Mais oui, c'est elle 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Mais oui, c'est elle 2
Elle n’a pas dit non. Elle a été sauvée par l’arrivée de la personne attendue. Elle sort. Une grande blonde entre, va au séjour, en ferme la porte. Je peux m’éclipser sans avoir été remarqué. Si la blonde avait eu plus de retard, que se serait-il passé ? Elvire se serait-elle vendue pour deux cents euros supplémentaires ? Elle a déballé ses nichons, je la croyais prude. Elle a étalé ses jambes, écarté les cuisses pour que le bonhomme puisse se rincer l’œil et deviner la forme de son sexe en observant le pli dans le tissu blanc.
Ma femme serait-elle vénale et ce qui s’est passé aujourd’hui est-ce exceptionnel ? Combien d’autres fois, d’autres hommes ont-ils essayé de voir, de toucher et d’utiliser ses charmes ? Ou ont vu, touché et utilisé son sexe, ou son cul? A-t-elle déjà répondu favorablement à des offres d’argent ou a-t-elle touché des bites émouvantes et a-t-elle succombé à de pareilles tentations ? Est-ce de cela que le propriétaire a menacé de m’entretenir ? Et celui-là, qui est-ce, d'où sort-il ?
Habitude ou exception ? Elvire, ma femme, vend-elle son corps pour de l'argent ? Ira ou n'ira pas au rendez-vous, cette fois; pour la première fois ou pour la xeme fois, se rendra-t-elle au rendez-vous que lui a fixé cet individu. La promesse de 200 euros est-elle assez forte pour l'entraîner dans le trafic de son joli physique ou, autrement dit, la somme de 200 euros constitue-t-elle l'appât ordinaire qui la conduit à dévoiler ses appas ?
Tempête ! Les questions se bousculent sous mon crâne de mari déjà en plein désarroi. Si elle y va, si c'est une première, Elvire obéira-t-elle à l'attrait des euros ou à l'appel irrésistible de ce truc qu'elle n'a pas eu le temps de toucher . Pour mémoire je rappelle ce que j'ai entendu depuis mon poste d'observation de l'étage :
( LUI - Tu n’as rien vu, alors regarde. N’aie pas peur, c’est ma queue ; elle te plaît ?
mais devant lequel elle s'est exclamée, comme extasiée :
ELLE " Ciel, ça existe ? Compliments. Je me sauve, on frappe à la porte "LUI -Tu veux toucher ? )
Elle a été empêchée, mais peut-être en a-t-elle conçu une folle envie qui lui a laissé des regrets. Peut-être ne pourra-t-elle pas résister samedi prochain au puissant désir de prendre en main, de toucher et de revoir la chose, de s'amuser avec ce jouet, et d'y goûter.. Et elle sait quel sera le prix à payer; le quinquagénaire a été assez explicite. Il ne se contentera plus de regarder quand elle aura déballé ses lolos, et, pourquoi pas, enlevé sa culotte. Que n'exigera-t-il pas pour le prix ?
Donc, il y a tempête dans mon cerveau. Je pense, donc je suppose, donc je souffre. Elle met bien du temps à revenir à la maison. Fait-elle d'autres ménages ou se livre-t-elle ailleurs aux fantaisies d'un autre obsédé sexuel contre monnaie trébuchante ? Le retour de ma femme, plus tard, se fait sans effusion. C'est à peine si je lui demande si elle a passé un bel après-midi et elle se contente de répondre que le samedi les grands magasins sont tellement pleins. Voilà pourquoi elle n'a acheté que quelques articles, qu'elle va ranger à la cuisine. Pourquoi ce bruit de vaisselle ? On ne loge pas les fruits dans les placards.
Chacun est dans ses pensées. Elle, moi : nous nous côtoyons sans échanger. Sans rien dire, comme deux étrangers vivant dans les nuages. Ce soir j'exercerai des représailles. Finis les gâteries et plaisirs du samedi soir, je serai fatigué après le film à la télé. Elle pourra continuer à rêver des attributs impressionnants du distributeur de billets de cinquante euros.. On devait se rendre chez mes parents demain dimanche. J'annonce que la visite a été annulée. Elvire , ne vérifie pas, semble soulagée,
- " je regrette" mais alors nous pourrions aller chez mes parents...
