Madjid - Troisième partie : J’appris à mon amant, le candaulisme de mon mari

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Madjid -  Troisième partie : J’appris à mon amant, le candaulisme de mon mari Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Madjid - Troisième partie : J’appris à mon amant, le candaulisme de mon mari
Même après deux orgasmes d’affilée – avec deux grosses éjaculations, montrant à quel point il avait été sevré de baise pendant longtemps – mon jeune amant avait encore la bite vigoureuse. Il bandait presque aussi fort qu’avant qu’il ne m’ait baisée par la bouche et par la chatte. Dans ma tête, avec mon vocabulaire ordurier et dans ma langue maternelle, je me disais avec une jubilation non cachée, que mon nouvel amant avait un zob en acier (3’andou zeb ahdid !). Toujours vaillant et toujours partant pour une nouvelle partie de pilonnage d’un de mes trous ! J’en tremblais presque d’excitation. Je venais pourtant de subir – à peine quelques minutes plutôt – les furieux assauts de mon jeune amant dans ma chatte. Et j’en avais eu une jouissance formidable. De ces jouissances qui donnent le vertige, vous font perdre la raison et vous mènent au bord de la perte de connaissance. Et j’en voulais encore !
Depuis que Salim, mon mari, m’avait ouvert la route de la sexualité adultérine, j’étais devenue complètement accro au sexe. Une vraie nymphomane. Avec une parfaite mauvaise foi et pour me rassurer moi-même, je me disais que j’étais simplement entrain de rattraper le temps perdu : je ne m’étais en effet découverte cette passion pour le sexe pluriel que sur le tard. A plus de trente-cinq ans et après une dizaine d’année de mariage, certes heureux, mais en définitive assez terne, érotiquement parlant. Et aujourd’hui, j’avais la chance d’avoir trouvé un fantastique amant, qui, parce qu’encore très jeune, avait une très grande marge de progression. Je savais d’instinct, que si j’arrivais à le garder, j’allais vivre avec lui des moments passionnants d’amour torride. Il me fallait seulement le convaincre de nous rejoindre, mon mari et moi, dans notre monde, certes immoral, mais tellement jouissif.
Mais je me disais que ce n’était pas encore le moment d’aborder ce sujet avec lui. C’était le moment de vivre encore des instants intenses d’érotisme débridé, sur lesquels, je savais qu’il n’allait émettre aucune objection. Il allait m’enculer de la même manière qu’il m’avait encorné : avec jubilation, force et brutalité. La seule chose que je me demandais, c’était dans quelle position, il allait prendre possession de mon cul. En levrette, position que les hommes dans leur grande majorité préféraient parce qu’elle faisait d’eux les seuls maîtres à bord et qu’elle leur donnait une forte impression de domination. Allongée sur le dos, les jambes repliées sur la poitrine, de manière à offrir à la vue de l’homme et l’anus qu’il allait pilonner et la chatte qu’il pouvait en même temps contempler. Moi j’avais toujours eu une préférence pour cette deuxième position : elle me permettait de regarder le zob entrain de me défoncer le fion et en même temps me caresser la chatte pour accroitre l’intensité du plaisir que je prenais sous les coups de boutoir de mon maître du moment.
Madjid, quand je lui fis part – avec mon vocabulaire impudique et ordurier (« bghit te-dekhel ‘houli melour ! Je veux que tu me le mettes par derrière ! ») - de mon désir de sodomie, je vis son sourire s’élargir et le coin droit de sa lèvre supérieure se mettre à frémir, sans qu’il puisse rien faire pour arrêter le tic. Ses yeux brillaient de mille feux, comme si la simple pensée de m’enculer le mettait dans un état de jubilation extrême. (J’appris par la suite que les seules fois où il avait fait l’amour à sa fiancée de l’époque, c’était en l’enculant pour garder intact son hymen, condition indispensable pour sa nuit de noce. Et il avait toujours adoré.) Il choisit de me prendre en position de levrette. Et par terre !
