Magasin pour le plaisir des femmes
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Magasin pour le plaisir des femmes
En passant.
Mon chef et moi avons des rapports peu communs entre chef et employée: nous sommes amants depuis que je suis dans la boite. Il est marié, ne m’a jamais rien promis, sinon sa bite souvent. Je ne le trompe pas par manque de temps et pour ne pas avoir de problèmes éventuels de jalousie.
Je vais au travail à pieds: je ne suis qu’à 5 minutes. Je part toujours une peu plus tôt pour musarder en regarder le vitrine. Cet été, je ne me pose pas de problèmes existentiels: aussi curieuse je m’intéresse à tout, particulièrement à un magasin fermé qui semble avoir changé de propriétaire.
Qui, pourquoi faire, homme, femme, je suis curieuse et veux savoir. Rien à faire pour le moment. C’est bien bouché et pourtant j’ai bien vu bouger quelque chose. J’en aurai le cœur net. Au retour vers 15 heures 05 (c’est précis) je vois enfin une personne sortir de cet immeuble. Je crois que c’est une femme. Désormais je me mue en policière amatrice. Je vais attendre sur place, pendant le temps qu’il faudra, tant pis pour le bureau, je raconterai une belle histoire et mon chef « bien aimé « me comprendra, come toujours.
Je fais le pied de grue jusqu’à 13 heures quand je vois une jolie fille se dirigeant vers la façade. Je vais vers elle en me dépêchant pour être bien sure de l’interroger. J’ai juste le temps, enfin je vais savoir, mon rôle de flic sera terminé.
- Excusez moi, je suis indiscrète sans doute, j’aimerai savoir quel genre commerce va ouvrir.
- Ne vous excusez pas. J’ouvre la semaine prochaine un magasin destiné au plaisir féminin.
- Au plaisir féminin ?
- C’est tendance ces derniers temps.
J’ai sans doute l’air ahuri.
- Entrez je met en rayon: je ne peux pas laisser à la vue de tous ce que je vend.
Elle me fait entrer dans un caverne d’Ali Baba: des cartons ouverts en cours de déballage, certaines étagères sont remplis de produits à vendre dans des petits paquets. A l’arrière de la boutique elle me montre la cabine d’essayage avec deux lits séparés par un rideau.
Nous revenons dans la salle principale. Enfin elle me montre ce qu’elle va vendre: des jouets féminins allant du simple godemichet jusqu’au plus inventif. Elle y a des stimulateurs pour clitoris, pour prostates, des doubles godes pour utiliser seule ou à deux, des boulles de geisha, entre autres. Le principal mérite une attention particulière une machine à baiser accompagnée de plusieurs godes de tailles différentes. Elle prend un double gode:
- Si nous étions amantes, je me servirai de ce gode que je mettrai dans ma chatte avant de vous le mettre dans la votre. Avant j’aurai taquiner le clitoris et mis un chapelet dans l’anus. Elle me le montre même. Ce discours, la vue de ce qu’elle tient me donne une envie folle de jouir. J’ai mon string totalement mouillé. Elle me fait une confidence:
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
Je répond sans trop savoir ce qui va ce passer. Le début est des plus simple; elle me prend la bouche, sa langue est vite contre la mienne. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Heureusement que la porte est fermée: nous aurions l’air fines à nous exhiber ainsi.
Malgré moi je suis attirée par son corps, je me serre contre elle. Mes seins durcissent comme si mon patron était avec moi. Elle soulève ma jupe, passe sa main dessous. Il me tarde qu’elle arrive en haut pour me caresser la chatte. Je me contente comme je peux en mettant mes mains sur sa poitrine: beaux seins durs comme de la pierre.
Enfin elle engage deux doigts sous mon string. Elle trouve bien vite le clitoris. Je tends mon ventre vers elle. Mon minou est encore plus mouillé que tout à l’heure. Je veux embrasser sa poitrine, je trouve la faille: elle porte une chemise d’homme. Je défais les boutons: elle est nue dessous. Ma bouche n’attend pas pour aller sucer ses mamelons. Elle en profite pour gémir en disant
- Oui, c’est bon,
Et en cherchant comment me mettre toute nue. Elle baisse ma jupe, je lève les pieds pour l’enlever. Elle baisse mon string que j’enlève de la même façon. En étant presque à genoux, elle passe sa langue sur ma chatte. Je commence à sentir monter un plaisir différent qu’avec un homme: c’est bien plus câlin et caressant. J’écarte un peu les jambes. Elle m’envoie en l’air: pour la première fois une fille me fait jouir.
