de se rasseoir. J'ai pris la liberté de les inviter... Tu sais, il y a encore des choses que tu ignores, et j'en ai profité pour nous rassembler ce soir.
Tiens mon chéri va chercher Jessica, je suis certaine qu'à cette heure ici, elle doit presque avoir fini l'étage du bas.

— D'accord, je vais la chercher. Répondit son mari, parti à vive allure vers l'escalier de service.

La jeune femme chargée des sacs en papier à l'odeur délicieuse, n'était autre que Cloé sa fiancée. Une jolie blonde, de taille moyenne, en jean basket, scruta son amoureux quelques secondes sans dire un mot en s'avançant vers lui.

— Je te sens tellement nerveux, eh bien, tu ne m'embrasses pas ? murmura-t-elle, le voyant décontenancé.

— Oh, mais attends ma puce, donne-moi tes paquets. proposa-t-il, pour ne pas perdre la face.

Tout se bouscula d'un seul coup dans son esprit. Il avait grand besoin de remettre un peu d'ordre dans ses idées, le début de soirée avait été plutôt mouvementé.

Un peu gêné devant sa chef, il lui effleura les lèvres, l'embrassant à peine.

— Oh, mais tu pues l'alcool !, dit-elle à voix haute, tout en regardant Nathalie droit dans les yeux. Il ne faudrait pas que je vous laisse trop longtemps tous les deux, dites-moi.

— Il fallait bien que l'on fête notre réussite commerciale. Répondit-elle d'une voix faussement naïve, lui envoyant un petit clin d’œil.

D'un seul coup, la pièce fût plongée dans un silence qui en disait long. Imperturbable la Directrice commença à ranger son bureau un peu en désordre, et installa cinq chaises tout autour.

Après un bon quart d'heure, d'absence, Xavier Fontaine son mari et la jeune femme de ménage revinrent enfin, légèrement essoufflés.

— Vous en avez mis du temps, j'espère que Jessica n'a pas déjà commencé à te faire une petite gâterie dans l'ascenseur ! interrogea-t-elle, tournant la tête vers l'homme un peu enveloppé.

— Nous étions à deux doigts près, il a fallu que je la réprimande un peu, tu sais comment elle est ! répondit-il, hypocritement.

Pour détendre l'atmosphère, l'homme un peu dégarni, large d'épaules, s'avança vers Alexandre en lui serrant chaleureusement la main. Puis, Jessica fit la bise à Alexandre pour le saluer à son tour, jubilant de la situation.

Cette odeur de parfum, la douceur de sa peau, sa façon de le tenir par le bras. Aucun doute, c'était bien la mystérieuse inconnue, disparue une demi-heure plus tôt, se dit Alexandre complètement bouleversé.

Comment était-ce possible ? Le jeune homme se sentit vraiment mal à l'aise. Seule la Directrice était au courant la petite partie de baise qui avait eu lieu. Elle pouvait à tout moment ruiner sa vie sentimentale en quelques secondes.

Loin de tout cela, Xavier déboucha les deux bouteilles de rosé et servit les femmes en premier. Les « cup noodles » furent ouvertes, et les bouches affamées commencèrent à déguster les nouilles brûlantes façon thaï.

— Hum un pur délice ! s'exclama Cloé. Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas mangé celles aux crevettes.

— Tu me fais goûter ? lança Nathalie, sur un ton malicieux.

La fiancée d'Alexandre en prit une pincée avec des baguettes chinoises, pour les approcher la bouche déjà ouverte de Nathalie. Elle les avala en se léchant délicatement les lèvres. Puis dans le même élan, la Directrice s'avança pour embrasser langoureusement Cloé avec la langue.

— C'est encore meilleur de cette manière, tu ne crois pas ? dit-elle, lui caressant la joue du revers de la main.

Ce tutoiement, ce baiser sans équivoque, fit fulminer le jeune commercial complètement abasourdi. Il aurait voulu la gifler, mais il se retint. Trop de questions sans réponse méritaient explications, elles ne tardèrent pas à venir.

— Alex, mon chéri, j'ai oublié de te dire certains trucs par rapport à mon passé, tu sais ? dit Cloé, les yeux trahissant une certaine culpabilité. En fait, on se connaît depuis très longtemps. Je devais avoir 16 ans, je crois, c'est bien ça Nathalie ?

— Tout à fait exact, j'étais ton entraîneuse de tennis à l'époque. Et, à vrai dire, on a passé beaucoup plus de temps dans les douches que sur les cours en terre battue. Répondit la Directrice, d'une voix nostalgique. Dire que tu étais mineure, j'aurais vraiment pu avoir de sérieux problèmes. Mais, difficile de lutter contre une nymphomane comme toi !

— Ce que tu oublies de préciser, c'est qu'on a fait ménage à trois pendant cinq ans, dans un appartement minuscule, boulevard Saint-Germain. Des voisins se sont plaints un moment donné. Ensuite, on a dû déménager en catastrophe. Termina par avouer Xavier, interrogeant au passage le regard du pauvre Alexandre abasourdi.

— Tu m'en veux ? demanda Cloé, faussement inquiète de le voir dans cet état. Toi aussi, tu as sûrement tes petits secrets, je me trompe ?

