Mademoiselle Fontaine et son 1er gangbang : improvisations sur une aire d'autoroute...
Récit érotique écrit par MlleFontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2023 dans la catégorie Plus on est
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Mademoiselle Fontaine et son 1er gangbang : improvisations sur une aire d'autoroute...
Bonjour à tous, je suis très heureuse de vous retrouver de nouveau sur le site HDS depuis cette très (trop... ^^) longue interruption. Depuis ma dernière publication, il s'est passée beaucoup d'événements intéressants. Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je vous invite à relire mes précédentes histoires dans lesquels vous découvrirez plein de choses sur la future hotwife que je suis. En effet, je vais bientôt me marier et je me prépare donc à démarrer une nouvelle page de ma vie, celle d'une hotwife dévergondée. Bien évidemment, vous vous doutez qu'une maman salope, amatrice de situations insolites comme moi, n'a pas tardé d'imaginer que la chambre nuptiale fera aussi office de lieu de tournage de sextape (les souvenirs c'est important... ^^). Mais cela est un autre sujet dont je vous parlerais peut-être prochainement (comme plein d'autres histoires, d'ailleurs ^^). Car, des évènements ont également chamboulé ma vie, ses derniers mois, et sur lequel j'ai eu du mal à mettre tout de suite des mots. Puis, lorsque j'ai voulu commencer à raconter mon histoire, je me suis rendue compte que le site n'existait plus. J'étais partagée entre frustration et déception de ne plus avoir d'endroits où partager mon histoire.
J'avais donc décidé d'oublier cette histoire (et les autres aussi, malheureusement...) pour me consacrer à ma préparation de future hotwife, avec mon docteur pour la sextape, de mon mariage. Puis, il y a quelques semaines, en recevant une notification, je me suis aperçu que le site était revenu. Cette simple notification a ravivé chez moi l'envie de raconter cette histoire qui ne va pas manquer de vous intéresser.
Comme vous le savez, j'ai développé un certain intérêt pour les gangbangs. Je ne suis toujours pas passer à l'acte mais il m'arrive d'en discuter régulièrement avec mon docteur à qui je ne peux rien cacher sur ce qu'il se passe dans ma culotte (et ailleurs...). J'ai commencé aussi à développer un intérêt certain pour l'exhib. Mais, même si je trouvais cela assez logique, et dans la continuité de l'esprit un peu transgressif du gangbang, je ne pensais pas que cette pratique aurait un pouvoir sur moi, en plus de me rendre trempée.
Dans ma préparation de future hotwife, le docteur m'avait conseillé de tenter des choses nouvelles, que je n'aurais jamais osée aussi. Comme mon docteur est bien au courant de mon penchant potentiel pour les gangbangs, il a déjà pris les devants en entreprenant régulièrement de m'insérer 2 puis 3 godes (dont un gros gode noir) durant mes séances de préparation. (On est jamais trop prudent, si une double vaginale se présente à l'improviste... ^^)
Un jour où j'avais des rendez-vous à l'extérieur, je décide de profiter du beau temps de la journée pour privilégier une tenue courte et libérer ma chatte de toute contrainte. Me voici donc partie en voiture, chatte à l'air. La journée s'enchaîne presque normalement même si la sensation de la peau de mon sexe si près de l'extérieur ne tarde pas à lui faire manifester une certaine humidité. En réunion, je croise, je décroise, j'ouvre grand les jambes pour laisser s'entrouvrir ma vulve laissant apparaître mon clito pour tout observateur un tantinet attentif (Je m'amuse surtout à ouvrir les jambes quand quelqu'un fait tomber un stylo par terre, au cas où un regard furtif se glisserait dessous... ^^). Sentant arriver la fin de la journée, je suis de plus en plus mouillée. Je descends chercher ma voiture dans un parking souterrain (oui, je m'y suis déjà faite caressée... ^^), je remonte complètement ma jupe et je laisse passer mes doigts pour m'apercevoir que je suis totalement trempée. J'hésite à me caresser au volant mais je n'aurai rien contre une pause. J'en connais une autre qui ne va pas tarder à réclamer une pause. Ma voiture réclame sa ration d'essence. Sur le chemin du retour, je passe par une aire d'autoroute faire le plein. A la station service, je redescends ma jupe mais en remplissant le réservoir, je laisse naviguer mon regard aux alentours pour m'apercevoir que cette aire d'autoroute est relativement étendue avec un grand espace et un sous-bois à proximité. Ma voiture rassasié, cet endroit pique ma curiosité et je décide, intriguée, de quitter la station et de rouler doucement pour rester un peu sur l'aire. L'endroit est calme. Je me gare un peu plus loin de la station. Assise dans ma voiture, je remonte ma jupe en profite pour doucement caresser ma chatte qui réclame toute mon attention. Mon clito est bien gonflé et je trouve l'endroit propice à beaucoup de fantaisies. Intéressant pour pouvoir sucer quelqu'un en toute discrétion et repartir pleine de sperme sur les seins ni vu ni connu, par exemple. Je redescends ma jupe pour m'extraire du véhicule et je marche en direction d'un sentier qui semble s'enfoncer dans le sous-bois. L'endroit est charmant, des arbres, des bosquets et quelques aménagements pour faire une pause avec des tables et bancs espacés. Ce lieu manifeste alors en moi une drôle d'envie. Je me rend compte que l'endroit est parfait pour des coquineries plus alléchantes qu'une fellation dans une voiture. Suffisamment éloigné de la route pour ne pas être entrevu de tout le monde et peu de passage. J'aperçois une table et des bancs un peu plus éloigné des autres. Je m'approche, scrute autour de moi et m'y sent familièrement très à l'aise. Tellement à l'aise, que je m'assois sur la table. J'ouvre mes jambes pour dévoiler à ma chatte épilée ce lieu insolite. Elle ne tarde pas à montrer un vif intérêt à ce qui pourrait se passer ici et d'imaginer ce qu'il y a pû se passer : des rencontres, des voyeurs, des expériences insolites... Je reviens malheureusement vite à la réalité lorsque je m'aperçois que l'heure tourne et que je dois absolument rentrer. Durant la fin du trajet, j'ai quelques difficultés à détacher mon esprit de cet endroit. Je n'imaginais pas à ce moment que ce lieu ne cesserait de m'obseder. Les jours suivants, je suis un peu ailleurs, j'ai des difficultés à me concentrer. N'importe quel moment sexuel entraine inlassablement mes pensées sur cette aire d'autoroute. Pour une pipe, me doigter, me faire gicler, arriver entièrement nue comme une hotwife dévergondée qui viendrait récolter du sperme sur ses seins. Pire, plus le temps passe plus les idées se font précises.
Cet endroit aura finalement raison de ma volonté et je me mets en quête d'information sur cette aire d'autoroute. Après quelques recherches, je découvre sur un forum d'exhibitions que cette aire est bien connue des voyeurs. Qu'il s'échange des informations sur un endroit en particulier, un peu à l'écart, où il y a de l'activité. En lisant les descriptions, j'ai tout de suite compris qu'il s'agissait de l'endroit que j'avais vu. Mon instinct de coquine avait-il encore frappée sans prévenir ?
Je décide donc d'en parler à mon docteur lors d'une consultation. Je lui explique que depuis que j'ai suivi son conseil et tenter un petit moment d'exhib, j'ai beaucoup de difficulté à penser à autre chose que cette aire d'autoroute et que je m'imagine de plus en plus précisément en train d'y faire quelque chose que je n'aurais jamais pensé oser et que ces idées comportent de plus en plus de détails. Patiemment, mon docteur a écouté les détails de ce que j'avais imaginé tout en scrutant avec beaucoup d'intérêt ma chatte ouverte, gonflée et trempée tandis que je suis installé sur sa chaise d'examen. Après m'avoir fait gicler et jouir à plusieurs reprises, son diagnostic est net. Il m'explique que cela ressemble beaucoup à une obsession et qu'elle ne va pas s'effacer facilement. Avec son tact habituel, il me fait comprendre que cela est sans doute dû à la préparation de futur hotwife, à mon intérêt pour les gangbangs, que je commençais déjà très régulièrement à imaginer des scénarios dans lesquels je me sentais à l'aise pour ce genre d'expérience et que, pour la première fois, j'avais peut-être trouvé un endroit qui semblait recueillir une part de mes attentes. En résumé, tant que je n'aurais pas tenter de l'assouvir, ça ne fera que s'intensifier... et j'en constatais déjà les effets !
Les jours passent et je tente quand même de résister mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Je ne peut m'empêcher de suivre les discussions sur le forum sur cet endroit. J'en viens même à me demander si je ne devrais pas m'inscrire à mon tour pour déposer un message. Je finis par céder à curiosité et je contacte une des personnes qui semblent un peu plus connaitre les lieux pour lui préciser mon intention.