Elle se relève pour que nous allions dans la salle d’essayage. Elle a prit ce qu’il fallait pour nous accompagner. A peine dans le pièce, nous nous mettons nues. Je lui pose les questions qui me brulent la langue: --- Tu sais baiser les filles ?
- Pas plus que toi.
- Pour la suite ?
- Ca viendra tout seul.
C’est venu tout seul quand avant de nous branler nous nous mettons en 69. Notre première étreinte féminine. C’est excitant, jouissif, à ne pas cesser tellement nous aimons cette position. Nous jouissons ensemble pour cette première. Nous recommençons plusieurs fois en alternant celle sui est dessus. Elle me donne le chapelet: je ne sais pas trop comment m’en servir, à tout hasard j’entre les boules de la plus petite à la plus grande. Je vois l’ouverture de son anus s’ouvrir à chaque passage et se fermer après introduction. Je vois tout, bien sur je suis plus qu’excitée: elle me voit mouiller alors elle me lèche encore.
Je sors très lentement les boules. A chaque passage le phénomène inverse à l’entrée se produit: plus qu’excitant. Pour elle c’est le bonheur assuré: elle jouit à chaque sortie. Je fais trainer volontairement la sortie pour que son plaisir dure. Quand j’en suis à la dernière boule elle cri qu’elle jouit, qu’elle va mourir après ça.
C’est à mon tour de passer à la casserole: elle se sert du stimulateur de clitoris. C’est encore meilleur que ce que je croyais. Ces engins sont réellement fait pour les femmes, surtout maniés par une autre femme.
Nous ne sommes pas rassasiées. Nous prenons un double gode. Nous sommes couchées fesses contre fesses. Elle s’enfile le gode dans la chatte à fond, me le met également presque à fond: elle le fait aller et venir comme elle l’entend. Outre sa grosseur il est assez flexible pour simuler une véritable bite. Nous ne tenons pas longtemps avant de jouir presque ensemble, moi juste un poil après.
Il nous manque le principal: la machine à baiser. La « funck machine« . Nous la montons avec difficultés, toujours nues, ce qui nous permet de nous amuser en pinçant un sein, une fesse. Nous tirons au sort pur savoir que va l’utiliser la première. Ca tombe sur elle.
Elle est presque assise sur le siège en face du bras principal. Elle choisit son gode particulier. Je le monte sur la bras: avant je l’ai mis dans ma chatte. Il est mouillé: elle attend fébrilement:
- Vite, mets moi le, j’en meurs d’envie.
- Comme moi.
Je lui donne le gode qu’elle entre à peine dans sa conduite. Je mets la machine en route. Elle commence des allers et venues lents. Elle a les bras sur sa tête tournée vers une épaule, les yeux déjà fermés par le début de plaisir. J’accélère les mouvements, elle gémit de plus en plus fort.
Je la regarde en me masturbant avec deux doigts dans mon conduit à plaisir, elle prend son pied c’est certaine: elle gémit de plus en plus fort pour finalement hurler quand elle jouit. Cette fois elle est flapie:
- Arrêtes un instant. Je vais te baiser avec.
- Oui, tu peux même m’enculer en même temps.
C’est bizarre que je demande à une autre fille de me sodomiser. J’en profite encore plus en lui demandant une double pénétration, chose que je n’ai pas pratiqué depuis au moins que je suis entrée là où je travaille.
Pas contrariante, elle arrange deux godes sur les bras, elle prends ma cyprine pour mettre sur mon anus qu’elle caresse à sa façon, en y entrant doucement deux doigts. La garce, elle va me faire jouir trop tôt. Elle calcule bien son coup pour que mon plaisir soit le plus fort; elle me fait mettre sur le ventre. Mes jambes sont ainsi bien écartées. Je ne vois pas ce qu’elle fait, je sens par contre fort bien la suite quand elle me baise avec le premier gode. Si elle me le met, elle attend d’actionner la machine. Lentement elle me met un autre gode, plus fin que le premier. Je le sens entrer dans mon ventre. Elle me fait du bien comme ce n’est pas permis.