Je ne sais pas trop pourquoi la plupart de mes amants préférait, quand ils m’enculaient, le faire à même le sol. Ils semblaient en tirer encore plus de plaisir que sur un lit ou un fauteuil, pourtant beaucoup plus confortables. Peut-être que l’inconfort de la position – pour eux comme pour moi – ajoutait une dose supplémentaire à leur excitation et à la jouissance extrême qu’elle entraînait. Madjid m’expliqua plus tard que la position à quatre pattes parterre, ajoutait à la beauté et à la sensualité de mon fessier. Il me dit que j’avais un fessier proéminent et ferme (une vraie croupe de pouliche, disait mon mari !) et que la position de levrette accentuait ses belles formes et rendait mon trou de balles encore plus excitant.
Il m’attrapa donc par les mains, me fit lever du fauteuil, me retourna pour se mettre derrière moi et m’obligea, par une forte pression de ses bras, à me mettre à genoux, puis à quatre pattes. Je me laissai faire sans opposer aucune résistance. J’ai toujours adoré ces moments d’attente qui étaient pour moi les meilleures prémices érotiques. Je jubilais en attendant de sentir l’homme - que je ne pouvais voir - m’attraper fermement par la taille ou par les hanches, disposer mon fessier à la bonne hauteur, prendre son manche dans sa main droite et poser son gland à l’entrée. J’adorais imaginer le regard brillant de concupiscence de mon amant entrain de contempler l’anneau palpitant et encore bien serré de mon anus, qui avait gardé toute son élasticité, bien que fortement distendu par tous les gros zobs qu’il avait reçus. Il y avait toujours en moi, en ces moments-là, une immense jubilation et mon cœur battait tellement fort que j’avais l’impression qu’il ne supportera pas l’intensité du plaisir que j’allais prendre ; et qu’il allait s’arrêter.
Et quand je sentais mon homme tirer très fort sur ses bras et que l’engin, dont le gland attendait à l’entrée de mon orifice, pénétrait en force dans mon tunnel, je poussai toujours un énorme cri de plaisir (et parfois de douleur, quand le manche avait des dimensions exceptionnelles). C’était exactement ce qui était entrain de se passer avec mon jeune amant. Il se comporta comme quelqu’un qui avait déjà une grande expérience de la sodomie. Il y alla en force, mais sans se presser. La première pénétration du manche se fit en puissance. Il tira très fort sur ses bras et poussa son bassin vers l’avant ; et sa queue, qui était aussi dure que du bois, alla rapidement et sans escales, jusqu’au plus profond de mon rectum. Il accompagna le mouvement de pénétration par une longue et sonore aspiration d’air et par une courte expiration, suivi d’un gémissement rauque de plaisir. Plaisir que prenait, au fond de mon trou, son superbe manche parfaitement moulé par mon rectum. Il resta un petit moment dans cette position, le pubis collé contre mes fesses, les bras tirant toujours aussi fort sur mes hanches et le long zob planté au fond de mon cul.
Puis il fit faire à sa queue le chemin inverse, jusqu’à sortir complètement et s’arrêter à quelque centimètres de mon anus. Et là encore, il prenait son temps, pour mater le spectacle que faisait mon anneau qui se refermait et de son zob qui frémissait d’impatience de repartir à l’assaut. Au bout de deux ou trois secondes, il reprenait le chemin de l’intérieur avec la même puissance et la même vigueur. Et à chaque fois, je poussais un énorme cri de plaisir et je lui demandais d’y aller encore plus fort – et plus vite.
