Maîtresse Judith

Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Maîtresse Judith
Maîtresse Judith.
Vous connaissez mon goût pour la domination féminine et les jeux bisexuels.
Lors d'un congrès, je remarquais cette universitaire BCBG, un peu plus âgée que moi. Le soir à l'hôtel, nous avons discuté un peu à l'écart. Elle trouvait mes travaux dignes d'intérêt, La discussion prit une tournure plus intime. Je connaissais sa réputation sulfureuse, soupçonnée d'harcèlement.
Mon intérêt était qu'elle s'intéresse à moi et j'étais prêt à en payer le prix.
Elle m'avoua qu'elle était très exigeante quant à la soumission de ses amants.
Je l'assurais de mon entière dévouement, de mes gouts en matière de soumission , de mes qualités buco génitales et de mon expérience.
Aussi elle m'invita à la suivre dans sa chambre où je dû me mettre nu à genoux sur un épais tapis pendant qu’elle se déshabillait. Elle vint vers moi, m'enjambais en me redressant la tête et s'assit sur ma bouche en écartant bien ses lèvres. Elle me demanda de la lécher, ce que je fis immédiatement avec délectation.
Je m'enivrais de ses odeurs intimes qu'elle avait forte après une journée de travail en pantalon. Aux fragrances marines s'ajoutait une odeur forte d'urine. Elle en profitait pour me tenir la nuque d'une main et de faire des mouvements d'avant en arrière du bassin qui ajouté à ma salive, me barbouillait le bas de mon visage. Elle m'ordonna de glisser la langue le plus possible à l'intérieur de ses muqueuses.
J'avais le nez sur son anus qui émit des flatulences. Elle entreprit de se caresser et écartant les fesses, vint poser son rectum sur ma bouche et me dit de continuer à la lécher.
Elle me félicita pour mes prestations me disant que je ne lui avais pas menti puis elle s'allongea sur le bord du lit en écartant bien les jambes pour que je continue par un cunnilingus.
J'utilisais tout mon savoir faire sous ses encouragements, quand elle ne se caressait pas la poitrine, elle guidait ma tête de ses deux mains.
Ma langue frétillait sur son clitoris que je léchais, suçais, aspirais pendant de longues minutes puis sa mains remplaça ma bouche. Elle pinça ses grandes lèvres entre deux doigts et fut secouée de longs spasmes de tout son corps en même temps qu’elle gémissait des feulements rauques.
Je vis son corps recouvert de sueur, en même temps que je recevais un liquide claire et inodore sur le visage.
Elle resta un moment à récupérer puis m'entraina sous la douche. Elle me fit reprendre ma position à genoux entre ses jambes. Elle me dit d'ouvrir la bouche car j'allais recevoir une douche dorée.
Effectivement, quelques secondes après, je recevais un jet d'urine dans ma bouche qui n'en finissait pas. J'étais inondé de la tête aux pieds. Elle me fit relever, saisit me verge et m'autorisa à me lâcher à mon tour. Elle dirigea le jet sur ses pieds qu'elle me fit lécher ensuite.
Nous primes la douche ensemble, je dus la laver dans le dos, les fesses avec la main, sous les bras er les pieds puis la sécher dans les grandes serviettes moelleuses mises à notre disposition.
Elle me frictionna aussi, énergiquement.
Elle m'annonça que l'on allait sortir. Pour cela, je l'aidais à revêtir un leggings en cuir à même la peau, des bottes qui lui arrivaient aux genoux, une guêpierre que je serrai très fortement. Puis elle s'empara d'une cape noire également pour finir.
Pour ma part, j'étais toujours nu, elle sortit d'un écrin, une cage de chasteté en inox. Un anneau encercla mes bourses à leur base et la verge. Je glissais ma verge dans un cylindre ajouré qui se fixa sur le sommet de l'anneau avec un astucieux système de fermeture.
