Maitresse du jeu

- Par l'auteur HDS Claude Lamour -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maitresse du jeu Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Maitresse du jeu
- Dis moi Pascal… essayer avec un homme… ca ne t’as jamais traversé l’esprit ?
Nous venons de finir de faire l’amour.
Pascal fume une cigarette au lit, exceptionnellement. Moi, je me suis calée au creux de son épaule et joue négligemment avec les poils de son torse.
- T’as de drôles de questions, toi !
- Tu ne m’as pas répondu. Moi, j’ai eu une belle expérience avec Camille, mais toi, de ton coté, ca ne t’as jamais effleuré l’esprit de tenter un truc avec un mec ?
- T’es folle !
- Allez ! Avoue ! Pourquoi tu rougis ?
- Mais non, Eliane, je ne rougis pas ! C’est toi, là ! Avec tes questions à la con !
- Tu n’as toujours pas répondu ! Mais peut être as-tu déjà essayé ?
Un silence lourd s’installe. Pascal écrase nerveusement son mégot dans le cendrier.
Pour le taquiner, je tapote mon index sur son plexus.
- T’as essayé ?
- Oui, bon ! J’ai essayé ! Mais y a si longtemps ! J’étais ado ! Voilà ! Là ! T’es contente ?
- Hihi ! Ne te fâche pas ! Ce n’est pas grave ! Hihi ! Tu me raconte ?
- Certainement pas !
- Alleeez ! Regarde, j’éteins la lumière, comme ca même si tu es gêné, je ne le verrais pas. Ok ?
Il me sait têtue et que je ne lâcherais pas l’affaire, alors, il passe aux aveux.
- Je venais d’avoir dix neufs ans. C’était les vacances. Avec des potes, nous avions invité des nanas qu’on avait dragué dans l’après midi. Nous avions organisé un pique nique de nuit sur une plage. On avait fait un grand feu et on s’est bien marrés. On a bien bu aussi, je dois le reconnaitre. Puis, plus les heures passaient et moins il y avait de monde. Les couples s’étaient formés et ils partaient s’isoler dans les dunes, pour baiser tranquille.
Si bien que… vers deux heures du matin, je me suis retrouvé seul… avec un mec.
- Hihi ! Cool ! Il était homo ? Hihi !
- Arrête de rire ou je me tais ! Nous étions assis l’un près de l’autre, et là, il m’a posé la même question que toi. « T’as déjà essayé avec un mec ? » Je lui ai répondu que ce n’était pas mon truc et…Bon, bref…Au bout d’une heure il m’a convaincu et je l’ai laissé me sucer. Voilà ! T’es contente ? On peut dormir maintenant ?
Je me blottis contre lui et l’enlace tendrement. Mais ma curiosité l’emporte, et au bout de cinq minutes…
- Et… ca t’as plu ? Tu n’aurais pas envi de retenter un truc ?
- Eliane ! Merde ! T’as pas bientôt fini tes conneries ?
Là, je l’ai bien cherché, il est vraiment en colère.

Une semaine se passe et cette petite discussion est oubliée. Du moins pour lui, car moi, je ne pense qu’à ca.
J’attends mon heure, le bon moment, pour remettre ca sur le tapis.
Et je crois que se fameux moment est arrivé.
Nous faisons l’amour depuis plus d’une heure. Nous aimons prendre notre temps, pratiquer d’interminables préliminaires, multiplier les caresses et les baisers.
Il est allongé sur le dos et je le suce avec avidité depuis plusieurs minutes. Il a posé une main sur ma tête et donne le rythme de ma succion.
Je parviens tout de même à libérer ma bouche juste un instant, pour lui susurrer…
- Imagine que c’est un mec qui te pompe !
Je m’attends à une réaction virulente de sa part. Mais rien.
Au contraire. Il enlève sa main de mon crane pour s’agripper aux barreaux de la tête du lit.
Il pousse des râles et donne de petits coups de reins pour s’enfoncer plus profond dans ma gorge.
Je suis sur que ma petite phrase a eu un impact et qu’il fantasme comme un malade.
