Madeleine, ma vieille voisine est une coquine fin
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2020 dans la catégorie Plus on est
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Madeleine, ma vieille voisine est une coquine fin
La suite et la fin de mon histoire avec Madeleine (qui continue dans la vie)
Le soir à la maison, ma femme ne me parle pas de sa journée de la veille, pas plus que les jours qui suivent. Je sais pourtant que Madeleine et elle se sont vues plusieurs fois et n'ont pas dû passer leur temps à se regarder le blanc des yeux.
J'aime ce moment où je suis cocu, ou ma femme me cache sa relation, tout comme je lui cache la mienne. Nous avons un petit secret qui serait inavouable pour d'autres, mais qui donne du piment à notre vie. Celle qui en profite bien sûr, c'est Madeleine, qui a l'avantage de s'amuser avec le mari et avec la femme. Je n'ai plus de rapport avec Huguette, sauf lorsque Madeleine « l'oblige » à me sucer avant qu'elle-même ne se fasse prendre devant sa copine.
Nous passons ainsi plusieurs semaines dans cette situation. Rose ne rate pas une occasion d'aller voir Madeleine. Tout est prétexte pour passer chez la voisine. Nous y allons même ensemble et je m'amuse à leur laisser quelques instants d'intimité au retour desquels les yeux brillants de ma compagne laissent présager de caresses entre-elles.
La relation -soi-disant cachée - de ma femme avec notre voisine était finalement bénéfique. Elle me permettait non seulement l'excitation de la situation, mais ma femme me permettait des pratiques auxquelles elle rechignait auparavant.
Par exemple, elle n'aimait pas que je lèche son cul. Elle trouvait ça « sale » Or je sais que c'est une pratique courante chez les lesbiennes. Je me doutais bien que Madeleine l'y avait convertie. Non seulement elle accepte maintenant, mais elle me le fait aussi, pour mon plus grand plaisir. J'aimais aussi que Rose vienne m'enjamber et coller sa chatte sur ma bouche pour que je la broute. Elle coulait fort et jouissait, mais elle trouvait qu'elle jouissait trop et trop vite. J'avais beau lui dire et lui prouver ensuite que cela n'était pas un problème, au contraire. Elle avait renoncé petit à petit.
J'en parlais bien sûr avec Madeleine, qui avait a cœur de donner du plaisir à sa partenaire. Avec elle rose se lâchait et ne redoutait pas d'être jugée, aussi la vieille en profitait pour la pervertir au maximum pour son plus grand plaisir et le mien. Il faut dire qu'après avoir expérimenté avec ma femme, elle le reproduisait avec moi. On se bouffait le cul, on s'enculait avec les doigts et elle abusait du gode-ceinture sur moi. Je savais que si elle pratiquait avec moi, c'est qu'elle l'avait fait la veille avec ma femme.
Ces moments étaient donc particulièrement excitants mais l'un comme l'autre nous avions hâte de les passer à trois.
Madeleine avait testé le trio en obligeant Huguette à lécher ma femme alors qu'elle-même était assise sur le visage de ma douce et lui coulait dans la bouche.
Elle avait aussi donné l'habitude à Rose de faire pipi devant elle et même sur elle et dans sa bouche. Ma chérie n'avait pas encore osé boire à la source dorée de sa maîtresse, mais la léchait déjà après que Madeleine ait pissé.
Malgré tous les récits de Madeleine et les nouvelles dispositions de ma femme, si la situation me plaisait assez, il me tardait de me retrouver en trio avec ma femme et ma maîtresse. Quand je proposais une balade dans Bordeaux au bord du fleuve, l’œil de Madeleine s'est allumé. La coquine a aussitôt deviné mes intentions. Nous avons convenu d'y aller le dimanche suivant. Le beau temps était annoncé et propice à une promenade.
Nous nous retrouvons chez Madeleine le dimanche matin pour prendre le café. Échange de baisers plus ou moins appuyés, les femmes trouvant un prétexte pour s'isoler quelques instants dans la salle de bains.
Dans le bus, je me retrouve séparé d'elles. Placé à l'arrière, je vois bien qu'elle sont bien serrées l'une contre l'autre, se regardent souvent dans les yeux et rient ensemble. Je note d'ailleurs qu'une femme placée face à elles à quelques places, leur lance quelques regards entendus.
Une fois dans le tramway, nous nous retrouvons ensemble. Je suis face à elles, mes jambes entre les leurs.
Nous descendons à l'arrêt face au pont de pierre. Madeleine, me lance un regard amusé. A pied, nous encadrons notre voisine, en lui prenant le bras. Rose saisi en plus sa main.
Au milieu du pont nous faisons des photos. Tous les trois ensemble d'abord, puis je suggère de nous prendre deux par deux. Madeleine nous photographie, puis elle prend la pose avec moi et c'est ma femme qui opère. Enfin je réuni les deux femmes et je mitraille, leur faisant prendre des poses sous prétexte de luminosité et de paysage. Peu à peu elles s'étreignent en riant. La tension est palpable, mais je ne laisse rien paraître. Je sens bien qu'en mon absence, ma femme ne se retiendrait pas pour embrasser notre voisine un peu plus que la décence ne l'autorise.