- Zid ! Zid nik-ni ‘hakdhek ! Bel-qouwa! Bi koul qouwat zebek! Adjbed! Adjbed g’a3ret Warda! (Encore! Nique-moi encore comme ça ! En puissance ! Avec toute la puissance de ton zob ! Tire ! Tire le cul de Warda !)Madjid, tout à son affaire, ne disait rien. Il se contentait de gémir de plaisir à chaque pénétration et de tirer toujours plus fort sur ses bras. Je sentais son manche ramoner avec furie mon tunnel et y mettre le feu. Il limait avec jubilation les parois de mon cul. Le zob de mon amant était gros et surtout très long. Il avait la taille idéale pour moi. Mon sphincter se refermait sur sa hampe à la manière d’une main très douce qui l’attrapait et qui ne voulait plus le lâcher. Je prenais autant de plaisir que lui, à me faire enculer ainsi. En force et en faisant durer le plaisir. Madjid ne semblait pas pressé de jouir. Il avait eu son compte, les deux fois précédentes. Maintenant il prenait son temps pour goûter, tel un gourmet, à cette sensation jubilatoire d’un cul fait sur mesure pour lui et offert à son manche, sans restriction aucune. Il voulait aussi me montrer la force et la puissance de son engin qui avait fait son nid de mon cul.
Ce fut moi qui céda la première en lui demandant (ordonnant serait le mot plus juste) d’accélérer le rythme de son pilonnage parce que j’avais envie de jouir.
- Zid fe-sour’3a ! Zid! ‘Hakdha! Feragh fi ga’3ri! En-hass ra‘hi djaya! Ra‘hi djaya ! Djaya ! Djay…. ! (Plus vite ! Encore ! Comme ça ! Décharge dans mon cul ! Je sens que je vais jouir ! Elle vient ! Elle vient ! Elle vie…. !)Je ne pus continuer ma phrase. Un énorme orgasme, aussi fort que celui que j’eus tantôt quand Madjid m’avait baisée par devant –peut-être même plus fort, me dis-je sur le moment – dévala en moi et me fit hurler de plaisir. Le plaisir s’était installé dans mon rectum, sous forme d’ondes concentriques qui irradiaient jusque dans ma colonne vertébrale pour aller s’installer dans mon cerveau. Cela me procurait une sensation de totale béatitude. C’était divin ! Ma chatte, pourtant épargnée par mon amant qui ne s’occupait que de mon cul, était tellement excitée, qu’elle coulait comme une fontaine, ajoutant une forte dose à l’intensité du plaisir qui m’envahissait. Je ne contrôlais plus rien : ma tête partait dans tous les sens comme si rien ne pouvait la retenir. Ma bouche coulait abondamment de salive, qui allait s’étaler sur le carrelage du salon; ma respiration devenait de plus en plus haletante et m’emmenait irrémédiablement vers l’étouffement. Je me sentais entraînée vers un gouffre au fond duquel m’attendait la mort. Tuée par le plaisir ! Quelle belle mort ! C’était magnifique et tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme qui dévalait en moi, et qui, j’en étais maintenant sûre, allait me tuer de plaisir !
- Djaya ! Djaya ! Dj… ! (Je jouis ! Je jouis ! Je jou… !)Et je déchargeai, en hurlant, une quantité phénoménale de cyprine. Tous mes muscles, qui étaient tendus comme les cordes d’un arc, se relâchèrent. N’étaient les bras puissants de mon amant et ses mains qui me tenaient fermement par les hanches, je me serais allongée sur le carrelage pour reprendre mon souffle et me calmer.