Je veux en avoir le cœur net.
Délicatement, doucement, j’introduis mon index dans son anus. Je le sais friand de cette pratique. Puis, je cesse ma fellation et le masturbe doucement.
Il est à point. Je prends ma voix la plus suave, la plus sexy.
- Tu sens sa queue dans ton cul ? Tu veux qu’il te suce encore ?
- Ho ouiii ! Hummmm !
Encouragée, je reprends ma caresse buccale quelques secondes, puis…
- Et toi ? Tu veux le sucer, toi ?
Je n’attends pas sa réponse et pose mon pouce sur ses lèvres.
C’est drôle, mais je ne suis pas étonnée de le sentir s’enfoncer entre celles-ci.
J’applique un mouvement de va et vient à ma main et il suce mon pouce comme il le ferait à une queue.
- C’est comme si deux types s’occupaient de ton cas, mon amour.
- Hummmm !
Il est mûr.
J’accélère mon mouvement dans son anus. Le salop mouille du cul. Ca lui plait, c’est sur.
Ce petit jeu commence également à m’exciter.
- Lui, va jouir dans ton cul et l’autre dans ta bouche, mon amour ! Hummm !
- Hummmm !
- Et toi ? Tu veux jouir ou ? Dans ma bouche ?
- Mouiiii ! Hummm !
Et c’est ainsi que ce soir il prend son pied. Il déverse sa semence chaude en longues et puissantes saccades au fond de ma gorge, tout en suçant mon pouce et en se faisant touiller le cul.
Le lendemain, je ne lui parle pas de cet événement.

Je laisse passer encore quelques jours avant de revenir à l’attaque.
En fait, j’ai un plan, un projet et je suis bien décidée à tout mettre en œuvre pour arriver à mes fins.
Ce sera le soir de mon anniversaire.

Alors, un soir, au moment de faire un gros câlin…
- Pascal, j’ai envie d’un truc !
- Houlà ! Je n’aime pas ca ! T’es tellement bizarre en ce moment.
- Non, je t’assure, ce n’est pas bien méchant.
- Bon, ok ! Qu’est ce que tu veux encore ?
- Ben… J’voudrais t’attacher ! Je peux, dis ? Je peux ?
- Pfff ! T’es complètement cinglée !
- Oui, mais c’est aussi pour ca que tu m’aime, non ?
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je sors d’un tiroir, des liens que j’avais préparé.
Je le fait mettre à quatre pattes sur le lit et je l’attache à la barre du pied du lit.
- Heuuu ! Pourquoi, le pied du lit ?
- Parce que comme ca, tu me vois dans le miroir de l’armoire.
- Humm ! Petite perverse ! Je vois que tu as pensé à tout !
- Tu ne crois pas si bien dire, chéri !
Et il s’en aperçoit rapidement, lorsque je sors un gode ceinture de ma table de nuit.
- Hé ! Ou t’as eu ca, toi ?
- Ben tu sais, maintenant, avec internet !
- T’as quand même pas l’intention de l’utiliser ?
- J’vais gêner ! Mais ne t’inquiète pas, regarde. J’ai également commandé un tube de vaseline !
- Bon, allez ! On a suffisamment ris, là ! Détache-moi.
- Ha ben non ! Je n’ai pas acheté tout ca pour rien !
Il commence à se fâcher. D’habitude, je redoute un peu ses colères, mais là… je m’en fou !
- Bon ! ca suffit ! C’est cette pute de Camille qui t’as rendu cinglée ou quoi ?
- J’n’aime pas trop qu’on dise du mal de mes amies, chéri !
- Une amie ? Une salope ! Une putain, oui !
- Une putain que tu as bien aimé sauter, non ?
- Bon ! Détache-moi, maintenant.
Mais je n’en fais rien. Je m’allonge sur le dos et glisse ma tête entre ses cuisses ouvertes.
J’ignore s’il a la trouille, mais en tout cas il bande comme un cerf. Je n’ai même pas besoin de lever la tête pour prendre son gland entre mes lèvres.