Je n'ai pas longtemps à attendre et il me donne de précieuses indications. Qu'il y a des jours plus calmes que d'autres et qu'il faut plutôt tenter à certain moment où les voyeurs ont leurs habitudes comme des fins d'après-midi par exemple. Qu'il faut plutôt éviter tous les sous-vêtements pour n'avoir que très peu de choses à enlever (ou pour que tout soit accessible facilement). Que le mieux est de se poster à un endroit et de commencer à faire discrètement les choses jusqu'à ce que les voyeurs se manifestent avant de continuer plus en avant et d'en dévoiler plus. Vous vous doutez que cette réponse ne calmera pas l'ardeur de mon entrejambe, et me permettra d'organiser concrètement mon futur plan. Je sens des picotements de partout dans mon ventre, je sens que quelque chose va définitivement basculer pour moi dans les jours à venir. J'ai autant peur d'être déçue que ça ne se passe pas comme je voudrais que je suis excitée à l'idée de me retrouver hors de contrôle de la situation devant des inconnus.
Après avoir expliqué à mon docteur ce je m'apprêtais à faire, celui-ci me conseilla de ne pas partir les mains vides et de prévoir de l'équipement pour moi et pour les autres. Je m'attendais à ce qu'il me donne une poignée de préservatifs (on ne sait jamais si, dans l'instant, on n'allait pas frôler de près l'improvisation) mais pas à ce qu'il me fournisse le gros gode noir et un gode vibrant. "On ne sait jamais, vous ne serez pas totalement venue pour rien." Il ne savait pas s'y bien dire...
Nous sommes près de la fin de l'été, les jours sont encore suffisamment longs pour voir se mêler langoureusement le jour et la nuit. Je m'imagine donc sur cette aire d'autoroute, objet de fantasmes depuis plusieurs semaines, avec une tenue très légère et des talons pour ne rien cacher de mes intentions. Je me rends sur le sentier, le ventre tiraillée par le trac, la chatte intégralement épilée, mon sac chargé de sextoys et de capotes. J'aperçois que des promeneurs se baladent, et je me rend vers la table que j'avais repéré (Ça ne doit pas être la première fois qu'elle assiste à ce genre de spectacle... ^^). L'air de rien, je m'assoie sur la table, je fais mine de regarder deci delà, et d'écarter aussi doucement (qu'innocemment ?) les jambes. Je remonte un peu ma jupe, et je commence à descendre ma main droite vers ma chatte. Je m'amuse, je l'ouvre avec mes phalanges, écarte mon clito pour lui faire respirer l'air chargé de tensions. Je relève un peu la tête et remarque que certains promeneurs se sont arrêtés pas très loin. Pas trop près pour me déranger, ni trop loin pour commencer à voir qu'il se passe quelque chose. Certains reviennent, je continue à me caresser et je commence à enlever les boutons de mon chemisier pour dévoiler un peu plus mes seins libres. Certains reviennent avec l'air de rien, je ne les regarde pas pour ne pas leur donner l'impression de les dévisager et je decide donc de retirer tous les boutons. Du coin de l'œil, je m'aperçois qu'ils sont au moins quatre peut-être cinq ou six. Ça me semble suffisamment intéressant pour enlever totalement le haut. Le temps de poser mon chemisier sur la table à côté de moi et de sortir le gode vibrant et je vois que certains en ont profité pour se rapprocher... Ça me semble suffisant pour leur donner envie d'en voir plus et j'enlève ma jupe. Me voilà entièrement nue, un gode vibrant à la main, j'ai abandonné toute forme d'intimité à des yeux étrangers. J'ai définitivement offert mon corps à ce fantasme et decide de ne plus donner d'importance à ce qu'il pourrait se passer. Je fais fi des regards et du qu'en dira t'on, je m'allonge sur la table comme une salope offerte aux vices, releve mes jambes pour mieux livrer ma chatte à ce moment. Je ferme les yeux et me laisse bercer par les vibrations du gode sur mon clito. Avec l'autre main, je sonde mon vagin qui marque une envie de profiter lui aussi de ce moment. Cette petite équipe de vicelards doit trouver ce spectacle inédit très intéressant. Je n'imagine pas la tête du monde autour de moi lorsque j'ai saisi le gros gode noir pour l'approcher de mon vagin. Cet imposant gode dans une main, j'ouvre mon vagin à la vue de tous pour y faire entrer progressivement l'engin. Je commence à laisser échappé des gémissements. Je tourne légèrement la tête sur le côté gauche et je vois que 2 voyeurs se sont encore approchés tandis que d'autres affairés plus ou moins cachés derrière des arbres ont brandi leur portable pour immortaliser la scène (j'aurais peut-être dû prévoir un masque...^^).
J'augmente l'intensité des va et vient du gode dans mon vagin, ce qui a pour particularité de l'ouvrir encore un peu plus, de le faire gonfler et de me faire encore plus gémir. Un parfait subterfuge pour tourner doucement la tête du côté droit pour voir ce qu'il s'y passe. On filme et on se délecte du spectacle en arrière plan tandis que 3 autres s'aventurent plus près de la table pour me regarder faire. Je sens ma chatte s'agiter, je regarde autour de moi. Ce spectacle obscène que je livre me grise, mes jambes complètement écartées, mes tétons dressées, mon bas ventre qui s'agite sous les coups de ce gode que je m'enfonce de plus en plus loin, 5 voyeurs qui m'entourent et 2 cinéastes amateurs, je ne pouvais espérer meilleur accueil. Les 5 compères me scrutent sous tous les angles, je ne leur cache rien et ont donc tout le loisir de reluquer mes formes, ma chatte et mon cul. Ils sont calmes, silencieux. Un premier tente une approche et pose la main sur le gode. Il reprend la cadence de mon geste, il l'assiste, cela dure quelques secondes, une poignée de minutes peut être, je lâche ma main et retire l'autre, il se relâche, je lui dis de continuer, il s'exécute. Un autre prend délicatement ma main engourdie et la caresse doucement comme pour la remercier de sa participation à ce spectacle. Ils me font du bien, et je suis saisie par la plénitude de l'instant. Un troisième commence alors à poser une main sur mon genou droit pour descendre doucement jusqu'à mon entrejambe. Je lui laisse le champs libre de toucher mon intimité. Je remonte mes bras au-dessus de ma tête, je ferme de nouveau les yeux et je me laisse voguer égoïstement sur une petite mer de volupté.
J'entends les 2 derniers prétendants qui s'approchent de moi. J'ouvre de nouveau les yeux pour découvrir à ma droite un sexe dressé face à moi. Entendant des bruits sur ma gauche, je compris que la même chose s'y profilait. Sans un mot, ils attrapent chacun mes mains pour les déposer sur leurs queues. Elles sont bien dures et ils n'en faudraient pas beaucoup pour les faire éjaculer. Mais je prends mon temps, je contemple avec satisfaction l'oeuvre de mes tentations. Je me délecterais bien à pleine bouche de leurs bites mais pour l'instant, je branle délicatement ses membres offerts à mes fantaisies. En revanche, ils me feront rapidement comprendre qu'ils étaient trop excités par la situation. Les mouvements langoureux de ma main sur leur queue auront fini par provoquer des jets massifs de sperme chauds sur mes seins. Je suis maculée de spermes inconnus sur les 2 seins. Des gouttes se forment et se mettent à couler sur les flans de ma poitrine et descendent vers mon ventre. A peine ais-je goûté à la satisfaction d'avoir reçu de belles éjaculations que je n'aurais pas eu le temps de remercier leurs glands dans ma bouche. Ces 2 participants ont rapidement quitté les lieux (Sans doute, ont-ils continué d'observer la scène d'un peu plus loin...^^).
