Maison de l'amour
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Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Maison de l'amour
En faisant leur courses sur un marché, Léa et son mari Marc, se font accoster par une jeune femme d'une trentaine d'années, qui leur demande une petite pièce pour survivre, d'après elle cela fait trois jour qu'elle n'a rien manger. Léa fouille dans son sac et donne quelques monnaies à la jeune femme qui la remercie de tout cœur. En prenant l'argent les yeux de la femme s'emplissent de larmes et dit :
-C'est rare les personnes qui donnent quelques chose, je vous remercie madame !
La jeune femme, se dirige vers un porche ou l'attendait une petite fille avec un baluchon.
Les deux main dans la main, baluchon dans l'autre main, s'achètent une baguette, une bouteille d'eau et une tranche de jambon. Elles trouvent une place sur un banc, et commencent à manger.
Léa qui les suivant du regard depuis longtemps a Le cœur qui se serre, elle donne un coup de coude à son mari, qui comprend rapidement. Ils s'avancent vers les deux miséreux et leur proposent de venir manger chez eux. Léa et son mari possèdent une petite ferme à quelques kilomètres de là.
Les deux un peu intimidées acceptent. les présentations se font dans la voiture. La petite a sept ans et s'appelle Juliette, sa maman Miriam. Une fois arrivé dans la cour de la petite ferme, le chien Sultan se précipite sur Juliette et comme par miracle, lui plutôt hargneux, lui fait la fête, il agite sa queue la renifle et jappe en sautillant autour d'elle, jusqu'à ce que la petite pas très rassurée le caresse.
Dès qu'ils entrent dans le logis, le chien ne quitte pas Juliette, il lui lèche les mains en cherchant quelques caresses. Marc pendant que sa femme prépare le déjeuner, met à disposition des invités la salle de bain. Les deux sautent presque de joie et vont prendre une bonne douche.
Pendant le repas, la confiance s'installe. Miriam avec des larmes aux yeux, raconte à ses hôtes le malheur qui la frappe. Son mari la quitté elle et sa fille, les laissant sans ressource. Comme un malheur n'arrive jamais seul, l'entreprise ou elle travaillait, a fermée ses portes, comme elle n'a pas beaucoup de mois de travail, elle ne touche rien du chômage.
Ne pouvons plus payer son loyer elle à du quitter son appartement. Et depuis quelques jours, elle erre dans les rues dort sous les porches ou sur un banc heureusement que c'est l'été et que la température est clémente. Elle à dépensé ses derniers deniers pour ce nourrir, elle en est réduite à mendier. Vu la détresse de la jeune femme, le couple lui propose de travailler à la femme car le travail ne manque pas . Miriam en regardant sa fille accepte sans hésiter.
Les jours se passent voire les semaines, Miriam à complétement changée, elle rayonne de bonheur. très complice avec Léa, les deux s'entendent à merveille. Quant'à Juliette elle est la princesse de la maison. Marc aussi a changé il est plus souriant, comme il ne peut avoir d'enfant, il considère Juliette comme sa fille. Il lui fait tout ses caprices, malgré que sa maman voit cela d'un sale œil. La petite le suit partout, va au champs avec lui, traire les vaches, joue avec lui. Elle est pleine de vie, ses éclats de rire font fondre de bonheur Marc.
Elle fait tourner en bourrique Sultan, la bête semble la protéger, il dort juste devant sa porte comme un garde du corps, il ne la quitte pas d'une semelle.
Marc Lui a confié un petit travail, que la petite prend très au sérieux, c'est chaque matin, qu'elle doit soigner les volailles. Toujours accompagnée par son fidèle compagnon Sultan, qui tient à l'écart le jarre un peu agressive, elle exécute son travail avec cœur. Au fil des jours entre Léa et Miriam, se tisse un lien bien plus fort que de l'amitié. Les sourires qu'elles échangent sont sans équivoques. Quelques fois elles se prennent la main, se la caresse en comparant leur grain de peau, mais cette petite mise en scène n'est faite, que pour se toucher. Les jours passent, ce n'est que du bonheur pour les quatre complices, la vie est belle.