Je le détends doucement, en le suçant avec application. Je caresse ses cuisses, ses fesses. Progressivement, je me dirige vers sa pastille brune et y introduit mon majeur.
- Hummm ! Ma chérie ! Humm ! C’est Boon !
- Je sais ce que tu aime mon amour ! Ce qui est bon pour toi ! Tu veux plus profond ?
- Ho ouiii ! Enfonce ton doigt plus loin, plus fort !
Je ne peux pas imaginer qu’il ait déjà oublié le gode ceinture. Je veux en avoir le cœur net !
Je me dégage, me lève et le passe face à lui.
- Arrête avec ca ! ca ne m’amuse pas du tout ! Détache-moi !
Mais comme seule réponse, je me place face à lui et pose le bout du gland de plastique sur ses lèvres.
- Suce-moi, chéri ! Fais ca pour moi ! Suce-moi !
Il fait la grimace et ouvre la bouche. J’y vais doucement, lui en donnant quelques millimètres de plus à chaque fois.
Je suis surprise. Il joue le jeu. Je ne l’aurais jamais cru.
Je l’attrape par les cheveux et baise sa bouche, excitée. Je regarde sa croupe relevée comme celle d’une petite trainée, qui voudrait de la bite.
Il en veut ? Je vais lui en donner.
Je quitte sa bouche et remonte sur le lit.
- Déconne pas Eliane ! Ne déconne pas !
Je ne réponds rien et asperge son cul de vaseline. A l’aide de mes doigts, j’en fais pénétrer dans son anus autant que je peux.
- Arrête ! Tu vas me faire mal ! Bordel !
- Alors ! Je t’explique ! Quand tu veux m’enculer, moi, pour ne pas avoir mal, j’ai trois ou quatre p’tits trucs.
- Putain ! Détache-moi !
- D’abord, j’essais de me détendre. Puis, je creuse mes reins, je me cambre. Je cherche à respirer profondément, mais doucement.
- Eliane ! Je t’en supplie.
Je me place à genoux derrière lui et pose le bout du gode sur son trou.
- Ensuite, il y a deux écoles. Celles qui toussent et celles qui poussent. Moi, personnellement, j’essaie de faire les deux en même temps. Et toi, tu choisis quoi ?
- Elia…..
Je crois qu’il pousse.
La vaseline est vraiment un produit merveilleux. En trois ou quatre poussées, je suis quasiment entière dans le fondement si fragile de mon petit homme chéri.
Il vocifère de moins en moins fort, puis ses injures se transforment en « Hummm ! », en « Ouiii ! ».
J’ai gagné !

Je laisse ce petit jeu prendre place dans nos ébats amoureux. Aussi, le jour de mon anniversaire, il ne trouve pas à redire, lorsque je le ligote au pied du lit, face au grand miroir.
Puis, je le laisse et me rends dans la salle de bain.
- Qu’est ce que tu fabrique, chérie ! Viens vite ! Inutile de te nettoyer ! Je ne suis pas contre un peu d’odeur.Ca met du piquant ! Grrrr ! Rhooaaaa ! Je vais te dévorer !
Je le laisse mariner encore un peu et reviens dans un accoutrement qu’il ne connait pas.
J’ai passé une longue robe noire qui tombe jusqu’aux chevilles. Son décolleté descend jusqu’au nombril, dos nu et fendue jusqu’aux hauts des cuisses, laissant découvrir le haut de mes bas.
- Houchhhhh ! Ca, c’est un beau cadeau d’anniversaire que tu t’es fais là! Tu es…. Splendide !
- Je te remercie. Mais ca,… ce n’est que le début.
Soudain, la sonnette de la porte retentie.
- Merde ! Jamais tranquille ! Détache-moi, vite !
- Détends-toi, mon amour ! Ce doit être la suite de mon cadeau.
- Hummm ! Une belle blonde lesbienne, j’espère !
Pour cacher ma honte naissante, j’ai passé un loup noir en dentelle, qui masque mes yeux. De plus, je trouve qu’il va à merveille avec ma robe.
Je reviens dans la chambre en tenant par la main…un charmant jeune homme.
Mon mari le reconnait de suite et blêmit d’un coup.