Sans répondre, son fiancé lui adressa un timide sourire comme pour lui pardonner. Avait-il le choix, d'autant plus qu'il était désormais en position délicate, sur les lieux mêmes où il terminait ses nouilles devenues froides.

— Dis-lui, il n'y a pas de honte ! proposa la Directrice, jubilant d'avoir le contrôle de la situation.

— Ah bon ? notre employé modèle nous cacherait-il des choses inavouables ? continua Xavier, certain que sa femme devait avoir des informations très croustillantes, pour être aussi sûre d'elle.

À nouveau un silence lourd avait envahi la pièce. Chacun se regardait à tour de rôle sans prendre la parole. Pourtant, une langue, plus brûlante que les autres, vint à se libérer.

— Elle était bonne ta queue, en tout cas, moi, j'ai adoré te sucer ! finit par lâcher Jessica, perdue dans ses rêves.

La sentence venait de tomber comme un couperet aiguisé par la trahison. Ils semblaient tous s'être ligués contre lui.

Alexandre regarda tristement sa fiancée, croyant qu'il allait la perdre pour toujours ce soir-là.

Au lieu de cela, une cascade de rires fit résonner le bureau. Les femmes vinrent embrasser sur la joue le pauvre commercial, ne sachant plus où se mettre. Puis, Xavier lui caressa l'épaule amicalement.

— Il est vraiment temps que tu te décoinces un peu mon vieux ! dit-il d'une voix tonitruante. À propos, ma chérie tu l'as toujours ton petit jeu ? Qu'est-ce qu'on a pu s'éclater avec ce truc.

— Ah, celui avec les dés roses et noirs. Oui, j'ai dû le planquer quelque part dans mon armoire. Répondit-elle d'une voix joyeuse. La partie risque de durer tard dans la nuit. Jessica, tu as fini ton ménage en bas ?

— Oui, tout juste, Xavier m'a aidé à vider les dernières poubelles, pourquoi ? dit-elle, sentant monter une certaine excitation.

— Personne ne t'attend chez toi ?

— Non, je suis célibataire, depuis un mois mon mec m'a largué. Aujourd'hui, je butine à droite à gauche, sans me poser de questions, c'est plus sympa !

— Très bien, on va vraiment avoir besoin de tes services ! finit par conclure Nathalie, parcourue par un frisson délicieux depuis le bas des reins.

Balayant l'armoire du regard, la Directrice vit enfin le large côté d'une boîte en carton abîmée sur les coins. En la prenant dans ses mains, son cœur chargé de souvenir commença à palpiter. Ce jeu diabolique, contenait à lui seul, la perversion sous toutes ses formes.

— Débarrassez-moi le bureau, nous allons commencer une nouvelle partie. Je vais baisser un peu la lumière. dit-elle, posant la boîte noire avec un liseré doré.

Intrigués, Jessica et Alexandre observèrent Nathalie battre les cartes d'un geste nonchalant. Une fois le mélange terminé, elle déplia le plateau muni de plusieurs cases aux couleurs vives. À première vue, on eut dit un banal jeu de l'oie.

— Avant toutes choses, je préfère vous dire que je suis l'arbitre. La moindre faute sera sanctionnée. précisa-t-elle, en ouvrant un petit tiroir. Si quelqu'un enfreint les règles, autant dire que ce petit martinet aura son utilité, croyez-moi !

Chacun dû faire rouler les dés à tour de rôle. Malheur à celui ou celle qui obtenait le plus petit score. Malheureusement, Alexandre fut le plus malchanceux : double un. Suivi de Jessica, Cloé et enfin Xavier qui terminait en beauté avec un double six.

La Directrice plaça les joueurs selon l'ordre établi par leurs scores. Son mari lança à nouveau les dés pour faire avancer son pion jaune.

— Voyons voir que nous dit la première carte. Dit l'arbitre. « Pendant 5 minutes, tu dois embrasser toutes les femmes ici présentes avec des baisers langoureux ».

Le mari semblait hésiter, puis il se dirigea vers la petite brune aux yeux brillants pour débuter. Tout en lui caressant les cheveux, sa langue s'entortilla avec aisance sur celle de la jeune femme de ménage tout à fait ravie. Puis, ce fut au tour de Cloé, qui paraissait aussi gourmande.

— On en a assez vu ! Très bien à ton tour Cloé de nous faire rêver. Ah « Tu vas devoir déshabiller les garçons, en les laissant en slip ».

Les deux mâles, un peu moins fiers, dans cette petite tenue, n'en menaient pas large. D'autant plus que les filles virent les bosses apparentes qui grossissaient dans leur boxer.

— Messieurs, vous bandez déjà, ça promet d'être chaud ce soir ! Bon, à ton tour de jouer ma petite Jessica.

Les dés roulèrent bruyamment sur le bureau. Son pion rose s'arrêta sur une case un peu spéciale, comme une sorte de sens interdit.

— Tu vas désigner celui ou celle qui ne jouera plus la partie. Je te laisse le temps de choisir ma puce. indiqua Nathalie, en s'avançant un peu. Pressée d'entendre la réponse.

— Euh, je ne sais pas Madame, je m'entends bien avec tout le monde. Répondit faiblement la jeune brune.

