Mais oui, c'est elle 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mais oui, c'est elle 3
Dimanche après-midi Comme prévu, Elvire partie chez ses parents pour ce dimanche après-midi. Je cherche et je déniche dans le pot en grès décoratif "poubelle de table" deux billets de cinquante euros et une carte de visite, cachés hier par ma femme. Il n'y a pas de doute, voilà la récompense du strep-tease consenti, le prix de la trahison de ma femme qui a montré ses seins et sa culotte à un individu qu'elle ne connaissait pas. Et surtout, voilà l'identité et l'adresse du séducteur. Je relève ces indications précieuses et je remets tout en place. Je n'influencerai pas la conduite de l'imprudente, son comportement libre m'éclairera sur la réalité de ses sentiments pour moi.
Ou elle ne donnera pas suite, samedi prochain, à l'invitation chez Grégoire Latour et il me restera à lui demander la raison de son travail de femme de ménage et de sa soumission à cet étrange personnage qui menace, par téléphone, de dénonciation en cas de manquement à un mystérieux accord. Il faudra bien qu'elle me révèle le pourquoi du comment de sa relation avec ce maître spécial. Pourquoi se laisse-t-elle exploiter, au risque de faire des rencontres bizarres.
Ou elle se rendra au rendez-vous fixé à 15 heures, pour percevoir ses 200 euros, moyennant plus qu'un strep-tease total, mais contre ce qui sera indubitablement une relation sexuelle acceptée avec un bonhomme ç belle bite. Elle brisera de cette façon le lien de notre mariage et en subira les conséquences. Que ce soit par désir de gains faciles ou par envie de connaître intimement ce Grégoire et son étonnante verge, elle devra assumer sa trahison. Car il ne s'agira plus d'une simple exhibition à caractère pornographique, vite expédiée et à la limite de l'incorrection. Ce sera un adultère impardonnable à mes yeux.
J'oublie ma cave et le rangement. Je fais une promenade à vélo. A l'adresse de Grégoire, dans une zone pavillonnaire cossue, je découvre une maison de caractère. Devant le garage stationne une imposante berline. L'homme est aisé et je comprends qu'il obtienne les faveurs de certaines femmes en tendant des billets de cinquante euros.
Elvire revient. Je lui propose une promenade à pied. L'air de rien j'emprunte le chemin le plus court pour parcourir la rue par laquelle ma femme pourrait rejoindre son donateur. Au passage, je souligne la taille des jardins ou la recherche des constructions de ce quartier. Je ne m'étonne pas de l'attention particulière de ma compagne pour le pavillon imposant du séducteur. Elle en a admiré l'un ou l'autre. Cette fois elle s'attarde à détailler les signes apparents de fortune. Le jardin est un petit parc, l'architecture de la maison impressionne. Elvire a une moue admirative et dit :
- Mon chéri, cette demeure est remarquable. le propriétaire ne doit pas fréquenter les restos du coeur. Vois sa voiture. Il y a des gens vernis.
Ainsi, sans le lui dire, je lui fournis le moyen d'évaluer la richesse probable de l'homme qui fréquente des "poules" dans la maison de rendez-vous où elle a fait sa connaissance et où elle pense lui avoir tapé dans l'oeil. Si réellement je ne suis plus l'homme de sa vie, si elle peut rêver de vivre mieux, beaucoup mieux, avec un autre, mieux loti que moi, notre promenade, que j'ai volontairement dirigée vers la demeure du tentateur, va peser dans sa décision soit d'accepter des billets pour se livrer soit de me rester fidèle.
Cette fois elle a le choix entre notre vie modeste ou une vie plus facile, si elle sait, à son tour, séduire ce séducteur. La balance a deux plateaux. Moi, Jean, dans l'un, Grégoire dans l'autre. Je préférerais peser plus lourd que lui, avec ses biens et sa queue excitante. Ferai-je le poids ? J'ai peur que les comportements réciproques d'Elvire et de Grégoire lors de leur première rencontre n'annoncent le succès du quinquagénaire. La différence d'âge entre mon épouse de trente ans et ce type d'environ cinquante ans ne comptera pas si Elvire, lasse de sept ans de vie simple, se laisse tenter par la perspective de jours plus aisés, sans soucis d'argent et avec un homme bien membré.