Je sursaute quand elle met la machine en route. Je me fait baiser et enculer à la fois: elle a réglé magnifiquement les mouvements alternatifs des godemichés. Je ne sais comment me mettre. Je résiste tant que je peux à ce plaisir qui monte depuis mon entrejambe jusqu’à ma tête, en descendant le long de la colonne vertébrale pour remonter vers ma poitrine. Je m’entends gémir de plus en plus. Je crois avoir crié en jouissant. Pour accompagner mes orgasmes, elle vient me caresser le dos et les fesses, surtout les fesses. Elle passe un main dans ma raie jusqu’à venir contre le gode.
Je demande à me relever, je n’en peux plus de jouir. Elle m’aide à me relever.
Nous nous serons encore une fois en nous embrassons.
- A propos, je m’appelé Jo. Et toi ?
- Moi ? Jacky.
- Tu as bien joui Jack ?
- Je n’ai pas joui j’ai survolé le mont des plaisirs. Et toi ?
- Tu m’a bien baisée. J’ai aimé.
L’heure a rapidement tournée, il est 22 heures. Nous sommes toujours dans la tenue d’Eve, sans vouloir nous rhabiller. J’ai envie de la surprendre.
Je passe un coup de fil à mon patron. Il répond après un long moment. Je crains de l’avoir surpris dans une activité normale.
- Bonsoir, excuses moi. Je ne baisais pas ?
- Si j’enculais ma femme.
- Comme tu me fais ,
- Bien sur, il n’y a pas trente six mille façon de sodomiser son épouse: elle aime comme moi……..comme toi aussi.
- J’avais une proposition à te faire: viens chez une copine, nous baiserons en trio. Tu m’en a déjà parlé une fois. Tu es partant.
- J’aimerai bien, mais ma femme.
- Emmènes là.
Ainsi nous nous retrouvons trois filles et un homme qui nous voyant nues, Jo et moi, commence à bander. Sa femme que je ne connaissais pas me parait bien baisable pour un homme en tout cas, pour une partie avec d’autres femmes je ne sais pas, il faut l’essayer. C’est Jo qui s’occupe d’elle, pendant que j’embrasse le patron. Je passe ma main sur sa bite; il bande déjà, je sort l’engin, celui qui me permet de rester avec lui: elle est parfaite pour mon vagin et ma bouche. Mon cul l’apprécie. Je ne veux pas le faire jouir maintenant, je ne voudrai pas le faire même, j’aimerai le voir baiser sa femme.
Jo en tout cas n’est pas de cet avis: elle voudrait se la payer. Guéty, la femme semble d’accord:
- Ca me rappelle quand j’étais jeune que je baisais une copine.
- Tu es garce, ajoute son marie, quand je te demande d’en baiser une tu refuses
- Je te le refuse, mais jamais quand une autre femme me le demande.
Je ne participe pas à la discussion: il me l’a bien demandé aussi deux ou trois fois. Maintenant il a trois femmes à sa disposition. Il peut se les farcir toutes s’il me veut.
La femme, Guéty semble du genre sensuelle. Elle est en plus très coquine: elle attaque bille en tête Jo en lui passant une main entre les cuisses. Elle ne trouve aussitôt le bouton qu’elle branle; Jo se tortille en tous sens en geignant. Elle me donnent envie moï aussi de participer à leurs caresses. Je vais derrière Guéty, caresse ses fesses avant d’aller sans hésitation sur son anus: je sais qu’elle a été enculée tout à l’heure. J’espère même que du sperme est en elle. Je sens bien qu’elle est mouillée, ce n’est que de la cyprine. Mon doigt suivi de deux autres entre facilement. Pour elle le paradis est proche avec une main dans son cul et une autre dans sa chatte. Je suis obligée de la tenir pour qu’elle ne tombe pas.
Enfin son mari bouge, je ne sais vers qui il va aller: si c’est Jo, elle est occupée par la main de sa femme. Il ne reste plus que moi à venir chatouiller. C’est bien ce qu’il fait. Il m’embrasse dans le cou, il me fait frémir. Il passe sa main sur ma poitrine, il la connais déjà aussi il sait quoi me faire. Je sens sa bite contre mes fesses, pile sur la raie. Il me tarde qu’il descende sa main vers mon abricot. C’est-ce qu’il fait: il me caresse le clitoris, lentement, trop lentement. Je sens que son corps se détache du mien: il est baissé pour me mettre sa pine dans le cul lentement comme il fait toujours, avant d‘aller totalement au fond et de revenir. Il sort de mon anus pour m’enculer à nouveau. Il est le seul à m’avoir faite jouir ainsi.