— Allez courage, prends ta décision, je t'écoute ! insista la Directrice, sur un ton beaucoup plus nerveux cette fois.

— Alexandre, je suis désolée. Finit-elle par dire à son grand regret visiblement.

— Eh bien, on dirait que ce n'est pas toi soirée. Tu vas quand même goûter au plaisir du voyeurisme, la frustration a quelque chose de délicieusement malsain.

De rage, le commercial quitta la table levant les bras au ciel.

— Merde ! C'est quoi ce truc pourri. Ronchonna-t-il.

— Surveille tes propos, sinon je fais finir par sévir mon poussin ! tonna l'arbitre, en tortillant son martinet de droite à gauche.

— Rien à foutre ! rugit-il sans attendre.

Xavier et sa femme se regardèrent longuement puis se ruèrent sur Alexandre pour le prendre de force. Il fut maîtrisé par le couple, à croire qu'ils auraient pu travailler comme agents de sécurité.

— Mets-toi à genoux, sale petit con ! Cloé, va me chercher les menottes et les cordes dans l'autre pièce. Ah, n'oublie pas la boule perforée, je n'ai pas envie de l'entendre gueuler toute la soirée.

Le malheureux se retrouva à quatre pattes, slip baissé. On entendait sa respiration siffler légèrement, sans qu'il puisse pousser un cri.
Le martinet siffla en l'air pour s'abattre sur les fesses laiteuses de l'esclave. Les coups légers au départ s'intensifièrent.

Les lanières de cuir lapidèrent la peau du jeune homme, sous les yeux médusés des filles.
— Tu vas finir par aimer ça ! dit sa fiancée, les yeux brillants de vice.

— Monnnn Mmmm Muuuuuh ! gémit-il, les yeux larmoyants.

Ses fesses lacérées devinrent sanguinolentes. Excitée par les gouttes de sang qui perlèrent sur les jolies courbes bombées, la Directrice n'eut d'autre souhait que de venir lécher les nouvelles cicatrices brûlantes.

— Je crois qu'il a compris. dit Xavier, affichant un petit rictus. Chérie, on peut continuer la partie, tu veux bien ?

— Avec plaisir, je crois en plus que c'est à ton tour. Répondit-elle, tout en se relevant lentement.

Les dés roulèrent à nouveau. Le pion jaune tomba sur une case de couleur sombre avec une langue rose et un petit cercle au milieu.

— Petit cochon, on dirait que tu vas te régaler.

D'après les règles, Xavier avait ordre de lécher durant une quinzaine de minutes, l'anneau de chair de chaque participante.

— Petite salope, je vais commencer par prendre soin de ton petit trou ma jolie Jessica ! dit-il complètement excité.

Il fit glisser la jupe noire d'un coup sec. La culotte auréolée d'une tâche luisante fut baissée à son tour. Elle sentait la mouille et le parfum du désir. Cette odeur immanquable d'une chienne en chaleur.

— Interdit de la branler, ok ? Tu dois juste lui lécher son anus, c'est compris mon chéri ! aboya La Directrice, tentant de recadrer son mari.

Sa langue fouillait le petit orifice, tandis qu'il écarta des deux mains la croupe parfaite de la petite brune, qui commençait à se tortiller sous les assauts de la bouche vorace de son partenaire.

À y regarder de plus près, la rosette odorante n'avait jamais eu la chance d'être pénétrée par le sexe d'un homme, ou par un corps étranger quel qu'il soit. Elle était complètement vierge de ce côté-là.

— Et Cloé alors ? Elle s'impatiente, tu sais ? réprimanda la Directrice, sur un ton faussement autoritaire.

— Je la connais par cœur, tu sais comme j'aime la nouveauté ! D'autant plus que sa petite fleur attend la visite d'une grosse bite comme la mienne, elle ne perd rien pour attendre ! vociféra-t-il, en fixant son épouse d'un œil réprobateur.

Peu après, la femme blonde se laissa faire sous les mains habituées de Xavier. Son jean moulant tomba à ses pieds. Il en profita pour humer l'entrejambe qui révélait d'un seul coup un parfum maritime si singulier.

— Hum, tu sens la mouille, j'aime quand tu es excitée comme ça ! dit-il, lui arrachant sa culotte blanche d'une main ferme. Cambre-toi ma puce, je vais te nettoyer ta partie intime devant ton petit chéri, je suis certain que le spectacle va lui plaire.

Cette fois sa langue alla se ficher directement dans les profondeurs sans aucune hésitation. Son trou était tellement distendu, que des lèvres de chair s'étaient formées autour de son œillet rosé, et donnaient l'impression qu'elle possédait un deuxième sexe féminin.

C'était une accro à la sodomie, au cours de leurs parties fines, elle réclamait toujours qu'on lui introduise des objets cylindriques de plus en plus évasés. Se faire dévorer par une langue aussi agile que celle de Xavier était une sorte de préliminaire délicieux.

— Le temps est écoulé mon chéri, arrête de jouer avec ta langue, quant à vous les filles restez la chatte à l'air, on va gagner un peu de temps ! coupa net, Nathalie pressée de poursuivre la partie.