Les deux femmes sont occupées dans le potager, Marc et sa petite princesse sont à l'écurie. Léa pousse un petit aie, elle vient de ce piquer avec une épine. Un peu de sang rougit le bout de son doigt. Léa grimace, Miriam lui prend la main et en regardant le doigt (sanguinolent), c'est beaucoup dire, le prend en bouche et aspire la perle couleur rubis. Les deux femmes ne se quittent pas des yeux, Léa semble extrêmement troublée, elle fond, sa respiration s'accélère. Miriam fait durer le plaisir, elle suce avec douceur le doigt. Sa bouche glisse doucement sur le doigt, les yeux des deux femmes luisent de bonheur. En soupirant fortement, Léa se reprend, elle retire son doigt et baise la tête, un sentiment de honte la culpabilise.
Sans se dire un mot les deux femmes continuent d'œuvrer dans le potager. Puis rentrent, il est temps de préparer le déjeuner. Soudain Miriam enlace, Léa par derrière, celle-ci se cabre légèrement sans la repousser. Miriam la serre tendrement contre elle, son bas-ventre appuie contre le fessier bien rebondit de Léa qui pousse de gros soupirs. Plusieurs baisers sur sa nuque et sur son cou la font frémir. La main de Miriam glisse lentement sur le ventre de la femme qu'elle aime, mais, n'a jamais oser lui avouer son amour. Elle espère que ses sentiments sont partagés.
La main fait sauter un bouton de la blouse, qui recouvre le corps fébrile de Léa, et s'insère sous le tissu. Elle passe plusieurs fois sur le ventre plat qui n'a que comme rempart la culotte, elle s'approche de l'entrejambe, glisse quelques fois sur la vulve cachée sous le fin tissu. Léa en tremblant, se cabre en disant :
-Non, non il ne faut pas Miriam !
Un peu déçue, Miriam retire sa main, Léa se retourne, ses yeux sont humides et luisent de mille feux. Miriam l'enlace à nouveau, elle se plaque contre elle, et lui dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Je t'aime, je suis folle de toi !
Léa en serrant les poings lui répond :
-Miriam, ne complique pas les choses s'il te plait, il m'est très difficile de t'avouer que moi aussi je t'aime, agissons comme des personnes responsables, n'aggravons pas les choses !
Mais l'amour n'a pas de raison, et se moque des conséquences. Les deux femmes échangent un premier baiser très langoureux. Leurs souffles sont courts et bruyants. Les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent.
Mais ils est temps de préparer le repas. Pendant le repas les deux femmes ne cessent de se sourire, avec un peu d'attention, on peut remarquer qu'elle sont très émues surtout, très amoureuses l'une de l'autre.
Juliette, pète le feu, elle veut être assise à côte de Marc, elle se l'accapare comme si c'était sa chose. Lui l'adore, il la regarde avec amour et lui donne un gros baiser sur le front. Le repas se passe comme à l'accoutumée à merveille. Juliette a toujours la langue bien pendue, elle fait sourire les convives, en voulant se faire passer pour une grande fille. A la fin du repas, les deux femmes se rendent à la cuisine. Les mains se frôlent, un petit baiser furtif très discret est vite échangé.
Pendant que Juliette, et son papa d'adoption sont aux champs, toujours suivit par Sultan. Les deux femmes s'enlacent, s'embrassent fougueusement, et tombent sur le canapé du salon. Habilement Miriam dégrafe les boutons de la blouse de la femme sa vie. Elle dirige l'ébat, ouvre les deux pans et regarde longuement le corps de Léa, elle ne peut s'empêcher de dire :
-Oh ce que tu es belle mon amour, si tu savait comme je t'aime, je n'en dors plus la nuit !
Le soutien-gorge, ne résiste pas longtemps aux doigts agiles de la femme amoureuse. Les seins se dressent fièrement sur le torse de Léa, qui tremble. Elle les presse doucement, enfonce ses longs doigts dans la chair tendre. Elle agace les mamelons qui sont larges et épais de nature. Rapidement ils deviennent énormes. Miriam, sait les faire gonfler de désir, elle les roule entre ses doigts, les étire et les presse de temps en temps.
Elle les prend en bouche, les suce férocement en faisant gémir son amour. Avec douceur, elle fait descendre la culotte qui est déjà humide. sa bouche se pose sur le fruit juteux et aspire le jus suave que la vulve rejette. Léa ne tient plus, elle aussi se met à dévêtir son amante. Et les deux tête bêche se dévorent, se fouillent de la langue et les doigts les orifices en feux. leurs jouissances est terribles. C'est apaiser qu'elles se séparent. les jours passent, les amants s'aiment en cachette, Juliette maintenant va à l'école.
Mais un soir, une fois que la petite fut couchée, devant la télévision. Miriam et dit :
-Il faut que je parte !
