Mais oui, c'était moi 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mais oui, c'était moi 5
La chevelure rousse de la femme nue, à genoux, avance vers le sexe que l'homme, nu et debout, vient de masturber rapidement. De la main elle guide le gland taillé en ogive entre ses lèvres pulpeuses. Le contact s"établit, et de durcir. Les mâchoires s'écartent au maximum, le membre impressionnant force le passage entre les dents recouvertes par les lèvres. Le visage de la jeune femme grimace sous l'effort, l'homme pousse son ventre en avant pour s'enfoncer jusqu'à la glotte. Que faut-il de plus pour comprendre que j"assiste à un adultère ? Il y a bien pénétration d'un orifice de la femme par la grosse bite. C'est le début du rapport sexuel. La suite se devine. La salope ne se contentera pas de pomper et de vider les couilles qui se balancent sous son nez. Elle offrira son corps sans scrupules et sa chatte accueillera la queue qu'elle entreprend de sucer.
Je ne vais pas la laisser faire. Greg pourrait y prendre goût. La gâterie pour moi suffit, J'ai assez de matière pour crier à la trahison, pour stopper les deux protagonistes surpris par mon arrivée inattendue. Carole sera déçue, frustrée de ne pas réaliser son rêve, désolée d'avoir raté sa tentative de "se faire" mon mari, furieuse d'être confondue par moi, sa victime. Greg pris, non la main dans le sac, mais le sexe enfoncé dans une bouche autre que la mienne, va devoir choisir entre sa femme, mère de sa fille et cette prétendue amie. Préférera-t-il cette Carole qui a sept ans de moins que moi. Il s'est tellement démené pour m'attirer dans son lit, pour m'épouser. Mais on ne sait jamais comment il réagira. Je risque le tout pour le tout.
L'adultère, commis devant moi, constitue une raison suffisante pour faire perdre à ce père de 57 ans un et le divorce et la garde de notre fille. Prendra-t-il le risque de m'écarter au bénéfice de l'intrigante déloyale. Elle n'est pas encore complètement sa maîtresse puisque mes cris mettent fin à la fellation à peine entamée. Je montre mon autorité. Sur mon ordre Carole, rouge de honte ramasse ses affaires et retourne dans la piscine. Queue au vent Greg attend la détumescence qui tarde.Sa queue en admiration devant les nuages témoigne de sa faute. Il est confus, gêné, malheureux comme un gamin pris en train de goûter la confiture en cachette.
Greg a su préparer son coup, il ne sait pas comment s'en sortir. Il ne se révoltera pas, je le sens immédiatement, ses épaules affaissées, son regard de chien battu fixé sur la dalle, tout montre son embarras et la reconnaissance de sa défaite. Mon ton ferme, ma menace de partir avec Linda l'ont frappé en plein coeur. Il n'avait pas pris le temps d'y réfléchir. Lui, si fort en affaires, renonce à sa défense. Il ne sait que demander pardon et réclamer pitié et indulgence. Je suis en position de force, il est écrasé par les remords, humble comme jamais. Je le domine habituellement au lit quand le désir le travaille. Cette fois je le domine.Je suis trompée, furieuse de l'être, mais j'éprouve une certaine satisfaction à lui donner des ordres, à le voir assez soumis pour obéir sans réclamer.
Quand il ne s'agissait que de prendre son plaisir avec une nana consentante, à se glisser dans un vagin souple et chaud, il était flatté de plaire encore à une fille de trente ans sa cadette. Il n'avait pas mesuré les conséquences possibles d'une baise brûlante mais secrète. Ce devait être une partie de cul simplement, du plaisir gagné avec une chaudasse, un bon coup en passant, vite fait bien fait et on n'en parle plus ! Il avait raisonné avec sa queue plus qu'avec son cerveau. Mais là, devant moi, il se sentait tout couillon, incapable d'avoir une réaction claire. Il prenait un air que je ne lui connaissais pas, mélange de honte, de désolation et de repentir.
Pendant que je me penche sur le lit où Linda fait sa sieste en riant aux anges, Greg règle, par nécessité la situation de sa tentatrice. Quand je le rejoins enfin, il me tend la lettre de démission de l'inconsolable Carole.
- Ne regretteras-tu pas de l'avoir chassée. N'est-ce pas une sanction disproportionnée?
- Pourquoi ? Tu voudrais te réserver une autre occasion de la sauter. Tu as des regrets ? Dans ce cas, cours derrière elle, rattrape-là, conduis-la dans ton lit et terminer ce que tu as commencé. Alors cesse de gémir et de t"abaisser à demander pardon.
- Je te jure que cela ne se reproduira plus. C'était ton amie, c'est la marraine de notre fille.
- Elle n'est plus mon amie et je ne veux plus la rencontrer. Que faire de toi, espèce de coureur. Pourquoi m'avoir épousée ? Pour pouvoir me tromper ? Je ne suis plus à ton goût ?