D'autres vont-ils tenter leurs tours, un peu hésitant les 2 cinéastes amateurs s'approchent et à tour de rôle filment différentes parties de mon corps, ils prennent un soin tout particulier à filmer mon vagin en demandant au premier participant de retirer le gode pour filmer le trou béant de mon vagin. Ils ne tarissent pas d'éloges sur ce qu'ils voyent. Ils posent leur main, écarte encore plus les lèvres et filment mon clito complètement dur, gonflé et prêt à exploser. Il pose un doigt dessus, je gémis fort, il le taquine, je gémis très fort. Je relève la tête et m'aperçois qu'ils ont tous sortis leurs bites en érection, et équipés de préservatifs. Je leur dis que c'est parfait et qu'ils sont priés de me maintenir les jambes écartées pendant qu'ils improvisent ce qu'ils veulent sur moi. Les 2 cinéastes amateurs suivent immédiatement mes ordres et tiennent fermement mes jambes pour laisser passer la première pénétration. Le gros gode noire m'a tellement ouverte et gonflée que je sens à peine cette queue inconnue s'immiscer. Il augmente vite la cadence et prend un malin plaisir à aller de plus en plus loin au fond. Je sens ses boules taper sur mon cul. Mon vagin apprécie cet entrain et moi aussi. Avec les quelques encouragements de ses compagnons d'exhib et mes gémissements qui s'intensifient, je sens sa queue se gonfler et se raidir. Il sort sa queue luisante de cyprine de mon sexe, retire le préservatif d'une main et déverse la totalité de son sperme chaud sur le pourtour de ma chatte lisse. J'en frissonne de plaisir en sentant ce sperme chaud et le bout de son gland s'agiter sur mon clito. Cet instant tellement gratifiant, mais tellement court à la fois est comme un premier trophée pour la future hotwife. Une idée me traverse alors la tête. Comme je vois qu'il a conservé la capote dans sa main, je lui dis de l'étaler sur mon ventre et de m'approcher sa bite pour que la lèche avant qu'il reparte (les 2 premiers m'avaient frustré de ne pas avoir pu leur lécher les dernières gouttes de spermes de leurs glands... ^^). J'apprécie tout de suite l'enchaînement d'un nouveau participant dans mon vagin et d'une bite dans la bouche en passant mes doigts sur mon clitoris complètement noyé de sperme. Le second restera jusqu'à la fin de son envie dans mon vagin. Lorsqu'il ressort sa queue, elle baigne dans une bonne quantité de sperme, je lui dis de vider le préservatif sur moi, et de vite me faire lécher sa bite. Il choisira de vider le réservoir sur mes seins pendant que je lecherai sa bite pleine de reste de sperme. Le troisième me proposera une sodomie que je refuse, il s'amusera longtemps à sortir de mon vagin pour faire semblant de rentrer dans mon cul, jusqu'à ce qu'il sente quelque chose se contracter dans mon vagin au passage de sa grosse queue. Il comprendra vite, sortira sa queue et inserera 2 doigts en crochet dans mon vagin jusqu'à me faire gicler. Je sentis un immense jet brûlant sortir de mon sexe suivi des compliments des cinéastes à qui j'en profite pour signaler que j'espère qu'il n'ont rien louper de ce magnifique feu d'artifice. Il tapotera mon clito avec son gland jusqu'à à me faire friser de jouir avant de retirer son préservatif et d'éjaculer sur tout mon clitoris qui enchaîne les noyades. Son préservatif étendu sur mon ventre, je lui lèche la bite et lui promet de revenir le jour où mon cul sera prêt à accueillir sa grosse queue. Pendant ce temps, un des cinéastes entreprend de caresser mon clito avec le gode vibrant. Je sens que ne vais pas résister longtemps à cette sensation brûlante et humide. (J'en suis tellement excité que j'en viens à proposer à mon candidat à la sodomie de me baiser sans capote pour me remplir le cul de sperme la prochaine fois maintenant que je le connais. L'excitation... ^^). J'ai juste le temps de terminer de lécher la bite de mon troisième instigateur que mon clitoris n'en peut plus d'excitation et me foudroie d'une jouissance terriblement intense (ça c'est peut-être même entendu...^^)
Après cet emballement général et que les choses semblent se calmer, un sifflement se fait entendre. Je ne realise pas vraiment ce qu'il se passe tellement j'ai été traversée par la jouissance. Les yeux fermés, je ne m'aperçois pas que tout le monde s'enfuit. Mais j'entends aussi des nouveaux pas venir vers moi, je tourne la tête, commence à me redresser lorsque je distingue 2 personnes,
une femme, un homme, apparemment en uniforme. Quelques brèves secondes s'echapperont avant que je ne réalise qu'il s'agit de policiers. Je suis nue, cheveux ébouriffées, la bouche et la poitrine pleine de reste de spermes séchées, 3 capotes usagées et degoulinantes sur le ventre, des giclées diverses sur tout le corps. Je suis autant tétanisée par la situation que la tête embuée d'avoir été autant baisée. Le policier vient à mon niveau et me dit doucement de ne pas m'inquiéter, qu'ils vont s'occuper de moi. Je ne comprend pas trop ce qui se passe, hormis le fait que je suis pris en flag' pour un délit qui dépasse la simple exhibition. Très calmement, ils m'aident à me redresser et me pose des questions comme si j' avait été agressée. Je leur dit que ça va mais que je suis un peu fatiguée pour répondre à leurs questions. Malheureusement, je comprends que dans l'exercice de leur fonction, ils vont devoir m'emmener pour enregistrer ma déposition au poste. Je commence à sérieusement douter de mon idée. Lorsqu'il me menotte pour m'emmener, je me sens un peu honteuse de la fin de cette expérience et je pense rapidement à ne plus me faire avoir par mes idées lubriques. Encore nue devant les agents, la policière m'aide à passer un peignoir blanc avant de me diriger promptement vers le fourgon qui m'attend.
3 agents de police m'auront donc vu me livrer à un acte de débauche sur une aire d'autoroute durant une fin d'après midi de septembre. Dans le fourgon qui s'apprête à démarrer, je suis accompagné à l'arrière par la policière. Durant le début du trajet, il se fait un silence total dans le fourgon. Seul le cliquetis de mes menottes viennent interrompre ce silence. Avec le recul, je ne sais pas si c'est la gêne ou la honte qui lui donnait le plus de poids. Je me sentais particulièrement mal à l'aise de cette situation. Tout en regardant à travers la vitre du véhicule, je me demandais ce qui s'était passé pour que je me retrouve dans cette situation et comment tout a été autant hors de contrôle. Mon esprit est confus et divague encore sur les images de sexe sans retenue qui venait de se graver dans ma mémoire. Pendant ce temps, je ne me rend pas compte que le peignoir est ouvert et que je ne cache rien aux agents. La policière finit par rompre le silence après quelques minutes et me lance un truc comme "sacrée prestation". Un peu sonné, je tourne la tête et je lui demande de répéter. Elle réponds alors : "je disais... jolie prestation... pour vous dire, on vous a regardé un moment avec les collègues avant de savoir si on devait intervenir ou pas... le coin est connu pour ce genre de choses, vous savez... mais cette fois, on a hésité... mais quand on s'est fait repéré par un des participants alors...on était obligé d'intervenir, vous comprenez...". Je ne sais pas trop quoi répondre à ses aveux de circonstance. Le résultat étant qu'au final je me retrouve dans ce fourgon pour aller au commissariat. Mais, je sens quelque chose de particulier chez cette policiere. Son regard et ces aveux spontanés veulent dire autre chose. J'en suis même venu à me demander si elle était vraiment policière. Bien que suspicieuse sur la situation, je reste courtoise et la remercie de sa franchise. Mais je ne peux m'empêcher de trahir ma suspicion et comme je n'ai rien à cacher, je fais en sorte d'être plus en face d'elle afin d'écarter un peu plus les jambes. La policière tourne un peu la tête pour faire semblant de voir mais son regard ne peut faire autrement que de finir par scruter ma chatte toute baisée. J'aurais d'ailleurs droit à son commentaire sur son état. "Ils vous ont pas loupé, vous êtes toutes gonflées" rajoutera-t-elle. Je ne réponds pas, mais je laisse mon attitude trahir ma satisfaction en passant ma main sur mon clito pour finalement lui répondre avec un sourire narquois, "oh oui ! je le sens". Je continue mes caresses en parcourant les lèvres, la vulve devant cette policière qui regarde et qui ne peux s'empêcher de vouloir continuer la discussion en me demandant : "Et c'est comment à l'intérieur ?". Je change ma position pour encore plus écarter les jambes comme une salope en chaleur prête à se faire baiser sur la banquette arrière d'un fourgon de police, glisse 2 doigts dans mon vagin et lui lance : "Approchez si vous voulez savoir...". Je fais suffisamment disparaître mes phalanges à l'intérieur et fait tourner mes doigts pour collecter un maximum de souille. Elle regarde si ses collègues à l'avant sont toujours absorbés par leur discussion et se penche en avant, regarde en arrière que personne ne la surprend et s'avance encore. Je sens désormais son souffle au plus près de mon sexe. Je ressorts mes doigts et les présentent sous le nez et la bouche de mon interlocutrice. Ils sont brillants, imbibés d'un mélange collant et blanc. Je me fendrais même d'une dernière provocation "c'est plein de spermes". Mais je n'aurais plus de réponse. Son silence s'accompagne d'une douce contemplation des humeurs extraites de mon vagin sur mes doigts lui, elle s'approche encore de mes doigts, elle respire leur parfum, elle les frôle de ses lèvres qui se macule de ma mouille souillée. Elle passe sa langue sur ses lèvres et laisse sortir sa langue pour lécher un peu plus des substance de mes doigts. Elle s'applique et finira par sucer chaque phalange jusqu'à la dernière trace. Je mouille instantanément de cette situation si particulière. Elle se redresse et me demande "Et dans votre bouche ?". Difficile de ne pas répondre à sa tentation, "Approchez vos lèvres si vous voulez goûter de...". Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase qu'elle écrase ses lèvres sur les miennes, nos langues se frayent machinalement un chemin pour s'enrouler et s'échanger le goût du sexe. Avec toutes les bites que j'ai léchée et nettoyée juste avant, je m'attends forcément à avoir un commentaire. "Vous avez un sacré goût de bites". Je réponds d'un sourire. Finalement, je ne sais pas de quoi je suis la plus fière, d'avoir un goût de bite ou d'avoir rouler une pelle au sperme avecavec une policière à l'arrière d'un fourgon.