J'ai un autre projet, je décline :
- Vas-y seule, j'ai beaucoup de rangement à faire à la cave. Tu comprends ?
- Mais oui, j'ai des choses à dire à ma mère et mon père sera à la chasse.
Elle se passe facilement de ma compagnie. Me faut-il une preuve supplémentaire : Elvire se détache de moi, elle a d'autres centres d'intérêts, d'autres projets auxquels elle est heureuse de se consacrer seule, sans moi. Par exemple se rendre chez un amant où ma présence n'est pas souhaitable, chez un type qui paie pour toucher, chez lequel elle touche de l'argent, pour se laisser toucher la fente de la tirelire.
- Bonne nuit; je vais me coucher.
- Déjà ?
Elle s'en fout.
J'ai dit, sans le bisou du soir. Elle a répondu de la même façon. Chacun vit dans son monde, à mille lieux de celui de l'autre. Je ne dors pas, le sommeil est lent à venir. Très lent. Il faut que je trouve la carte de visite du séducteur. Les choses ne vont pas se passer comme ça. Je dois savoir ce que ma femme me cache, ce qu'elle me prépare? Suis-je cocu? Le serai-je bientôt? Je me battrai.
Et que va-t-elle chercher en tenue de femme de ménage chez l'autre bonhomme qui la fait travailler ....et chanter ? Quel pouvoir ce propriétaire de la clé d'une maison de tolérance a-t-il sur Elvire, comment la tient-il ? Est-ce aussi un de ses amants? Est-ce un proxénète qui exploite une erreur de ma femme ? Pourquoi ne cherche-t-elle pas à me parler pour se défendre ? Si elle aimait être exploitée ? Comment crever l'abcès, comment lui faire comprendre qu'elle devrait communiquer, me parler enfin. Hélas elle est muette Au lit, je lui tourne le dos puisqu'elle se tait sur son secret.
Une main se pose sur ma hanche. Elvire murmure :
- Chéri, tu dors ? M'entends-tu ? Tu sais, c'est samedi... tu es fatigué ?
Je grogne un "oui"
- Oh ! à ce point ? Tu m'oublies, même pas un petit câlin, hein ? Dis, un bisou...Non.
Que veut-elle? C'est de la provocation peut-être. Elle me pousse à la négliger en jouant la rêverie et veut le constater, elle pousse à refuser un câlin par sa froideur le jour,puis pour se donner bonne conscience et pouvoir un jour proclamer qu'elle me trompe parce que je ne lui faisait plus rien, elle me tente au lit. Elle tient à mettre en évidence que je ne lui fais pas assez l'amour. Sa main tâte, caresse, glisse vers mon bas ventre. Elle va réveiller mon sexe alors que je voulais faire grève. Elle a senti le malaise. Elle construit sa future défense. Je l'entends se plaindre et plaider :
- Je t'ai parlé, j'ai essayé, tu n'as pas réagi, tu m'as délaissée, alors, j'ai cherché ailleurs.
Cette main sur mon pénis au repos, ce prétexte trop facile, sa tentative timide, pas vraiment appuyée, ça sent le piège. Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Je change mon plan. Elle fait semblant d'en vouloir, je vais lui en donner. Je plaque sa main sur ma verge qui se réveille. Mon sexe est prisonnier de cette main, elle-même prisonnière de la mienne. Le sang afflue, je grossis, je prends de l'importance, du volume, de la longueur, de la raideur. Mon prépuce commence à se décoller. Piégée elle joue le jeu.
- Ah ! Je savais bien, tu faisais semblant. Hum, tu ne peux pas me faire croire que tu n'as pas envie de moi. Crapule. J'ai envie, envie de toi, envie d'être baisée. Allez laisse-moi faire.