Et pendant tout ce temps, mon jeune amant continuait imperturbablement à faire aller et venir sa belle queue dans mon cul. Et puis, d’un seul coup, il se mit à accélérer, en ahanant comme un bucheron, le rythme des va-et-vient. Il avait certainement compris que j’étais devenue totalement passive : j’avais bien joui, et mon corps s’était mis au repos. Il voulait jouir à son tour. Il abandonna le silence qui, jusque là, avait accompagné le pilonnage de mon cul, et s’était mis à exprimer – en arabe – tout le plaisir qu’il prenait à m’enculer. Il disait qu’il adorait mon cul ! Qu’il n’allait plus pouvoir s’en passer ! Qu’il voudrait garder son zob enfoncé pour l’éternité dans mon anus ! Que son zob s’y trouvait tellement bien ! Qu’il avait l’impression qu’il y avait à l’intérieur une main très douce qui le masturbait ! Qu’il adorait les culs comme le mien ! Aussi accueillants ! Aussi chauds ! Aussi doux ! Qu’il adorait mon fessier ! Que c’était sur lui que, jeune lycéen, il avait flashé ! Qu’il se masturbait toutes les nuits, en s’imaginant entrain de m’enculer comme cela ! Et…- Enmout alla tramek ! Trem kahloucha ! En-hab ki nikek ‘hakdha melour ! Ou mazal en-‘3awed en-nikek men g’a3rek ! 3’acher marat ! Ra‘hi djaïa ! (J’adore tes fesses ! Des fesses de négresse ! J’aime te baiser comme ça par derrière ! Et je te baiserai encore par l’anus ! Une dizaine de fois ! Je vais jouir !)Et je sentis tout le corps de mon jeune amant se raidir. Il enfonça ses ongles profondément dans la chair de mes hanches et arrêta sa respiration. Une seconde plus tard il explosa dans mon tunnel, en y propulsant ce qui lui restait de sperme - brulant et encore épais - que je sentais ressortir, comme pompé par l’engin qui continuait à aller et venir dans mon boyau. Il alla se répandre sur le carrelage, en suivant la rainure de mes grandes lèvres. En même temps qu’il éjaculait, il poussait un long rugissement, qui rappelait celui du lion qui faisait savoir à ses congénères de la savane, qu’il venait de prendre possession de sa femelle et qu’elle n’appartenait qu’à lui. Il continua encore un moment les va-et-vient furieux de sa belle queue dans mon cul, y éjacula encore ce qui lui restait de sperme, et s’affala, exténué, sur mon dos. Il resta comme cela un long moment, son zob que je sentais mollir petit à petit, toujours planté dans mon anus.
Au bout de quelques minutes, il sortit son engin d’entre mes fesses, se sépara de moi et s’assit par terre. Il avait encore le souffle court et semblait avoir un peu de mal à reprendre complètement ses esprits. Tout comme moi d’ailleurs. Je quittais la position allongée sur le ventre, pour venir m’assoir en tailleur en face de lui. Je me souciais très peu de la position impudique dans laquelle la position en tailleur me mettait : j’avais la chatte ouverte et exposée au regard de mon homme. Madjid était visiblement fasciné par le spectacle. Il ne quittait pas des yeux mon entrecuisse, avec au centre, ma tirelire qui n’arrêtait pas de palpiter. Il avait le regard encore voilé par tout le plaisir qu’il avait pris avec moi depuis plus de deux heures maintenant. Il avait sur les lèvres le sourire, un peu figé, d’un homme en pleine béatitude. Il n’avait pas besoin de prononcer des mots ou des phrases pour dire qu’il était heureux : je lisais sur son visage comme dans un livre. Ses yeux et son sourire hurlaient de bonheur : un bonheur tout nouveau pour lui. Celui d’avoir été un amant vraiment à la hauteur. Il m’avouera beaucoup plus tard, qu’il avait été presque paralysé par la peur de mal faire. Et que s’il était tombé fou amoureux de moi, c’était aussi parce que je lui avais permis d’être un Homme, Un Vrai !
Pendant que lui ne quittait pas des yeux mon entrecuisse, moi je regardais avec curiosité son zob – qui avait perdu sa rigidité et sa vigueur d’avant la sodo, mais qui, même au repos, avait gardé une taille impressionnante. De temps en temps il était parcouru de spasmes qui le faisaient sursauter comme s’il cherchait encore à se mettre en érection. Il gouttait de sperme et, surtout, il était enduit d’un liquide de couleur brunâtre, mélange de sperme et de sécrétions anales. Le tout brillait comme un miroir brunâtre (le zob de mon jeune amant était lui-même très brun) et recommençait à mettre mes sens en émoi. A la vue du spectacle du zob enduit de sperme et des sécrétions de mon rectum, une idée saugrenue traversa mon esprit, complètement perverti par les deux années d’érotisme débridé que je venais de vivre avec mon mari et mes innombrables amants. Je venais de décider de nettoyer la verge de Madjid avec ma bouche.