- Raphaël ? Mais…qu’est ce que… ? Eliane ! Détache-moi ! J’exige que tu me détache immédiatement !
Il connait bien Raphaël. Et pour cause. C’est l’homme à tout faire de notre résidence, et il est de notoriété publique qu’il est homosexuel.
- Tu ne crois pas que tu n’es pas en situation d’exiger quoi que ce soit ? Calme-toi mon amour. Si tu hurle de trop, je me verrais dans l’obligation de te bâillonner. Ce serrait dommage que je ne puisse apprécier mon cadeau, à sa juste valeur. N’est ce pas Raphaël ?
Raphaël est un jeune homme de vingt trois ans. Été comme hiver, musclé à souhait, il se promène dans un marcel blanc et un jeans moulant.
J’ai remarqué depuis longtemps l’imposante déformation de son pantalon, à hauteur de son entre jambe.
Je le tire par la main jusque devant le visage de mon homme.
Je m’agenouille, défais sa ceinture et ouvre son jeans, libérant une bête de chair magnifique.
- Eliane ! Arrête tes conneries ! Renvois le et nous n’en parlerons plus ! C’est promit !
Je le regarde, souris et fais glisser le sexe de Raphi entre mes lèvres, tout en lui ôtant le pantalon.
Très vite, le membre imposant prend du volume, jusqu’à devenir un pieu magnifique.
J’en profite quelques minutes, puis je me relève et fais glisser le marcel par-dessus la tête du futur amant de mon mari.
Je passe mes bras autour de son cou et lui donne un tendre et fougueux baiser.
Pour un homosexuel, je le trouve bien à l’aise avec moi. Il serait bi, je comprendrais mieux.
Pascal ne dit plus rien. Il semble résigné. Je vais en avoir le cœur net.
Je prends le membre humide de Raphi dans ma main, et le positionne sur les lèvres de Pascal. Il a fermé les yeux et ne bouge pas.
Je frotte la queue, la ballade sur son visage, frappe ses joues avec.
Et soudain…sa bouche s’entrouvre.
Raphael, pose ses mains sur la tête de mon mari et les referme dans ses cheveux.
Un coup de rein et Pascal goutte une bite pour la première fois.
Je l’observe et je suis ravie de constater qu’il est en érection. La chose lui plait et il y met de plus en plus de bonne volonté.
Je monte sur le lit et joue un peu avec son anus dilaté, lorsque la sonnette retentit une fois de plus.
Je sens Pascal paniquer de nouveau. C’est Raphaël qui le rassure.
- Ce n’est rien, monsieur Pascal ! Ce n’est rien, je vous assure ! Hummm ! Vous sucez bien ! C’est bon comme ca ! Ouiii ! Continuez ! Hummm !
Je vais ouvrir et je reviens avec un homme d’une cinquantaine d’années. Grand, un peu gras, mais bel homme. Il porte un costume, chemise blanche.
- Je te présente Lucien, recruté sur internet. Il va compléter mon cadeau.
Le regard oblique, mon homme semble ne pas trop apprécier et affiche de nouveau une mine inquiète. Mais difficile de contester la bouche pleine.
Je m’occupe du nouvel arrivant. A son tour, il a droit à un baiser passionné. Puis, je lui retire sa veste et sa chemise, et, tout comme pour Raphi, à genoux, je le dégage de son pantalon et lui offre une fellation de bienvenue.
Deux minutes plus tard…
- Attends ma chérie ! Ne me fais surtout pas jouir ! Le petit cul de ton mari, me plait beaucoup ! Hummm !
Je le libère et il grimpe sur le lit pour se placer derrière Pascal.
- Vavlevlive ! Hooon ! Vavlevlive ! Vavlevlive !
Bien difficile de se faire comprendre la bouche pleine. Toutefois, je comprends qu’il réclame la vaseline.
- Pas besoin, mon amour ! Tu mouille comme une jeune femelle ! Hihi ! N’est ce pas Lucien ?
- Plutôt, oui ! Il est luisant d’envie ! Je vais me régaler !