Le pion vert de Cloé avance de six case pour tomber sur la case « tirer une carte ». À peine eut-elle saisi le carton blanc aux coins arrondis, qu'elle lut à voix haute le message suivant :

— « Libérer le prisonnier ou la prisonnière, son supplice prend fin à la minute même » dit-elle, avec une pointe de soulagement.

— Laisse, je m'en charge ! indiqua, La Directrice, toujours soucieuse de jouer son rôle.

La boule percée de petits trous maintenue par deux lanières de cuir, fut enfin retirée de sa bouche pleine de salive dégoulinante. Le mâle en pénitence put respirer à nouveau correctement. La clé en argent ouvrit les menottes dans son dos, il se massa les poignets douloureux où s'étaient formés des sillons rouges dus aux frottements successifs.

— Voilà, évite de mal te comporter la prochaine fois ! Aucune insulte n'est tolérée, tu le sais maintenant. Va t'installer à côté de Jessica, c'est à son tour de lancer les dés.
Complètement nu, il regagna piteusement sa chaise.

Ses yeux furent attirés par la petite chatte poilue de Jessica, qui prenait un malin plaisir à se tortiller au moment d'avancer son pion rose. La case représentait cette fois un panache rose muni d'un manche noir.

— Ah ! Je crois qu'il va y avoir un peu plus d'action, on dirait. Tu vas devoir câliner avec un plumeau, les sexes masculins décalottés, pendant cinq petites minutes, chacun à tour de rôle. Messieurs, préparez-vous à bander ! dit-elle, en riant aux éclats.

Comme si l'accessoire lui était prédestiné, la femme de ménage empoigna le plumeau pour effleurer, par des gestes délicats, les couilles d'Alexandre.

— Regardez-moi ça, un peu de caresses et le voilà qu'il retrouve toute son arrogance ! dit la Directrice, émerveillée de voir l'engin palpiter devant elle.

Jessica vint ensuite s'attarder à la base du gland. Le bout du plumeau parcourait le point sensible par des allées et venues. Les traits du visage de son partenaire se crispèrent, il aurait tellement voulu se branler à l'instant même, pour soulager sa queue à l'agonie.

— Xavier, prépare-toi ! Elle est très douée cette petite, je dirais même qu'elle se montre particulièrement vicieuse ! songea-t-elle, en faisant signe à l'autre de s'occuper de son mari.

Cette fois, le résultat fût un peu moins convaincant. Peut-être avait-il trop abusé de cette pratique auparavant. Ses bourses poilues semblaient imperturbables, tandis que sa verge se gonflait, mais sans plus.

— Oh mon chéri, ton asperge semble toute flétrie ! Petit salaud, je te connais trop bien, ne me dit pas que tu t'es déjà vidé avant de venir ! Elle s'appelle comment cette fois ? Interrogea-t-elle, fixant son mari d'un regard noir.

— Ok, c'est Jess, c'est sa faute, on était dans les toilettes d'en bas et au moment de...

— Stop, j'en ai assez entendu, c'est malin ! Le temps que tu retrouves ton ardeur ça risque de prendre une heure ! Allez hop, tu es puni, qu'on te bâillonne la bouche comme l'autre, à quatre pattes sur la moquette menottes aux poignets, aller pressons ! rugit-elle, les joues empourprées de colère.

Humilié en public, son mari, se retrouva sans protester, dans la position la plus dégradante, genoux au sol.

— Tourne-toi vers le mur, tu ne mérites même pas de regarder notre petit jeu lubrique ! ordonna-t-elle, balayant de la main en signe de dédain.

La Directrice se tourna vers son jeune collègue, puis d'un hochement de la tête approbateur, elle autorisa Alexandre à jouer à son tour pour la première fois. D'un geste fébrile, il lança les précieux dés.

— Oh, je crois que nos demoiselles vont devoir se mettre complètement à poil ! Je commençais à m'ennuyer.

Déshabille-les ! dit-elle, en pinçant les lèvres.

Durant la séance d'effeuillage, ses mains profitèrent de caresser les seins gonflés de chacune d'elles. Jessica et Cloé, affichant un large sourire, commencèrent à comparer leurs nichons arrogants, se secouant de droite à gauche pour leur donner un aspect plus sensuel.

Les tétons de la jeune femme de ménage se dressaient fièrement, témoignant d'une excitation insolente. Cloé aurait tellement voulu les sucer, mais la maîtresse n'aurait certainement pas toléré un tel écart de comportement.

— Étant donné que notre prisonnier ne peut plus jouer, c'est à toi Cloé ! On t'attend ! murmura-t-elle, tout en contemplant les deux femmes si attirantes.

Le pion vert se figea sur une case étrange. Une banale paire de ciseaux. Allait-on couper les cheveux d'un joueur, ou bien peut-être castrer un homme dans un terrible bain de sang. Certaines avaient déjà la réponse.

— Petites cochonnes, quelle chance vous avez ! faites-moi votre numéro, je veux vous entendre jouir toutes les deux ! lança la Directrice, préparant son smartphone pour filmer la scène qui promettait d'être torride.

De son côté, Alexandre se grattait la tête, cherchant vainement une réponse. Le benêt manquait un peu de culture en matière de plaisir saphique. Complètement égaré sur le sujet, il s'attendait à voir les deux amazones se couper mutuellement les poils.