J'ai droit à de touchantes protestations d'amour, à des promesses de bonne conduite. Et, tenez-vous bien, à une supplique osée à cet instant. Greg, pour réparer son erreur, souhaite pouvoir me témoigner son amour en me prenant dans ses bras. Je suis calmée, je veux vivre avec un homme solide, je ne veux pas d'une larve. Je sais par expérience qu'il faut savoir pardonner. J'ai trop souffert de l'inflexibilité de Jean pour me montrer impitoyable. Nous n'attendons pas le soir. Le vit du pénitent est vite redressé, je le reçois en moi, je suis femme, je suis ardente. Nous nous aimons. J'oublie Carole. Greg est heureux, Greg devient génial, je jouis, il éjacule, je cours à la salle de bain en souhaitant qu'un lavage vaginal avec ma poire m'évitera une grossesse. Linda termine sa sieste, appelle. Le pardon accordé comment mon mari tiendra-t-il ses serments ?
Je ne vais pas la laisser faire. Greg pourrait y prendre goût. La gâterie pour moi suffit, J'ai assez de matière pour crier à la trahison, pour stopper les deux protagonistes surpris par mon arrivée inattendue. Carole sera déçue, frustrée de ne pas réaliser son rêve, désolée d'avoir raté sa tentative de "se faire" mon mari, furieuse d'être confondue par moi, sa victime. Greg pris, non la main dans le sac, mais le sexe enfoncé dans une bouche autre que la mienne, va devoir choisir entre sa femme, mère de sa fille et cette prétendue amie. Préférera-t-il cette Carole qui a sept ans de moins que moi. Il s'est tellement démené pour m'attirer dans son lit, pour m'épouser. Mais on ne sait jamais comment il réagira. Je risque le tout pour le tout.
L'adultère, commis devant moi, constitue une raison suffisante pour faire perdre à ce père de 57 ans un et le divorce et la garde de notre fille. Prendra-t-il le risque de m'écarter au bénéfice de l'intrigante déloyale. Elle n'est pas encore complètement sa maîtresse puisque mes cris mettent fin à la fellation à peine entamée. Je montre mon autorité. Sur mon ordre Carole, rouge de honte ramasse ses affaires et retourne dans la piscine. Queue au vent Greg attend la détumescence qui tarde.Sa queue en admiration devant les nuages témoigne de sa faute. Il est confus, gêné, malheureux comme un gamin pris en train de goûter la confiture en cachette.
Greg a su préparer son coup, il ne sait pas comment s'en sortir. Il ne se révoltera pas, je le sens immédiatement, ses épaules affaissées, son regard de chien battu fixé sur la dalle, tout montre son embarras et la reconnaissance de sa défaite. Mon ton ferme, ma menace de partir avec Linda l'ont frappé en plein coeur. Il n'avait pas pris le temps d'y réfléchir. Lui, si fort en affaires, renonce à sa défense. Il ne sait que demander pardon et réclamer pitié et indulgence. Je suis en position de force, il est écrasé par les remords, humble comme jamais. Je le domine habituellement au lit quand le désir le travaille. Cette fois je le domine.Je suis trompée, furieuse de l'être, mais j'éprouve une certaine satisfaction à lui donner des ordres, à le voir assez soumis pour obéir sans réclamer.
Quand il ne s'agissait que de prendre son plaisir avec une nana consentante, à se glisser dans un vagin souple et chaud, il était flatté de plaire encore à une fille de trente ans sa cadette. Il n'avait pas mesuré les conséquences possibles d'une baise brûlante mais secrète. Ce devait être une partie de cul simplement, du plaisir gagné avec une chaudasse, un bon coup en passant, vite fait bien fait et on n'en parle plus ! Il avait raisonné avec sa queue plus qu'avec son cerveau. Mais là, devant moi, il se sentait tout couillon, incapable d'avoir une réaction claire. Il prenait un air que je ne lui connaissais pas, mélange de honte, de désolation et de repentir.
Pendant que je me penche sur le lit où Linda fait sa sieste en riant aux anges, Greg règle, par nécessité la situation de sa tentatrice. Quand je le rejoins enfin, il me tend la lettre de démission de l'inconsolable Carole.
- Ne regretteras-tu pas de l'avoir chassée. N'est-ce pas une sanction disproportionnée?
- Pourquoi ? Tu voudrais te réserver une autre occasion de la sauter. Tu as des regrets ? Dans ce cas, cours derrière elle, rattrape-là, conduis-la dans ton lit et terminer ce que tu as commencé. Alors cesse de gémir et de t"abaisser à demander pardon.
- Je te jure que cela ne se reproduira plus. C'était ton amie, c'est la marraine de notre fille.
- Elle n'est plus mon amie et je ne veux plus la rencontrer. Que faire de toi, espèce de coureur. Pourquoi m'avoir épousée ? Pour pouvoir me tromper ? Je ne suis plus à ton goût ?
J'ai droit à de touchantes protestations d'amour, à des promesses de bonne conduite. Et, tenez-vous bien, à une supplique osée à cet instant. Greg, pour réparer son erreur, souhaite pouvoir me témoigner son amour en me prenant dans ses bras. Je suis calmée, je veux vivre avec un homme solide, je ne veux pas d'une larve. Je sais par expérience qu'il faut savoir pardonner. J'ai trop souffert de l'inflexibilité de Jean pour me montrer impitoyable. Nous n'attendons pas le soir. Le vit du pénitent est vite redressé, je le reçois en moi, je suis femme, je suis ardente. Nous nous aimons. J'oublie Carole. Greg est heureux, Greg devient génial, je jouis, il éjacule, je cours à la salle de bain en souhaitant qu'un lavage vaginal avec ma poire m'évitera une grossesse. Linda termine sa sieste, appelle. Le pardon accordé comment mon mari tiendra-t-il ses serments ?
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