Après de nombreuses prises, nous finissons la traversée du pont et bien entendu obliquons rive droite vers la promenade en bordure du fleuve.
Arrivés devant le « fameux » banc où Madeleine et moi nous sommes embrassés la première fois, je propose une pause. Le sourire coquin de cette dernière montre qu'elle n'est pas dupe de la situation.
Tout d'abord, je joue mon rôle de guide. Nous sommes serrés côte à côte, Madeleine entre nous deux, cuisse contre cuisse, hanche contre hanche, nul doute que chacun désire aller plus loin, mais pour l'instant la morale bloque tout.
Je me lève alors et je vais vers le bord de l'eau comme pour leur présenter la vue sur les belles façades bordelaises. Dans mon dos, les deux femmes ses ont rapprochées et échangent un baiser brûlant. Je me doute bien de la chose et je fais durer mes explications.
Je fais semblant de prendre des photos du paysage avec mon téléphone, mais en réalité, je filme derrière moi les deux femmes qui ne se doutent de rien. Elles s'embrassent, se caressent, ignorant mon subterfuge.
Quand je me retourne, elle se séparent brusquement, mais j'ai eu le temps de voir leur mouvement. Je ne laisse rien voir. Je viens m'asseoir entre elles et je leur propose de regarder ce que j'ai filmé. Elles se penchent toutes les deux et là, surprise ! Elles se découvrent en train de batifoler. Je ris de voir leurs réactions et particulièrement celle de ma femme qui tente de se justifier, mais les images sont éloquentes.
• « Je... ce n'est pas ce que tu crois...
• Je ne crois rien ! Je vois simplement que vous vous embrassez et vous caressez, que vous êtes plus proches que ce que tu me disais.
• Oui... mais..
• Je ne te reproche rien ! Au contraire j'en suis très heureux ! Depuis le temps que j'ai envie de te voir avec une femme.
• C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas ?
• Au contraire ma chérie. J'attendais cela... Disons que je l'ai provoqué.
• Comment cela ?
• J'ai imaginé cette balade, car pour Madeleine et moi c'est une sorte de pèlerinage.
• Je... Je ne comprends pas...
• Pour que tu sois plus à l'aise, je vais te mettre au courant.»Je me tourne vers Madeleine et je l'embrasse sur la bouche. Celle-ci me rend mon baiser sous les yeux de ma femme.
• « Voilà. Madeleine est aussi ma maîtresse. Je suis au courant de votre relation. J'ai même participé à ce qu'elle se fasse. Aujourd'hui, j'ai choisi cette balade car c'est ici que tout à commencé avec elle. Nous nous sommes embrassés pour la première fois sur ce banc. Sachant ses penchants homosexuels avec sa voisine, je l'ai poussée vers toi. Tu sais que j'en rêvais depuis longtemps. Pendant quelques jours, j'ai adoré être cocu grâce à toi, mais aujourd'hui, il est temps que toi aussi tu sois au courant de notre liaison et que tu saches aussi que je connais la tienne.
• Tu es...
• Oui je sais, mais maintenant, n'es tu pas heureuse qu'enfin je le saches ?
• Oui ! Je ne savais pas comment faire pour te l'apprendre. Ça m’embêtait que tu ne le saches pas, mais en même temps c'était excitant.
• Pour moi c'était pareil, mais je crois que nous devons franchir une étape supplémentaire.
• Comment ça ?
• Eh bien, nous allons continuer, mais... tous les trois !
• Tu es complètement fou !
• Pas du tout ! Au contraire ! Nous allons pouvoir varier les plaisirs ! Je suis sûr que notre coquine de voisine n'est pas du tout contre. N'est-ce pas Madeleine ?
• Oh oui ! J'ai très envie de vous avoir tous les deux avec moi !
• Tu vas tenir le coup ?
• Et toi avec deux femmes ?
• Si on essayait ?
• Quoi ? Maintenant ?
• On pourrait aller dans notre petit hôtel ?
• Quoi ? Vous allez dans un hôtel ?¨» s'étonne ma femme.
• La première fois oui. Ce serait bien non de reproduire ça ?
• Je... Je préfère... chez nous » Dit Rose. Je ne serai pas à l'aise dans une chambre anonyme.
• D'accord. Alors on rentre. Mais avant de partir, embrassez-vous et... embrassez-moi mes chéries !»Les deux femmes tombent dans les bras l'une de l'autre et s'embrassent passionnément, puis Rose et enfin Madeleine viennent m'embrasser chacune à leur tour.
Le retour à la maison semble interminable. Nous sommes quasiment seuls dans le tram et nous pouvons parler librement. Nos yeux sont brillants. Face à moi, les deux femmes ne se cachent plus et sont serrées l'une contre l'autre main dans la main. Elles échangent même parfois des bisous sur les lèvres, non sans se tourner ensuite vers moi.
A un moment, ma femme pose sa main sur la bosse de mon pantalon.
• « Ça t'excite on dirait mon chéri de voir ta femme se comporter comme une gouine avec ta voisine.
• Vous êtes deux belles salopes mes chéries ! Oui. J'adore vous voir comme ça. »Arrivés chez Madeleine. Je laisse les femmes entre-elles. Elles s'enlacent, s'embrassent, se caressent et petit à petit se déshabillent mutuellement. J'en profite pour me mettre nu également en admirant mes deux maîtresses.