J'aurais volontiers continuer à la nourrir du contenu de mon vagin et de savourer sa langue dans ma bouche si le fourgon n'avait pas subitement ralenti.
Elle est rapidement rattrapée par sa fonction et m'indique sommairement qu'on ne va pas pouvoir me laisser repartir comme ça. Mais, que je ne dois pas m'inquiéter et que ça va bien se passer au poste, qu'il s'agit d'une formalité et que je pourrais retourner chez moi rapidement.
Cette aire d'autoroute n'est pas attenante à une très grande agglomération, je me retrouve donc dans un commissariat de taille modeste. C'est la fin de la journée, le poste est quasiment désert. Je traverse les couloirs dans mon peignoir pour atterrir en salle d'interrogatoire. La lumière crue des néons se reflète sur la peau qui s'échappe du peignoir. Je suis dans un sale état. Je sens le sexe et la baise (j'adore ça...^^). Au bout de quelques minutes les 2 agents de police masculins reviennent, je comprends à demi-mot qu'ils sont les agents de permanence ce soir et qu'il n'y aura personne d'autres dans le commissariat. Il me retire les menottes et me demande de raconter ce qui s'est passé, si je savais ce qui m'étais arrivée et comment j'étais arrivée là, et que ces participants pouvaient être considérés comme de potentiels agresseurs. A moitié nue, mais toujours aussi sûre de moi, je continuer à nier leur interprétation des circonstances dans lesquels ils m'ont trouvé. Il me questionne sur le nombre de participants. Je leur rétorque que je ne me souviens plus du nombre de vicelards qui était présent, mais les policiers ne veulent pas me croire. Quelques instants plus tard, la policière revient et explique qu'elle a appelé un médecin de garde et qu'il sera bientôt là et qu'il suffira de lui demander de faire des prélèvements pour connaître le nombre de spermes différents. J'accepte finalement de me plier à leur exigence que si cela permet de déterminer uniquement le nombre de participants et qu'on ne s'en sert pas pour poursuivre ces personnes. Les minutes passent, on me donne quand même un café le temps de patienter. Le docteur arrive et fais sortir tout le monde de la salle (j'apprendrai plus tard que les salles d'interrogatoire ont souvent des vitres sans teint, il n'était peut être pas nécessaire de les faire sortir). Il prend le ton bienveillant du docteur, m'explique brièvement pour quoi on l'a fait venir et il me questionne sur les circonstances. Je lui donne ma version des faits et je laisse échappée que tout ça c'est à cause de mes obsessions de futur hotwife. Intrigué, il me demande si mon docteur habituel est au courant de ces obsessions, je confirme et lui donne son nom. La mine du médecin se détend instantanément. Il me fait comprendre que je suis bien suivi et que toute cette histoire est moins grave qu'il n'y paraît. Comme il n'y a pas de salle d'examen, il m'invite à réaliser tous les prélèvements jambes écartées sur la table. Il me demande de lui indiquer des lieux de prélèvements. Je lui montre mon clitoris, mes seins, ma bouche et mon ventre où se tenaient mes 3 trophées égarés. Il a l'air étonné qu'il n'y en ait pas au fond du vagin. "Pas cette fois ! J'avais juste envie de m'amuser...". Une fois terminés, mon examinateur me demande si je souhaite qu'il prévienne mon docteur. Je lui fais savoir que ce n'est pas nécessaire avant que j'ai le fin mot de cette histoire. L'équipe complète des policiers revient et expliquent devant le docteur que j'ai des problèmes pour me remémorer les circonstances. Ils proposent de faire une reconstitution. Il demande au docteur si je suis apte à le supporter. Ce dernier répond qu'il n'y voit aucune contre-indication médicale sauf si je ne suis pas d'accord (il avait quand même profiter des prélèvements pour osculter l'état de mon vagin...^^). Le docteur s'en va et on me laisse quelques minutes seules le temps de réfléchir. Puis la policière revient : "voici vos trophées". Pour une fois, je suis soulagé de la voir lorsque j'aperçois qu'elle me ramène mon sac rempli de godes et de ma tenue. Énième provocation, je fais un tombé de peignoir avec un "oups!" devant la policière qui sourit pour la première fois avant de refermer la porte derrière elle. Que j'accepte ou pas comme on me demande de montrer comment ça s'est passé depuis le début, je vais donc me rhabiller. (Je compris une fois revenue chez moi de quelle trophée elle parlait, en trouvant les 3 préservatifs usagers au fond du sac...).
Les policiers reviennent donc pour la reconstitution. Je ne suis pas très à l'aise avec cette situation très équivoque et je m'exécute timidement, je monte sur la table, je recommence à me caresser. Le gode vibrant, puis le gros gode noir. J'ai moins de sensations mais j'ai envie d'en finir avec leur cachotteries. Les policiers prennent place comme les voyeurs mais la lumière trahit les reflets de bosses dans leurs pantalons. Comme nous ne sommes plus des inconnus, je leur propose de se mettre à l'aise et de deconfiner tout ça. Il se regarde, s'interroge en silence et finissent par céder à mes avances en faisant doucement glisser les fermetures de leur pantalon. J'empoigne leurs bites dans ma main et demande au dirigeant de l'interrogatoire s'il aurait bien voulu me baiser à son tour dans le sous-bois. Les râles roques de sa voix au passage de ma bouche gourmande sur sa queue ont été une réponse affirmative pour moi. Je laisse tomber le gode et place ma chatte bouillante devant lui et lui propose de prendre son tour pendant que je sucerai son collègue. Lui aussi sera soumis à l'interrogatoire de ma bouche à pipe. Lui aussi avait envie de me baiser dans le sous-bois et d'éjaculer au fond de ma chatte gorgée de spermes (oui, je sais l'excitation me fait dire des choses un peu provocante quand je suce une grosse queue... ^^). Malheureusement pour lui, son excitation aura raison de ses désirs qui ne resteront que des fantasmes, en déversant le contenu de sa queue dans ma bouche. Je ne suis pas une adepte de l'éjaculation dans la bouche quand il y en a trop. Mais pour le plaisir de mon fornicateur, je le regardais fixement dans les yeux pendant qu'il s'acharnait dans ma chatte tout en faisant doucement sortir le sperme de son collègue sur le bord de mes lèvres et par les commissures de ma bouche jusqu'à ce qu'il descende vers mon cou et coule sur ma poitrine. Mes seins sont dressées d'orgueil, mes tétons sont dures et traduisent avec fierté le plaisir de mes provocations. Devant autant de tentations, il ne pu aller plus en avant, se desengagea de mon vagin pour faire exploser sa queue sur mon clito et mon bas ventre. Il a très bien reconstitué les circonstances mais n'avait pas mis de préservatifs (ils m'aura manqué un trophée dans cette histoire...^^)
Finalement, cette reconstitution était très intéressante et il aurait été dommage que je la manque. Je ne vous cache pas qu'ils n'ont pas été non plus particulièrement tendre durant cette reconstitution et que je n'avais jamais autant été traitée de tous les noms par un agent de police.
À la fin de la reconstitution, la policière me propose de prendre une douche, je lui dis que j'accepte si je peux y aller sans peignoir ce qui la fait encore sourire car je vais encore traverser le commissariat toute nue et pleine de sperme. Je me douche rapidement pour enlever les dernières traces de mes baises déchaînées du jour et la policière me ramène mes affaires. Elle reste avec moi pendant que je me rhabille et nous papotons tranquillement de ce qui vient de se passer pour la reconstitution. Elle me confirme que c'est fini, que je vais pouvoir m'en aller. Elle lit sans doute sur mon visage que je suis rassurée avant d'ajouter qu'elle a tout filmé pour que les éléments soient versées au dossier, si nécessaire. Une attention que j'apprécie.
Pour la première fois, je sors habillée du commissariat après y être entrée totalement souillée.
La policière me raccompagne jusqu'à ma voiture mais je sens que son regard va encore fixement vers mon entrejambe. Revenue sur l'aire d'autoroute, elle me laisse près de mon véhicule et me dit "j'imagine qu'on se reverra...". Je ne comprends pas tout de suite l'insinuation mais je me doute qu'elle aimerait bien me recroiser dans ce sous-bois un jour avec ses collègues...
Depuis cette histoire, mes pulsions pour cette aire d'autoroute se sont calmées comme me l'avait predit mon docteur. Je lui ai bien évidemment indiqué tout ce qui s'était passé dans les moindres détails. Durant le trajet de retour, j'ai pu comprendre que je venais de vivre quelque chose d'aussi fou que d'excitant. D'aussi dangereux que de stimulant.
J'ai pu vite me rendre compte de l'impact de cette histoire durant mes séances de préparation avec le docteur. Car, aujourd'hui, je ne cesse de développer de nouveaux fantasmes que je pourrais peut-être vous raconter très bientôt.
Merci à tous les lecteurs du site qui apprécieront mon histoire et n'oubliez pas de laisser vos commentaires si vous voulez connaître la suite de ma préparation de future hotwife et de mon intérêt pour les gangbangs.