Mon mari et quelques-uns de mes amants (presque tous, en réalité) avaient souvent exigé de moi – après m’avoir furieusement enculée - que je nettoie leurs zobs, devenus tout mous, avec ma bouche. J’avais, dans un premier temps, détesté cela (cela sentait mauvais et le goût de mes excréments était détestable) mais il ne m’était jamais venu à l’esprit de refuser d’obéir. Et petit à petit, j’avais fini par m’y habituer et même par apprécier la chose. Je me dis donc que ce serait une bonne surprise à faire à mon jeune amant, qui n’avait certainement jamais été traité ainsi par une fille ou une femme, et qui ne devait même pas imaginer qu’une chose pareille pût se faire. J’étais sûre qu’il allait apprécier. Et qu’il allait m’aimer encore plus ! Et qu’il ne voudra plus jamais se séparer de moi ! Je voulais lui montrer que j’étais vraiment une femme exceptionnelle avec laquelle il sera toujours très heureux et qui lui procurera, sa vie durant, tout le plaisir sexuel qu’une femme pouvait lui donner. Dans ma tête j’avais déjà décidé que Madjid deviendra mon amant de cœur attitré.
Je lui demandais de se mettre debout devant moi. Il le fit avec un peu de crainte, ne sachant pas trop ce que je préparais. Je me mis à genoux devant lui et attrapai, avec deux doigts, la base de son zob ramolli, mais qui continuait à avoir des spasmes involontaires. J’avançais la tête vers son bas-ventre, sortis la langue et me mis à lécher avec soin le gland, duquel sortaient encore quelques gouttes de sperme. Puis je fis courir ma langue, avec beaucoup d’application, tout le long de la hampe, en faisant de nombreux allers-retours entre la base du zob et le gland. De temps en temps, je levais la tête pour voir comment Madjid prenait la chose. Au début, je lisais dans ses yeux de l’étonnement (peut-être même du dégoût, pensai-je un moment) et puis je le vis sourire et se mettre à pousser de petits gloussements de contentement. Il adorait !
Il adorait tellement que je vis sa queue – pourtant bien fatiguée par les efforts qu’elle avait fourni depuis plus de deux heures – se mettre à frétiller et à se réveiller lentement, jusqu’à atteindre sa taille de combat. Il bandait très fort, pendant que je continuais mon œuvre de nettoyage. Elle avait repris toute sa vigueur de tantôt. Je sentais qu’il voulait me l’enfoncer dans la bouche. Il poussait, avec plus de douceur et moins de brutalité que tout à l’heure, son bassin vers l’avant, comme pour me demander d’ouvrir toute grande ma bouche, pour y faire pénétrer son engin. Mais moi je ne voulais pas qu’il me baise par la bouche. Je voulais qu’il me défonce la chatte.
- Machi mel-foum ! Men hatchouni! Dakhel ‘hou-li begari! (Par par la bouche! Par ma chatte ! Enfonce-le moi en levrette !)Sans attendre sa réponse, je me levai et allai me positionner à quatre pattes en travers du fauteuil. Je relevai le plus haut que je pus mon fessier et pour le mettre à la bonne hauteur. Je voulais qu’il me baise en restant debout. C’était pour moi un gage qu’il allait me tirer en force et qu’il allait encore une fois me faire sentir toute la puissance de sa verge. Je tournai la tête pour lui ordonner de me tirer.