— Approchez plus vers moi ! n'ayez pas peur, mon bureau est fait pour ça ! insista-t-elle, les yeux remplis d'étincelles. Je vous donne vingt minutes, ce sera suffisant !

Intimidée, Jessica se laissa guider par sa partenaire. Elles se retrouvèrent sexe contre sexe avec les jambes croisées.

En meneuse avertie, Cloé fit onduler son bassin pour se frotter contre la vulve de sa copine débutante.

— Tu vas voir comment tu vas prendre ton pied ! dit la fiancée d'Alexandre, serrant avec fermeté la nuque de Jessica pour l'empêcher de tourner la tête, pendant que leurs clitoris faisaient déjà connaissance.

— Les yeux dans les yeux, hum oui, c'est encore meilleur ! Cloé fais la mouiller ! Par contre, je ne veux aucun baiser, ni de trucs avec la langue est-ce clair ! ordonna la Directrice, sur un ton impératif.

Le jeune commercial compris enfin à quoi il devait s'attendre. Sa fiancée faisait jouer ses hanches comme si elle pénétrait l'autre avec un pénis minuscule. Jamais il n'aurait pu imaginer la voir faire l'amour à une autre femme d'une façon aussi sensuelle.

— Il fallait me dire que tu étais une petite gouine ! J'aurais pu inviter une copine ou deux à la maison ! lâcha Alexandre, à deux doigts de subir les représailles de sa chef.

— Tais-toi mon poussin, tu ne vois pas que je suis en train de me faire du bien, en plus elle se débrouille très bien pour une première ! À l'avenir, évite de l'ouvrir la prochaine fois OK ? Je n'ai pas toujours besoin de sentir ta grosse queue en moi si tu veux savoir ! soupira-t-elle, légèrement agacée.

— Une autre moment pour les scènes de ménage, je vous prie ! gronda la Directrice, levant le menton vers le perturbateur qui baissa le regard aussitôt.

Spontanément, les deux charmantes créatures prirent en même temps la décision de s'écarter l'une de l'autre. Les bras tendus en arrière, elles reposaient à présent de tout leur poids, sur les mains à plat sur le bureau. Le bassin en hauteur, Jessica et Cloé donnaient des coups de hanches à l'unisson, plaquant leurs sexes en croisillon, dans un balai de frottements effrénés.

Le smartphone de la Directrice, fit alors un gros plan sur les toisons luisantes qui s'agitaient lascivement. L'angle de vue était parfait. On pouvait même apercevoir l'élixir d'amour couler en petites rivières transparentes. La posture scandaleuse des deux amatrices, fit naître une douce sensation de torture au fond de la culotte de la voyeuse, complètement fascinée.

— Chéri, retourne-toi, mate un peu, on dirait qu'elles ont la rage au cul ces deux-là ! Jessica, je vais être jalouse si tu continues de la cajoler de cette façon ! dit la Directrice, sur un ton un peu ambiguë.

Son mari se retourna tout en levant la tête, et sentit d'un seul coup cette odeur de transpirations mêlées de secrétions féminines. Les voyant agiter leurs cheveux dans tous les sens, il comprit qu'elles ne tarderaient pas à exploser de plaisir d'un instant à l'autre.

— J'aime tellement te sentir aller et venir contre ma chatte, ! Tu vas me faire défaillir ! hurla Jessica, les traits du visage crispés de bonheur.

— Hou ! Moi aussi, tu, sais, je. tenta de lui répondre Cloé, complètement à bout de souffle.

À cet instant précis, les deux bourgeons écarlates se dressèrent parmi les poils, se cherchèrent, pour soudain se stimuler mutuellement face à face. Les parties intimes renflées, si sensibles, se livrèrent un duel impudique. Devenues incontrôlables, les corps agités des femmes en chaleur, exprimèrent par de brutales secousses, le tumulte de leur jouissance.

— La prochaine fois, vous viendrez avec moi sous la douche. Allez vous reposer un peu les filles, petites chanceuses, je vous sens exténuées ! dit la Directrice, avec un petit rictus très coquin.

Encore sous l'émotion, entièrement décoiffée, Jessica s'avança titubante vers le bureau, pour lancer les dés. Le pion rose termine son cheminement vers une case encadrée de noir. De curieux symboles étaient dessinés avec beaucoup de détails. Nathalie dû froncer le regard pour les décrypter.

Il s'agissait cette fois d'une abeille couronnée, d'un sifflet, et d'une grille levée dans l'encadrement d'une porte murée.

Autant dire que les joueurs novices ne comprirent pas grand-chose.

— Nous y voilà ! Étant donné que je suis votre arbitre, vous allez me considérer comme la reine des abeilles dans notre petite ruche d'amour. Quant à toi, mon chéri, je crois que tu es libéré pour de bon ! ricana-t-elle bruyamment. Et bien qu'attendez-vous pour me déshabiller !

Les deux femmes nues vinrent autour d'elle comme des servantes attitrées. On lui retira sa veste, puis avec élégance, elles firent glisser les sous-vêtements pour découvrir une toison brune très épaisse. Ses seins généreux se dressaient fièrement, terminés par des tétons arrogants, avides d'attentions les plus tendres.