Curieusement, à l'heure du coucher, ma femme réclame mon amour. Elle se montre insatiable... Je me suis fait un film, c'est moi qui ai rêvé de ses fantasmes de changement. Non, Elvire jouit, elle se donne, elle me chevauche, elle engloutit ma verge, elle lui tire ses salves de sperme, elle ne cesse que lorsqu'elle est épuisée, en sueur. Il est impossible de croire que cette épouse songe à un autre. quand elle m'étreint. Plus curieusement, le lundi, le mercredi, le jeudi la libido d'Elvire semble décuplée. Que lui arrive-t-il ? Elle m'aime !
Le vendredi soir, Elvire prend un air contrit pour m'annoncer qu'elle n'a pas pu refuser à ses collègues et amies de participer à une fête réservée aux enseignants de son école, le samedi après-midi, à quinze heures, chez Gisèle. Je ne suis pas enseignant, on ne m'invite pas, on m'évite...ALERTE ! Je ne suis pas dupe. La coïncidence est flagrante. Grégoire aussi a parlé de quinze heures. Aujourd'hui Gisèle aura des moustaches. Je donne le change :
- Ne sois pas désolée. Il faut savoir se détendre au contact de ses collègues. Va, je saurai m'occuper.
Le samedi en fin de matinée, je demande à mon épouse de ne pas m'attendre avant le soir. Je prétends aller chez un copain puis au stade de foot. Ainsi Elvire ne doit pas culpabiliser à cause de sa fête chez Gisèle. Le choix de mes occupations indépendantes la libère et soulage sa conscience. Elle retrouve le sourire que la peur de me laisser seul avait terni. Ah! Si elle savait où je vais.
Je sonne trois coups puis trois coups. La porte s'ouvre, je salue Grégoire, Grégoire me dévisage. Je lui tends une photo :
- Bonjour, monsieur Latour. Connaissez-vous cette personne?
- Euh ! Qui est-ce ? Pourquoi devrais-je la connaître? Et pourquoi me posez-vous cette question ?
- N'est-ce pas cette personne que vous attendez cet après-midi à quinze heures ?
- Montrez-moi encore cette photo.... Comment savez-vous ? En quoi cela vous regarde-t-il ?
- C'est que cette femme, c'est la mienne ! C'est bien vous qui lui avez remis deux billets de cinquante euros, il y a une semaine avec votre carte de visite, oui ou non ? Vous savez parfaitement ce qu'elle vous a vendu en retour ce jour là. Faut-il vous rafraîchir la mémoire ? Vous avez aimé le spectacle de sa poitrine dénudée et de ses cuisses écartées...
- Ah! Je me souviens... Vous êtes le mari de la petite bonniche. Vous avez une petite femme très jolie. Un peu facile, hein, mais belle. Elle a osé se plaindre, donc vous venez me demander des comptes et m'annoncer qu'elle ne viendra pas. J'aurais cru qu'elle était intéressée. Que voulez-vous, je suis dragueur, j'ai tenté ma chance. D'autres aiment ce que je leur propose. Tant pis pour elle. Dommage, elle me plaisait vraiment. Pardonnez-moi de l'avoir trouvée belle et à mon goût. Sacré veinard ! Bon, je vous promets de l'oublier. Topez-là. Et si on arrosait notre arrangement, venez, entrez et montons à l'étage. Après vous ...
Ce type est gonflé. Il a dragué ma femme, mais pour me calmer, il joue au monsieur sympa, croit m'acheter en m'offrant un verre et en renonçant à la conquête de la bonniche. Il appelle ça un arrangement et s'étonne :
- Finalement elle est fidèle, c'est une qualité rare actuellement. Ca la rend encore plus désirable. Je n'ai pas de chance. Ah! Si elle était célibataire. Comment vous a-t-elle relaté notre rencontre?
- Elle n'a pas eu à me narrer cette première fois : j'y ai assisté. De l'étage je n'ai pas tout vu, j'ai presque tout entendu. Je voulais savoir ce que mon épouse, institutrice, venait faire dans cette maison. Je ne viens pas vous dire qu'elle ne viendra pas. Je suis juste curieux de savoir si elle renoncera aux deux cents euros promis ou à satisfaire son envie de tâter votre sexe.