Elle me fait tourner sur le dos, prend l'initiative, elle se jette sur moi, colle ses lèvres sur ma bouche, m'embrasse fortement, langoureusement, amoureusement. Eh ! bien, l'événement de l'après-midi a des conséquences inattendues. Ce type l'a trouvée belle, baisable, l'a payée et surtout lui a offert pour samedi prochain argent et volupté. Elle devra attendre. Résultat : il lui a chauffé le sang, il a excité ses sens, il lui a mis le feu à la chatte . Dans l'immédiat, le mari devient le pompier de service. Elle me masturbe et m'embrasse, elle me déclare qu'elle m'aime.... amour, toujours...caresses...
- Laisse-moi faire, on va s'aimer he hé
Elle repousse drap et couverture, elle bouge, sa bouche attrape mon sexe , son sexe se poser sur ma bouche. Je réponds, nous voilà partis pour un joyeuxj soixante-neuf, formidable.Elle agite la base de ma queue, en suce le gland, avale quzelques centimètres de mon membre, la bouche va, vient sur le cylindre en expansion. Je ne suis pas en reste. Mes doigts ouvrent l'abricot, trouvent la mouille déjà débordante des petites lèvres, ouvrent encore, séparent, entrent, cherchent la profondeur, en quête des terminaisons nerveuses du vagin. Elle geint, elle pousse les habituels petits cris du début de nos câlins. Elle gémit mais suce plus fort, crispe ses doigts sur mes couilles. Je frotte, je lèche, ma langue s'énerve sur le clitoris en transes. Elle crie :
- Oh ! mon amour. Que je t'aime, prends-moi. Quoi, tu préfères... Bon, t'es en grande forme, je monte sur toi, je te chevauche. J'aime toutes les positions avec toi. Oh, je descends sur ta hampe, ça glisse tout seul, tu es au fond. Que c'est bon.
Habituellement cela se passe en silence. Là, elle commente, elle annonce son envie de tourner autour de mon essieu, de se tenir à mes pieds et de me montrer son cul. Il paraît que comme ça, les frottements de son clitoris sont plus perceptibles, plus efficaces. Alors elle passe du trot au galop, colle ses seins à mes tibias, serre mes chevilles dans ses mains et fait aller le va et vient de sa croupe à allure folle sous mes yeux. Elle finira par m'estropier à cette cadence enragéz. Enfin l'orgasme l'emporte, elle jouit bruyamment, culbute sur le coté, essaie de retrouver son souffle :
- Oh! Merci mon amour. Sensationnel. Attends, ce n'est que le début. Maintenant prends moi en levrette. J'ai tellement envie de toi, encore. Voilà, je prends la pose. Tes mains sur mes fesses. Tu vois mon trou ? Défonce-moi. Dis, si on faisait un petit... Ah, comme je te sens bien en moi. Bouge mon amour, je creuse mon dos. Oui, fonce, enfonce, défonce, je veux mourir de plaisir. Que ta queue est bonne. Oh ! c'est bon, tellement bon
Quelle soirée ! Quelle nuit ! En tout cas, ma femme ne pourra pas se plaindre d'avoir un mari paresseux ou incapable de lui faire connaître de multiples orgasmes avec sa bouche, avec ses mains, avec son pieu. Elle ne racontera pas que je ne connais que la position du missionnaire.
Elle n'a pas cessé de me trouver formidable.En attribuer le mérite aux événements de la semaine ? Et moi, finalement je ne suis peut-être pas aussi cocu. Le quinquagénaire a mis le feu aux poudres, mais c'est bien moi qui me suis épuisé à faire jouir ma femme. Je peux dormir en paix cette nuit.
Sauf qu'une question me turlupine et continue à repousser les limites de la veille, à me garder incapable de dormir . Ma femme dort, elle aussi comblée. Pour elle tout va bien, elle n'a pas mon souci. Pour moi, il y a cette petite déclaration faite dans le délire de l'action, ces quelques mots incroyables, glissés innocemment au milieu des exclamations de bonheur :
- Dis, si on faisait le petit.