Marc vient de recevoir un coup de poignard en plein cœur, il regarde Miriam et dit :
-Mais, mais, tu n'es pas bien ici, Miriam qu'est-ce qui te prends ?
Elle sanglote et dit :
-je suis même trop bien, mais je ne peux plus me taire, Léa et moi nous nous aimons, et il est préférable que je quitte la ferme pour ne pas détruire votre ménage !
Marc reste un moment sans voix, il regarde sa femme qui baisse la tête honteusement, puis désemparé il répond :
-Mais tu ne peux pas me retirer ma petite princesse, elle est comme ma fille, c'est la prunelle de mes yeux, jamais je ne survivrais à son départ !
Miriam répond avec beaucoup d'émotion dans la voix :
-Marc il le faut c'est trop pénible, j'aime trop Léa et c'est pour cela qu'il faut que je disparaisse de sa vie et de la tienne !
Marc se cabre et dit avec une sorte de désespoir :
-Eh bien soit, j'accepte cette situation, aimez-vous, mais je suis sûr qu'il y a de place dans son cœur pour nous deux !
Léa ouvre la bouche pour la premiére fois :
-Marc, tu veux dire que nous, nous cacherons plus pour nous aimer ?
Il répond :
-Oui c'est bien cela que je veux dire, et si vous le souhaitez, nous ferons ménage à trois, ou alors je m'effacerais pour que vous soyez heureuses !
Léa éclate en sanglot, elle enlace son mari et lui dit :
-Tu es le meilleur des hommes mon chéri, oui je peux vous aimer tout les deux !
Ils échangent un baiser très long. Puis Léa, tombe dans les bras de Miriam, et avec elle échange aussi, un vrai baiser d'amour. Elle dit une fois le baiser terminé :
-Reste ma chérie je ne veux pas te perdre, Marc merci pour ta preuve d'amour !
Miriam, regarde Marc et lui saute dans les bras, elle le prend par le cou et l'embrasse fougueusement comme pour le remercier. Marc surpris, accepte le baiser et noue sa langue à la sienne, le baiser dure un long moment sous le regarde attendrit de Léa, qui finit par se plaquer contre eux, et ce qui devait arriver arriva, les lèvres changent plusieurs fois de partenaires.
Marc en souriant dit :
-Vilaine, ne me fais plus jamais une peur pareille, avec ton envie de partir et de me séparer de ma petite princesse !
Marc monte se coucher rassurer, il est le plus heureux des hommes. Il reste un moment nu sur le lit plongé dans ses pensées. Soudain, la porte de la chambre s'ouvre doucement, Léa apparait elle est nue, elle est suivit de Miriam qui est nue également. Marc se redresse il n'en croit pas ses yeux, il regarde un long moment le corps de Miriam, puis regarde sa femme qui lui dit en souriant :
-Elle est belle hein mon chéri !
Marc en se pinçant les lèvres opine de la tête et répond :
-Oui très belle, aussi belle que toi ma chérie, je comprends pourquoi tu l'aime !
Les deux femmes s'assoient l'une à côte de l'autre sur le bord du lit, s'enlacent et s'embrassent fougueusement, Marc entend les souffles il écarquille les yeux, lorsque Léa bascule Miriam sur le lit. Elle la caresse, lui malaxe doucement les seins, avant de gober les mamelons. Immédiatement Miriam se met à geindre doucement. La bouche de sa femme a du savoir faire, elle descend sur le torse. Embrasse chaque parcelle de peau. Marc est admiratif devant sa femme qui joue avec le corps fébrile de son amante, comme une pianiste sur son clavier. Lentement un effet de fièvre se fait ressentir, sa verge automatiquement commence à se dresser doucement sur son bas-ventre.
Miriam soupire fortement, elle se cabre lorsque la bouche avide de son amante, se pose sur sa vulve en ébullition. La langue de Léa s'enfonce dans le cratère et le fouille profondément, en arrachant des gémissements de plus en plus bruyants à Miriam. Mais dès qu'elle lui aspire le clito, c'est l'explosion, une jouissance terrible lui secoue le ventre, elle s'accroche à son amante en gémissant :
-Oh, toi, toi comme je t'aime !
Léa se redresse elle et fière de son exploit. Marc en souriant lui dit :
-Ma chérie, je ne te connais pas ces talents de lesbienne !
Elle répond en caressant la fente ruisselante de son amante :
-C'est ma chérie qui m'a initiée à ce genre de plaisir, elle est très douée tu sais !