J'avais donc décidé d'oublier cette histoire (et les autres aussi, malheureusement...) pour me consacrer à ma préparation de future hotwife, avec mon docteur pour la sextape, de mon mariage. Puis, il y a quelques semaines, en recevant une notification, je me suis aperçu que le site était revenu. Cette simple notification a ravivé chez moi l'envie de raconter cette histoire qui ne va pas manquer de vous intéresser.
Comme vous le savez, j'ai développé un certain intérêt pour les gangbangs. Je ne suis toujours pas passer à l'acte mais il m'arrive d'en discuter régulièrement avec mon docteur à qui je ne peux rien cacher sur ce qu'il se passe dans ma culotte (et ailleurs...). J'ai commencé aussi à développer un intérêt certain pour l'exhib. Mais, même si je trouvais cela assez logique, et dans la continuité de l'esprit un peu transgressif du gangbang, je ne pensais pas que cette pratique aurait un pouvoir sur moi, en plus de me rendre trempée.
Dans ma préparation de future hotwife, le docteur m'avait conseillé de tenter des choses nouvelles, que je n'aurais jamais osée aussi. Comme mon docteur est bien au courant de mon penchant potentiel pour les gangbangs, il a déjà pris les devants en entreprenant régulièrement de m'insérer 2 puis 3 godes (dont un gros gode noir) durant mes séances de préparation. (On est jamais trop prudent, si une double vaginale se présente à l'improviste... ^^)
Un jour où j'avais des rendez-vous à l'extérieur, je décide de profiter du beau temps de la journée pour privilégier une tenue courte et libérer ma chatte de toute contrainte. Me voici donc partie en voiture, chatte à l'air. La journée s'enchaîne presque normalement même si la sensation de la peau de mon sexe si près de l'extérieur ne tarde pas à lui faire manifester une certaine humidité. En réunion, je croise, je décroise, j'ouvre grand les jambes pour laisser s'entrouvrir ma vulve laissant apparaître mon clito pour tout observateur un tantinet attentif (Je m'amuse surtout à ouvrir les jambes quand quelqu'un fait tomber un stylo par terre, au cas où un regard furtif se glisserait dessous... ^^). Sentant arriver la fin de la journée, je suis de plus en plus mouillée. Je descends chercher ma voiture dans un parking souterrain (oui, je m'y suis déjà faite caressée... ^^), je remonte complètement ma jupe et je laisse passer mes doigts pour m'apercevoir que je suis totalement trempée. J'hésite à me caresser au volant mais je n'aurai rien contre une pause. J'en connais une autre qui ne va pas tarder à réclamer une pause. Ma voiture réclame sa ration d'essence. Sur le chemin du retour, je passe par une aire d'autoroute faire le plein. A la station service, je redescends ma jupe mais en remplissant le réservoir, je laisse naviguer mon regard aux alentours pour m'apercevoir que cette aire d'autoroute est relativement étendue avec un grand espace et un sous-bois à proximité. Ma voiture rassasié, cet endroit pique ma curiosité et je décide, intriguée, de quitter la station et de rouler doucement pour rester un peu sur l'aire. L'endroit est calme. Je me gare un peu plus loin de la station. Assise dans ma voiture, je remonte ma jupe en profite pour doucement caresser ma chatte qui réclame toute mon attention. Mon clito est bien gonflé et je trouve l'endroit propice à beaucoup de fantaisies. Intéressant pour pouvoir sucer quelqu'un en toute discrétion et repartir pleine de sperme sur les seins ni vu ni connu, par exemple. Je redescends ma jupe pour m'extraire du véhicule et je marche en direction d'un sentier qui semble s'enfoncer dans le sous-bois. L'endroit est charmant, des arbres, des bosquets et quelques aménagements pour faire une pause avec des tables et bancs espacés. Ce lieu manifeste alors en moi une drôle d'envie. Je me rend compte que l'endroit est parfait pour des coquineries plus alléchantes qu'une fellation dans une voiture. Suffisamment éloigné de la route pour ne pas être entrevu de tout le monde et peu de passage. J'aperçois une table et des bancs un peu plus éloigné des autres. Je m'approche, scrute autour de moi et m'y sent familièrement très à l'aise. Tellement à l'aise, que je m'assois sur la table. J'ouvre mes jambes pour dévoiler à ma chatte épilée ce lieu insolite. Elle ne tarde pas à montrer un vif intérêt à ce qui pourrait se passer ici et d'imaginer ce qu'il y a pû se passer : des rencontres, des voyeurs, des expériences insolites... Je reviens malheureusement vite à la réalité lorsque je m'aperçois que l'heure tourne et que je dois absolument rentrer. Durant la fin du trajet, j'ai quelques difficultés à détacher mon esprit de cet endroit. Je n'imaginais pas à ce moment que ce lieu ne cesserait de m'obseder. Les jours suivants, je suis un peu ailleurs, j'ai des difficultés à me concentrer. N'importe quel moment sexuel entraine inlassablement mes pensées sur cette aire d'autoroute. Pour une pipe, me doigter, me faire gicler, arriver entièrement nue comme une hotwife dévergondée qui viendrait récolter du sperme sur ses seins. Pire, plus le temps passe plus les idées se font précises.
Cet endroit aura finalement raison de ma volonté et je me mets en quête d'information sur cette aire d'autoroute. Après quelques recherches, je découvre sur un forum d'exhibitions que cette aire est bien connue des voyeurs. Qu'il s'échange des informations sur un endroit en particulier, un peu à l'écart, où il y a de l'activité. En lisant les descriptions, j'ai tout de suite compris qu'il s'agissait de l'endroit que j'avais vu. Mon instinct de coquine avait-il encore frappée sans prévenir ?
Je décide donc d'en parler à mon docteur lors d'une consultation. Je lui explique que depuis que j'ai suivi son conseil et tenter un petit moment d'exhib, j'ai beaucoup de difficulté à penser à autre chose que cette aire d'autoroute et que je m'imagine de plus en plus précisément en train d'y faire quelque chose que je n'aurais jamais pensé oser et que ces idées comportent de plus en plus de détails. Patiemment, mon docteur a écouté les détails de ce que j'avais imaginé tout en scrutant avec beaucoup d'intérêt ma chatte ouverte, gonflée et trempée tandis que je suis installé sur sa chaise d'examen. Après m'avoir fait gicler et jouir à plusieurs reprises, son diagnostic est net. Il m'explique que cela ressemble beaucoup à une obsession et qu'elle ne va pas s'effacer facilement. Avec son tact habituel, il me fait comprendre que cela est sans doute dû à la préparation de futur hotwife, à mon intérêt pour les gangbangs, que je commençais déjà très régulièrement à imaginer des scénarios dans lesquels je me sentais à l'aise pour ce genre d'expérience et que, pour la première fois, j'avais peut-être trouvé un endroit qui semblait recueillir une part de mes attentes. En résumé, tant que je n'aurais pas tenter de l'assouvir, ça ne fera que s'intensifier... et j'en constatais déjà les effets !
Les jours passent et je tente quand même de résister mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Je ne peut m'empêcher de suivre les discussions sur le forum sur cet endroit. J'en viens même à me demander si je ne devrais pas m'inscrire à mon tour pour déposer un message. Je finis par céder à curiosité et je contacte une des personnes qui semblent un peu plus connaitre les lieux pour lui préciser mon intention.
Je n'ai pas longtemps à attendre et il me donne de précieuses indications. Qu'il y a des jours plus calmes que d'autres et qu'il faut plutôt tenter à certain moment où les voyeurs ont leurs habitudes comme des fins d'après-midi par exemple. Qu'il faut plutôt éviter tous les sous-vêtements pour n'avoir que très peu de choses à enlever (ou pour que tout soit accessible facilement). Que le mieux est de se poster à un endroit et de commencer à faire discrètement les choses jusqu'à ce que les voyeurs se manifestent avant de continuer plus en avant et d'en dévoiler plus. Vous vous doutez que cette réponse ne calmera pas l'ardeur de mon entrejambe, et me permettra d'organiser concrètement mon futur plan. Je sens des picotements de partout dans mon ventre, je sens que quelque chose va définitivement basculer pour moi dans les jours à venir. J'ai autant peur d'être déçue que ça ne se passe pas comme je voudrais que je suis excitée à l'idée de me retrouver hors de contrôle de la situation devant des inconnus.
Après avoir expliqué à mon docteur ce je m'apprêtais à faire, celui-ci me conseilla de ne pas partir les mains vides et de prévoir de l'équipement pour moi et pour les autres. Je m'attendais à ce qu'il me donne une poignée de préservatifs (on ne sait jamais si, dans l'instant, on n'allait pas frôler de près l'improvisation) mais pas à ce qu'il me fournisse le gros gode noir et un gode vibrant. "On ne sait jamais, vous ne serez pas totalement venue pour rien." Il ne savait pas s'y bien dire...