• « Regarde ton salaud de mari comme il bande ! » Dit Madeleine. « Tu vas en baver mon vieux, car nous allons nous aimer toutes les deux et tu attendras un peu pour te joindre à nous. »Main dans la main, elles rejoignent la chambre de Madeleine. Je les suis et m'installe sur le fauteuil à côté du lit, où les deux lesbiennes continuent leurs caresses. Je vois ma femme qui lèche sa voisine, lui procurant plusieurs orgasmes. Elle a vite appris ma belle cochonne, à donner du plaisir à une femme. Deux doigts dans la chatte dégoulinante de notre voisine, elle torture le bouton de sa langue et s'abreuve du suc onctueux libéré par la grotte brûlante.
Quand elle est remise, Madeleine fait allonger Rose sur le dos et entreprend de lui rendre la pareille. Le beau cul de ma voisine me nargue. La tête plongée entre les cuisses de Rose est un appel au viol. Je rejoins les femmes sur la couche et à genoux derrière Madeleine, je m'enfonce dans son vagin liquoreux. Elle arrête un moment son léchage pour manifester son contentement.
• « Oh ce salaud ! Il me baise comme une chienne. Regarde, ma chérie, ton mari est un voyou ! Un adorable voyou qui me baise bien.
• Oh oui ! C'est beau mon chéri ! J'aime te regarder baiser Madeleine pendant qu'elle me broute ! Baise-la bien cette vieille salope, mais garde toi pour moi. Je veux que tu viennes jouir dans ma chatte. Et toi, vieille salope de gouine, bouffe-moi bien le con. Ça t'apprendra à baiser avec mon mari ! »Ma femme est déchaînée. Sous la langue et les doigts de Madeleine, elle parvient vite au plaisir. Cette dernière, bien qu'ayant déjà jouit sous les assauts de ma femme, repart vite vers les sommets et sa vulve se contracte sur ma queue. Je parviens à me retenir. Je l'écarte alors et couché sur ma femme, je la pénètre à son tour.
• « Oh oui mon chéri ! Qu'elle est bonne ta queue ! Madeleine te l'a bien graissée, mais je la sens bien. Vas-y, baise-moi. Baise ta femme mon chéri, mon salaud ! Tu es vraiment un sacré pervers et tu m'entraînes avec toi dans le stupre. Ah tu m'a cocufiée avec notre voisine ? Alors montre-lui comment tu baises bien avec ta femme. Donne-moi ton foutre ! Elle viendra le récupérer dans ma chatte avec sa langue de salope ! »Les mots de Rose et les caresses de Madeleine sur mon cul, où la perverse à glissé un doigt à l'intérieur, me font jouir et je décharge mon sperme au moment où Rose jouit à son tour une dernière fois.
Il nous faut un peu de temps pour récupérer de ce premier assaut commun. Couché entre mes deux femmes, je suis le plus heureux des hommes.
Maintenant que tout est clair entre nous, plus de raison de se cacher et Madeleine reçoit régulièrement nos hommages, soit de l'un, soit de l'autre, soit de tous les deux et ce n'est pas la moins vorace. Souvent, Rose passe la voir en rentrant du travail pour échanger au moins un baiser ou quelques caresses. Quand je suis absent pour quelques jours, il arrive aux deux femmes de passer la nuit ensemble.
Et Huguette me direz-vous, elle ne se sent pas abandonnée ? Souvent, quand je passe chez Madeleine, celle-ci lui demande de me sucer afin de me faire bien bander pour que je la prenne devant elle. Lorsque je m'épanche dans sa chatte elle « oblige » Huguette à venir la nettoyer en avalant foutre et cyprine qui inondent son vagin.
Enfin, une fois par semaine au moins, nous nous retrouvons tous les trois avec Rose et Madeleine pour une partie à trois, où non seulement je baise les deux femmes, elles se baisent entre-elles mais aussi, me font connaître les joies de la sodomie à l'aide de leur gode ceinture. Je me retrouve souvent en train de baiser ma femme ou ma voisine alors que l'autre m'encule gaillardement avec le sexe factice.
Quelques mois passent ainsi pour le plus grand bonheur de chacun des trois. Avec ma femme, nous ne fréquentons plus les établissements libertins ou autres saunas. Nos activités avec notre charmante voisine nous suffisent amplement.
Un jour, alors que nous reposons sur le lit après une nouvelle joute, Madeleine nous annonce : • « J'ai un amant !
• Quoi ? Nous ne te suffisons plus ?
• Ce n'est pas ça. Un homme qui avait été mon amant quand j'habitais à Paris, est venu lui aussi habiter à Bordeaux. Lui aussi est veuf et il m'a retrouvée. Enfin... on s'est retrouvés et on a remis ça.
• Tu es insatiable ! Déclare Rose.
• Oui ! Je suis une vieille salope comme tu aimes à me dire ma chérie. Mais ce n'est pas tout. Je lui ai parlé de nous... trois • C'est pas vrai ?