Jo est branlée par la femme du patron qui m’encule, elle caresse sa femme que je pénètre avec mes doigts dans son anus, pendant que je me fait également enculer par le patron. Drôle de répartition des rôles. Nous sommes tous secoués par le même raz de marée: nous jouissons presque en même temps. J’ai une bonne dose de sperme dans le ventre.
Jo a l’idée épatante de mettre à l’épreuve Guéty avec la machine à baiser. Nous sommes tous en spectateurs: elle se met sur le siège, écarte bien les jambes avant de recevoir un gode spécialement choisi pour elle: une véritable monstruosité. On dirait une bite de cheval. Guety dispose les étriers comme sur une table de gynécologue. Jo les écarte au maximum. Elle met la bite en contact avec le con de cette femme: elle l’enfonce par degré dans le ventre Guety hurle de douleur au début: son vagin s’écarte fort bien ensuite. Le gode entre finalement facilement. Guety ne se plaint plus, elle gémit de bonheur. Nous restons stupéfaits devant la grosseur « avalée ». Les réactions ne se font pas entendre: elle comment à geindre puis à crier plusieurs fois quand elle reçoit ses orgasmes. Pour être bien dans sa jouissance, elle demande à son mari de lui donner sa bite. Elle la suce en professionnelle, En bonne camarade elle veut le partager le sperme avec nous, ce que nous faisons.
Le jour se lève: nous nous rhabillons tous pour aller déjeuner dans le bistrot du coin.
Si mon patron ne fait jamais allusion à cette nuit là, par contre avec Jo nous nous voyons souvent pour « essayer » les nouveautés. Sa boutique marche du feu de dieu: les femmes sont bien présentent sur ce marché. Quand à Guety, nous la voyons souvent juste pour tirer un coup vite fait, trop vite fait. Elle vient quelques fois pour se branler avec la machine à baiser.
J’oubliai: je porte des boules de geisha; je suis toujours prête pour baiser.
Mon chef et moi avons des rapports peu communs entre chef et employée: nous sommes amants depuis que je suis dans la boite. Il est marié, ne m’a jamais rien promis, sinon sa bite souvent. Je ne le trompe pas par manque de temps et pour ne pas avoir de problèmes éventuels de jalousie.
Je vais au travail à pieds: je ne suis qu’à 5 minutes. Je part toujours une peu plus tôt pour musarder en regarder le vitrine. Cet été, je ne me pose pas de problèmes existentiels: aussi curieuse je m’intéresse à tout, particulièrement à un magasin fermé qui semble avoir changé de propriétaire.
Qui, pourquoi faire, homme, femme, je suis curieuse et veux savoir. Rien à faire pour le moment. C’est bien bouché et pourtant j’ai bien vu bouger quelque chose. J’en aurai le cœur net. Au retour vers 15 heures 05 (c’est précis) je vois enfin une personne sortir de cet immeuble. Je crois que c’est une femme. Désormais je me mue en policière amatrice. Je vais attendre sur place, pendant le temps qu’il faudra, tant pis pour le bureau, je raconterai une belle histoire et mon chef « bien aimé « me comprendra, come toujours.
Je fais le pied de grue jusqu’à 13 heures quand je vois une jolie fille se dirigeant vers la façade. Je vais vers elle en me dépêchant pour être bien sure de l’interroger. J’ai juste le temps, enfin je vais savoir, mon rôle de flic sera terminé.
- Excusez moi, je suis indiscrète sans doute, j’aimerai savoir quel genre commerce va ouvrir.
- Ne vous excusez pas. J’ouvre la semaine prochaine un magasin destiné au plaisir féminin.
- Au plaisir féminin ?
- C’est tendance ces derniers temps.
J’ai sans doute l’air ahuri.
- Entrez je met en rayon: je ne peux pas laisser à la vue de tous ce que je vend.
Elle me fait entrer dans un caverne d’Ali Baba: des cartons ouverts en cours de déballage, certaines étagères sont remplis de produits à vendre dans des petits paquets. A l’arrière de la boutique elle me montre la cabine d’essayage avec deux lits séparés par un rideau.