Projet réel ? Innocemment énoncé ou par malice ? Si contraire à ses plans de vie! Elle disait :
- Bien s'installer d'abord avant de faire deux enfants.
Pourquoi ce soir, si soudainement, tout chambouler? Vrai désir d'enfant ou grossesse destinée à camoufler des relations sexuelles adultères. Baiser avec les autres et m'attribuer une paternité hasardeuse. Quelle arrière pensée se cache derrière ce cri apparent d'amour? Sa vie nouvelle, ses fantasmes, ses rencontres ? Et je repense au déguisement en bonniche, à ces cents euros acceptés, au dévoilement de sa poitrine, à l'écartement des cuisses pour montrer sa culotte. Et la clé, et les coups de téléphone, ceux que j'ai captés et tous les autres dont je n'ai pas eu connaissance. Voilà encore une question :
-Tiens, sa présence à la maison de passe, cet après-midi, comment a-t-elle su qu'elle devait faire le ménage ce samedi? On l'a rappelée pour confirmer? Elle a demandé quand elle devrait servir, elle a reçu un e-mail ? J'avais détourné l'information et pourtant elle était venue manier le balai.
Dimanche matin, à cause de mes insomnies et de mon engagement dans nos accouplements j'ai du mal a émerger. Mes paupières sont lourdes, J'ai la gueule de bois sans avoir bu .
- Mon pauvre amour ! Comme tu es fatigué, t'as une tête à faire pitié. Mais merci encore. Tu as été merveilleux Moi, au contraire, ton ardeur m'a remplie d'énergie. J'aurais exagéré. Bien, j'irai seule chez mes parents. Une ou deux heures seulement. Tâche d'en profiter pour te refaire une santé. J'ai bien l'intention de remettre le couvert dès ce soir? Oh, que je t'aime.
Bizarre cette multiplication des déclarations amoureuses. Ce n'est quand même pas la première fois que je lui fais l'amour aussi bien. Veut-elle se persuader, qu'après tout, je devrais lui suffire, qu'elle n'a pas besoin d'aller se faire foutre par un vieux bedonnant, que l'argent ne fait pas le bonheur et qu'elle est mariée avec un brave garçon qui sait la rendre heureuse. Comme tout cela me fait mal. Oui, quand elle me dit qu'elle m'aime, je suis torturé, c'est dingue.
L'incertitude, le doute, qu 'y a-t-il de pire?
Ma femme serait-elle vénale et ce qui s’est passé aujourd’hui est-ce exceptionnel ? Combien d’autres fois, d’autres hommes ont-ils essayé de voir, de toucher et d’utiliser ses charmes ? Ou ont vu, touché et utilisé son sexe, ou son cul? A-t-elle déjà répondu favorablement à des offres d’argent ou a-t-elle touché des bites émouvantes et a-t-elle succombé à de pareilles tentations ? Est-ce de cela que le propriétaire a menacé de m’entretenir ? Et celui-là, qui est-ce, d'où sort-il ?
Habitude ou exception ? Elvire, ma femme, vend-elle son corps pour de l'argent ? Ira ou n'ira pas au rendez-vous, cette fois; pour la première fois ou pour la xeme fois, se rendra-t-elle au rendez-vous que lui a fixé cet individu. La promesse de 200 euros est-elle assez forte pour l'entraîner dans le trafic de son joli physique ou, autrement dit, la somme de 200 euros constitue-t-elle l'appât ordinaire qui la conduit à dévoiler ses appas ?