• Si, si et... il voudrait... vous rencontrer et... si vous le voulez, participer à nos jeux... »
C'est ainsi que Victor s'est joint à notre trio qui est devenu un quatuor. Un véritable quatuor, car tout le monde baise tout le monde. Les femmes échangent leurs hommes mais quand elles baisent entre-elles, les hommes baisent entre-eux !
Toutes les combinaisons y passent, Quand Victor baise ma femme, je baise Madeleine. Quand il la baise, je baise avec Rose, mais ce que nous aimons aussi beaucoup, ce sont les deux femmes d'un côté et les deux hommes de l'autre. On peut ainsi se voir. Les femmes adorent nous regarder et s'excitent en se caressant.
Nous aimons aussi nous séparer. Les hommes d'un côté dans une maison et les femmes dans l'autre, en sachant que l'autre couple s'amuse de la même manière dans la maison voisine.
C'est ainsi qu'un événement un peu... limite... est arrivé.
J'étais avec Victor chez nous alors que les femmes « s'amusaient » entre-elles chez Madeleine. J'étais couché nu dans le canapé, les fesses bien relevées, les jambes sur les épaules de Victor qui m'enculait.
J'adore cette position, à la fois humiliante et tellement excitante. Elle donne l'impression d'être complètement sous la coupe de l'autre et permet de voir son amant qui domine. Dans cette position également, je jouis plus fort et sans me toucher. Les sensations sont plus fortes. Victor est un bon amant, bien membré et sa queue me procure toujours beaucoup de plaisir.
Lui, préfère que je le prenne en levrette, nous alternons ainsi les positions pour notre plus grand plaisir.
Ce jour-là donc, Victor est sur moi et me sodomise vigoureusement, lorsqu'il s'interrompt brusquement.
• « Oh oh ! Lance-t-il en regardant vers la porte du salon. Nous avons un spectateur, ou plutôt une spectatrice ! »
Je me tourne et je découvre ma belle-fille qui filme la scène avec son téléphone portable. La surprise et la situation me font débander. Je suis gêné d'être découvert ainsi. Ma belle-fille ne m'a jamais aimée. Elle ne comprenait pas que sa mère ait pu être séduite par moi. Elle ignorait que nous nous étions rencontrés avec sa mère, au cours d'une soirée dans un club libertin.
• « Je crois que maman va être très intéressée par ce petit film ! » Lâche-t-elle. « Tu vas pouvoir préparer tes valises et dégager. Elle sera sûrement contente de savoir que son mari est un petit pédé qui aime aussi les hommes et qui aime se faire enculer comme la salope qu'il est. J'étais venue voir maman, mais je crois que cet épisode est beaucoup plus... amusant et instructif !
• Oh tu sais » Intervient alors Victor, « Ta mère sait très bien ce qu'est en train de faire son mari et elle ne sera pas choquée, surtout qu'elle-même est en train de faire pareil avec la voisine, chez elle ! Tu peux aller lui montrer... Si ça ne te gêne pas de voir ta mère nue avec une autre femme !»
Ma belle-fille, surprise de la réaction de l'homme toujours fiché en moi, continue de filmer, mais son arrogance est retombée. Elle ne sait plus quoi dire ni penser. Elle découvre que son beau-père aime les hommes et que sa mère aime les femmes.
Son changement d'attitude et Victor toujours planté en moi qui reprend sa sodomie, me font à nouveau bander.
• « Regarde ton beau-père ! Ça lui plaît bien de se faire mettre ! Regarde comme il bande ce salaud ! Tu vas voir comme il jouit bien ! »Victor se déchaîne dans mon cul. Il agrippe mes chevilles pour écarter mes jambes découvrant encore plus mon sexe raidi. Malgré l'interruption momentanée, je sens monter en moi les prémices de la jouissance. Bientôt, malgré la présence de ma belle-fille, le sperme s'écoule de mon gland sans que j'ai besoin de me toucher.
• « Regarde comme il jouit ! » S'écrie Victor qui lui non plus ne se retient plus et se vide dans mon boyau étroit en grognant.
Il se penche alors sur moi et nous échangeons un baiser passionné sous les yeux de ma belle-fille abasourdie.
Avant qu'elle ne nous quitte.Victor lui lance : • « Tu nous feras une copie de ton petit film ? On adorera le regarder tous les quatre ensemble ! »
Dès notre retour chez Madeleine, nous informons nos femmes de l'épisode qui vient de se passer. Rose, gênée au départ, est rapidement rassurée par Madeleine et Victor. Sa fille est maintenant au courant. C'est finalement peut-être mieux comme ça, plutôt qu'elle ne l'apprenne par la bande.
Sa mère a bien le droit de vivre sa vie et n'a de compte à rendre à personne. Après tout, nous ne faisons rien de mal, au contraire. Nous sommes deux couples épanouis qui aimons nous faire plaisir, même si ce n'est pas d'une façon très habituelle ni répandue. La morale judéo-chrétienne est un peu égratignée, mais il n'y a pas de quoi en faire un scandale.
Ma belle-fille n'osera jamais transmettre le film à sa mère. Nous ne savons pas ce qu'elle en a fait. Elle ne l'a tout de même pas fait partager sur les réseaux sociaux, ce qui aurait pu être gênant.