Complètement nue, à part ses escarpins à talons hauts, la Directrice rayonnante, leva la tête et encouragea ses petites esclaves à prendre dans leur bouche un sein de chaque côté. Jessica ferma les yeux puis suçota le bourgeon terriblement dur d'excitation. Sa langue fit des petits cercles concentriques, ensuite, par de lentes aspirations, elle titilla le petit morceau de chair rosé en gémissant.

Dans un tout autre style, Cloé mordilla l'appendice presque sauvagement. Elle savait, par expérience, que sa maîtresse appréciait ce genre de petit supplice. Le mélange des deux soins opposés procurait à Nathalie une douce sensation de parfaite volupté.

— Votre tour va venir, soyez certains, mais pour l'instant j'ai besoin d'un petit câlin entre femmes, c'est mon péché mignon ! dit-elle toisant les voyeurs, dont la bite était d'une forme éblouissante.

Pendant ce temps, les deux mâles, captivés par un tel spectacle, ne purent s'empêcher de frôler doucement leur sexe de bas en haut. Décidés à ne pas jouir tout de suite, au risque de tout gâcher, ils se retinrent luttant de toute leur force.

Lentement, le trio saphique s'avança vers eux, à quelques centimètres, pour les aguicher au maximum. Ils pouvaient mieux entendre le bruit de leurs langues fougueuses et impatientes, déguster les seins devenus durs de la Directrice, qui fermait à présent les yeux.

À la regarder de plus près, on put dire que Jessica venait de terminer son apprentissage, et était devenue en quelques minutes, une vraie petite lécheuse débridée.

— Messieurs, placez-vous ici devant moi ! Ne perdons plus de temps, faites-moi le plaisir de venir décorer ma poitrine avant que mes petites sangsues me fassent venir pour de bon. Proposa-t-elle, d'une voix faible.

Voyant les verges dressées s'approcher de la poitrine de leur maîtresse, Jessica et Cloé eurent la même idée. Chacune serrèrent très fort d'une seule main les pénis violacés de douleur, pour les mettre en contact direct avec les tétons de leur maîtresse. Si bien, que les glands commencèrent à se frotter délicieusement contre les auréoles brunes encore trempées de salives.

— Petites salopes, continuez ! siffla Nathalie, serrant les dents.

Les deux nymphes agiles jouèrent avec les glands gonflés pour flatter les boutons rosés turgescents, en faisant des petits cercles bien précis. Le contact des chairs sensibles fit tortiller les mâles, dont les jambes commencèrent à fléchir, pour mieux viser la cible tant convoitée.

La petite cérémonie lubrique dura cinq bonnes minutes. Jessica restait les yeux fixés sur le bourgeon d'Alexandre qui ne tarda pas à libérer la crème épaisse sur le sein droit de sa chef de travail. Les salves furent si puissantes, que sa bienfaitrice Jessica, en reçu sur le visage au niveau de la joue.

Dans un tout autre style, ce fut au tour de Xavier son mari, d'offrir à sa femme le fruit de son amour. Moins spectaculaire, son sperme jaillit plus mollement, sans nulle comparaison avec la vigueur du jeune homme à ses côtés. Sa liqueur impure, légèrement jaunâtre, semblait beaucoup plus épaisse, de telle sorte qu'elle resta figée sur la poitrine de Nathalie sans retomber.

En reculant un peu, les deux mâles laissèrent un filet gluant qu'ils essuyèrent très vite à leur façon, pour finir de tartiner la poitrine luisante de Nathalie totalement comblée de se sentir souillée ainsi.

— Mesdames, j'ai très envie d'une chose. Pendant qu'ils vont se branler une dernière fois, nous allons faire de notre côté une petite séance de dégustation entre filles. Proposa-t-elle, les yeux brillants de vice.

— Mais je suis vidé moi ! rétorqua Alexandre, la queue toute pendante.

— Moi aussi, tu veux nous tuer ? poursuivit Xavier, sur le point d'aller se rhabiller.
Sans répondre, La Directrice leur lança un regard tellement noir, qu'ils se mirent à se tripoter promptement, tentant de raviver leur sexe flasque.

Jessica la première, lécha le sperme tiède pour le garder en bouche. Elle échangea la semence délicieuse avec Nathalie enroulant sa langue contre la sienne dans un baiser prolongé. Puis ce fut au tour de Cloé. La Directrice connaissait déjà le goût du sperme de son mari, et l'échange fut vite écourté.

— À vrai dire, ton foutre est nettement meilleur ! dit Nathalie, en fixant Alexandre qui torturait son pénis comme un dégénéré. Douceur, de la douceur, tu vas y arriver mon poussin ! Je veux que tu te souviennes que lorsque l'on vient ici, tu ne pourras plus baiser qui que ce soit en sortant.

Le trio féminin continuait de plus belle les échanges gustatifs, sans même faire une pause, prenant bien soin de nettoyer la moindre parcelle de poitrine poisseuse. Par moment, Jessica et Cloé embrassèrent à l'unisson la bouche de leur maîtresse affamée. Les trois langues infatigables se délectaient ensemble du nectar acre et épais tout en éprouvant un plaisir infini.

— Alors ça vient oui ? lança-t-elle, regardant les deux membres virils se faire décalotter à tour de rôle dans un rythme acharné. Les filles, mettez vos doigts dans ma fente, j'ai envie qu'on s'occupe de ma petite chatte.