- Ah! Bon. J'ai noté en effet que mon engin l'impressionnait. Mais, dis-moi, l'ami, tu sais ce qui s'est passé entre elle et moi. Tu aurais pu la rappeler à l'ordre et lui interdire de venir chez moi. Tu aurais dû t'indigner de sa conduite légère, lui reprocher de montrer aussi facilement ses parties intimes pour gagner des billets. Sois plus autoritaire !
- A quoi bon ? Je l'aimais. Mais si elle ne m'aime plus, si je ne lui suffis plus, si elle croit trouver son bonheur avec un autre, à quoi bon essayer de la garder. Cela ne ferait qu'exacerber son besoin d'évasion. Le reproche que je devrais lui adresser, c'est son manque d'honnêteté. Qu'elle m'expose ses sentiments, qu'elle me dise qu'il lui semble nécessaire d'aller voir ailleurs au lieu de maintenir l'illusion d'un amour qui est mort et je lui rends sa liberté. Le divorce n'est pas fait pour les chiens.
- Ah! Toi, alors. Tu divorcerais, tu la laisserais partir? Sans cris, sans coups ? Oh, tu blagues ? Attends, tu veux son bonheur ? Je suis veuf depuis deux ans. Je vais d'aventures en aventures, je me paie un petit cul par ci , une chatte par là. J'en ai marre de payer pour des passes sans sentiments, sans suite. Si ta femme voulait de moi, tu la laisserais partir ? Mais j'achète !
- Doucement. Encore faudrait-il qu'elle se présente à ta porte à quinze heures. Je considérerais sa venue comme une preuve de la nécessité où elle se trouve de vivre autrement, sans moi. Dans ce cas et dans la mesure où elle ferait l'amour avec toi, je saurais à quoi m'en tenir. Elle pourrait me quitter.
- Là, tu me la coupes. Je veux , j'en ferai ma femme. Elle aura de l'argent, des loisirs, des tenues. Elle n'aura plus à faire des ménages pour l'autre proxénète. Tu crois qu'elle va venir ?
- C'est toute la question. Je souhaiterais presque qu'elle vienne ici. J'aurais une réponse claire. Par contre, si son rendez-vous la mène ailleurs, il faudra que je découvre ce qui l'attire quand elle m'annonce une réunion à droite ou à gauche. Aurait-elle un ou des amants ? Où ? Depuis quand ? Pourquoi ne pas m'en informer ? Pourquoi continuer à coucher avec moi, si un ou des autres profitent de ses faveurs. Je ne veux pas la partager. Plutôt m'en séparer.
- Pourvu qu'elle vienne. Tiens , actuellement une passe d"environ une heure me coûte deux cents euros. Ta Candice en un an me reviendrait à 50 fois 200€ soit 10 000 euros. Tu n'en veux plus, je te l'achète. Un chéque de dix mille euros ça te semble un bon prix pour t'en délivrer? Réfléchis.
- Ce n'est ni un cheval ni une vache qui se vend. Garde ton argent. Je n'émets qu'une condition : je veux enregistrer votre rencontre, filmer vos accouplements de ce jour.
- C'est tout ? Tu es voyeur ! Comment faire ? Elle peut te voir ou tu espères filmer mais passer inaperçu ? Parce qu'il serait étonnant qu'elle veuille être vue en train de baiser. Peu de mes compagnes admettent de laisser des traces. Plus elles sont salopes, moins elles veulent être vues et connues comme telles. Et, la première fois, aucune n'accepte qu'un tiers l'observe pendant qu'elle se fait sauter. Donc Candice refusera d'être filmée aujourd'hui.
- Elle ne se prénomme pas Candice, mais Elvire.
- Va pour Elvire. Je l'appelle par son vrai prénom, elle croira que j'ai fait une enquête parce que je m'intéresse à elle et pas seulement parce que je veux tirer un coup avec elle. N'est-ce pas une bonne idée ?