Cet épisode, quelque peu scabreux nous a donné l'idée d'acheter une caméra et de filmer nos différents ébats afin de les regarder entre-nous au cours de soirées qui inévitablement se poursuivent de manière moins... conventionnelle.
Le soir à la maison, ma femme ne me parle pas de sa journée de la veille, pas plus que les jours qui suivent. Je sais pourtant que Madeleine et elle se sont vues plusieurs fois et n'ont pas dû passer leur temps à se regarder le blanc des yeux.
J'aime ce moment où je suis cocu, ou ma femme me cache sa relation, tout comme je lui cache la mienne. Nous avons un petit secret qui serait inavouable pour d'autres, mais qui donne du piment à notre vie. Celle qui en profite bien sûr, c'est Madeleine, qui a l'avantage de s'amuser avec le mari et avec la femme. Je n'ai plus de rapport avec Huguette, sauf lorsque Madeleine « l'oblige » à me sucer avant qu'elle-même ne se fasse prendre devant sa copine.
Nous passons ainsi plusieurs semaines dans cette situation. Rose ne rate pas une occasion d'aller voir Madeleine. Tout est prétexte pour passer chez la voisine. Nous y allons même ensemble et je m'amuse à leur laisser quelques instants d'intimité au retour desquels les yeux brillants de ma compagne laissent présager de caresses entre-elles.
La relation -soi-disant cachée - de ma femme avec notre voisine était finalement bénéfique. Elle me permettait non seulement l'excitation de la situation, mais ma femme me permettait des pratiques auxquelles elle rechignait auparavant.
Par exemple, elle n'aimait pas que je lèche son cul. Elle trouvait ça « sale » Or je sais que c'est une pratique courante chez les lesbiennes. Je me doutais bien que Madeleine l'y avait convertie. Non seulement elle accepte maintenant, mais elle me le fait aussi, pour mon plus grand plaisir. J'aimais aussi que Rose vienne m'enjamber et coller sa chatte sur ma bouche pour que je la broute. Elle coulait fort et jouissait, mais elle trouvait qu'elle jouissait trop et trop vite. J'avais beau lui dire et lui prouver ensuite que cela n'était pas un problème, au contraire. Elle avait renoncé petit à petit.
J'en parlais bien sûr avec Madeleine, qui avait a cœur de donner du plaisir à sa partenaire. Avec elle rose se lâchait et ne redoutait pas d'être jugée, aussi la vieille en profitait pour la pervertir au maximum pour son plus grand plaisir et le mien. Il faut dire qu'après avoir expérimenté avec ma femme, elle le reproduisait avec moi. On se bouffait le cul, on s'enculait avec les doigts et elle abusait du gode-ceinture sur moi. Je savais que si elle pratiquait avec moi, c'est qu'elle l'avait fait la veille avec ma femme.
Ces moments étaient donc particulièrement excitants mais l'un comme l'autre nous avions hâte de les passer à trois.
Madeleine avait testé le trio en obligeant Huguette à lécher ma femme alors qu'elle-même était assise sur le visage de ma douce et lui coulait dans la bouche.
Elle avait aussi donné l'habitude à Rose de faire pipi devant elle et même sur elle et dans sa bouche. Ma chérie n'avait pas encore osé boire à la source dorée de sa maîtresse, mais la léchait déjà après que Madeleine ait pissé.
Malgré tous les récits de Madeleine et les nouvelles dispositions de ma femme, si la situation me plaisait assez, il me tardait de me retrouver en trio avec ma femme et ma maîtresse. Quand je proposais une balade dans Bordeaux au bord du fleuve, l’œil de Madeleine s'est allumé. La coquine a aussitôt deviné mes intentions. Nous avons convenu d'y aller le dimanche suivant. Le beau temps était annoncé et propice à une promenade.
Nous nous retrouvons chez Madeleine le dimanche matin pour prendre le café. Échange de baisers plus ou moins appuyés, les femmes trouvant un prétexte pour s'isoler quelques instants dans la salle de bains.
Dans le bus, je me retrouve séparé d'elles. Placé à l'arrière, je vois bien qu'elle sont bien serrées l'une contre l'autre, se regardent souvent dans les yeux et rient ensemble. Je note d'ailleurs qu'une femme placée face à elles à quelques places, leur lance quelques regards entendus.
Une fois dans le tramway, nous nous retrouvons ensemble. Je suis face à elles, mes jambes entre les leurs.
Nous descendons à l'arrêt face au pont de pierre. Madeleine, me lance un regard amusé. A pied, nous encadrons notre voisine, en lui prenant le bras. Rose saisi en plus sa main.
Au milieu du pont nous faisons des photos. Tous les trois ensemble d'abord, puis je suggère de nous prendre deux par deux. Madeleine nous photographie, puis elle prend la pose avec moi et c'est ma femme qui opère. Enfin je réuni les deux femmes et je mitraille, leur faisant prendre des poses sous prétexte de luminosité et de paysage. Peu à peu elles s'étreignent en riant. La tension est palpable, mais je ne laisse rien paraître. Je sens bien qu'en mon absence, ma femme ne se retiendrait pas pour embrasser notre voisine un peu plus que la décence ne l'autorise.
Après de nombreuses prises, nous finissons la traversée du pont et bien entendu obliquons rive droite vers la promenade en bordure du fleuve.