On dirait que ce changement de programme fit bander d'un seul coup Alexandre. Les doigts luisants de cyprines qui s'activaient au milieu de cette toison brune commencèrent à le plonger dans un état d'excitation extrême.

— Dis-moi, j'ai l'impression que tu aurais envie de me prendre toi ? dit-elle, sur un ton lubrique. Réponds-moi !

— Toute la soirée, je n'attendais que ça ! gémit-il, un jour, je te défoncerai le cul, tu verras, tu gueuleras comme une chienne en chaleur !

Les mots orduriers, adressés à la deuxième personne du singulier, avaient totalement dépassé sa pensée. Pris de remords, il regarda sa fiancée faussement outrée par ses propos.

— Un peu de respect mon chéri, c'est ta patronne quand même. dit Cloé, d'une voix douce faussement prude, tout en continuant de jouer avec son index sur le clitoris de Nathalie.

Trop occupée à se faire cajoler, La Directrice ne prit même pas la peine de lui répondre. Pantelante, elle commença à donner des coups de reins accentués. Le corps comme du coton, elle se laissait faire, prise en main par ses petites esclaves sexuelles. Leurs phalanges la fouillaient maintenant en profondeur, jouant de temps en temps avec la surface de sa vulve très humide.

Les yeux mi-clos, elle ne quitta pas de vue la verge violacée d'Alexandre. Elle savait qu'il allait jouir d'un moment à l'autre malgré la fatigue. Nathalie voulait qu'il vint en même temps que son propre orgasme.

— Alexandre, pense que tu me pénètres, aller, imagine que tu me défonces la chatte comme tu me l'as si bien dit à l'instant ! cria-t-elle en remuant le bas-ventre comme une folle.

Le jeune homme, au bord de l'évanouissement, changeant de main de temps en temps pour ne pas perdre le rythme, soufflait fort. La sueur lui perlait le long du dos, allant même jusqu'à pénétrer sa raie des fesses, pour finir en goutte à goutte au niveau de ses couilles gonflées.

— Ne lâche rien mon trésor, j'aime les hommes comme toi affamé de sexe ! dit-elle, au milieu de plusieurs gémissements aux intonations aiguës et saccadées.

Il va sans dire que les bruits humides des doigts fourrant la chatte de Nathalie accentuaient son ardeur démesurée. Un mélange d'odeurs de sexe avait totalement envahi le bureau, transformé en baisodrome.

Xavier s'avança un peu pour saisir la bouche de sa fiancée pour étouffer ses cris privés de toute moralité. Il aurait bien fourré sa bite à la place de sa langue, mais aujourd'hui il valait mieux ne pas la contrarier.

Voyant le pauvre mari de Nathalie à l'agonie, Jessica lui fit signe qu'elle accueillerait bien volontiers sa queue à moitié molle. Par miracle, au bout d'une poignée de secondes ses lèvres avaient déjà enserré le gland encore mou. Elle aimait pomper, c'était son truc. Ses aspirations un peu exagérées n'avaient d'autre but que rendre jaloux le jeune étalon Alexandre.

— Petite salope, eh moi alors ! s'insurgea-t-il entre deux souffles.

— Monhon eh bien toi, on t'a dit de te faire jouir comme un jeune puceau devant un film porno non ? Alors montre-nous ton foutre, on s'impatiente nous tu sais ! s'écria-t-elle, heureuse de l'avoir rendu fou de jalousie.

Se terminant de la main gauche, Alexandre crispa son visage cramoisi en serrant des dents. Il secoua une dernière fois sa jolie queue, d'avant en arrière, puis lâcha un grand cri rauque.

— Vous êtes toutes des garces ! Han ! rugit-il, fixant dans le fond des yeux de Nathalie qui se sentait partir.

— Tu vois mon poussin, tu as réussi une dernière fois à te faire jouir, mais, oh mon Dieu ! Ouuuuui ! c'est à mon tour de !

— Les filles arrêtez, votre petit jeu ! glapit-elle, les jambes toutes tremblantes.

Voilà notre chère Directrice s'abandonnant aux voluptés d'un orgasme démoniaque. Se tortillant de droite à gauche comme une hystérique, les yeux révulsés par la vague de plaisirs ponctués de spasmes anarchiques. Encore toute tremblante, elle se laissa littéralement tomber en arrière soutenue par ses deux partenaires pas tout à fait rassasiées.

Après un petit temps de récupération, Jessica et Cloé en profitèrent pour lécher la mouille toute fraîche de leur maîtresse sur sa chatte poisseuse de cyprine. Elle avait la saveur de l'océan mélangée d'urine et de transpiration odorante. Puis, les deux filles se régalèrent en léchant chacun de leurs doigts, pour les plonger à nouveau dans la source palpitante, comme pour ne pas gaspiller le nectar féminin.

Mais très vite la jeune femme de ménage repris le pénis de Xavier, devenu bien dur, un peu laissé à l'abandon. Loin de l'avoir oublié, la voilà repartie à le sucer sans reprendre une quelconque respiration, et finit par l'engloutir totalement jusqu'à la garde.

— Viens chez nous quand tu veux nettoyer notre appartement ! dit-il, la voix presque éteinte.