Elle m'imposa le port de collants résilles fendu à l'entrejambe, des talonnettes, une jupe écossaise s'arrêtant au dessus du genou, un bustier avec une poitrine siliconée et enfin mes lèvres furent recouvertes d'un rouge éclatant.
C'est ainsi que nous traversâmes le hall heureusement désert de l'hôtel et prîmes un taxi.
Quand nous sommes arrivés devant un bar bien éclairé , elle me commanda d'enfiler une cagoule en vinyle noire percée de trous pour mes yeux, mes narines et ma bouche.
Je me dandinais alors pour atteindre le comptoir. L'atmosphère était bruyante et agitée. Le dress code fetish. Deux filles aux cheveux peroxydés, tatouées et au multiples percings se galochaient.
Ma maîtresse commanda d'autorité plusieurs mélanges d'alcools forts que je dû ingurgiter avant de me diriger vers le sous-sol.
Celui-ci, fort sombre m'a paru immense par rapport au bar. Nous sommes descendus par un escalier métallique très étroit. Une première salle avec des casiers, une seconde salle où une foule bigarrée dansait sur de la techno puis un couloir, des toilettes : sur un côté on trouve un bac en zinc qui sert d'urinoir collectif.
Un homme nu y est allongé, les pieds dépassant. Il a une barbe hirsute.
De l'autre côté, une douche collective inoccupée puis une série de couloirs obscures. On entend des gémissements, des claques sur les fesses.
Soudain, nous débouchons dans une pièce plus éclairée munie de trous à différentes hauteurs.
Maîtresse me pousse au milieu. « Ce soir, tu es ma petite pute qui va bien se régaler. » Elle connait mes goûts en la matière. Un coup d'œil me permet de comprendre que des marches à différentes hauteurs permet de présenter son sexe confortablement, le dos appuyé contre la parois opposés. Une petite lumière dans le couloir indique qu'il y a quelqu’un qui est prêt à offrir sa bouche ou son cul.
Le passage est étroit et débouche dans un couloir opposé à l'entrée de la salle, petite, elle aussi, pourvue de tabourets et coussins où peuvent officier quatre pompeurs au maximum.
Pour l'instant, je suis seul avec Maîtresse. La petite lumière est allumée à l'extérieur et une première queue se présente. Je la prends en main, la soupèse, je déroule le prépuce, du pouce, j'effleure le méat. Ma langue lèche le gland, mes lèvres en font le tour puis j’avale la verge en entier.
Ma bouche butte sur ses poils pubiens. Il ne me voit pas. Je me retire entièrement et le branle. Son sexe a pris une bonne consistance. Ma maîtresse sort une paire de menottes et me lie les mains dans le dos. Elle pousse ma tête, j'embrasse la verge sur toute sa longueur avant de l'enfoncer au maximum. Elle bute sur ma glotte.
Le gars ressort et me lime consciencieusement. Il baise ma bouche, je l'aspire quand il ressort et serre mes lèvres au maximum. Ma langue écrase sa verge contre mon palais.
Il donne des coups de rein dans la cloison puis de longues giclées tapissent mon palais er ma cagoule.
Je le lèche une dernière fois pour le nettoyer.
Deux nouvelles queues sont apparues. Mes mains étant entravées, je fais des va et vient , allant de l'un à l'autre. A peine commencé, je reçois une grosse éjaculation sur le visage que je ne peux essuyer étant entravé . Je suis à moitié aveugle. Le suivant est très long. J'interromps ma fellation pour m'occuper d'un nouveau venu à la bite volumineuse et circoncise. Je me régale à la déguster, je l'embrasse, la mange et l'avale complètement. Je masse le gland avec mon œsophage, ma tête monte et descend longtemps quand il accélère pour éjaculer. J'en avale une grande partie mais le reste s'écoule sur mon bustier dégoulinant de bave et sperme.