Elle ajoute, avec un sourire enjôleur :
-j'aimerai te voir la prendre mon chéri, puisque maintenant nous formons un trio, il va te falloir des forces supplémentaires, pour nous contenter toutes les deux !
Miriam, récupère doucement elle regarde la verge de Marc et dit :
-Oui, oui, qu'il me prenne, j'ai joui avec sa femme, maintenant je vais me faire baiser par son mari, mais c'est merveilleux, Léa, laisse moï le sucer avant tu veux !
Léa en gardant toujours le sourire dit :
-Mais la chérie, il est autant à moi qu'à toi fais ce qui te plait, je t'annonce que c'est un bon amant !
Miriam saisit la verge de Marc, et l'observe comme une chose bizarre. Doucement elle la branle, s'arrête, décalotte le gland puis reprend un doux branlage. elle fait monter la tension dans le corps de Marc, lorsqu'il est au bord de l'explosion elle cesse tout mouvement, elle attend que la pression retombe puis reprend le branlage. Lorsqu'il grimace, elle arrête tout, elle attend encore que la pression retombe, pour Marc c'est de la torture. Pour Léa c'est une nouveauté, elle regarde avec attention chaque geste que fait la coquine beaucoup plus jeune qu'eux.
Soudain Miriam reprend le branlage avec une violence telle que Marc grimace. Une puissante giclée jaillit de la hampe épaisse et retombe sur les doigts et le ventre du jouisseur. Rapidement Miriam gobe le gland gluant et le suce comme une affamée, sa langue glisse sur le cèpe et prend le temps de titiller le frein. Enfin elle l'enjambe, saisit sa verge qu'elle maintient contre ses grandes lèvres, et se laisse tomber de tout son poids. C'est en poussant un long gémissement que la coquine s'empale jusqu'à la garde sur la bite large de son amant.
Elle s'agite, en grognant, fait l'ascenseur sur le manche de chair, cherche le plaisir qu'elle veut total.
Léa se caresse la chatte, qui rejette son surplus de cyprine. Ses doigts agiles agressent son clito, elle regarde les deux amants qui ne cessent de geindre.
Miriam semble déchainée, elle s'agite comme une forcenée, ses gémissements sont bruyants. Léa délaisse son clito, et s'approche du couple en action, elle caresse les fesses de Miriam, elle passe ses doigts dans le large sillon. Taquine l'anus, avant d'enfoncer la première phalange de son majeur dans l'œillet. Miriam se cabre en poussant un petit gémissement approbateur.
Léa enfonce la totalité du visiteur. Et ramone le conduit en suivant les montées et descentes du corps de Miriam sur le pal qui l'embroche. Marc à chaque descente, tire fortement sur les hanches de son amante pour bien l'empaler.
Léa retire son doigt s'agrippe au clito et le branle comme une sauvage. Miriam croit qu'elle va mourir tellement c'est violent, mais elle ne rechigne pas à un peu de brutalité pendant l'ébats amoureux. Léa ne la ménage pas, elle lui écrase le clito pour la faire monter au septième ciel.
Miriam se déchaine, elle s'agite comme une forcenée sur la bite de son amant. Ses râles et ses gémissements excitent Léa qu'elle renonce à lui triturer le clito pour s'occuper du sien. Elle se branle sauvagement en serrant les dents.
Miriam est au bord de la jouissance, la bite de marc qui lui rabote les parois sensibles de la chatte, lui fait grincer les dents, elle couine :
-Léa, Léa, mon amour regarde comme ton homme me prend, mon dieu c'est démentiel, encore Marc, encore, oui ça vient, ça vient !
Une jouissance monstrueuse la fait hurler de plaisir. Léa veut sa part, de jouissance, elle accélère le branlage, se cabre et explose en poussant un long gémissement.
Miriam se laisse tomber sur le torse de Marc, le bougre continue de lui labourer la chatte, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence brulante. Les amantes changent de monture, Léa très excitée d'avoir vu son mari prendre son amour, le chevauche comme une hystérique. Les trois se donnent corps et âmes, leurs jouissances sont nombreuses et violentes. Il font l'amour jusqu'à épuisement. le lendemain matin, en versant le café, Miriam fredonne. Juliette regarde Marc et demande :
-Pourquoi que maman chante ce matin ?
Marc lui fait un clin d'œil, et répond :
Elle est heureuse ta maman ma chérie !