Nous revenons dans la salle principale. Enfin elle me montre ce qu’elle va vendre: des jouets féminins allant du simple godemichet jusqu’au plus inventif. Elle y a des stimulateurs pour clitoris, pour prostates, des doubles godes pour utiliser seule ou à deux, des boulles de geisha, entre autres. Le principal mérite une attention particulière une machine à baiser accompagnée de plusieurs godes de tailles différentes. Elle prend un double gode:
- Si nous étions amantes, je me servirai de ce gode que je mettrai dans ma chatte avant de vous le mettre dans la votre. Avant j’aurai taquiner le clitoris et mis un chapelet dans l’anus. Elle me le montre même. Ce discours, la vue de ce qu’elle tient me donne une envie folle de jouir. J’ai mon string totalement mouillé. Elle me fait une confidence:
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
Je répond sans trop savoir ce qui va ce passer. Le début est des plus simple; elle me prend la bouche, sa langue est vite contre la mienne. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Heureusement que la porte est fermée: nous aurions l’air fines à nous exhiber ainsi.
Malgré moi je suis attirée par son corps, je me serre contre elle. Mes seins durcissent comme si mon patron était avec moi. Elle soulève ma jupe, passe sa main dessous. Il me tarde qu’elle arrive en haut pour me caresser la chatte. Je me contente comme je peux en mettant mes mains sur sa poitrine: beaux seins durs comme de la pierre.
Enfin elle engage deux doigts sous mon string. Elle trouve bien vite le clitoris. Je tends mon ventre vers elle. Mon minou est encore plus mouillé que tout à l’heure. Je veux embrasser sa poitrine, je trouve la faille: elle porte une chemise d’homme. Je défais les boutons: elle est nue dessous. Ma bouche n’attend pas pour aller sucer ses mamelons. Elle en profite pour gémir en disant
- Oui, c’est bon,
Et en cherchant comment me mettre toute nue. Elle baisse ma jupe, je lève les pieds pour l’enlever. Elle baisse mon string que j’enlève de la même façon. En étant presque à genoux, elle passe sa langue sur ma chatte. Je commence à sentir monter un plaisir différent qu’avec un homme: c’est bien plus câlin et caressant. J’écarte un peu les jambes. Elle m’envoie en l’air: pour la première fois une fille me fait jouir.
Elle se relève pour que nous allions dans la salle d’essayage. Elle a prit ce qu’il fallait pour nous accompagner. A peine dans le pièce, nous nous mettons nues. Je lui pose les questions qui me brulent la langue: --- Tu sais baiser les filles ?
- Pas plus que toi.
- Pour la suite ?
- Ca viendra tout seul.
C’est venu tout seul quand avant de nous branler nous nous mettons en 69. Notre première étreinte féminine. C’est excitant, jouissif, à ne pas cesser tellement nous aimons cette position. Nous jouissons ensemble pour cette première. Nous recommençons plusieurs fois en alternant celle sui est dessus. Elle me donne le chapelet: je ne sais pas trop comment m’en servir, à tout hasard j’entre les boules de la plus petite à la plus grande. Je vois l’ouverture de son anus s’ouvrir à chaque passage et se fermer après introduction. Je vois tout, bien sur je suis plus qu’excitée: elle me voit mouiller alors elle me lèche encore.
Je sors très lentement les boules. A chaque passage le phénomène inverse à l’entrée se produit: plus qu’excitant. Pour elle c’est le bonheur assuré: elle jouit à chaque sortie. Je fais trainer volontairement la sortie pour que son plaisir dure. Quand j’en suis à la dernière boule elle cri qu’elle jouit, qu’elle va mourir après ça.
C’est à mon tour de passer à la casserole: elle se sert du stimulateur de clitoris. C’est encore meilleur que ce que je croyais. Ces engins sont réellement fait pour les femmes, surtout maniés par une autre femme.
Nous ne sommes pas rassasiées. Nous prenons un double gode. Nous sommes couchées fesses contre fesses. Elle s’enfile le gode dans la chatte à fond, me le met également presque à fond: elle le fait aller et venir comme elle l’entend. Outre sa grosseur il est assez flexible pour simuler une véritable bite. Nous ne tenons pas longtemps avant de jouir presque ensemble, moi juste un poil après.