- Une enquête bien faite t'apprendrait que je me prénomme Jean, que j'ai trente ans comme elle, que je suis artisan couvreur et aussi installateur sanitaire. Si possible, essaie de savoir pourquoi elle fait le ménage dans ce bouiboui.
- Parfait. Cette porte, dans le coin, ouvre sur la cuisine. Je la recevrai ici, au salon. Tu te tiendras derrière la porte de la cuisine et tu filmeras ce que tu voudras.
Ou elle ne donnera pas suite, samedi prochain, à l'invitation chez Grégoire Latour et il me restera à lui demander la raison de son travail de femme de ménage et de sa soumission à cet étrange personnage qui menace, par téléphone, de dénonciation en cas de manquement à un mystérieux accord. Il faudra bien qu'elle me révèle le pourquoi du comment de sa relation avec ce maître spécial. Pourquoi se laisse-t-elle exploiter, au risque de faire des rencontres bizarres.
Ou elle se rendra au rendez-vous fixé à 15 heures, pour percevoir ses 200 euros, moyennant plus qu'un strep-tease total, mais contre ce qui sera indubitablement une relation sexuelle acceptée avec un bonhomme ç belle bite. Elle brisera de cette façon le lien de notre mariage et en subira les conséquences. Que ce soit par désir de gains faciles ou par envie de connaître intimement ce Grégoire et son étonnante verge, elle devra assumer sa trahison. Car il ne s'agira plus d'une simple exhibition à caractère pornographique, vite expédiée et à la limite de l'incorrection. Ce sera un adultère impardonnable à mes yeux.
J'oublie ma cave et le rangement. Je fais une promenade à vélo. A l'adresse de Grégoire, dans une zone pavillonnaire cossue, je découvre une maison de caractère. Devant le garage stationne une imposante berline. L'homme est aisé et je comprends qu'il obtienne les faveurs de certaines femmes en tendant des billets de cinquante euros.
Elvire revient. Je lui propose une promenade à pied. L'air de rien j'emprunte le chemin le plus court pour parcourir la rue par laquelle ma femme pourrait rejoindre son donateur. Au passage, je souligne la taille des jardins ou la recherche des constructions de ce quartier. Je ne m'étonne pas de l'attention particulière de ma compagne pour le pavillon imposant du séducteur. Elle en a admiré l'un ou l'autre. Cette fois elle s'attarde à détailler les signes apparents de fortune. Le jardin est un petit parc, l'architecture de la maison impressionne. Elvire a une moue admirative et dit :
- Mon chéri, cette demeure est remarquable. le propriétaire ne doit pas fréquenter les restos du coeur. Vois sa voiture. Il y a des gens vernis.
Ainsi, sans le lui dire, je lui fournis le moyen d'évaluer la richesse probable de l'homme qui fréquente des "poules" dans la maison de rendez-vous où elle a fait sa connaissance et où elle pense lui avoir tapé dans l'oeil. Si réellement je ne suis plus l'homme de sa vie, si elle peut rêver de vivre mieux, beaucoup mieux, avec un autre, mieux loti que moi, notre promenade, que j'ai volontairement dirigée vers la demeure du tentateur, va peser dans sa décision soit d'accepter des billets pour se livrer soit de me rester fidèle.
Cette fois elle a le choix entre notre vie modeste ou une vie plus facile, si elle sait, à son tour, séduire ce séducteur. La balance a deux plateaux. Moi, Jean, dans l'un, Grégoire dans l'autre. Je préférerais peser plus lourd que lui, avec ses biens et sa queue excitante. Ferai-je le poids ? J'ai peur que les comportements réciproques d'Elvire et de Grégoire lors de leur première rencontre n'annoncent le succès du quinquagénaire. La différence d'âge entre mon épouse de trente ans et ce type d'environ cinquante ans ne comptera pas si Elvire, lasse de sept ans de vie simple, se laisse tenter par la perspective de jours plus aisés, sans soucis d'argent et avec un homme bien membré.