Arrivés devant le « fameux » banc où Madeleine et moi nous sommes embrassés la première fois, je propose une pause. Le sourire coquin de cette dernière montre qu'elle n'est pas dupe de la situation.
Tout d'abord, je joue mon rôle de guide. Nous sommes serrés côte à côte, Madeleine entre nous deux, cuisse contre cuisse, hanche contre hanche, nul doute que chacun désire aller plus loin, mais pour l'instant la morale bloque tout.
Je me lève alors et je vais vers le bord de l'eau comme pour leur présenter la vue sur les belles façades bordelaises. Dans mon dos, les deux femmes ses ont rapprochées et échangent un baiser brûlant. Je me doute bien de la chose et je fais durer mes explications.
Je fais semblant de prendre des photos du paysage avec mon téléphone, mais en réalité, je filme derrière moi les deux femmes qui ne se doutent de rien. Elles s'embrassent, se caressent, ignorant mon subterfuge.
Quand je me retourne, elle se séparent brusquement, mais j'ai eu le temps de voir leur mouvement. Je ne laisse rien voir. Je viens m'asseoir entre elles et je leur propose de regarder ce que j'ai filmé. Elles se penchent toutes les deux et là, surprise ! Elles se découvrent en train de batifoler. Je ris de voir leurs réactions et particulièrement celle de ma femme qui tente de se justifier, mais les images sont éloquentes.
• « Je... ce n'est pas ce que tu crois...
• Je ne crois rien ! Je vois simplement que vous vous embrassez et vous caressez, que vous êtes plus proches que ce que tu me disais.
• Oui... mais..
• Je ne te reproche rien ! Au contraire j'en suis très heureux ! Depuis le temps que j'ai envie de te voir avec une femme.
• C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas ?
• Au contraire ma chérie. J'attendais cela... Disons que je l'ai provoqué.
• Comment cela ?
• J'ai imaginé cette balade, car pour Madeleine et moi c'est une sorte de pèlerinage.
• Je... Je ne comprends pas...
• Pour que tu sois plus à l'aise, je vais te mettre au courant.»Je me tourne vers Madeleine et je l'embrasse sur la bouche. Celle-ci me rend mon baiser sous les yeux de ma femme.
• « Voilà. Madeleine est aussi ma maîtresse. Je suis au courant de votre relation. J'ai même participé à ce qu'elle se fasse. Aujourd'hui, j'ai choisi cette balade car c'est ici que tout à commencé avec elle. Nous nous sommes embrassés pour la première fois sur ce banc. Sachant ses penchants homosexuels avec sa voisine, je l'ai poussée vers toi. Tu sais que j'en rêvais depuis longtemps. Pendant quelques jours, j'ai adoré être cocu grâce à toi, mais aujourd'hui, il est temps que toi aussi tu sois au courant de notre liaison et que tu saches aussi que je connais la tienne.
• Tu es...
• Oui je sais, mais maintenant, n'es tu pas heureuse qu'enfin je le saches ?
• Oui ! Je ne savais pas comment faire pour te l'apprendre. Ça m’embêtait que tu ne le saches pas, mais en même temps c'était excitant.
• Pour moi c'était pareil, mais je crois que nous devons franchir une étape supplémentaire.
• Comment ça ?
• Eh bien, nous allons continuer, mais... tous les trois !
• Tu es complètement fou !
• Pas du tout ! Au contraire ! Nous allons pouvoir varier les plaisirs ! Je suis sûr que notre coquine de voisine n'est pas du tout contre. N'est-ce pas Madeleine ?
• Oh oui ! J'ai très envie de vous avoir tous les deux avec moi !
• Tu vas tenir le coup ?
• Et toi avec deux femmes ?
• Si on essayait ?
• Quoi ? Maintenant ?
• On pourrait aller dans notre petit hôtel ?
• Quoi ? Vous allez dans un hôtel ?¨» s'étonne ma femme.
• La première fois oui. Ce serait bien non de reproduire ça ?
• Je... Je préfère... chez nous » Dit Rose. Je ne serai pas à l'aise dans une chambre anonyme.
• D'accord. Alors on rentre. Mais avant de partir, embrassez-vous et... embrassez-moi mes chéries !»Les deux femmes tombent dans les bras l'une de l'autre et s'embrassent passionnément, puis Rose et enfin Madeleine viennent m'embrasser chacune à leur tour.
Le retour à la maison semble interminable. Nous sommes quasiment seuls dans le tram et nous pouvons parler librement. Nos yeux sont brillants. Face à moi, les deux femmes ne se cachent plus et sont serrées l'une contre l'autre main dans la main. Elles échangent même parfois des bisous sur les lèvres, non sans se tourner ensuite vers moi.
A un moment, ma femme pose sa main sur la bosse de mon pantalon.
• « Ça t'excite on dirait mon chéri de voir ta femme se comporter comme une gouine avec ta voisine.
• Vous êtes deux belles salopes mes chéries ! Oui. J'adore vous voir comme ça. »Arrivés chez Madeleine. Je laisse les femmes entre-elles. Elles s'enlacent, s'embrassent, se caressent et petit à petit se déshabillent mutuellement. J'en profite pour me mettre nu également en admirant mes deux maîtresses.