Alors en se redressant elle réplique :
-Je veux chanter, moi aussi je suis heureuse na !
Les trois adultes éclatent de rire.
-C'est rare les personnes qui donnent quelques chose, je vous remercie madame !
La jeune femme, se dirige vers un porche ou l'attendait une petite fille avec un baluchon.
Les deux main dans la main, baluchon dans l'autre main, s'achètent une baguette, une bouteille d'eau et une tranche de jambon. Elles trouvent une place sur un banc, et commencent à manger.
Léa qui les suivant du regard depuis longtemps a Le cœur qui se serre, elle donne un coup de coude à son mari, qui comprend rapidement. Ils s'avancent vers les deux miséreux et leur proposent de venir manger chez eux. Léa et son mari possèdent une petite ferme à quelques kilomètres de là.
Les deux un peu intimidées acceptent. les présentations se font dans la voiture. La petite a sept ans et s'appelle Juliette, sa maman Miriam. Une fois arrivé dans la cour de la petite ferme, le chien Sultan se précipite sur Juliette et comme par miracle, lui plutôt hargneux, lui fait la fête, il agite sa queue la renifle et jappe en sautillant autour d'elle, jusqu'à ce que la petite pas très rassurée le caresse.
Dès qu'ils entrent dans le logis, le chien ne quitte pas Juliette, il lui lèche les mains en cherchant quelques caresses. Marc pendant que sa femme prépare le déjeuner, met à disposition des invités la salle de bain. Les deux sautent presque de joie et vont prendre une bonne douche.
Pendant le repas, la confiance s'installe. Miriam avec des larmes aux yeux, raconte à ses hôtes le malheur qui la frappe. Son mari la quitté elle et sa fille, les laissant sans ressource. Comme un malheur n'arrive jamais seul, l'entreprise ou elle travaillait, a fermée ses portes, comme elle n'a pas beaucoup de mois de travail, elle ne touche rien du chômage.
Ne pouvons plus payer son loyer elle à du quitter son appartement. Et depuis quelques jours, elle erre dans les rues dort sous les porches ou sur un banc heureusement que c'est l'été et que la température est clémente. Elle à dépensé ses derniers deniers pour ce nourrir, elle en est réduite à mendier. Vu la détresse de la jeune femme, le couple lui propose de travailler à la femme car le travail ne manque pas . Miriam en regardant sa fille accepte sans hésiter.
Les jours se passent voire les semaines, Miriam à complétement changée, elle rayonne de bonheur. très complice avec Léa, les deux s'entendent à merveille. Quant'à Juliette elle est la princesse de la maison. Marc aussi a changé il est plus souriant, comme il ne peut avoir d'enfant, il considère Juliette comme sa fille. Il lui fait tout ses caprices, malgré que sa maman voit cela d'un sale œil. La petite le suit partout, va au champs avec lui, traire les vaches, joue avec lui. Elle est pleine de vie, ses éclats de rire font fondre de bonheur Marc.
Elle fait tourner en bourrique Sultan, la bête semble la protéger, il dort juste devant sa porte comme un garde du corps, il ne la quitte pas d'une semelle.
Marc Lui a confié un petit travail, que la petite prend très au sérieux, c'est chaque matin, qu'elle doit soigner les volailles. Toujours accompagnée par son fidèle compagnon Sultan, qui tient à l'écart le jarre un peu agressive, elle exécute son travail avec cœur. Au fil des jours entre Léa et Miriam, se tisse un lien bien plus fort que de l'amitié. Les sourires qu'elles échangent sont sans équivoques. Quelques fois elles se prennent la main, se la caresse en comparant leur grain de peau, mais cette petite mise en scène n'est faite, que pour se toucher. Les jours passent, ce n'est que du bonheur pour les quatre complices, la vie est belle.
Les deux femmes sont occupées dans le potager, Marc et sa petite princesse sont à l'écurie. Léa pousse un petit aie, elle vient de ce piquer avec une épine. Un peu de sang rougit le bout de son doigt. Léa grimace, Miriam lui prend la main et en regardant le doigt (sanguinolent), c'est beaucoup dire, le prend en bouche et aspire la perle couleur rubis. Les deux femmes ne se quittent pas des yeux, Léa semble extrêmement troublée, elle fond, sa respiration s'accélère. Miriam fait durer le plaisir, elle suce avec douceur le doigt. Sa bouche glisse doucement sur le doigt, les yeux des deux femmes luisent de bonheur. En soupirant fortement, Léa se reprend, elle retire son doigt et baise la tête, un sentiment de honte la culpabilise.