Tempête ! Les questions se bousculent sous mon crâne de mari déjà en plein désarroi. Si elle y va, si c'est une première, Elvire obéira-t-elle à l'attrait des euros ou à l'appel irrésistible de ce truc qu'elle n'a pas eu le temps de toucher . Pour mémoire je rappelle ce que j'ai entendu depuis mon poste d'observation de l'étage :
( LUI - Tu n’as rien vu, alors regarde. N’aie pas peur, c’est ma queue ; elle te plaît ?
mais devant lequel elle s'est exclamée, comme extasiée :
ELLE " Ciel, ça existe ? Compliments. Je me sauve, on frappe à la porte "LUI -Tu veux toucher ? )
Elle a été empêchée, mais peut-être en a-t-elle conçu une folle envie qui lui a laissé des regrets. Peut-être ne pourra-t-elle pas résister samedi prochain au puissant désir de prendre en main, de toucher et de revoir la chose, de s'amuser avec ce jouet, et d'y goûter.. Et elle sait quel sera le prix à payer; le quinquagénaire a été assez explicite. Il ne se contentera plus de regarder quand elle aura déballé ses lolos, et, pourquoi pas, enlevé sa culotte. Que n'exigera-t-il pas pour le prix ?
Donc, il y a tempête dans mon cerveau. Je pense, donc je suppose, donc je souffre. Elle met bien du temps à revenir à la maison. Fait-elle d'autres ménages ou se livre-t-elle ailleurs aux fantaisies d'un autre obsédé sexuel contre monnaie trébuchante ? Le retour de ma femme, plus tard, se fait sans effusion. C'est à peine si je lui demande si elle a passé un bel après-midi et elle se contente de répondre que le samedi les grands magasins sont tellement pleins. Voilà pourquoi elle n'a acheté que quelques articles, qu'elle va ranger à la cuisine. Pourquoi ce bruit de vaisselle ? On ne loge pas les fruits dans les placards.
Chacun est dans ses pensées. Elle, moi : nous nous côtoyons sans échanger. Sans rien dire, comme deux étrangers vivant dans les nuages. Ce soir j'exercerai des représailles. Finis les gâteries et plaisirs du samedi soir, je serai fatigué après le film à la télé. Elle pourra continuer à rêver des attributs impressionnants du distributeur de billets de cinquante euros.. On devait se rendre chez mes parents demain dimanche. J'annonce que la visite a été annulée. Elvire , ne vérifie pas, semble soulagée,
- " je regrette" mais alors nous pourrions aller chez mes parents...
J'ai un autre projet, je décline :
- Vas-y seule, j'ai beaucoup de rangement à faire à la cave. Tu comprends ?
- Mais oui, j'ai des choses à dire à ma mère et mon père sera à la chasse.
Elle se passe facilement de ma compagnie. Me faut-il une preuve supplémentaire : Elvire se détache de moi, elle a d'autres centres d'intérêts, d'autres projets auxquels elle est heureuse de se consacrer seule, sans moi. Par exemple se rendre chez un amant où ma présence n'est pas souhaitable, chez un type qui paie pour toucher, chez lequel elle touche de l'argent, pour se laisser toucher la fente de la tirelire.
- Bonne nuit; je vais me coucher.
- Déjà ?
Elle s'en fout.
J'ai dit, sans le bisou du soir. Elle a répondu de la même façon. Chacun vit dans son monde, à mille lieux de celui de l'autre. Je ne dors pas, le sommeil est lent à venir. Très lent. Il faut que je trouve la carte de visite du séducteur. Les choses ne vont pas se passer comme ça. Je dois savoir ce que ma femme me cache, ce qu'elle me prépare? Suis-je cocu? Le serai-je bientôt? Je me battrai.
Et que va-t-elle chercher en tenue de femme de ménage chez l'autre bonhomme qui la fait travailler ....et chanter ? Quel pouvoir ce propriétaire de la clé d'une maison de tolérance a-t-il sur Elvire, comment la tient-il ? Est-ce aussi un de ses amants? Est-ce un proxénète qui exploite une erreur de ma femme ? Pourquoi ne cherche-t-elle pas à me parler pour se défendre ? Si elle aimait être exploitée ? Comment crever l'abcès, comment lui faire comprendre qu'elle devrait communiquer, me parler enfin. Hélas elle est muette Au lit, je lui tourne le dos puisqu'elle se tait sur son secret.
Une main se pose sur ma hanche. Elvire murmure :
- Chéri, tu dors ? M'entends-tu ? Tu sais, c'est samedi... tu es fatigué ?