• « Regarde ton salaud de mari comme il bande ! » Dit Madeleine. « Tu vas en baver mon vieux, car nous allons nous aimer toutes les deux et tu attendras un peu pour te joindre à nous. »Main dans la main, elles rejoignent la chambre de Madeleine. Je les suis et m'installe sur le fauteuil à côté du lit, où les deux lesbiennes continuent leurs caresses. Je vois ma femme qui lèche sa voisine, lui procurant plusieurs orgasmes. Elle a vite appris ma belle cochonne, à donner du plaisir à une femme. Deux doigts dans la chatte dégoulinante de notre voisine, elle torture le bouton de sa langue et s'abreuve du suc onctueux libéré par la grotte brûlante.
Quand elle est remise, Madeleine fait allonger Rose sur le dos et entreprend de lui rendre la pareille. Le beau cul de ma voisine me nargue. La tête plongée entre les cuisses de Rose est un appel au viol. Je rejoins les femmes sur la couche et à genoux derrière Madeleine, je m'enfonce dans son vagin liquoreux. Elle arrête un moment son léchage pour manifester son contentement.
• « Oh ce salaud ! Il me baise comme une chienne. Regarde, ma chérie, ton mari est un voyou ! Un adorable voyou qui me baise bien.
• Oh oui ! C'est beau mon chéri ! J'aime te regarder baiser Madeleine pendant qu'elle me broute ! Baise-la bien cette vieille salope, mais garde toi pour moi. Je veux que tu viennes jouir dans ma chatte. Et toi, vieille salope de gouine, bouffe-moi bien le con. Ça t'apprendra à baiser avec mon mari ! »Ma femme est déchaînée. Sous la langue et les doigts de Madeleine, elle parvient vite au plaisir. Cette dernière, bien qu'ayant déjà jouit sous les assauts de ma femme, repart vite vers les sommets et sa vulve se contracte sur ma queue. Je parviens à me retenir. Je l'écarte alors et couché sur ma femme, je la pénètre à son tour.
• « Oh oui mon chéri ! Qu'elle est bonne ta queue ! Madeleine te l'a bien graissée, mais je la sens bien. Vas-y, baise-moi. Baise ta femme mon chéri, mon salaud ! Tu es vraiment un sacré pervers et tu m'entraînes avec toi dans le stupre. Ah tu m'a cocufiée avec notre voisine ? Alors montre-lui comment tu baises bien avec ta femme. Donne-moi ton foutre ! Elle viendra le récupérer dans ma chatte avec sa langue de salope ! »Les mots de Rose et les caresses de Madeleine sur mon cul, où la perverse à glissé un doigt à l'intérieur, me font jouir et je décharge mon sperme au moment où Rose jouit à son tour une dernière fois.
Il nous faut un peu de temps pour récupérer de ce premier assaut commun. Couché entre mes deux femmes, je suis le plus heureux des hommes.
Maintenant que tout est clair entre nous, plus de raison de se cacher et Madeleine reçoit régulièrement nos hommages, soit de l'un, soit de l'autre, soit de tous les deux et ce n'est pas la moins vorace. Souvent, Rose passe la voir en rentrant du travail pour échanger au moins un baiser ou quelques caresses. Quand je suis absent pour quelques jours, il arrive aux deux femmes de passer la nuit ensemble.
Et Huguette me direz-vous, elle ne se sent pas abandonnée ? Souvent, quand je passe chez Madeleine, celle-ci lui demande de me sucer afin de me faire bien bander pour que je la prenne devant elle. Lorsque je m'épanche dans sa chatte elle « oblige » Huguette à venir la nettoyer en avalant foutre et cyprine qui inondent son vagin.
Enfin, une fois par semaine au moins, nous nous retrouvons tous les trois avec Rose et Madeleine pour une partie à trois, où non seulement je baise les deux femmes, elles se baisent entre-elles mais aussi, me font connaître les joies de la sodomie à l'aide de leur gode ceinture. Je me retrouve souvent en train de baiser ma femme ou ma voisine alors que l'autre m'encule gaillardement avec le sexe factice.
Quelques mois passent ainsi pour le plus grand bonheur de chacun des trois. Avec ma femme, nous ne fréquentons plus les établissements libertins ou autres saunas. Nos activités avec notre charmante voisine nous suffisent amplement.
Un jour, alors que nous reposons sur le lit après une nouvelle joute, Madeleine nous annonce : • « J'ai un amant !
• Quoi ? Nous ne te suffisons plus ?
• Ce n'est pas ça. Un homme qui avait été mon amant quand j'habitais à Paris, est venu lui aussi habiter à Bordeaux. Lui aussi est veuf et il m'a retrouvée. Enfin... on s'est retrouvés et on a remis ça.
• Tu es insatiable ! Déclare Rose.
• Oui ! Je suis une vieille salope comme tu aimes à me dire ma chérie. Mais ce n'est pas tout. Je lui ai parlé de nous... trois • C'est pas vrai ?
• Si, si et... il voudrait... vous rencontrer et... si vous le voulez, participer à nos jeux... »
C'est ainsi que Victor s'est joint à notre trio qui est devenu un quatuor. Un véritable quatuor, car tout le monde baise tout le monde. Les femmes échangent leurs hommes mais quand elles baisent entre-elles, les hommes baisent entre-eux !