Ma maîtresse est satisfaite et je fatigue après une demi heure et six fellations. Ma bouche est ankylosée, mes lèvres sont irritées.
Nous quittons la pièce mais pas la cave, nous déambulons. Beaucoup de pièces obscures propices aux attouchements occupées par des couples ou des trios.
elle me pousse dans une pièce où il y a une croix de Saint André et me couche sur un fauteuil, la tête et le buste en avant. Elle découvre mes fesses et me claque violemment. Je reçois une fessée cul nu, les mains toujours menottées dans le dos. D'autres fessées suivent puis on me caresse les fesses.
Ce ne sont pas les mains de Maîtresse qui ne m'a jusque-là jamais caressé. Un liquide froid s'écoule dans ma raie , un premier doigt l'étale sur ma corolle puis plusieurs doigts font pénétrer le gel dans mon conduit.
Une verge se présente et force le passage. La douleur vive s'estompe peu à peu. J'ai envie de me masturber mais cela m'est impossible. Une autre verge se présente devant ma bouche et je suis pris en sandwich. J'ai un orgasme prostatique, mon sperme coule en continu sur l'assise du fauteuil tandis que mon sodomisateur accélère et se répand dans mes entrailles.
Il décule en même temps que son acolyte se lâche dans ma bouche.
Alors que nous remontons vers la surface, je sens des mains me palper les fesses. Au bar, je reprends des forces. L'atmosphère est plus calme, plus intime. Des couples homosexuels des deux sexes flirtent ou papotent.
Il est trois heures du matin quand nous arrivons dans sa chambre. Quelques photos plus tard, je suis à nouveau présentable.
Quelques heures plus tard, nous retrouvons en séance plénière. Nous nous saluons comme si rien n'avait eu lieu. Je suis un peu tendu, je dois présenter mes travaux pour obtenir des financements.
Grâce à ses relations, mon intervention a beaucoup de succès, une bourse va me permettre de développer des recherches prometteuses.
Vous connaissez mon goût pour la domination féminine et les jeux bisexuels.
Lors d'un congrès, je remarquais cette universitaire BCBG, un peu plus âgée que moi. Le soir à l'hôtel, nous avons discuté un peu à l'écart. Elle trouvait mes travaux dignes d'intérêt, La discussion prit une tournure plus intime. Je connaissais sa réputation sulfureuse, soupçonnée d'harcèlement.
Mon intérêt était qu'elle s'intéresse à moi et j'étais prêt à en payer le prix.
Elle m'avoua qu'elle était très exigeante quant à la soumission de ses amants.
Je l'assurais de mon entière dévouement, de mes gouts en matière de soumission , de mes qualités buco génitales et de mon expérience.
Aussi elle m'invita à la suivre dans sa chambre où je dû me mettre nu à genoux sur un épais tapis pendant qu’elle se déshabillait. Elle vint vers moi, m'enjambais en me redressant la tête et s'assit sur ma bouche en écartant bien ses lèvres. Elle me demanda de la lécher, ce que je fis immédiatement avec délectation.
Je m'enivrais de ses odeurs intimes qu'elle avait forte après une journée de travail en pantalon. Aux fragrances marines s'ajoutait une odeur forte d'urine. Elle en profitait pour me tenir la nuque d'une main et de faire des mouvements d'avant en arrière du bassin qui ajouté à ma salive, me barbouillait le bas de mon visage. Elle m'ordonna de glisser la langue le plus possible à l'intérieur de ses muqueuses.
J'avais le nez sur son anus qui émit des flatulences. Elle entreprit de se caresser et écartant les fesses, vint poser son rectum sur ma bouche et me dit de continuer à la lécher.
Elle me félicita pour mes prestations me disant que je ne lui avais pas menti puis elle s'allongea sur le bord du lit en écartant bien les jambes pour que je continue par un cunnilingus.
J'utilisais tout mon savoir faire sous ses encouragements, quand elle ne se caressait pas la poitrine, elle guidait ma tête de ses deux mains.