Je grogne un "oui"
- Oh ! à ce point ? Tu m'oublies, même pas un petit câlin, hein ? Dis, un bisou...Non.
Que veut-elle? C'est de la provocation peut-être. Elle me pousse à la négliger en jouant la rêverie et veut le constater, elle pousse à refuser un câlin par sa froideur le jour,puis pour se donner bonne conscience et pouvoir un jour proclamer qu'elle me trompe parce que je ne lui faisait plus rien, elle me tente au lit. Elle tient à mettre en évidence que je ne lui fais pas assez l'amour. Sa main tâte, caresse, glisse vers mon bas ventre. Elle va réveiller mon sexe alors que je voulais faire grève. Elle a senti le malaise. Elle construit sa future défense. Je l'entends se plaindre et plaider :
- Je t'ai parlé, j'ai essayé, tu n'as pas réagi, tu m'as délaissée, alors, j'ai cherché ailleurs.
Cette main sur mon pénis au repos, ce prétexte trop facile, sa tentative timide, pas vraiment appuyée, ça sent le piège. Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Je change mon plan. Elle fait semblant d'en vouloir, je vais lui en donner. Je plaque sa main sur ma verge qui se réveille. Mon sexe est prisonnier de cette main, elle-même prisonnière de la mienne. Le sang afflue, je grossis, je prends de l'importance, du volume, de la longueur, de la raideur. Mon prépuce commence à se décoller. Piégée elle joue le jeu.
- Ah ! Je savais bien, tu faisais semblant. Hum, tu ne peux pas me faire croire que tu n'as pas envie de moi. Crapule. J'ai envie, envie de toi, envie d'être baisée. Allez laisse-moi faire.
Elle me fait tourner sur le dos, prend l'initiative, elle se jette sur moi, colle ses lèvres sur ma bouche, m'embrasse fortement, langoureusement, amoureusement. Eh ! bien, l'événement de l'après-midi a des conséquences inattendues. Ce type l'a trouvée belle, baisable, l'a payée et surtout lui a offert pour samedi prochain argent et volupté. Elle devra attendre. Résultat : il lui a chauffé le sang, il a excité ses sens, il lui a mis le feu à la chatte . Dans l'immédiat, le mari devient le pompier de service. Elle me masturbe et m'embrasse, elle me déclare qu'elle m'aime.... amour, toujours...caresses...
- Laisse-moi faire, on va s'aimer he hé
Elle repousse drap et couverture, elle bouge, sa bouche attrape mon sexe , son sexe se poser sur ma bouche. Je réponds, nous voilà partis pour un joyeuxj soixante-neuf, formidable.Elle agite la base de ma queue, en suce le gland, avale quzelques centimètres de mon membre, la bouche va, vient sur le cylindre en expansion. Je ne suis pas en reste. Mes doigts ouvrent l'abricot, trouvent la mouille déjà débordante des petites lèvres, ouvrent encore, séparent, entrent, cherchent la profondeur, en quête des terminaisons nerveuses du vagin. Elle geint, elle pousse les habituels petits cris du début de nos câlins. Elle gémit mais suce plus fort, crispe ses doigts sur mes couilles. Je frotte, je lèche, ma langue s'énerve sur le clitoris en transes. Elle crie :
- Oh ! mon amour. Que je t'aime, prends-moi. Quoi, tu préfères... Bon, t'es en grande forme, je monte sur toi, je te chevauche. J'aime toutes les positions avec toi. Oh, je descends sur ta hampe, ça glisse tout seul, tu es au fond. Que c'est bon.