Curieusement, à l'heure du coucher, ma femme réclame mon amour. Elle se montre insatiable... Je me suis fait un film, c'est moi qui ai rêvé de ses fantasmes de changement. Non, Elvire jouit, elle se donne, elle me chevauche, elle engloutit ma verge, elle lui tire ses salves de sperme, elle ne cesse que lorsqu'elle est épuisée, en sueur. Il est impossible de croire que cette épouse songe à un autre. quand elle m'étreint. Plus curieusement, le lundi, le mercredi, le jeudi la libido d'Elvire semble décuplée. Que lui arrive-t-il ? Elle m'aime !
Le vendredi soir, Elvire prend un air contrit pour m'annoncer qu'elle n'a pas pu refuser à ses collègues et amies de participer à une fête réservée aux enseignants de son école, le samedi après-midi, à quinze heures, chez Gisèle. Je ne suis pas enseignant, on ne m'invite pas, on m'évite...ALERTE ! Je ne suis pas dupe. La coïncidence est flagrante. Grégoire aussi a parlé de quinze heures. Aujourd'hui Gisèle aura des moustaches. Je donne le change :
- Ne sois pas désolée. Il faut savoir se détendre au contact de ses collègues. Va, je saurai m'occuper.
Le samedi en fin de matinée, je demande à mon épouse de ne pas m'attendre avant le soir. Je prétends aller chez un copain puis au stade de foot. Ainsi Elvire ne doit pas culpabiliser à cause de sa fête chez Gisèle. Le choix de mes occupations indépendantes la libère et soulage sa conscience. Elle retrouve le sourire que la peur de me laisser seul avait terni. Ah! Si elle savait où je vais.
Je sonne trois coups puis trois coups. La porte s'ouvre, je salue Grégoire, Grégoire me dévisage. Je lui tends une photo :
- Bonjour, monsieur Latour. Connaissez-vous cette personne?
- Euh ! Qui est-ce ? Pourquoi devrais-je la connaître? Et pourquoi me posez-vous cette question ?
- N'est-ce pas cette personne que vous attendez cet après-midi à quinze heures ?
- Montrez-moi encore cette photo.... Comment savez-vous ? En quoi cela vous regarde-t-il ?
- C'est que cette femme, c'est la mienne ! C'est bien vous qui lui avez remis deux billets de cinquante euros, il y a une semaine avec votre carte de visite, oui ou non ? Vous savez parfaitement ce qu'elle vous a vendu en retour ce jour là. Faut-il vous rafraîchir la mémoire ? Vous avez aimé le spectacle de sa poitrine dénudée et de ses cuisses écartées...
- Ah! Je me souviens... Vous êtes le mari de la petite bonniche. Vous avez une petite femme très jolie. Un peu facile, hein, mais belle. Elle a osé se plaindre, donc vous venez me demander des comptes et m'annoncer qu'elle ne viendra pas. J'aurais cru qu'elle était intéressée. Que voulez-vous, je suis dragueur, j'ai tenté ma chance. D'autres aiment ce que je leur propose. Tant pis pour elle. Dommage, elle me plaisait vraiment. Pardonnez-moi de l'avoir trouvée belle et à mon goût. Sacré veinard ! Bon, je vous promets de l'oublier. Topez-là. Et si on arrosait notre arrangement, venez, entrez et montons à l'étage. Après vous ...
Ce type est gonflé. Il a dragué ma femme, mais pour me calmer, il joue au monsieur sympa, croit m'acheter en m'offrant un verre et en renonçant à la conquête de la bonniche. Il appelle ça un arrangement et s'étonne :
- Finalement elle est fidèle, c'est une qualité rare actuellement. Ca la rend encore plus désirable. Je n'ai pas de chance. Ah! Si elle était célibataire. Comment vous a-t-elle relaté notre rencontre?
- Elle n'a pas eu à me narrer cette première fois : j'y ai assisté. De l'étage je n'ai pas tout vu, j'ai presque tout entendu. Je voulais savoir ce que mon épouse, institutrice, venait faire dans cette maison. Je ne viens pas vous dire qu'elle ne viendra pas. Je suis juste curieux de savoir si elle renoncera aux deux cents euros promis ou à satisfaire son envie de tâter votre sexe.