Sans se dire un mot les deux femmes continuent d'œuvrer dans le potager. Puis rentrent, il est temps de préparer le déjeuner. Soudain Miriam enlace, Léa par derrière, celle-ci se cabre légèrement sans la repousser. Miriam la serre tendrement contre elle, son bas-ventre appuie contre le fessier bien rebondit de Léa qui pousse de gros soupirs. Plusieurs baisers sur sa nuque et sur son cou la font frémir. La main de Miriam glisse lentement sur le ventre de la femme qu'elle aime, mais, n'a jamais oser lui avouer son amour. Elle espère que ses sentiments sont partagés.
La main fait sauter un bouton de la blouse, qui recouvre le corps fébrile de Léa, et s'insère sous le tissu. Elle passe plusieurs fois sur le ventre plat qui n'a que comme rempart la culotte, elle s'approche de l'entrejambe, glisse quelques fois sur la vulve cachée sous le fin tissu. Léa en tremblant, se cabre en disant :
-Non, non il ne faut pas Miriam !
Un peu déçue, Miriam retire sa main, Léa se retourne, ses yeux sont humides et luisent de mille feux. Miriam l'enlace à nouveau, elle se plaque contre elle, et lui dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Je t'aime, je suis folle de toi !
Léa en serrant les poings lui répond :
-Miriam, ne complique pas les choses s'il te plait, il m'est très difficile de t'avouer que moi aussi je t'aime, agissons comme des personnes responsables, n'aggravons pas les choses !
Mais l'amour n'a pas de raison, et se moque des conséquences. Les deux femmes échangent un premier baiser très langoureux. Leurs souffles sont courts et bruyants. Les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent.
Mais ils est temps de préparer le repas. Pendant le repas les deux femmes ne cessent de se sourire, avec un peu d'attention, on peut remarquer qu'elle sont très émues surtout, très amoureuses l'une de l'autre.
Juliette, pète le feu, elle veut être assise à côte de Marc, elle se l'accapare comme si c'était sa chose. Lui l'adore, il la regarde avec amour et lui donne un gros baiser sur le front. Le repas se passe comme à l'accoutumée à merveille. Juliette a toujours la langue bien pendue, elle fait sourire les convives, en voulant se faire passer pour une grande fille. A la fin du repas, les deux femmes se rendent à la cuisine. Les mains se frôlent, un petit baiser furtif très discret est vite échangé.
Pendant que Juliette, et son papa d'adoption sont aux champs, toujours suivit par Sultan. Les deux femmes s'enlacent, s'embrassent fougueusement, et tombent sur le canapé du salon. Habilement Miriam dégrafe les boutons de la blouse de la femme sa vie. Elle dirige l'ébat, ouvre les deux pans et regarde longuement le corps de Léa, elle ne peut s'empêcher de dire :
-Oh ce que tu es belle mon amour, si tu savait comme je t'aime, je n'en dors plus la nuit !
Le soutien-gorge, ne résiste pas longtemps aux doigts agiles de la femme amoureuse. Les seins se dressent fièrement sur le torse de Léa, qui tremble. Elle les presse doucement, enfonce ses longs doigts dans la chair tendre. Elle agace les mamelons qui sont larges et épais de nature. Rapidement ils deviennent énormes. Miriam, sait les faire gonfler de désir, elle les roule entre ses doigts, les étire et les presse de temps en temps.
Elle les prend en bouche, les suce férocement en faisant gémir son amour. Avec douceur, elle fait descendre la culotte qui est déjà humide. sa bouche se pose sur le fruit juteux et aspire le jus suave que la vulve rejette. Léa ne tient plus, elle aussi se met à dévêtir son amante. Et les deux tête bêche se dévorent, se fouillent de la langue et les doigts les orifices en feux. leurs jouissances est terribles. C'est apaiser qu'elles se séparent. les jours passent, les amants s'aiment en cachette, Juliette maintenant va à l'école.
Mais un soir, une fois que la petite fut couchée, devant la télévision. Miriam et dit :
-Il faut que je parte !
Marc vient de recevoir un coup de poignard en plein cœur, il regarde Miriam et dit :
-Mais, mais, tu n'es pas bien ici, Miriam qu'est-ce qui te prends ?
Elle sanglote et dit :
-je suis même trop bien, mais je ne peux plus me taire, Léa et moi nous nous aimons, et il est préférable que je quitte la ferme pour ne pas détruire votre ménage !