Ma langue frétillait sur son clitoris que je léchais, suçais, aspirais pendant de longues minutes puis sa mains remplaça ma bouche. Elle pinça ses grandes lèvres entre deux doigts et fut secouée de longs spasmes de tout son corps en même temps qu’elle gémissait des feulements rauques.
Je vis son corps recouvert de sueur, en même temps que je recevais un liquide claire et inodore sur le visage.
Elle resta un moment à récupérer puis m'entraina sous la douche. Elle me fit reprendre ma position à genoux entre ses jambes. Elle me dit d'ouvrir la bouche car j'allais recevoir une douche dorée.
Effectivement, quelques secondes après, je recevais un jet d'urine dans ma bouche qui n'en finissait pas. J'étais inondé de la tête aux pieds. Elle me fit relever, saisit me verge et m'autorisa à me lâcher à mon tour. Elle dirigea le jet sur ses pieds qu'elle me fit lécher ensuite.
Nous primes la douche ensemble, je dus la laver dans le dos, les fesses avec la main, sous les bras er les pieds puis la sécher dans les grandes serviettes moelleuses mises à notre disposition.
Elle me frictionna aussi, énergiquement.
Elle m'annonça que l'on allait sortir. Pour cela, je l'aidais à revêtir un leggings en cuir à même la peau, des bottes qui lui arrivaient aux genoux, une guêpierre que je serrai très fortement. Puis elle s'empara d'une cape noire également pour finir.
Pour ma part, j'étais toujours nu, elle sortit d'un écrin, une cage de chasteté en inox. Un anneau encercla mes bourses à leur base et la verge. Je glissais ma verge dans un cylindre ajouré qui se fixa sur le sommet de l'anneau avec un astucieux système de fermeture.
Elle m'imposa le port de collants résilles fendu à l'entrejambe, des talonnettes, une jupe écossaise s'arrêtant au dessus du genou, un bustier avec une poitrine siliconée et enfin mes lèvres furent recouvertes d'un rouge éclatant.
C'est ainsi que nous traversâmes le hall heureusement désert de l'hôtel et prîmes un taxi.
Quand nous sommes arrivés devant un bar bien éclairé , elle me commanda d'enfiler une cagoule en vinyle noire percée de trous pour mes yeux, mes narines et ma bouche.
Je me dandinais alors pour atteindre le comptoir. L'atmosphère était bruyante et agitée. Le dress code fetish. Deux filles aux cheveux peroxydés, tatouées et au multiples percings se galochaient.
Ma maîtresse commanda d'autorité plusieurs mélanges d'alcools forts que je dû ingurgiter avant de me diriger vers le sous-sol.
Celui-ci, fort sombre m'a paru immense par rapport au bar. Nous sommes descendus par un escalier métallique très étroit. Une première salle avec des casiers, une seconde salle où une foule bigarrée dansait sur de la techno puis un couloir, des toilettes : sur un côté on trouve un bac en zinc qui sert d'urinoir collectif.
Un homme nu y est allongé, les pieds dépassant. Il a une barbe hirsute.
De l'autre côté, une douche collective inoccupée puis une série de couloirs obscures. On entend des gémissements, des claques sur les fesses.
Soudain, nous débouchons dans une pièce plus éclairée munie de trous à différentes hauteurs.
Maîtresse me pousse au milieu. « Ce soir, tu es ma petite pute qui va bien se régaler. » Elle connait mes goûts en la matière. Un coup d'œil me permet de comprendre que des marches à différentes hauteurs permet de présenter son sexe confortablement, le dos appuyé contre la parois opposés. Une petite lumière dans le couloir indique qu'il y a quelqu’un qui est prêt à offrir sa bouche ou son cul.
Le passage est étroit et débouche dans un couloir opposé à l'entrée de la salle, petite, elle aussi, pourvue de tabourets et coussins où peuvent officier quatre pompeurs au maximum.
