Maîtresse et épouse

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maîtresse et épouse Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Maîtresse et épouse
Pourquoi le nier, je me sens abandonné depuis son départ en vacances. Naturellement elle est près de moi le soir, dans le lit. Elle a toujours envie de se laisser aller dans l’orgasme. Qu’elle idée d’aller chez ses parents, même pour une semaine.
Dès le premier soir j’ai eu envie. Je me suis couché comment d’habitude nu, comme toujours. Là j’ai bandé seul comme un con. La suite est normale, je me suis touché la queue, j’ai bandé et me suis branlé. C’était bon, mais pas comme avec elle.
Le lendemain je me suis décidé à lever une fille du quartier qui me plait. Autour de 25 ans, seule visiblement, brune, yeux azur. Nous marchions presque ensemble quand directement j’ai posé la question de savoir si elle voulait coucher avec moi. J’attendais une gifle, l’ai eu un beau sourire.
C’est chez elle que nous sommes retrouvés plus tard. J’attendais une fille chaude, j’ai eu une fille ultra chaude, pleine d’audaces et de demandes. Ma première surprise était quand elle était nue devant moi, une main sur sa chatte déjà en train de se caresser. Croyiez moi, voir une fille se donner du plaisir dès le début vous fait plus que bander. J’en étais au point de me toucher moi aussi. J’étais contre elle mes mains dans son dos, caressant ses épaules, sa taille. Elle continuait sa masturbation en disant des gros mots. Je me place derrière elle. Je sens ses bras qui bougent pour son plaisir à elle. Ma bite se cale entre ses fesses. Sa raie est agréable à sillonner. Je me masturbe contre elle. Si je continue je vais jeter ma semence sur ses fesses.
En me baissant j’arrive juste au niveau de son cul pour y entrer. J’espère qu’elle me voudra dans son anus. Je passe une main devant elle quand elle arrête de se masturber. Je continu à sa place : elle tend son pubis vers ma main.
Je ne pensais jamais avoir affaire à une telle femelle. Son plaisir prime sur le couple. Si elle m’entraine sur son lit ce n’est que pour être à l’aise. Ses jambes s’écartent seules, son con se tend vers ma queue. J’entre en elle comme dans du beure. C’est bon, elle aussi cri son plaisir longuement, comme un feulement. Une chatte n’en fait pas autant.
Elle se crispe quand elle jouit avant moi alors que j’aurais du partir avant elle. Ses spames serrent ma queue. Elle me fait sorti pour que je change d’endroit : elle me donne son cul sans effort. Je reconnais qu’elle est aussi bonne, sinon meilleure à enculer qu’à baiser. Son bassin se plie à ses désirs en allant et venant de haut en bas. Elle me fait jouir royalement. Dès son orgasme prit elle se lève pour aller prendre une douche. Je la suis pour la voir se rincer le corps.
Je vois l’eau couler sur son corps, glisser sur sa peau, s’infiltrer dans ses secrets. Elle passe sa main entre ses jambes, cherche encore dans sa chatte. En passant derrière elle, même si j’ai débandé, je reste encore assez viril. Elle le sent bien quand elle prend à nouveau ma queue. Elle fait passer le gland entre ses fesse, jusqu’à son anus. Je recommence à bander. Je suis assez en forme pour la baiser encore autant de fois qu’elle voudra.
Ma main droite passe vers sa chatte. Sa moule est mouillée je ne sais si c’est à cause de l’eau ou de l’excitation. Je commence le branle comme je sais le faire aux filles. Elle apprécie profondément quand elle me donne son abricot complément à la recherche de l’orgasme futur. Elle se retrouve presque pliée en deux sous le plaisir. Placée comme elle est je peux l’enfiler encore. Je ne m’en prive pas. Je l’encule sous la douche. Elle cri son plaisir en gros mots. C’est une grosse saloppe qui aime se faire mettre devant ou derrière debout ou couchée, même assise.
Elle s’essuye rapidement se recouche, m’attire cnore. Elle me tire les dernières gouttes de sperme. Je m’endors contre elle et au matin je me réveille avec ma queue dans sa main. Elle veut me sucer. Quel meilleur réveil que ça ?
Entraîné par le plaisir je lui demande de venir quand ma femme sera là, pour la baiser. Ce que je dis dans le plaisir qui monte ne compte pas pour moi. Pour elle si.
Le lendemain de son retour, après l’avoir baisée, j’avoue à ma douce ce que j’ai fait avec cette fille. Elle ne m’en veut pas trop, enfin c’est ce qu’elle dit. Le lendemain, nous sommes encore attablés quand ma petite amis de la semaine vient nous voir. Et c’est bien NOUS qu’elle vient voir. Ma femme est étonnée quand elle se laisse embrasser sur la bouche par une presque inconnue. Je vois le moment où pour se débarrasser de l’importune, elle allait la gifler. La gifle se transforme en caresse sur la joue.
Ce que je grafignais se transforme en lutte féminine, pour finir sur le divan. Ma femme couche la fille le dos contre le dossier, ses lèvres contre les siennes. Les deux mains entourent ma femme. Les lèvres se quittent, elles se transforment en sourire. Les mains de l’une caressent le corps de l’autre. Elles se donnent l’une à l’autre comme je ne l’ai jamais vu. Je savais bien que me femme se donnait du plaisir en se caressant la chatte. Mais que dire quand elle masturbe l’autre fille qui ferme les yeux sous la caresse. Ma femme ouvre ses jambes pour laisser le passage aux mains de l’autre qui l’envoi au paradis des femmes en duo.
Elles sont pratiquement nues quand elle vont dans la chambre. Je suis invité à les regarder s’aimer. C’est plus qu’excitant de voir sa femme et sa maîtresse d’un soir ensemble sur son lit. C’est la première fois que j’assiste à genre d’exercice féminin. C’est ma femme qui a l’initiative : elle agit come si elle avait l’habitude de ce genre de baise. Si, couchées cote à cote elles se branlent normalement, le coup d’après, pleines de désir elles se retrouvent en 69. Voir les têtes entre les cuisses de l’autre est plus qu’excitant. Je suis vers elle en bandant, ma queue bien visible, prête à l entrer dans l’une ou l’autre.
Je suis là, spectateur d’un redoutable spectacle. Elles se donnent complètement aux plaisirs. J’en suis réduit à me branler. Ma main va et vient sur ma queue. Je suis le rythme de leurs langues sur la chatte de l’autre. Elles jouissent plusieurs fois à la suite. Mon jet va sur elle sans que je sache laquelle profite de mon jus. Elles finissent lasses de leurs orgasmes.
Pour la suite je sais qu’elles vont de revoir, qu’elles baiseront sans moi. Je sais que je baiserais ma femme quand nous voudrons. Pour ma maîterres ce sera pareil, à moins que nous nous décidions de vivre en ménage à trois. Pourquoi pas ?

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Texte coquin : Maîtresse et épouse
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