Nous sommes près de la fin de l'été, les jours sont encore suffisamment longs pour voir se mêler langoureusement le jour et la nuit. Je m'imagine donc sur cette aire d'autoroute, objet de fantasmes depuis plusieurs semaines, avec une tenue très légère et des talons pour ne rien cacher de mes intentions. Je me rends sur le sentier, le ventre tiraillée par le trac, la chatte intégralement épilée, mon sac chargé de sextoys et de capotes. J'aperçois que des promeneurs se baladent, et je me rend vers la table que j'avais repéré (Ça ne doit pas être la première fois qu'elle assiste à ce genre de spectacle... ^^). L'air de rien, je m'assoie sur la table, je fais mine de regarder deci delà, et d'écarter aussi doucement (qu'innocemment ?) les jambes. Je remonte un peu ma jupe, et je commence à descendre ma main droite vers ma chatte. Je m'amuse, je l'ouvre avec mes phalanges, écarte mon clito pour lui faire respirer l'air chargé de tensions. Je relève un peu la tête et remarque que certains promeneurs se sont arrêtés pas très loin. Pas trop près pour me déranger, ni trop loin pour commencer à voir qu'il se passe quelque chose. Certains reviennent, je continue à me caresser et je commence à enlever les boutons de mon chemisier pour dévoiler un peu plus mes seins libres. Certains reviennent avec l'air de rien, je ne les regarde pas pour ne pas leur donner l'impression de les dévisager et je decide donc de retirer tous les boutons. Du coin de l'œil, je m'aperçois qu'ils sont au moins quatre peut-être cinq ou six. Ça me semble suffisamment intéressant pour enlever totalement le haut. Le temps de poser mon chemisier sur la table à côté de moi et de sortir le gode vibrant et je vois que certains en ont profité pour se rapprocher... Ça me semble suffisant pour leur donner envie d'en voir plus et j'enlève ma jupe. Me voilà entièrement nue, un gode vibrant à la main, j'ai abandonné toute forme d'intimité à des yeux étrangers. J'ai définitivement offert mon corps à ce fantasme et decide de ne plus donner d'importance à ce qu'il pourrait se passer. Je fais fi des regards et du qu'en dira t'on, je m'allonge sur la table comme une salope offerte aux vices, releve mes jambes pour mieux livrer ma chatte à ce moment. Je ferme les yeux et me laisse bercer par les vibrations du gode sur mon clito. Avec l'autre main, je sonde mon vagin qui marque une envie de profiter lui aussi de ce moment. Cette petite équipe de vicelards doit trouver ce spectacle inédit très intéressant. Je n'imagine pas la tête du monde autour de moi lorsque j'ai saisi le gros gode noir pour l'approcher de mon vagin. Cet imposant gode dans une main, j'ouvre mon vagin à la vue de tous pour y faire entrer progressivement l'engin. Je commence à laisser échappé des gémissements. Je tourne légèrement la tête sur le côté gauche et je vois que 2 voyeurs se sont encore approchés tandis que d'autres affairés plus ou moins cachés derrière des arbres ont brandi leur portable pour immortaliser la scène (j'aurais peut-être dû prévoir un masque...^^).
J'augmente l'intensité des va et vient du gode dans mon vagin, ce qui a pour particularité de l'ouvrir encore un peu plus, de le faire gonfler et de me faire encore plus gémir. Un parfait subterfuge pour tourner doucement la tête du côté droit pour voir ce qu'il s'y passe. On filme et on se délecte du spectacle en arrière plan tandis que 3 autres s'aventurent plus près de la table pour me regarder faire. Je sens ma chatte s'agiter, je regarde autour de moi. Ce spectacle obscène que je livre me grise, mes jambes complètement écartées, mes tétons dressées, mon bas ventre qui s'agite sous les coups de ce gode que je m'enfonce de plus en plus loin, 5 voyeurs qui m'entourent et 2 cinéastes amateurs, je ne pouvais espérer meilleur accueil. Les 5 compères me scrutent sous tous les angles, je ne leur cache rien et ont donc tout le loisir de reluquer mes formes, ma chatte et mon cul. Ils sont calmes, silencieux. Un premier tente une approche et pose la main sur le gode. Il reprend la cadence de mon geste, il l'assiste, cela dure quelques secondes, une poignée de minutes peut être, je lâche ma main et retire l'autre, il se relâche, je lui dis de continuer, il s'exécute. Un autre prend délicatement ma main engourdie et la caresse doucement comme pour la remercier de sa participation à ce spectacle. Ils me font du bien, et je suis saisie par la plénitude de l'instant. Un troisième commence alors à poser une main sur mon genou droit pour descendre doucement jusqu'à mon entrejambe. Je lui laisse le champs libre de toucher mon intimité. Je remonte mes bras au-dessus de ma tête, je ferme de nouveau les yeux et je me laisse voguer égoïstement sur une petite mer de volupté.
J'entends les 2 derniers prétendants qui s'approchent de moi. J'ouvre de nouveau les yeux pour découvrir à ma droite un sexe dressé face à moi. Entendant des bruits sur ma gauche, je compris que la même chose s'y profilait. Sans un mot, ils attrapent chacun mes mains pour les déposer sur leurs queues. Elles sont bien dures et ils n'en faudraient pas beaucoup pour les faire éjaculer. Mais je prends mon temps, je contemple avec satisfaction l'oeuvre de mes tentations. Je me délecterais bien à pleine bouche de leurs bites mais pour l'instant, je branle délicatement ses membres offerts à mes fantaisies. En revanche, ils me feront rapidement comprendre qu'ils étaient trop excités par la situation. Les mouvements langoureux de ma main sur leur queue auront fini par provoquer des jets massifs de sperme chauds sur mes seins. Je suis maculée de spermes inconnus sur les 2 seins. Des gouttes se forment et se mettent à couler sur les flans de ma poitrine et descendent vers mon ventre. A peine ais-je goûté à la satisfaction d'avoir reçu de belles éjaculations que je n'aurais pas eu le temps de remercier leurs glands dans ma bouche. Ces 2 participants ont rapidement quitté les lieux (Sans doute, ont-ils continué d'observer la scène d'un peu plus loin...^^).
D'autres vont-ils tenter leurs tours, un peu hésitant les 2 cinéastes amateurs s'approchent et à tour de rôle filment différentes parties de mon corps, ils prennent un soin tout particulier à filmer mon vagin en demandant au premier participant de retirer le gode pour filmer le trou béant de mon vagin. Ils ne tarissent pas d'éloges sur ce qu'ils voyent. Ils posent leur main, écarte encore plus les lèvres et filment mon clito complètement dur, gonflé et prêt à exploser. Il pose un doigt dessus, je gémis fort, il le taquine, je gémis très fort. Je relève la tête et m'aperçois qu'ils ont tous sortis leurs bites en érection, et équipés de préservatifs. Je leur dis que c'est parfait et qu'ils sont priés de me maintenir les jambes écartées pendant qu'ils improvisent ce qu'ils veulent sur moi. Les 2 cinéastes amateurs suivent immédiatement mes ordres et tiennent fermement mes jambes pour laisser passer la première pénétration. Le gros gode noire m'a tellement ouverte et gonflée que je sens à peine cette queue inconnue s'immiscer. Il augmente vite la cadence et prend un malin plaisir à aller de plus en plus loin au fond. Je sens ses boules taper sur mon cul. Mon vagin apprécie cet entrain et moi aussi. Avec les quelques encouragements de ses compagnons d'exhib et mes gémissements qui s'intensifient, je sens sa queue se gonfler et se raidir. Il sort sa queue luisante de cyprine de mon sexe, retire le préservatif d'une main et déverse la totalité de son sperme chaud sur le pourtour de ma chatte lisse. J'en frissonne de plaisir en sentant ce sperme chaud et le bout de son gland s'agiter sur mon clito. Cet instant tellement gratifiant, mais tellement court à la fois est comme un premier trophée pour la future hotwife. Une idée me traverse alors la tête. Comme je vois qu'il a conservé la capote dans sa main, je lui dis de l'étaler sur mon ventre et de m'approcher sa bite pour que la lèche avant qu'il reparte (les 2 premiers m'avaient frustré de ne pas avoir pu leur lécher les dernières gouttes de spermes de leurs glands... ^^). J'apprécie tout de suite l'enchaînement d'un nouveau participant dans mon vagin et d'une bite dans la bouche en passant mes doigts sur mon clitoris complètement noyé de sperme. Le second restera jusqu'à la fin de son envie dans mon vagin. Lorsqu'il ressort sa queue, elle baigne dans une bonne quantité de sperme, je lui dis de vider le préservatif sur moi, et de vite me faire lécher sa bite. Il choisira de vider