Mademoiselle Inna - Responsable des archives et videuse de couilles - histoire érotique

Mademoiselle Inna - Responsable des archives et videuse de couilles

(A nouveau une histoire des annees 90 en Roumanie, quand les femmes liberees de l oppression communiste goutaient la saveur de la debauche libre. Cette fois, une experience relatee par une dame de la epoque)

...Qui aurait pensé que cette femme ferait ce qu'elle fait?
Elle s etait fait embaucher en janvier, aux Archives de la Mairie de la Ville de Iasi.
Une fille brune mince, 1m66, avec de beaux yeux, banale, mais avec des mains et des pieds très délicats. Meme aristocratiques.
Les employes de la Mairie ont appri ensuite qu'elle avait 27 ans et qu'elle était veuve. Et sectaire, Témoins de Jéhovah.
Elle était assez peu aimable avec ses collègues. Elle souriait jamais.
Son mari avait été tué par un camion. Et ele était devenu folle ensuite, semble-t-il.
Les archives de la Mairie étaient une sorte de grande cave, au sous-sol, avec de petites fenêtres au plafond, éternellement éclairées par des néons, remplies d'étagères avec des dossiers.
La grande pièce donnait sur une petite pièce qui était le bureau de la jeune femme.
La, il sentait le vieux papier et le parfum de lys disipe par cette Mademoiselle Inna.
Le premier à découvrir ses besoins sexuels fu M. Miklo, l'architecte en chef.
Un homme de 45 ans, mince. Homme sage, de famille.
Elle arrivait au bureau très tôt, vers 6 heures du matin.
Et donc, tôt dans le matin, M. Florian est allé voir la jeune femme des archives pour chercher un dossier. Le bâtiment était désert.

Mademoiselle Inna etait assise à son bureau et travaillait sur des fiches.
Ça sentait les lys, partout. La jeune femme était un peu plus maquillée que d'habitude et avait soulevé ses cheveux en un chignon chic. Elle était sexy dans sa manière, dommage qu'elle etait si hostile.
Dans les premières minutes, tout s'était officiellement passé. Il avait demandé à cette femme détestable de lui trouver les dossiers et elle avait cherche les documents. Elle avait apporté trois dossiers, grincheuse comme d'habitude.
Mais quand voulu sortir, Inna le regarda étrangement avec ses grands yeux fixes.
Puis murmura, les yeux dans les siens:"Monsieur... Euh ... C'est très tôt. Et il y a personne dans la Mairie... Je pensais... Euh... Aimeriez-vous de vous faire caresser? »
L'architecte cru qu'il n'entend pas bien. Avala la salive.

"Avez-vous dit quelque chose?"
Elle dégagea sa voix, qui était un peu tremblante. Ses yeux étaient écarquillés et elle froncea les sourcils, enervee.

”J'ai dit, tu veux que je te caresse? Comme une femme? "
Et en même temps la jolie Mademoiselle Inna, comme une explication gestuelle, simula, en l'air, avec sa petite main serrée en poing, le geste rythmique de la masturbation masculine. Le regardant calmement.

Monsieur Florian sentit qu il étouffe.

”Mademoiselle ... quoi? ... Comment ?? Je ... Mais ... Non ... Je veux dire ... Je suis marié et tu ne devrais pas... Mais ecoute en quelque sorte tu te moque de moi?? ... "
Mademoiselle Inna le regardait fixement... elle etait tres tendue maintenant, il pouvait voir sa poitrine se soulevant, au rythme d une respiration accélérée. Inna ricana.

"Ecoute, j ai pas l habitude de me mowuer des gens moi. Et si tu es marié quoi? T est un type baisable. Et je veux faire ce que j'ai dit précisément parce que tu as une femme et une famille. Personne ne saura. Je n'ai pas de mari depuis un an. Mais j'en ai besoin de bite. Un très grand besoin. Et c'est le plus grand plaisir d'un homme, je sais. "
Mademoiselle Inna n'a pas attendu ensuite la confirmation de Florian - elle est allée rapidement, avec une démarche élastique, à la porte du sous-sol et l'a verrouillée. Puis elle se précipita dans le bureau, où Florian frissonnait comme un homme malade, plein de plaisirs énormes anticipatifs.

Elle s'assit calmement sur la chaise. Inna souriait et lui fut choque, s etait la premiere fois qu il voyait cette femme sourainte,
"Allez, doucement... Tout ira bien... Et maintenant viens pres de moi et ... expose-toi. Parce que j en peux plus. J ai envie d une bite. As-tu pris une douche? "
Elle avait des lumieres etranges dans les yeux dilatés et elle haletait légèrement.
L'architecte senti une érection brûtale monter dans son ventre... sorte d erectio qu'il n'avait pas eu depuis vingt ans. Et abandonna toute gêne.
Il gémit bruyamment alors qu'Inna ouvra sa braguette puis gemit bruyamment quand l'étrange Inna, impatiente et déterminée, lui baisse le pantalonn et slips, en meme temps.
Libérant un membre gros et long qui se detenda dehors comme un animal étrange et etonne d etre denude devant une inconnu. Une bite mature, pleine de veines.
Exposé, Florian couina avec un immense plaisir.
Immédiatement, Mademoiselle Inna poussa elle ausssi un grand soupir de plaisir devant la barre de chair d homme... Soudain, elle ne fit plus l employee grincheuse - elle commencea a regardera la verge tendrement, comme on regarde un chien... puis immédiatement Inna commença à renifler le pénis de Florian , les yeux fermés, avec de petits soupirs de plaisir.