Habituellement cela se passe en silence. Là, elle commente, elle annonce son envie de tourner autour de mon essieu, de se tenir à mes pieds et de me montrer son cul. Il paraît que comme ça, les frottements de son clitoris sont plus perceptibles, plus efficaces. Alors elle passe du trot au galop, colle ses seins à mes tibias, serre mes chevilles dans ses mains et fait aller le va et vient de sa croupe à allure folle sous mes yeux. Elle finira par m'estropier à cette cadence enragéz. Enfin l'orgasme l'emporte, elle jouit bruyamment, culbute sur le coté, essaie de retrouver son souffle :
- Oh! Merci mon amour. Sensationnel. Attends, ce n'est que le début. Maintenant prends moi en levrette. J'ai tellement envie de toi, encore. Voilà, je prends la pose. Tes mains sur mes fesses. Tu vois mon trou ? Défonce-moi. Dis, si on faisait un petit... Ah, comme je te sens bien en moi. Bouge mon amour, je creuse mon dos. Oui, fonce, enfonce, défonce, je veux mourir de plaisir. Que ta queue est bonne. Oh ! c'est bon, tellement bon
Quelle soirée ! Quelle nuit ! En tout cas, ma femme ne pourra pas se plaindre d'avoir un mari paresseux ou incapable de lui faire connaître de multiples orgasmes avec sa bouche, avec ses mains, avec son pieu. Elle ne racontera pas que je ne connais que la position du missionnaire.
Elle n'a pas cessé de me trouver formidable.En attribuer le mérite aux événements de la semaine ? Et moi, finalement je ne suis peut-être pas aussi cocu. Le quinquagénaire a mis le feu aux poudres, mais c'est bien moi qui me suis épuisé à faire jouir ma femme. Je peux dormir en paix cette nuit.
Sauf qu'une question me turlupine et continue à repousser les limites de la veille, à me garder incapable de dormir . Ma femme dort, elle aussi comblée. Pour elle tout va bien, elle n'a pas mon souci. Pour moi, il y a cette petite déclaration faite dans le délire de l'action, ces quelques mots incroyables, glissés innocemment au milieu des exclamations de bonheur :
- Dis, si on faisait le petit.
Projet réel ? Innocemment énoncé ou par malice ? Si contraire à ses plans de vie! Elle disait :
- Bien s'installer d'abord avant de faire deux enfants.
Pourquoi ce soir, si soudainement, tout chambouler? Vrai désir d'enfant ou grossesse destinée à camoufler des relations sexuelles adultères. Baiser avec les autres et m'attribuer une paternité hasardeuse. Quelle arrière pensée se cache derrière ce cri apparent d'amour? Sa vie nouvelle, ses fantasmes, ses rencontres ? Et je repense au déguisement en bonniche, à ces cents euros acceptés, au dévoilement de sa poitrine, à l'écartement des cuisses pour montrer sa culotte. Et la clé, et les coups de téléphone, ceux que j'ai captés et tous les autres dont je n'ai pas eu connaissance. Voilà encore une question :
-Tiens, sa présence à la maison de passe, cet après-midi, comment a-t-elle su qu'elle devait faire le ménage ce samedi? On l'a rappelée pour confirmer? Elle a demandé quand elle devrait servir, elle a reçu un e-mail ? J'avais détourné l'information et pourtant elle était venue manier le balai.
Dimanche matin, à cause de mes insomnies et de mon engagement dans nos accouplements j'ai du mal a émerger. Mes paupières sont lourdes, J'ai la gueule de bois sans avoir bu .
- Mon pauvre amour ! Comme tu es fatigué, t'as une tête à faire pitié. Mais merci encore. Tu as été merveilleux Moi, au contraire, ton ardeur m'a remplie d'énergie. J'aurais exagéré. Bien, j'irai seule chez mes parents. Une ou deux heures seulement. Tâche d'en profiter pour te refaire une santé. J'ai bien l'intention de remettre le couvert dès ce soir? Oh, que je t'aime.
Bizarre cette multiplication des déclarations amoureuses. Ce n'est quand même pas la première fois que je lui fais l'amour aussi bien. Veut-elle se persuader, qu'après tout, je devrais lui suffire, qu'elle n'a pas besoin d'aller se faire foutre par un vieux bedonnant, que l'argent ne fait pas le bonheur et qu'elle est mariée avec un brave garçon qui sait la rendre heureuse. Comme tout cela me fait mal. Oui, quand elle me dit qu'elle m'aime, je suis torturé, c'est dingue.
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