- Ah! Bon. J'ai noté en effet que mon engin l'impressionnait. Mais, dis-moi, l'ami, tu sais ce qui s'est passé entre elle et moi. Tu aurais pu la rappeler à l'ordre et lui interdire de venir chez moi. Tu aurais dû t'indigner de sa conduite légère, lui reprocher de montrer aussi facilement ses parties intimes pour gagner des billets. Sois plus autoritaire !
- A quoi bon ? Je l'aimais. Mais si elle ne m'aime plus, si je ne lui suffis plus, si elle croit trouver son bonheur avec un autre, à quoi bon essayer de la garder. Cela ne ferait qu'exacerber son besoin d'évasion. Le reproche que je devrais lui adresser, c'est son manque d'honnêteté. Qu'elle m'expose ses sentiments, qu'elle me dise qu'il lui semble nécessaire d'aller voir ailleurs au lieu de maintenir l'illusion d'un amour qui est mort et je lui rends sa liberté. Le divorce n'est pas fait pour les chiens.
- Ah! Toi, alors. Tu divorcerais, tu la laisserais partir? Sans cris, sans coups ? Oh, tu blagues ? Attends, tu veux son bonheur ? Je suis veuf depuis deux ans. Je vais d'aventures en aventures, je me paie un petit cul par ci , une chatte par là. J'en ai marre de payer pour des passes sans sentiments, sans suite. Si ta femme voulait de moi, tu la laisserais partir ? Mais j'achète !
- Doucement. Encore faudrait-il qu'elle se présente à ta porte à quinze heures. Je considérerais sa venue comme une preuve de la nécessité où elle se trouve de vivre autrement, sans moi. Dans ce cas et dans la mesure où elle ferait l'amour avec toi, je saurais à quoi m'en tenir. Elle pourrait me quitter.
- Là, tu me la coupes. Je veux , j'en ferai ma femme. Elle aura de l'argent, des loisirs, des tenues. Elle n'aura plus à faire des ménages pour l'autre proxénète. Tu crois qu'elle va venir ?
- C'est toute la question. Je souhaiterais presque qu'elle vienne ici. J'aurais une réponse claire. Par contre, si son rendez-vous la mène ailleurs, il faudra que je découvre ce qui l'attire quand elle m'annonce une réunion à droite ou à gauche. Aurait-elle un ou des amants ? Où ? Depuis quand ? Pourquoi ne pas m'en informer ? Pourquoi continuer à coucher avec moi, si un ou des autres profitent de ses faveurs. Je ne veux pas la partager. Plutôt m'en séparer.
- Pourvu qu'elle vienne. Tiens , actuellement une passe d"environ une heure me coûte deux cents euros. Ta Candice en un an me reviendrait à 50 fois 200€ soit 10 000 euros. Tu n'en veux plus, je te l'achète. Un chéque de dix mille euros ça te semble un bon prix pour t'en délivrer? Réfléchis.
- Ce n'est ni un cheval ni une vache qui se vend. Garde ton argent. Je n'émets qu'une condition : je veux enregistrer votre rencontre, filmer vos accouplements de ce jour.
- C'est tout ? Tu es voyeur ! Comment faire ? Elle peut te voir ou tu espères filmer mais passer inaperçu ? Parce qu'il serait étonnant qu'elle veuille être vue en train de baiser. Peu de mes compagnes admettent de laisser des traces. Plus elles sont salopes, moins elles veulent être vues et connues comme telles. Et, la première fois, aucune n'accepte qu'un tiers l'observe pendant qu'elle se fait sauter. Donc Candice refusera d'être filmée aujourd'hui.
- Elle ne se prénomme pas Candice, mais Elvire.
- Va pour Elvire. Je l'appelle par son vrai prénom, elle croira que j'ai fait une enquête parce que je m'intéresse à elle et pas seulement parce que je veux tirer un coup avec elle. N'est-ce pas une bonne idée ?
- Une enquête bien faite t'apprendrait que je me prénomme Jean, que j'ai trente ans comme elle, que je suis artisan couvreur et aussi installateur sanitaire. Si possible, essaie de savoir pourquoi elle fait le ménage dans ce bouiboui.
- Parfait. Cette porte, dans le coin, ouvre sur la cuisine. Je la recevrai ici, au salon. Tu te tiendras derrière la porte de la cuisine et tu filmeras ce que tu voudras.
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