le réservoir sur mes seins pendant que je lecherai sa bite pleine de reste de sperme. Le troisième me proposera une sodomie que je refuse, il s'amusera longtemps à sortir de mon vagin pour faire semblant de rentrer dans mon cul, jusqu'à ce qu'il sente quelque chose se contracter dans mon vagin au passage de sa grosse queue. Il comprendra vite, sortira sa queue et inserera 2 doigts en crochet dans mon vagin jusqu'à me faire gicler. Je sentis un immense jet brûlant sortir de mon sexe suivi des compliments des cinéastes à qui j'en profite pour signaler que j'espère qu'il n'ont rien louper de ce magnifique feu d'artifice. Il tapotera mon clito avec son gland jusqu'à à me faire friser de jouir avant de retirer son préservatif et d'éjaculer sur tout mon clitoris qui enchaîne les noyades. Son préservatif étendu sur mon ventre, je lui lèche la bite et lui promet de revenir le jour où mon cul sera prêt à accueillir sa grosse queue. Pendant ce temps, un des cinéastes entreprend de caresser mon clito avec le gode vibrant. Je sens que ne vais pas résister longtemps à cette sensation brûlante et humide. (J'en suis tellement excité que j'en viens à proposer à mon candidat à la sodomie de me baiser sans capote pour me remplir le cul de sperme la prochaine fois maintenant que je le connais. L'excitation... ^^). J'ai juste le temps de terminer de lécher la bite de mon troisième instigateur que mon clitoris n'en peut plus d'excitation et me foudroie d'une jouissance terriblement intense (ça c'est peut-être même entendu...^^)
Après cet emballement général et que les choses semblent se calmer, un sifflement se fait entendre. Je ne realise pas vraiment ce qu'il se passe tellement j'ai été traversée par la jouissance. Les yeux fermés, je ne m'aperçois pas que tout le monde s'enfuit. Mais j'entends aussi des nouveaux pas venir vers moi, je tourne la tête, commence à me redresser lorsque je distingue 2 personnes,
une femme, un homme, apparemment en uniforme. Quelques brèves secondes s'echapperont avant que je ne réalise qu'il s'agit de policiers. Je suis nue, cheveux ébouriffées, la bouche et la poitrine pleine de reste de spermes séchées, 3 capotes usagées et degoulinantes sur le ventre, des giclées diverses sur tout le corps. Je suis autant tétanisée par la situation que la tête embuée d'avoir été autant baisée. Le policier vient à mon niveau et me dit doucement de ne pas m'inquiéter, qu'ils vont s'occuper de moi. Je ne comprend pas trop ce qui se passe, hormis le fait que je suis pris en flag' pour un délit qui dépasse la simple exhibition. Très calmement, ils m'aident à me redresser et me pose des questions comme si j' avait été agressée. Je leur dit que ça va mais que je suis un peu fatiguée pour répondre à leurs questions. Malheureusement, je comprends que dans l'exercice de leur fonction, ils vont devoir m'emmener pour enregistrer ma déposition au poste. Je commence à sérieusement douter de mon idée. Lorsqu'il me menotte pour m'emmener, je me sens un peu honteuse de la fin de cette expérience et je pense rapidement à ne plus me faire avoir par mes idées lubriques. Encore nue devant les agents, la policière m'aide à passer un peignoir blanc avant de me diriger promptement vers le fourgon qui m'attend.
3 agents de police m'auront donc vu me livrer à un acte de débauche sur une aire d'autoroute durant une fin d'après midi de septembre. Dans le fourgon qui s'apprête à démarrer, je suis accompagné à l'arrière par la policière. Durant le début du trajet, il se fait un silence total dans le fourgon. Seul le cliquetis de mes menottes viennent interrompre ce silence. Avec le recul, je ne sais pas si c'est la gêne ou la honte qui lui donnait le plus de poids. Je me sentais particulièrement mal à l'aise de cette situation. Tout en regardant à travers la vitre du véhicule, je me demandais ce qui s'était passé pour que je me retrouve dans cette situation et comment tout a été autant hors de contrôle. Mon esprit est confus et divague encore sur les images de sexe sans retenue qui venait de se graver dans ma mémoire. Pendant ce temps, je ne me rend pas compte que le peignoir est ouvert et que je ne cache rien aux agents. La policière finit par rompre le silence après quelques minutes et me lance un truc comme "sacrée prestation". Un peu sonné, je tourne la tête et je lui demande de répéter. Elle réponds alors : "je disais... jolie prestation... pour vous dire, on vous a regardé un moment avec les collègues avant de savoir si on devait intervenir ou pas... le coin est connu pour ce genre de choses, vous savez... mais cette fois, on a hésité... mais quand on s'est fait repéré par un des participants alors...on était obligé d'intervenir, vous comprenez...". Je ne sais pas trop quoi répondre à ses aveux de circonstance. Le résultat étant qu'au final je me retrouve dans ce fourgon pour aller au commissariat. Mais, je sens quelque chose de particulier chez cette policiere. Son regard et ces aveux spontanés veulent dire autre chose. J'en suis même venu à me demander si elle était vraiment policière. Bien que suspicieuse sur la situation, je reste courtoise et la remercie de sa franchise. Mais je ne peux m'empêcher de trahir ma suspicion et comme je n'ai rien à cacher, je fais en sorte d'être plus en face d'elle afin d'écarter un peu plus les jambes. La policière tourne un peu la tête pour faire semblant de voir mais son regard ne peut faire autrement que de finir par scruter ma chatte toute baisée. J'aurais d'ailleurs droit à son commentaire sur son état. "Ils vous ont pas loupé, vous êtes toutes gonflées" rajoutera-t-elle. Je ne réponds pas, mais je laisse mon attitude trahir ma satisfaction en passant ma main sur mon clito pour finalement lui répondre avec un sourire narquois, "oh oui ! je le sens". Je continue mes caresses en parcourant les lèvres, la vulve devant cette policière qui regarde et qui ne peux s'empêcher de vouloir continuer la discussion en me demandant : "Et c'est comment à l'intérieur ?". Je change ma position pour encore plus écarter les jambes comme une salope en chaleur prête à se faire baiser sur la banquette arrière d'un fourgon de police, glisse 2 doigts dans mon vagin et lui lance : "Approchez si vous voulez savoir...". Je fais suffisamment disparaître mes phalanges à l'intérieur et fait tourner mes doigts pour collecter un maximum de souille. Elle regarde si ses collègues à l'avant sont toujours absorbés par leur discussion et se penche en avant, regarde en arrière que personne ne la surprend et s'avance encore. Je sens désormais son souffle au plus près de mon sexe. Je ressorts mes doigts et les présentent sous le nez et la bouche de mon interlocutrice. Ils sont brillants, imbibés d'un mélange collant et blanc. Je me fendrais même d'une dernière provocation "c'est plein de spermes". Mais je n'aurais plus de réponse. Son silence s'accompagne d'une douce contemplation des humeurs extraites de mon vagin sur mes doigts lui, elle s'approche encore de mes doigts, elle respire leur parfum, elle les frôle de ses lèvres qui se macule de ma mouille souillée. Elle passe sa langue sur ses lèvres et laisse sortir sa langue pour lécher un peu plus des substance de mes doigts. Elle s'applique et finira par sucer chaque phalange jusqu'à la dernière trace. Je mouille instantanément de cette situation si particulière. Elle se redresse et me demande "Et dans votre bouche ?". Difficile de ne pas répondre à sa tentation, "Approchez vos lèvres si vous voulez goûter de...". Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase qu'elle écrase ses lèvres sur les miennes, nos langues se frayent machinalement un chemin pour s'enrouler et s'échanger le goût du sexe. Avec toutes les bites que j'ai léchée et nettoyée juste avant, je m'attends forcément à avoir un commentaire. "Vous avez un sacré goût de bites". Je réponds d'un sourire. Finalement, je ne sais pas de quoi je suis la plus fière, d'avoir un goût de bite ou d'avoir rouler une pelle au sperme avecavec une policière à l'arrière d'un fourgon.
J'aurais volontiers continuer à la nourrir du contenu de mon vagin et de savourer sa langue dans ma bouche si le fourgon n'avait pas subitement ralenti.
Elle est rapidement rattrapée par sa fonction et m'indique sommairement qu'on ne va pas pouvoir me laisser repartir comme ça. Mais, que je ne dois pas m'inquiéter et que ça va bien se passer au poste, qu'il s'agit d'une formalité et que je pourrais retourner chez moi rapidement.