Il nous manque le principal: la machine à baiser. La « funck machine« . Nous la montons avec difficultés, toujours nues, ce qui nous permet de nous amuser en pinçant un sein, une fesse. Nous tirons au sort pur savoir que va l’utiliser la première. Ca tombe sur elle.
Elle est presque assise sur le siège en face du bras principal. Elle choisit son gode particulier. Je le monte sur la bras: avant je l’ai mis dans ma chatte. Il est mouillé: elle attend fébrilement:
- Vite, mets moi le, j’en meurs d’envie.
- Comme moi.
Je lui donne le gode qu’elle entre à peine dans sa conduite. Je mets la machine en route. Elle commence des allers et venues lents. Elle a les bras sur sa tête tournée vers une épaule, les yeux déjà fermés par le début de plaisir. J’accélère les mouvements, elle gémit de plus en plus fort.
Je la regarde en me masturbant avec deux doigts dans mon conduit à plaisir, elle prend son pied c’est certaine: elle gémit de plus en plus fort pour finalement hurler quand elle jouit. Cette fois elle est flapie:
- Arrêtes un instant. Je vais te baiser avec.
- Oui, tu peux même m’enculer en même temps.
C’est bizarre que je demande à une autre fille de me sodomiser. J’en profite encore plus en lui demandant une double pénétration, chose que je n’ai pas pratiqué depuis au moins que je suis entrée là où je travaille.
Pas contrariante, elle arrange deux godes sur les bras, elle prends ma cyprine pour mettre sur mon anus qu’elle caresse à sa façon, en y entrant doucement deux doigts. La garce, elle va me faire jouir trop tôt. Elle calcule bien son coup pour que mon plaisir soit le plus fort; elle me fait mettre sur le ventre. Mes jambes sont ainsi bien écartées. Je ne vois pas ce qu’elle fait, je sens par contre fort bien la suite quand elle me baise avec le premier gode. Si elle me le met, elle attend d’actionner la machine. Lentement elle me met un autre gode, plus fin que le premier. Je le sens entrer dans mon ventre. Elle me fait du bien comme ce n’est pas permis.
Je sursaute quand elle met la machine en route. Je me fait baiser et enculer à la fois: elle a réglé magnifiquement les mouvements alternatifs des godemichés. Je ne sais comment me mettre. Je résiste tant que je peux à ce plaisir qui monte depuis mon entrejambe jusqu’à ma tête, en descendant le long de la colonne vertébrale pour remonter vers ma poitrine. Je m’entends gémir de plus en plus. Je crois avoir crié en jouissant. Pour accompagner mes orgasmes, elle vient me caresser le dos et les fesses, surtout les fesses. Elle passe un main dans ma raie jusqu’à venir contre le gode.
Je demande à me relever, je n’en peux plus de jouir. Elle m’aide à me relever.
Nous nous serons encore une fois en nous embrassons.
- A propos, je m’appelé Jo. Et toi ?
- Moi ? Jacky.
- Tu as bien joui Jack ?
- Je n’ai pas joui j’ai survolé le mont des plaisirs. Et toi ?
- Tu m’a bien baisée. J’ai aimé.
L’heure a rapidement tournée, il est 22 heures. Nous sommes toujours dans la tenue d’Eve, sans vouloir nous rhabiller. J’ai envie de la surprendre.
Je passe un coup de fil à mon patron. Il répond après un long moment. Je crains de l’avoir surpris dans une activité normale.
- Bonsoir, excuses moi. Je ne baisais pas ?
- Si j’enculais ma femme.
- Comme tu me fais ,
- Bien sur, il n’y a pas trente six mille façon de sodomiser son épouse: elle aime comme moi……..comme toi aussi.
- J’avais une proposition à te faire: viens chez une copine, nous baiserons en trio. Tu m’en a déjà parlé une fois. Tu es partant.
- J’aimerai bien, mais ma femme.
- Emmènes là.
Ainsi nous nous retrouvons trois filles et un homme qui nous voyant nues, Jo et moi, commence à bander. Sa femme que je ne connaissais pas me parait bien baisable pour un homme en tout cas, pour une partie avec d’autres femmes je ne sais pas, il faut l’essayer. C’est Jo qui s’occupe d’elle, pendant que j’embrasse le patron. Je passe ma main sur sa bite; il bande déjà, je sort l’engin, celui qui me permet de rester avec lui: elle est parfaite pour mon vagin et ma bouche. Mon cul l’apprécie. Je ne veux pas le faire jouir maintenant, je ne voudrai pas le faire même, j’aimerai le voir baiser sa femme.