"Mmmm... Ouh-la-la... elle este grosse... La premiere bite d homme depuis un an... Un parfum d'homme avec parfum Beckham ..."
Le parfum Beckham que l'architecte avait reçu de sa femme plaisait maintenant à un étrangere excitee comme une chienne.

Puis Inna attrapa le membre avec précaution avec deux doigts et commencea à frotter doucement la bite contre ses joues, sa bouche, son nez et son menton, en se caressant le visage avec le glande gonflé et grand comme une prune. D'où deja des fils de pré-éjaculat coulaient déjà. La jeune femme promena donc le gland de Florian avec précaution partout: sur ses oreilles, sur son front, sur son cou, dans ses cheveux, sur son nez.

L'homme grognait sauvagement, touché par les doigts chauds et la peau veloutée du visage de femme. Aucune femme ne lui avait fait ça. En lui, l'embarras se mêlait à un plaisir monstrueux.

"Mademoiselle... Je creve... Je creve... Oooooaaah...„
Apres ces contacts avec la peau de femme la verge devint était devenu énorme, arquée vers les neons.
Mademoiselle Inna l'a ensuite rapproché davantage, afin que la bite pendule au-dessus de la plaque du bureau, puis a posé ue feuille de papier sur le bureau, juste sous la verge.
Elle le regarda de nouveau, ell avait des lueurs étranges dans ses yeux.

"Je sais que c'est immoral ... mais ça m'excite d'embrasser des bites qui appartiennent à d'autres femmes ... Pourquoi mentirais-je je l'ai fait tout le temps... aussi quand mon pauvre homme vivait... Et maintenant, cher monsieur... Je vais l'embrasser légèrement ... légèrement ... sans mains... et ces jets de semence qui me rendent heureuse jailliront de toi, non? ... "
Dit et fait: Mademoiselle Inna se pencha avec grace et commença à embrasser légèrement le gros pénis, et ensuite commencea a machouiller le gland, le bout gonfle où le plaisir d'un homme est enorme.

L'architecte, les yeux figes sur la bouche rouge qui travaillait san honte son gland commencea à gémir, comme un grognement ... plein de plaisirs insupportables. Les murs de la archive renvoyaient les echos de son plaisir.


Puis Florian s'est abstenu de gémir pour écouter les sons de cette inattendue fellation matinale. Tout ce qui pouvait être entendu dans le sous-sol était leurs respirations haletantes et les sons humides de suction de la bouche de la jeune femme, qui suçait et léchouillait aimable son pénis... avec une grande passion sexuelle. Sans mains, cette fois.

Au-dessus, faible, il entendait le trafic de la rue. Et les talons de collègues venusau bureau.

Florian se paumait de plaisir à la vue de la langue de la jeune femme, mouillée de salive et petite et rose, qui caressait rapidement son gland comme un petit fouet chaud.

Le plaisir inoui donné par la bouche de l étrangère qui lui faisait une telle chose envoyait des torrents brulants dans le ventre de l'architecte, comme des falmmes de plaisir qui grandir tumultueusement vers éjaculation matinale enorme et soudaine. L'éruption se declanchea quan Inna decalota fortement la verge... le decalotement final par les doigts de jeune femme.
Mikloș, involontairement, attrapa Inna par ses cheveux, se souleva sur la pointe des pieds et aussitôt, transpercé par les aiguilles de feu des spasme orgasmique l homme commencea à vider ses glandes sous la forme de nombreuses giclées epaisses de semence chaude sur la feuille de papier mise sur le bureau, sous les yeux extatiques de sa jolie fellatrice.

Il eut l'impression d expulser sa moelle épinière tellement l ejaculation provoquee par la sectante fu forte.

C'était fini.

M. Florian , après s'avoir libéré dans l'éjaculation la plus étrange et la plus violente de sa vie, resta debout à côté d'Inna, la verge pendante. Il murmura des mots dénués de sens, étourdi par le plaisirs inhumain - et illicite - qu'elle lui avait offert gratuitement et sur-le-champs.
Mademoiselle Inna roucoulait... en petrissant tendrement - comme une cochonne - son membre ramolli entre ses doigts.

"Oh, quel dommage... Quelle cochonnerie... Mais il fallait, non?..."
Elle ramassa le liquide collant de la feuille de papier sur ses doigts... et porta sa main à son nez, en aspirant l'odeur avec grand plaisir et luxure. Avec ses yeux fermes. Puis il murmura, d'une voix coupable:"J'aime, monsieur, vider les hommes, que puis-je faire? ... "Florian ne pouvait rien dire. Couvert de sueur il remonta son pantalon. Il l'embrassa maladroitement, embarrassé. Il ne savait pas quoi dire.
La jeune femme froissa le papier plein de son sperme et le balanca a la poubelle.
Elle avait l'air fatiguée.
L'architecte est sorti des archives, hébété, marchant à peine.
Mais il ne savait pas que le désir de la jeune femme s'était à peine ouvert.
À trois heures de l'après-midi, l'insatiable Inna, coome une toxicomane, repreneait l'action avec le jeune chauffeur Mitu, un garçon de 22 ans, qui lui avait apporté du papier à copier.
Comme Florian le matin, Mitu gemit pendant 20 minutes, debout pres d Inna tandis que l aimable jeune femme lui lécha son gland sans vergogne et sans pause, jusqu'à ce que une énorme éjaculation jaillit de ses entrailles, avec des jets d'un mètre.
Auteurlucius.ro@gmail.com