Marc reste un moment sans voix, il regarde sa femme qui baisse la tête honteusement, puis désemparé il répond :
-Mais tu ne peux pas me retirer ma petite princesse, elle est comme ma fille, c'est la prunelle de mes yeux, jamais je ne survivrais à son départ !
Miriam répond avec beaucoup d'émotion dans la voix :
-Marc il le faut c'est trop pénible, j'aime trop Léa et c'est pour cela qu'il faut que je disparaisse de sa vie et de la tienne !
Marc se cabre et dit avec une sorte de désespoir :
-Eh bien soit, j'accepte cette situation, aimez-vous, mais je suis sûr qu'il y a de place dans son cœur pour nous deux !
Léa ouvre la bouche pour la premiére fois :
-Marc, tu veux dire que nous, nous cacherons plus pour nous aimer ?
Il répond :
-Oui c'est bien cela que je veux dire, et si vous le souhaitez, nous ferons ménage à trois, ou alors je m'effacerais pour que vous soyez heureuses !
Léa éclate en sanglot, elle enlace son mari et lui dit :
-Tu es le meilleur des hommes mon chéri, oui je peux vous aimer tout les deux !
Ils échangent un baiser très long. Puis Léa, tombe dans les bras de Miriam, et avec elle échange aussi, un vrai baiser d'amour. Elle dit une fois le baiser terminé :
-Reste ma chérie je ne veux pas te perdre, Marc merci pour ta preuve d'amour !
Miriam, regarde Marc et lui saute dans les bras, elle le prend par le cou et l'embrasse fougueusement comme pour le remercier. Marc surpris, accepte le baiser et noue sa langue à la sienne, le baiser dure un long moment sous le regarde attendrit de Léa, qui finit par se plaquer contre eux, et ce qui devait arriver arriva, les lèvres changent plusieurs fois de partenaires.
Marc en souriant dit :
-Vilaine, ne me fais plus jamais une peur pareille, avec ton envie de partir et de me séparer de ma petite princesse !
Marc monte se coucher rassurer, il est le plus heureux des hommes. Il reste un moment nu sur le lit plongé dans ses pensées. Soudain, la porte de la chambre s'ouvre doucement, Léa apparait elle est nue, elle est suivit de Miriam qui est nue également. Marc se redresse il n'en croit pas ses yeux, il regarde un long moment le corps de Miriam, puis regarde sa femme qui lui dit en souriant :
-Elle est belle hein mon chéri !
Marc en se pinçant les lèvres opine de la tête et répond :
-Oui très belle, aussi belle que toi ma chérie, je comprends pourquoi tu l'aime !
Les deux femmes s'assoient l'une à côte de l'autre sur le bord du lit, s'enlacent et s'embrassent fougueusement, Marc entend les souffles il écarquille les yeux, lorsque Léa bascule Miriam sur le lit. Elle la caresse, lui malaxe doucement les seins, avant de gober les mamelons. Immédiatement Miriam se met à geindre doucement. La bouche de sa femme a du savoir faire, elle descend sur le torse. Embrasse chaque parcelle de peau. Marc est admiratif devant sa femme qui joue avec le corps fébrile de son amante, comme une pianiste sur son clavier. Lentement un effet de fièvre se fait ressentir, sa verge automatiquement commence à se dresser doucement sur son bas-ventre.
Miriam soupire fortement, elle se cabre lorsque la bouche avide de son amante, se pose sur sa vulve en ébullition. La langue de Léa s'enfonce dans le cratère et le fouille profondément, en arrachant des gémissements de plus en plus bruyants à Miriam. Mais dès qu'elle lui aspire le clito, c'est l'explosion, une jouissance terrible lui secoue le ventre, elle s'accroche à son amante en gémissant :
-Oh, toi, toi comme je t'aime !
Léa se redresse elle et fière de son exploit. Marc en souriant lui dit :
-Ma chérie, je ne te connais pas ces talents de lesbienne !
Elle répond en caressant la fente ruisselante de son amante :
-C'est ma chérie qui m'a initiée à ce genre de plaisir, elle est très douée tu sais !
Elle ajoute, avec un sourire enjôleur :
-j'aimerai te voir la prendre mon chéri, puisque maintenant nous formons un trio, il va te falloir des forces supplémentaires, pour nous contenter toutes les deux !