Il pose son énorme gland sur la pastille brune, puis agrippe les hanches de Pascal.
Je comprends à son visage qu’il est concentré. Il tient compte de mes conseils et je le vois cambrer les reins.
- Rhunnnnn ! Hurgggg ! Rhinnnnng !
Mon pauvre petit chéri, prit comme un agneau à la broche, commente comme il peut, sa… colère ?... Douleur ?... Jouissance ? Finalement, je ne sais pas trop, et peut être vaut il mieux que je ne le sache pas.
Lucien semble au ange d’enculer son nouvel amant et l’exprime haut et fort.
- Hummm ! Il est bon ton p’tit cul mon joli. Humm ! Tu la sens bien, ma queue ? Hein ? Tu la sens dans ton fion ? Hummm ! P’tite pute !
Je retire ma robe, et juste en bas résilles, appuyée contre le mur, je me masturbe frénétiquement en contemplant le tableau que m’offrent les trois hommes.
Est-ce du à la fellation ou à ma vue dénudée, Raphaël montre les prémices de sa jouissance toute proche.
- Hargg ! Ouiii ! Ho, c’est bonnnn ! Oui, suce-moi vite, comme caaa ! Hummm ! Vous êtes belle, madame ! Hummm ! Haaa ! Je… je viens ! Ouiiiiii ! Hargggggg !
Le jeune homme m’excite et je jouis en même temps que lui.
Le pauvre Pascal a toutes les peines à assumer une salve de foutre conséquente. Il manque de s’étrangler et deux longs filets de sperme, s’échappent de la commissure de ses lèvres.
Il peine à avaler et fait la grimace, mais la quantité étant très importante, il n’a pas trop le choix.
Hummm ! D’imaginer le foutre chaud couler dans sa gorge, me déclenche un orgasme extraordinaire. Je fléchie les jambes. Mon dos glisse le long du mur. J’y pose ma tête, légèrement en arrière et je me laisse emporter par mon plaisir, quatre doigts d’une main enfoncés en moi, et deux de l’autre, qui frottent comme des hystériques, un clito gonflé, prêt à exploser.
Raphi libère la bouche de mon mari et vient se mettre à genoux devant moi, pour aspirer ma jouissance.
Pascal, secoué par les assauts de Lucien, entre deux « Humm ! » et deux « Haaa ! », me jette des yeux remplis de jalousie. Je le sais, me voir avec un autre homme est une réelle épreuve pour lui. Et ca… ca m’excite comme une folle.
Je monte et descends sur la bouche de Raphaël, mes mains plongées dans sa chevelure.
Puis doucement il se relève, embrassant chaque parcelle de mon corps.
Nous nous enlaçons et nous nous embrassons fougueusement.
- Haaa ! Hummm ! Elianeee ! Salopeeee ! Hummm ! Arrête caaa ! Haa ! Tout de suitee ! Putainnn ! Salopeeee !
C’est Lucien qui lui répond.
- Tais-toi, chéri ! On va s’en occuper de ta salope ! Et toi, tu va nous regarder. Mais pour l’instant, tu vas être un brave …garçon et… hummm ! Me laisser hachhhhh ! Te remplir ton cul de cocu ! Hargggggg ! Tiens, prends ca, salopeeee ! Hummmm !
Je vois Pascal fermer les yeux, bouche ouverte. Pour la première fois de la soirée, il semble prendre du plaisir. Sans doute de sentir le jus de Lucien, envahir son intestin.
L’homme se retire et laisse ma moitié en sueur, tenter de récupérer un semblant de souffle.

Nous le laissons ainsi, et nous quittons la chambre pour aller prendre une coupe de champagne.
J’imagine aisément ce qu’il doit endurer. Se demander si je ne suis pas en train de me faire sauter par les deux hommes, sur le canapé ou bien le plan de travail de la cuisine. Mille choses douloureuses doivent traverser son esprit et le torturer.
Lorsque nous revenons, mon pauvre amour se tord dans tout les sens pour essayer de se détacher. En vain.
- Eliane, détache moi, s’il te plait et vire moi ces mecs ! Tout de suite !