Jo en tout cas n’est pas de cet avis: elle voudrait se la payer. Guéty, la femme semble d’accord:
- Ca me rappelle quand j’étais jeune que je baisais une copine.
- Tu es garce, ajoute son marie, quand je te demande d’en baiser une tu refuses
- Je te le refuse, mais jamais quand une autre femme me le demande.
Je ne participe pas à la discussion: il me l’a bien demandé aussi deux ou trois fois. Maintenant il a trois femmes à sa disposition. Il peut se les farcir toutes s’il me veut.
La femme, Guéty semble du genre sensuelle. Elle est en plus très coquine: elle attaque bille en tête Jo en lui passant une main entre les cuisses. Elle ne trouve aussitôt le bouton qu’elle branle; Jo se tortille en tous sens en geignant. Elle me donnent envie moï aussi de participer à leurs caresses. Je vais derrière Guéty, caresse ses fesses avant d’aller sans hésitation sur son anus: je sais qu’elle a été enculée tout à l’heure. J’espère même que du sperme est en elle. Je sens bien qu’elle est mouillée, ce n’est que de la cyprine. Mon doigt suivi de deux autres entre facilement. Pour elle le paradis est proche avec une main dans son cul et une autre dans sa chatte. Je suis obligée de la tenir pour qu’elle ne tombe pas.
Enfin son mari bouge, je ne sais vers qui il va aller: si c’est Jo, elle est occupée par la main de sa femme. Il ne reste plus que moi à venir chatouiller. C’est bien ce qu’il fait. Il m’embrasse dans le cou, il me fait frémir. Il passe sa main sur ma poitrine, il la connais déjà aussi il sait quoi me faire. Je sens sa bite contre mes fesses, pile sur la raie. Il me tarde qu’il descende sa main vers mon abricot. C’est-ce qu’il fait: il me caresse le clitoris, lentement, trop lentement. Je sens que son corps se détache du mien: il est baissé pour me mettre sa pine dans le cul lentement comme il fait toujours, avant d‘aller totalement au fond et de revenir. Il sort de mon anus pour m’enculer à nouveau. Il est le seul à m’avoir faite jouir ainsi.
Jo est branlée par la femme du patron qui m’encule, elle caresse sa femme que je pénètre avec mes doigts dans son anus, pendant que je me fait également enculer par le patron. Drôle de répartition des rôles. Nous sommes tous secoués par le même raz de marée: nous jouissons presque en même temps. J’ai une bonne dose de sperme dans le ventre.
Jo a l’idée épatante de mettre à l’épreuve Guéty avec la machine à baiser. Nous sommes tous en spectateurs: elle se met sur le siège, écarte bien les jambes avant de recevoir un gode spécialement choisi pour elle: une véritable monstruosité. On dirait une bite de cheval. Guety dispose les étriers comme sur une table de gynécologue. Jo les écarte au maximum. Elle met la bite en contact avec le con de cette femme: elle l’enfonce par degré dans le ventre Guety hurle de douleur au début: son vagin s’écarte fort bien ensuite. Le gode entre finalement facilement. Guety ne se plaint plus, elle gémit de bonheur. Nous restons stupéfaits devant la grosseur « avalée ». Les réactions ne se font pas entendre: elle comment à geindre puis à crier plusieurs fois quand elle reçoit ses orgasmes. Pour être bien dans sa jouissance, elle demande à son mari de lui donner sa bite. Elle la suce en professionnelle, En bonne camarade elle veut le partager le sperme avec nous, ce que nous faisons.
Le jour se lève: nous nous rhabillons tous pour aller déjeuner dans le bistrot du coin.
Si mon patron ne fait jamais allusion à cette nuit là, par contre avec Jo nous nous voyons souvent pour « essayer » les nouveautés. Sa boutique marche du feu de dieu: les femmes sont bien présentent sur ce marché. Quand à Guety, nous la voyons souvent juste pour tirer un coup vite fait, trop vite fait. Elle vient quelques fois pour se branler avec la machine à baiser.
J’oubliai: je porte des boules de geisha; je suis toujours prête pour baiser.
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