Pour l'instant, je suis seul avec Maîtresse. La petite lumière est allumée à l'extérieur et une première queue se présente. Je la prends en main, la soupèse, je déroule le prépuce, du pouce, j'effleure le méat. Ma langue lèche le gland, mes lèvres en font le tour puis j’avale la verge en entier.
Ma bouche butte sur ses poils pubiens. Il ne me voit pas. Je me retire entièrement et le branle. Son sexe a pris une bonne consistance. Ma maîtresse sort une paire de menottes et me lie les mains dans le dos. Elle pousse ma tête, j'embrasse la verge sur toute sa longueur avant de l'enfoncer au maximum. Elle bute sur ma glotte.
Le gars ressort et me lime consciencieusement. Il baise ma bouche, je l'aspire quand il ressort et serre mes lèvres au maximum. Ma langue écrase sa verge contre mon palais.
Il donne des coups de rein dans la cloison puis de longues giclées tapissent mon palais er ma cagoule.
Je le lèche une dernière fois pour le nettoyer.
Deux nouvelles queues sont apparues. Mes mains étant entravées, je fais des va et vient , allant de l'un à l'autre. A peine commencé, je reçois une grosse éjaculation sur le visage que je ne peux essuyer étant entravé . Je suis à moitié aveugle. Le suivant est très long. J'interromps ma fellation pour m'occuper d'un nouveau venu à la bite volumineuse et circoncise. Je me régale à la déguster, je l'embrasse, la mange et l'avale complètement. Je masse le gland avec mon œsophage, ma tête monte et descend longtemps quand il accélère pour éjaculer. J'en avale une grande partie mais le reste s'écoule sur mon bustier dégoulinant de bave et sperme.
Ma maîtresse est satisfaite et je fatigue après une demi heure et six fellations. Ma bouche est ankylosée, mes lèvres sont irritées.
Nous quittons la pièce mais pas la cave, nous déambulons. Beaucoup de pièces obscures propices aux attouchements occupées par des couples ou des trios.
elle me pousse dans une pièce où il y a une croix de Saint André et me couche sur un fauteuil, la tête et le buste en avant. Elle découvre mes fesses et me claque violemment. Je reçois une fessée cul nu, les mains toujours menottées dans le dos. D'autres fessées suivent puis on me caresse les fesses.
Ce ne sont pas les mains de Maîtresse qui ne m'a jusque-là jamais caressé. Un liquide froid s'écoule dans ma raie , un premier doigt l'étale sur ma corolle puis plusieurs doigts font pénétrer le gel dans mon conduit.
Une verge se présente et force le passage. La douleur vive s'estompe peu à peu. J'ai envie de me masturber mais cela m'est impossible. Une autre verge se présente devant ma bouche et je suis pris en sandwich. J'ai un orgasme prostatique, mon sperme coule en continu sur l'assise du fauteuil tandis que mon sodomisateur accélère et se répand dans mes entrailles.
Il décule en même temps que son acolyte se lâche dans ma bouche.
Alors que nous remontons vers la surface, je sens des mains me palper les fesses. Au bar, je reprends des forces. L'atmosphère est plus calme, plus intime. Des couples homosexuels des deux sexes flirtent ou papotent.
Il est trois heures du matin quand nous arrivons dans sa chambre. Quelques photos plus tard, je suis à nouveau présentable.
Quelques heures plus tard, nous retrouvons en séance plénière. Nous nous saluons comme si rien n'avait eu lieu. Je suis un peu tendu, je dois présenter mes travaux pour obtenir des financements.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui,notre héros,a eu ce,qu il voulait et en plus a donné pleine satisfaction à Maîtresse Judith , sans compter les hommes qui ont bien joui dans sa bouche experte
quelle soumise , ils devraient tous être comme cela !!
Très bon descriptif... j'ai adoré