— Ne l'écoute pas, il serait capable de te séquestrer une nuit entière ce vieux cochon ! répliqua sa femme, avachie sur la moquette, les yeux embués.

Pendant ce temps Cloé se leva enfin pour rejoindre son fiancé. Elle l'embrassa tendrement sur la bouche, et fit tournoyer langoureusement sa langue avec la sienne durant cinq bonnes minutes. Puis le couple, tout en se caressant le dos, contempla les prouesses de la petite brune toujours en action.

Jessica s'arrêta de pomper la verge dure pour la masturber d'une main ferme. Dans un rythme saccadé, elle agita son sexe vigoureusement au point de lui faire mal.

— Doucement, c'est fragile cette petite chose là ! souffla Xavier, étonné de voir la petite femme de ménage empoigner sauvagement sa queue raide.

— Salaud regarde-moi, j'ai envie que tu jouisses sur mon visage ! lança Jessica, avec un regard plein de vice.

Pris d'un feu d'excitation par ces quelques mots orduriers, le mari de Nathalie, commença à se contorsionner, pendant que la petite brune un peu fatiguée par l'exercice lui caressait sa grosse paire de couilles toute brûlante. Puis, les doigts manucurés, au début délicats, ne tardèrent pas à s'enfoncer dans la chair tendre et poilue.

— Oh oui, branle-la bien ! C'est tellement bon comme ça ! cria-t-il, les yeux fermés.

Devant la jeunette débridée, Nathalie ne put s'empêcher de sentir mouiller sa chatte à nouveau. Malgré la séance de baise hors norme, elle pouvait sentir sa libido renaître, telle une nymphomane infatigable.

Au bout de cinq minutes, grâce à sa persévérance, Jessica obtint l'effet escompté. Un bruit humide, si caractéristique, de la bite devenue humide, se fit entendre bruyamment. Comme pour mieux admirer le spectacle, tout le monde se rapprocha pour se mettre en cercle autour du couple, scrutant le gland se faire décalotter violemment. L'instant crucial, n'allait plus tarder désormais.

— Crache ta purée sur cette petite cochonne ! lança Nathalie, tout en serrant les dents.

D'un seul coup, un jet blanchâtre d'une puissance inouïe vint exploser dans les yeux fermés de Jessica. Les ruisseaux poisseux dégoulinèrent lentement sur les joues rosées, terminant leur course sur les lèvres sèches de la petite brune.

— Qu'est-ce que c'est bon putain ! rugit-il, tout en se tournant vers sa femme, les cuisses totalement écartées.

— Quand je te disais, que le petit personnel avait souvent des qualités que l'on ignore. répondit-elle, avec un sourire radieux.

Attirée par le foutre encore tiède sur le visage de la jeune fille, Cloé se pencha vers elle et vint lécher tendrement les joues souillées. Sa langue légèrement râpeuse, commença une petite toilette délicieuse. Jessica se laissa faire, puis leurs langues aimantées par le désir, s'enroulèrent pour une ultime dégustation.

— Regardez-moi ça, hum petites salopes ! murmura Nathalie, occupée à se caresser l'entrejambe.

Au bout d'un moment, une fatigue pesante se fit sentir pour tout le monde. Il était plus de minuit, et chacun n'avait qu'une hâte : prendre une bonne douche bienfaitrice avant de se glisser sous les couvertures.

Alors, plongé dans leurs pensées, on se rhabilla en silence. Encore cotonneuse, La directrice arrangea un peu son bureau, observant les autres sur le point de quitter le bureau. Elle aimait rester à poil, portant juste sa paire d'escarpins rouges à talons hauts. Ce sentiment de liberté, mêlé d'un plaisir exhibitionniste, la faisait sentir plus femme que jamais.

— Allez-y, j'ai besoin d'être un peu seule ! dit-elle, les yeux perdus dans le vague.

Sans demander leur reste, ils franchirent tous le seuil de la pièce, en une minute à peine. Au bout du long couloir mal éclairé, le tintement lointain de l'ascenseur, suivi de l'ouverture des portes métalliques, laissa place à un silence songeur.

Nathalie prit le temps de fermer la lourde porte anti-feu de son bureau, puis s'installa dans son fauteuil en cuir souple. D'une main preste, elle fit glisser un tiroir habituellement verrouillé par une clé argentée.

Ses yeux se mirent à briller d'un seul coup. Au fond de sa bouche, un goût de salive tiède fit palpiter sa langue. Elle sortit un énorme gode rose, imitant à la perfection le phallus aux veines épaisses, d'un réalisme parfait.

— À nous deux ! chuchota-t-elle, commençant à lécher l'énorme bourgeon décalotté.

Descollages

Les avis des lecteurs

Les critiques sont toujours bonnes à prendre, je note pour la prochaine fois...8)

Merci encore.

Histoire Libertine
trop long a lire, aurait mérité d'être scindée en trois

Merci pour vos petits mots !

@+

Histoire Erotique
Eh bien on reste en haleine jusqu’au bout pauvre Alexandre il ne connaissait pas sa femme et ses turpitudes àvec sa directrice

Histoire Erotique
Bien bien bien !!



Texte coquin : Madame la Directrice
Histoire sexe : Une rose rouge
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