Cette aire d'autoroute n'est pas attenante à une très grande agglomération, je me retrouve donc dans un commissariat de taille modeste. C'est la fin de la journée, le poste est quasiment désert. Je traverse les couloirs dans mon peignoir pour atterrir en salle d'interrogatoire. La lumière crue des néons se reflète sur la peau qui s'échappe du peignoir. Je suis dans un sale état. Je sens le sexe et la baise (j'adore ça...^^). Au bout de quelques minutes les 2 agents de police masculins reviennent, je comprends à demi-mot qu'ils sont les agents de permanence ce soir et qu'il n'y aura personne d'autres dans le commissariat. Il me retire les menottes et me demande de raconter ce qui s'est passé, si je savais ce qui m'étais arrivée et comment j'étais arrivée là, et que ces participants pouvaient être considérés comme de potentiels agresseurs. A moitié nue, mais toujours aussi sûre de moi, je continuer à nier leur interprétation des circonstances dans lesquels ils m'ont trouvé. Il me questionne sur le nombre de participants. Je leur rétorque que je ne me souviens plus du nombre de vicelards qui était présent, mais les policiers ne veulent pas me croire. Quelques instants plus tard, la policière revient et explique qu'elle a appelé un médecin de garde et qu'il sera bientôt là et qu'il suffira de lui demander de faire des prélèvements pour connaître le nombre de spermes différents. J'accepte finalement de me plier à leur exigence que si cela permet de déterminer uniquement le nombre de participants et qu'on ne s'en sert pas pour poursuivre ces personnes. Les minutes passent, on me donne quand même un café le temps de patienter. Le docteur arrive et fais sortir tout le monde de la salle (j'apprendrai plus tard que les salles d'interrogatoire ont souvent des vitres sans teint, il n'était peut être pas nécessaire de les faire sortir). Il prend le ton bienveillant du docteur, m'explique brièvement pour quoi on l'a fait venir et il me questionne sur les circonstances. Je lui donne ma version des faits et je laisse échappée que tout ça c'est à cause de mes obsessions de futur hotwife. Intrigué, il me demande si mon docteur habituel est au courant de ces obsessions, je confirme et lui donne son nom. La mine du médecin se détend instantanément. Il me fait comprendre que je suis bien suivi et que toute cette histoire est moins grave qu'il n'y paraît. Comme il n'y a pas de salle d'examen, il m'invite à réaliser tous les prélèvements jambes écartées sur la table. Il me demande de lui indiquer des lieux de prélèvements. Je lui montre mon clitoris, mes seins, ma bouche et mon ventre où se tenaient mes 3 trophées égarés. Il a l'air étonné qu'il n'y en ait pas au fond du vagin. "Pas cette fois ! J'avais juste envie de m'amuser...". Une fois terminés, mon examinateur me demande si je souhaite qu'il prévienne mon docteur. Je lui fais savoir que ce n'est pas nécessaire avant que j'ai le fin mot de cette histoire. L'équipe complète des policiers revient et expliquent devant le docteur que j'ai des problèmes pour me remémorer les circonstances. Ils proposent de faire une reconstitution. Il demande au docteur si je suis apte à le supporter. Ce dernier répond qu'il n'y voit aucune contre-indication médicale sauf si je ne suis pas d'accord (il avait quand même profiter des prélèvements pour osculter l'état de mon vagin...^^). Le docteur s'en va et on me laisse quelques minutes seules le temps de réfléchir. Puis la policière revient : "voici vos trophées". Pour une fois, je suis soulagé de la voir lorsque j'aperçois qu'elle me ramène mon sac rempli de godes et de ma tenue. Énième provocation, je fais un tombé de peignoir avec un "oups!" devant la policière qui sourit pour la première fois avant de refermer la porte derrière elle. Que j'accepte ou pas comme on me demande de montrer comment ça s'est passé depuis le début, je vais donc me rhabiller. (Je compris une fois revenue chez moi de quelle trophée elle parlait, en trouvant les 3 préservatifs usagers au fond du sac...).
Les policiers reviennent donc pour la reconstitution. Je ne suis pas très à l'aise avec cette situation très équivoque et je m'exécute timidement, je monte sur la table, je recommence à me caresser. Le gode vibrant, puis le gros gode noir. J'ai moins de sensations mais j'ai envie d'en finir avec leur cachotteries. Les policiers prennent place comme les voyeurs mais la lumière trahit les reflets de bosses dans leurs pantalons. Comme nous ne sommes plus des inconnus, je leur propose de se mettre à l'aise et de deconfiner tout ça. Il se regarde, s'interroge en silence et finissent par céder à mes avances en faisant doucement glisser les fermetures de leur pantalon. J'empoigne leurs bites dans ma main et demande au dirigeant de l'interrogatoire s'il aurait bien voulu me baiser à son tour dans le sous-bois. Les râles roques de sa voix au passage de ma bouche gourmande sur sa queue ont été une réponse affirmative pour moi. Je laisse tomber le gode et place ma chatte bouillante devant lui et lui propose de prendre son tour pendant que je sucerai son collègue. Lui aussi sera soumis à l'interrogatoire de ma bouche à pipe. Lui aussi avait envie de me baiser dans le sous-bois et d'éjaculer au fond de ma chatte gorgée de spermes (oui, je sais l'excitation me fait dire des choses un peu provocante quand je suce une grosse queue... ^^). Malheureusement pour lui, son excitation aura raison de ses désirs qui ne resteront que des fantasmes, en déversant le contenu de sa queue dans ma bouche. Je ne suis pas une adepte de l'éjaculation dans la bouche quand il y en a trop. Mais pour le plaisir de mon fornicateur, je le regardais fixement dans les yeux pendant qu'il s'acharnait dans ma chatte tout en faisant doucement sortir le sperme de son collègue sur le bord de mes lèvres et par les commissures de ma bouche jusqu'à ce qu'il descende vers mon cou et coule sur ma poitrine. Mes seins sont dressées d'orgueil, mes tétons sont dures et traduisent avec fierté le plaisir de mes provocations. Devant autant de tentations, il ne pu aller plus en avant, se desengagea de mon vagin pour faire exploser sa queue sur mon clito et mon bas ventre. Il a très bien reconstitué les circonstances mais n'avait pas mis de préservatifs (ils m'aura manqué un trophée dans cette histoire...^^)
Finalement, cette reconstitution était très intéressante et il aurait été dommage que je la manque. Je ne vous cache pas qu'ils n'ont pas été non plus particulièrement tendre durant cette reconstitution et que je n'avais jamais autant été traitée de tous les noms par un agent de police.
À la fin de la reconstitution, la policière me propose de prendre une douche, je lui dis que j'accepte si je peux y aller sans peignoir ce qui la fait encore sourire car je vais encore traverser le commissariat toute nue et pleine de sperme. Je me douche rapidement pour enlever les dernières traces de mes baises déchaînées du jour et la policière me ramène mes affaires. Elle reste avec moi pendant que je me rhabille et nous papotons tranquillement de ce qui vient de se passer pour la reconstitution. Elle me confirme que c'est fini, que je vais pouvoir m'en aller. Elle lit sans doute sur mon visage que je suis rassurée avant d'ajouter qu'elle a tout filmé pour que les éléments soient versées au dossier, si nécessaire. Une attention que j'apprécie.
Pour la première fois, je sors habillée du commissariat après y être entrée totalement souillée.
La policière me raccompagne jusqu'à ma voiture mais je sens que son regard va encore fixement vers mon entrejambe. Revenue sur l'aire d'autoroute, elle me laisse près de mon véhicule et me dit "j'imagine qu'on se reverra...". Je ne comprends pas tout de suite l'insinuation mais je me doute qu'elle aimerait bien me recroiser dans ce sous-bois un jour avec ses collègues...
Depuis cette histoire, mes pulsions pour cette aire d'autoroute se sont calmées comme me l'avait predit mon docteur. Je lui ai bien évidemment indiqué tout ce qui s'était passé dans les moindres détails. Durant le trajet de retour, j'ai pu comprendre que je venais de vivre quelque chose d'aussi fou que d'excitant. D'aussi dangereux que de stimulant.
J'ai pu vite me rendre compte de l'impact de cette histoire durant mes séances de préparation avec le docteur. Car, aujourd'hui, je ne cesse de développer de nouveaux fantasmes que je pourrais peut-être vous raconter très bientôt.
Merci à tous les lecteurs du site qui apprécieront mon histoire et n'oubliez pas de laisser vos commentaires si vous voulez connaître la suite de ma préparation de future hotwife et de mon intérêt pour les gangbangs.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci encore Melle ! L'histoire est longue et je n'ai pas tenu jusqu'à la fin. J'ai moi aussi juter mon sperme..sur vos seins et votre langue. Vous adorez l'odeur et le goût du foutre..ainsi soit-t'il !! Je pense qu'on vous aime tous comme ça, bien cochonne..Ne changez rien surtout !!
Le texte précèdent cette histoire ("Mise au point, mise au défi...") a été mis à jour. Bonne lecture à tous ! 😊
J ai vraiment apprécié ce récit . Merci beaucoup ( un jeune trentenaire)
Bonjour mademoiselle ou plutôt futur madame Fontaine.
Je vous découvre et j'ai dévoré vos récits le sexe dur. Je vous remercie pour vos belles aventures et attends la suite avec impatience.
Thallium
Je vous découvre et j'ai dévoré vos récits le sexe dur. Je vous remercie pour vos belles aventures et attends la suite avec impatience.
Thallium
Merci pour votre commentaire. Nous avons eu beaucoup de plaisir à écrire cette histoire et il semblerait que cela a été communicatif.😅 Vous nous avez également suggéré une rencontre et nous n'avions jamais pensé à organiser une rencontre avec des lecteurs. C'est une idée que nous gardons pour une prochaine histoire, peut-être.
Quel plaisir de lire une telle histoire ….! impossible de résister….. j’ai inondé de foutre mon fauteuil de bureau pendant cette lecture …. J’ai essayé de résister pourtant …. Mais rien à faire …..😅…. Merci, aurai je la possibilité de vous rencontrer ? ☺️