- Pas tant qu’ils ne m’auront pas prise, chéri. La soirée commence à peine !
- Putain ! Salope ! Arrête ca, merde !
Sa jalousie m’excite. J’aime le voir se tordre de dépit.
Lucien s’approche face à lui.
- Tiens, bouffe ca ! Ca t’évitera de gueuler autant ! Et t’avise pas de mordre, il pourrait t’en couter, petite putain !
Il lui a planté son dard au fond de la gorge et lui baise la bouche.
Je m’agenouille et suce Raphaël pour lui redonner de la vigueur, puis, je monte sur le lit et me place en travers, en levrette.
Lucien délaisse mon mari et vient se placer derrière moi, tandis que Raphi reprend possession de ma bouche.
Lucien me pénètre sans effort. Il faut dire que ma chatte est détrempée d’envie et de plaisirs.
Pascal a cessé d’hurler et nous regarde grâce au miroir de la glace. Il regarde son épouse se faire besogner sans honte par deux inconnus… ou presque.
- Tiens prends ca, sale chienne ! Tu la sens bien ma queue ? Hein ? T’aime ca, toi, te faire sauter ! Hein, putain ? Elle te pompe bien, Raphaël ?
- Humm ! Ho oui ! Elle a une bouche de rêve ! Elle est trop bonne, la morue. On ne lui ferait pas une double pénétration ?
- Putain ! Ca, c’est une idée ! Je te laisse son cul, je le prendrais tout à l’heure.
Lucien se retire de ma cavité brulante et s’allonge sur le dos.
- Eliane ! Ne fais pas ca, chéri ! Ne fais pas ca !
- Non seulement, je vais le faire, mais tu vas me regarder jouir mon amour. Ca m’excite tant de me faire prendre devant toi. C’est mon anniversaire ! L’aurais tu oublié ? Tu ne peux rien me refuser, non ?
- Salope !
- Oui, mon chéri. Je suis ta salope, ta putain, ta catin.
Dans le reflet du miroir, il me regarde enfourcher Lucien. Il me voit passer ma main entre nos cuisses, pour guider la bite en moi.
Je me fais plaisir en baisant une petite minute, le temps que Raphaël s’installe confortablement derrière moi.
Pascal, rouge de colère, ne quitte pas le miroir des yeux.
Je m’installe à mon tour. Je me replie sur Lucien, offrant ma rondelle à l’homme d’entretien.
Il m’encule doucement, avec beaucoup de douceur et mon plaisir grimpe en flèche.
Je sens les queues coulisser en moi de façon aléatoire et dans un rythme différent.
Je ne touche plus terre.
- Ho ouiii ! Hummm ! C’est bonnnn ! Oui, baisez-moi biennn ! Ho ouiii ! Hoooo ! C’est bonnnn !
- Eliane, t’es folle ! T’es qu’une pute, bonne à faire le trottoir ! Tu me dégoute ! Trainée !
- Ho oui, mon coeuuuur ! Je ferais la pute pour toi ! Mon Pascal, d’amourrr ! Hummmm !
Lucien jouit le premier. Son foutre se jette contre mon utérus avec force, me provoquant un orgasme de grande magnitude.
Grand seigneur, il ne bouge plus, laissant Raphaël finir de me travailler l’anus, avant de jouir à son tour.
Toute la nuit, ils me prendront à tour de rôle, sollicitant parfois Pascal, pour les faire rebander, grâce à sa bouche.

Au petit matin, dégoulinante de sueur et de foutre, je raccompagne Raphaël jusqu’à la porte.
- Vous croyez que ca va aller ? Il n’avait pas l’air très content, quand même.
- Ne t’en fais pas Raphi ! Je le connais bien et je suis sur qu’on se reverra, bien avant mon prochain anniversaire.
Je l’embrasse tendrement sur le bas de la porte et il disparait dans l’escalier.
- Oui ! Ouiii ! Hummm ! C’est bonnnn ! Ouiii ! Hoooo ! Vas y fort ! Hummmmm !
Je m’arrête et reste discrète dans l’angle de la porte de notre chambre.