- Kesser-li hatchouni! Dekhal zebek bel-qouwa! Zid nik Warda! Warri-l‘ha qouwat zebek ! (Démolis-moi la chatte ! Enfonce ton zob en puissance! Baise encore Warda ! montre-lui la puissance de ton zob !) Et il me baisa ! Comme il savait si bien le faire ! En force et en puissance ! Et il me fit jouir une fois de plus. Et lui aussi eut un orgasme. Il est vrai que la jouissance que nous eûmes tous les deux, n’avait pas l’intensité des précédentes. Ni lui, ni moi n’avions la forme olympique. Ce fut une jouissance douce et tranquille. Une jouissance qui nous donna à tous les deux, l’envie de nous reposer dans le bras l’un de l’autre. Et de nous endormir.
Nous nous étions assoupis un moment sur le fauteuil. Je suis incapable de dire combien de temps. Je me levai la première et réveillai mon jeune amant. Je l’emmenai dans la salle de bain pour que nous y prenions une douche froide qui nous remettra d’aplomb. Il m’avait dit qu’il était temps qu’il retourne à son travail. Ses employés devaient s’inquiéter de sa trop longue absence. Ils savaient très bien que l’installation d’un ordinateur ne prenait pas autant de temps. Moi je voulais le garder encore un moment avec moi. En fait j’aurai souhaité qu’il reste à la maison jusqu’à l’arrivée de Salim, mon mari. Je voulais qu’ils fassent connaissance et que Madjid apprenne de la bouche de mon mari – qui savait dire les choses beaucoup que moi – comment notre couple vivait sa sexualité. Il m’expliqua qu’il devait absolument partir, mais qu’il aimerait revenir tous les jours.
Il me dit qu’après ce qui s’était passé entre nous, il ne pouvait plus imaginer la vie sans moi. Qu’il était sûr qu’il était tombé follement amoureux de moi. Il prétendait même qu’il avait toujours été amoureux de moi. Depuis sa première année de lycée. Depuis que j’avais été son professeur d’arabe. J’étais vraiment heureuse d’entendre qu’il voulait continuer d’avoir des relations ave moi. C’était exactement ce que je voulais. Certes, il était encore très jeune ; mais cela m’importait peu. Au contraire, je me disais que parce qu’il était jeune – et qu’il était très doué pour l’amour – il ne pouvait que s’améliorer encore et me donner toujours plus de plaisir. Mais je ne voulais pas qu’il parte avant que je ne lui dise quelques mots sur notre mode de vie à Salim et à moi. Je ne savais pas trop comment m’y prendre.
J’avais peur de le scandaliser, en lui avouant que j’avais eu beaucoup d’amants ; et avec la bénédiction de mon mari. Je savais que la morale ambiante ne pouvait pas accepter ce mode de vie immoral. Et plus que cela, rares étaient les hommes qui pouvaient accepter de partager leurs femmes. Ce ne pouvait pas être des hommes normalement constitués : des cocus qui ignoraient qu’ils avaient des cornes, le monde en recélait des grandes quantités. Mais des cocus assumés, il était impensable qu’il pût en exister ; surtout dans un pays comme le nôtre. J’étais convaincue que Madjid, qui n’était pas un intellectuel, serait incapable de comprendre et d’accepter ce que j’allais lui avouer. La seule école qu’il ait connue, c’était l’école fondamentale. Une école à base d’idéologie islamiste, qui n’a produit, depuis qu’elle avait remplacé l’école rationaliste qui existait auparavant, que du puritanisme de plus en plus exacerbé. J’avais vraiment peur de sa réaction. Je ne voulais pas perdre aussi vite un amant aussi exceptionnel, que je venais à peine de connaître. Je me lançais tout de même, en lui parlant de mon mari.
Je lui dis que quand j’annoncerai à Salim, que j’avais fait la connaissance d’un jeune homme vraiment exceptionnel, il allait en être très heureux. Je vis immédiatement de l’incompréhension dans les yeux de mon jeune amant. Il pensait avoir mal compris ce que je venais de lui dire.