Miriam, récupère doucement elle regarde la verge de Marc et dit :
-Oui, oui, qu'il me prenne, j'ai joui avec sa femme, maintenant je vais me faire baiser par son mari, mais c'est merveilleux, Léa, laisse moï le sucer avant tu veux !
Léa en gardant toujours le sourire dit :
-Mais la chérie, il est autant à moi qu'à toi fais ce qui te plait, je t'annonce que c'est un bon amant !
Miriam saisit la verge de Marc, et l'observe comme une chose bizarre. Doucement elle la branle, s'arrête, décalotte le gland puis reprend un doux branlage. elle fait monter la tension dans le corps de Marc, lorsqu'il est au bord de l'explosion elle cesse tout mouvement, elle attend que la pression retombe puis reprend le branlage. Lorsqu'il grimace, elle arrête tout, elle attend encore que la pression retombe, pour Marc c'est de la torture. Pour Léa c'est une nouveauté, elle regarde avec attention chaque geste que fait la coquine beaucoup plus jeune qu'eux.
Soudain Miriam reprend le branlage avec une violence telle que Marc grimace. Une puissante giclée jaillit de la hampe épaisse et retombe sur les doigts et le ventre du jouisseur. Rapidement Miriam gobe le gland gluant et le suce comme une affamée, sa langue glisse sur le cèpe et prend le temps de titiller le frein. Enfin elle l'enjambe, saisit sa verge qu'elle maintient contre ses grandes lèvres, et se laisse tomber de tout son poids. C'est en poussant un long gémissement que la coquine s'empale jusqu'à la garde sur la bite large de son amant.
Elle s'agite, en grognant, fait l'ascenseur sur le manche de chair, cherche le plaisir qu'elle veut total.
Léa se caresse la chatte, qui rejette son surplus de cyprine. Ses doigts agiles agressent son clito, elle regarde les deux amants qui ne cessent de geindre.
Miriam semble déchainée, elle s'agite comme une forcenée, ses gémissements sont bruyants. Léa délaisse son clito, et s'approche du couple en action, elle caresse les fesses de Miriam, elle passe ses doigts dans le large sillon. Taquine l'anus, avant d'enfoncer la première phalange de son majeur dans l'œillet. Miriam se cabre en poussant un petit gémissement approbateur.
Léa enfonce la totalité du visiteur. Et ramone le conduit en suivant les montées et descentes du corps de Miriam sur le pal qui l'embroche. Marc à chaque descente, tire fortement sur les hanches de son amante pour bien l'empaler.
Léa retire son doigt s'agrippe au clito et le branle comme une sauvage. Miriam croit qu'elle va mourir tellement c'est violent, mais elle ne rechigne pas à un peu de brutalité pendant l'ébats amoureux. Léa ne la ménage pas, elle lui écrase le clito pour la faire monter au septième ciel.
Miriam se déchaine, elle s'agite comme une forcenée sur la bite de son amant. Ses râles et ses gémissements excitent Léa qu'elle renonce à lui triturer le clito pour s'occuper du sien. Elle se branle sauvagement en serrant les dents.
Miriam est au bord de la jouissance, la bite de marc qui lui rabote les parois sensibles de la chatte, lui fait grincer les dents, elle couine :
-Léa, Léa, mon amour regarde comme ton homme me prend, mon dieu c'est démentiel, encore Marc, encore, oui ça vient, ça vient !
Une jouissance monstrueuse la fait hurler de plaisir. Léa veut sa part, de jouissance, elle accélère le branlage, se cabre et explose en poussant un long gémissement.
Miriam se laisse tomber sur le torse de Marc, le bougre continue de lui labourer la chatte, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence brulante. Les amantes changent de monture, Léa très excitée d'avoir vu son mari prendre son amour, le chevauche comme une hystérique. Les trois se donnent corps et âmes, leurs jouissances sont nombreuses et violentes. Il font l'amour jusqu'à épuisement. le lendemain matin, en versant le café, Miriam fredonne. Juliette regarde Marc et demande :
-Pourquoi que maman chante ce matin ?
Marc lui fait un clin d'œil, et répond :
Elle est heureuse ta maman ma chérie !
Alors en se redressant elle réplique :
-Je veux chanter, moi aussi je suis heureuse na !
Les trois adultes éclatent de rire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Linsee, quelle histoire magnifique , pleine de poésie et d'amour. j'ai de la peine à me contrôler en lisant cette histoire, comme beaucoup d'histoires que tu écris. Merci
Très belle histoire
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