Toutes les combinaisons y passent, Quand Victor baise ma femme, je baise Madeleine. Quand il la baise, je baise avec Rose, mais ce que nous aimons aussi beaucoup, ce sont les deux femmes d'un côté et les deux hommes de l'autre. On peut ainsi se voir. Les femmes adorent nous regarder et s'excitent en se caressant.
Nous aimons aussi nous séparer. Les hommes d'un côté dans une maison et les femmes dans l'autre, en sachant que l'autre couple s'amuse de la même manière dans la maison voisine.
C'est ainsi qu'un événement un peu... limite... est arrivé.
J'étais avec Victor chez nous alors que les femmes « s'amusaient » entre-elles chez Madeleine. J'étais couché nu dans le canapé, les fesses bien relevées, les jambes sur les épaules de Victor qui m'enculait.
J'adore cette position, à la fois humiliante et tellement excitante. Elle donne l'impression d'être complètement sous la coupe de l'autre et permet de voir son amant qui domine. Dans cette position également, je jouis plus fort et sans me toucher. Les sensations sont plus fortes. Victor est un bon amant, bien membré et sa queue me procure toujours beaucoup de plaisir.
Lui, préfère que je le prenne en levrette, nous alternons ainsi les positions pour notre plus grand plaisir.
Ce jour-là donc, Victor est sur moi et me sodomise vigoureusement, lorsqu'il s'interrompt brusquement.
• « Oh oh ! Lance-t-il en regardant vers la porte du salon. Nous avons un spectateur, ou plutôt une spectatrice ! »
Je me tourne et je découvre ma belle-fille qui filme la scène avec son téléphone portable. La surprise et la situation me font débander. Je suis gêné d'être découvert ainsi. Ma belle-fille ne m'a jamais aimée. Elle ne comprenait pas que sa mère ait pu être séduite par moi. Elle ignorait que nous nous étions rencontrés avec sa mère, au cours d'une soirée dans un club libertin.
• « Je crois que maman va être très intéressée par ce petit film ! » Lâche-t-elle. « Tu vas pouvoir préparer tes valises et dégager. Elle sera sûrement contente de savoir que son mari est un petit pédé qui aime aussi les hommes et qui aime se faire enculer comme la salope qu'il est. J'étais venue voir maman, mais je crois que cet épisode est beaucoup plus... amusant et instructif !
• Oh tu sais » Intervient alors Victor, « Ta mère sait très bien ce qu'est en train de faire son mari et elle ne sera pas choquée, surtout qu'elle-même est en train de faire pareil avec la voisine, chez elle ! Tu peux aller lui montrer... Si ça ne te gêne pas de voir ta mère nue avec une autre femme !»
Ma belle-fille, surprise de la réaction de l'homme toujours fiché en moi, continue de filmer, mais son arrogance est retombée. Elle ne sait plus quoi dire ni penser. Elle découvre que son beau-père aime les hommes et que sa mère aime les femmes.
Son changement d'attitude et Victor toujours planté en moi qui reprend sa sodomie, me font à nouveau bander.
• « Regarde ton beau-père ! Ça lui plaît bien de se faire mettre ! Regarde comme il bande ce salaud ! Tu vas voir comme il jouit bien ! »Victor se déchaîne dans mon cul. Il agrippe mes chevilles pour écarter mes jambes découvrant encore plus mon sexe raidi. Malgré l'interruption momentanée, je sens monter en moi les prémices de la jouissance. Bientôt, malgré la présence de ma belle-fille, le sperme s'écoule de mon gland sans que j'ai besoin de me toucher.
• « Regarde comme il jouit ! » S'écrie Victor qui lui non plus ne se retient plus et se vide dans mon boyau étroit en grognant.
Il se penche alors sur moi et nous échangeons un baiser passionné sous les yeux de ma belle-fille abasourdie.
Avant qu'elle ne nous quitte.Victor lui lance : • « Tu nous feras une copie de ton petit film ? On adorera le regarder tous les quatre ensemble ! »
Dès notre retour chez Madeleine, nous informons nos femmes de l'épisode qui vient de se passer. Rose, gênée au départ, est rapidement rassurée par Madeleine et Victor. Sa fille est maintenant au courant. C'est finalement peut-être mieux comme ça, plutôt qu'elle ne l'apprenne par la bande.
Sa mère a bien le droit de vivre sa vie et n'a de compte à rendre à personne. Après tout, nous ne faisons rien de mal, au contraire. Nous sommes deux couples épanouis qui aimons nous faire plaisir, même si ce n'est pas d'une façon très habituelle ni répandue. La morale judéo-chrétienne est un peu égratignée, mais il n'y a pas de quoi en faire un scandale.
Ma belle-fille n'osera jamais transmettre le film à sa mère. Nous ne savons pas ce qu'elle en a fait. Elle ne l'a tout de même pas fait partager sur les réseaux sociaux, ce qui aurait pu être gênant.
Cet épisode, quelque peu scabreux nous a donné l'idée d'acheter une caméra et de filmer nos différents ébats afin de les regarder entre-nous au cours de soirées qui inévitablement se poursuivent de manière moins... conventionnelle.
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