- Tu vas dire à ton mari que tu as reçu à la maison un technicien en informatique qui t’a aidée à installer ton nouveau PC ? Je pense qu’il sera mécontent et jaloux.
- Non je lui raconterai ce qui s’est passé entre nous.
- Tu es folle ! Il va te tuer ! Et il cherchera à me tuer aussi !
- Non, il en sera très heureux !
- Je ne comprends rien ! Tu veux dire que ton mari sera heureux d’apprendre que tu l’as trompé ave moi ? Ce n’est pas possible ! Tu te moques de moi !
- Non ! Ecoute-moi bien : Salim n’est pas comme les maris traditionnels. Il m’aime avec passion et ne pourra jamais se séparer de moi. Et plus que tout, il veut que je sois la femme la plus heureuse du monde. Il connait mon goût immodéré pour le sexe. Il adore que je prenne du plaisir entre ses bras, et même entre les bras d’autres hommes. C’est lui qui m’a procuré mon premier amant. Et il a été aussi heureux que moi de l’immense plaisir que j’avais pris entre ses bras. Quand je lui ai raconté tout ce que j’avais ressenti sous les coups de boutoirs de mon amant, il en avait été aussi excité qu’un bouc. Et il m’avait fait l’amour comme un taureau.
- C’est complètement fou ! Et tu lui raconteras ce que nous venons de faire tous les deux ?
- Bien entendu ! Et il me fera l’amour toute la nuit en m’écoutant lui raconter tout le bonheur que j’ai pris dans tes bras ! Tu es scandalisé ?
- Je suis surtout étonné. Je n’aurais jamais imaginé qu’une chose pareille pouvait exister chez nous ! J’ai bien vu cela dans des films occidentaux et dans beaucoup de films érotiques et pornographiques, mais pour moi, ce n’était que de la fiction.
- Dis-moi que tu n’es pas scandalisé et que tu reviendras ! Je ne veux pas te perdre ! Je veux te présenter à mon mari. Tu verras, vous allez vous entendre très bien. Il te plaira beaucoup. Dis-moi oui !
Madjid resta un long moment silencieux. Son silence me mettait sur des charbons ardents. Je le devinais qui réfléchissait et qui essayait de comprendre la situation. Je le devinais qui pesait le pour et le contre : d’une part, il pensait sincèrement qu’il était tombé amoureux de moi et qu’il ne voudrait à aucun prix que notre relation cessât, au moment même où elle avait commencé. Il avait aussi tellement pris de plaisir entre mes bras, qu’il voulait que cette situation de bonheur sexuel, devienne permanente. D’un autre côté, il imaginait mal une relation sous la surveillance d’un mari complètement barjot et anormal. Et puis, il n’était pas du genre partageur. Il pouvait à la limite accepter que je baise avec mon mari, pour la forme et pour qu’il n’ait pas de soupçons quant à mon infidélité; mais il accepterait très mal, que sa maîtresse prenne du plaisir avec un autre homme que lui ; fût-il son mari ! J’en étais là à supputer tout ce qui lui passait par la tête, le cœur serré dans un étau d’angoisse, quand il se mit à parler.
- Je reviens demain ! Mais je ne veux pas encore rencontrer ton mari. Je veux te connaître un peu plus intimement et que tu me parles de ton mari et de toutes vos aventures. Je suis d’une nature jalouse et je n’aime pas partager. Je ne crois pas que cela pourra marcher entre nous, si tu continues à avoir des amants.
Je ne dis rien, mais en mon for intérieur je jubilais. J’avais gagné. Madjid acceptait de revenir et de continuer d’être mon amant. Je savais maintenant que j’allais finir par le convaincre de vivre intensément la vie que nous menions Salim et moi. Il suffisait juste d’un peu de temps pour le convaincre.
…/…

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