- Oui, vas-y ! Défonce-moi ! Ouiii ! Hummm ! Hoooo !
Je passe la tête dans le chambranle et quelle n’est pas ma surprise de voir mon homme, jouissif, réclamant de la bite, en poussant des cris d’extases.
Lucien lui pilonne le cul avec rudesse et sans douceur. Il m’aperçoit et me fait un clin d’œil.
Je m’approche interloquée de mon mâle. Je suis tellement heureuse de le voir ainsi, que je l’embrasse de longues minutes, de façon primitive. Puis…mon envie de le rabaisser reprend le dessus.
- Tu m’as bien dis que tu n’étais pas contre un peu d’odeur ? Tiens ! Bouffe !
Je me dresse sur la pointe des pieds. Je l’attrape par les cheveux et lui plonge le visage dans mon vagin souillé et odorant.
Je le fais me sucer pendant quelques minutes. Le salop semble apprécier.
Lucien se dégage de l’anus de mon mari.
- Allez, viens là, putain ! C’est ton tour ! Mais détache ton mec, avant.
Pascal est ravi de se retrouver enfin libre.
C’est lui-même qui m’invite à retrouver Lucien sur le lit.
- Viens chérie ! Là ! Fous-toi en levrette ! Donne-lui ton cul de pouffiasse de merde !
Je m’installe et il écarte mes deux hémisphères à mon amant du moment.
- Vas-y Lucien ! Défonce ma morue ! Fais lui regretter ce que je viens de subir. Explose-lui le cul à cette salope !
Et c’est ce qu’il fait. Il me pénètre avec force et d’un coup. Mais dommage pour mon amour, mon cul bien préparé ne se fera pas exploser.
Il me pilonne comme un malade.
Pascal, ivre de liberté et emplit de rancœur, plante sa queue au fond de ma gorge.
- Tiens salope ! Voilà des heures que j’attends ce moment. Tu vas vomir mon foutre, je te le jure.
Il semble en effet décidé à se venger. Il viole ma bouche, et y plonge à en boucher ma trachée. A plusieurs reprises, il me semble étouffer. Mais le plus dur est de sentir son estomac remonter.
Mais je ne vomirais pas.
Lucien explose ses couilles sur mon vagin, à chaque pénétration.
Il semble transporté par le spectacle de la bite de mon homme qui disparait intégralement dans ma bouche.
- Hummm ! Putain ! Quelle suceuse ! Un vrai garage à bite, ta pouliche ! Hummmm ! Merde ! Elle m’excite trooop ! Haaa ! Hooorrrr ! Merde ! Je jouiiiiiis ! Hargggggg ! Hummmm !
Je sens sa semence s’insinuer dans mes intestins, en plusieurs giclées chaudes.
- Putain ! Moi aussiii ! Je vais la faire boire jusqu’à la dernière goutte ! Tient ! Bois ca chériiiie ! Hummmmm !
Son jus est expulsé directement dans mon œsophage. Enfin, il se retire avant que je ne meurs étouffée.
Je me couche sur le flan pour récupérer.
J’entends Pascal raccompagner Lucien et revenir dans la chambre.
- Petite salope ! Tu vas me payer tout ca !
- Rien du tout mon p’tit chéri. C’est mon anniversaire, je fais ce que je désire ! Et désormais, ce sera ainsi tout les ans ! Alors, tu te tais et tu t’allonge immédiatement ! Je n’en ai pas fini avec toi ! Compris ?
Je n’ai jamais levé le ton contre lui. il me regarde, interloqué, puis un peu perdu sans doute, il s’allonge sans broncher.
Je monte à mon tour sur le lit et l’enfourche.
Je pose directement mon cul sur sa bouche.
-Si tu veux une coupe de champagne pour fêter dignement mon anniversaire, il va te falloir me nettoyer de fond en comble, mon gentil chéri ! Hihihi !
Il tire la langue et entame la récupération du foutre qui m’encombre.
Je crois que notre couple s’engage dans une nouvelle direction.
Ce qui est certain, c’est que désormais, une fois par an, je serrais reine.
Maitresse du jeu.

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