Maîtresse Phallique

- Par l'auteur HDS Sandratvtg -
Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
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Récit libertin : Maîtresse Phallique Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Maîtresse Phallique
<p>Maîtresse phallique,

Je suis chez Sandra qui aime prendre des initiatives lors de nos jeux érotiques.
Elle s’approche de moi en souriant :
- Aujourd’hui, c’est toi qui fais la fille et je vais te faire vivre quelques heures dans la peau d’une femme.
- Déshabille toi, me dit-t-elle en choisissant avec soin dans sa garde robe la lingerie qu’elle me destine.
- Essaye ces ravissantes petites choses ma chérie, me susurre t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.
Elle m’aide à m’harnacher d’une guêpière très sexy ornée de quatre paires de jarretelles.
Puis, elle place de somptueuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c.
Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme.
Avec sensualité, elle tire sur mes bas pour aligner les coutures avant de les accrocher aux jarretelles.
J’enfile une craquante combinaison satinée rouge rehaussée de dentelle pendant qu’elle remonte sur mes cuisses deux jarretières affriolantes en me provoquant une superbe érection.
Satisfaite de mon apparence, Sandra me contemple d’un regard sensuel en refermant ses mains sur mon sexe.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dégageant l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des escarpins achèvent ma métamorphose.
- Je vais maintenant t’assouplir l’œillet, me dit-t-elle.
Sans me laisser le temps de réagir, elle me plante un plug dans les fesses.
- Ce n’est qu’un début, rajoute-t-elle d’un ton moqueur.
Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je retrousse mon déshabillé en libérant ma queue qui jaillit par l’ouverture de ma lingerie.
Puis, je contracte mes fesses sur le plug en frottant lentement mes cuisses l’une contre l’autre pour faire monter le désir dans mes reins.
Sandra fixe d’un regard brûlant mon sexe en érection pendant qu’elle me pose du mascara et du fard à paupières.
Elle souligne mes lèvres d’un rouge intense et termine la séance en me coiffant d’une perruque blonde bouclée très glamour.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant le miroir qui me renvoie l’image d’une fille attirante portant tous les symboles de la féminité
J’admire ma taille élancée, sanglée dans cette ravissante guêpière et c’est avec une émotion contenue que j’ajuste la hauteur de mes jarretelles.
Mon regard s’attarde sur le galbe parfait de mes mollets mis en valeur par mes escarpins et mes mains caressent avec volupté la douceur du voile satiné.
- C’est magnifique Sandra, mais me trouves-tu à ton goût ?
- Tu me fais craquer ma belle et j’ai hâte de commencer.
Impatiente, elle se met à genoux devant moi et plonge sa tête dans mes dessous en jouant avec le plug qu’elle m’a planté dans l’œillet.
Elle le mordille du bout des lèvres en l’activant dans mes fesses.
Un moment plus tard, me voyant bien excitée, elle le retire et m’entraîne sans résistance dans sa chambre.
Avec une lueur de perversité dans le regard, elle me culbute sur le lit et retrousse mon déshabillé sur mes hanches.
Elle contemple un instant ma queue nichée dans les dentelles de mon slip ouvert.
Puis, elle la masturbe lentement jusqu’à ce qu’elle soit gonflée de désir.
- Ne bouge pas, je reviens dans un instant, me dit-t-elle.
Je la vois réapparaître tenant à la main un curieux gode ceinture hérissé d’un triple sexe.
- Nous allons prendre du plaisir entre femmes, me dit-t-elle en brandissant ce jouet étonnant devant mes yeux.
Elle enlève son slip et retrousse sa jupe en me dévoilant sa croupe.
Puis, elle plonge le premier gode lubrifié dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.
Prenant son temps, elle place le second contre sa rosette et l’enfonce lentement dans ses reins en me fixant d’un regard trouble.
Elle attache ensuite solidement les harnais à ses hanches.
Provocante, les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans sa minijupe de cuir ultra courte, elle me murmure à l’oreille :
- Je te réserve le plus gros ma chérie.
Je regarde fascinée le gode impressionnant qui retrousse sa jupe.
Il se balance lourdement entre ses cuisses en battant la mesure contre ses cuissardes.
En riant, elle me dit :
- Regarde comme il est long, il m’arrive au genou, il doit bien faire trente centimètres !!!
- Tu n’as jamais pris un tel calibre dans les fesses, s’exclame-t-elle.
Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa croupe en valeur, elle caresse lentement le gode en me donnant des frissons.
Mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s’approche de moi.
Mimant un coït imaginaire, elle bascule son bassin d’avant en arrière en exhibant le pieu qu’elle me destine.
- Regarde il est plus vrai que nature me dit-t-elle en pressant les bourses du gode.
Surprise, je vois sortir du gland un jet puissant qui s’écrase sur ma guêpière.
- Allonge toi sur le côté que je te remplisse les fesses ma belle, me dit-t-elle d’une voix chaude.
Elle se place derrière moi en écartant mes jambes avec son genou pour y glisser l’énorme dard.
Tétanisée, je regarde ce sexe qui a le diamètre d’une bouteille coulisser entre mes cuisses pendant que mes mains effleurent les grosses veines saillantes courant sur sa hampe.
Sandra se concentre sur le pourtour plissé de mon anus en s’attardant sur le léger renflement de mon anneau qui lui révèle mes pratiques sodomiques.
- Eh bien ma petite cochonne, je vois que tu as de l’expérience, me susurre-t-elle d’un air complice.
Elle me titille longuement l’œillet et plonge sa langue dans mon fourreau. En me donnant un bonheur sans égal.
- Maintenant, mets-toi à genoux sur le lit, me dit-t-elle.
Elle pointe le gode à l’entrée de ma grotte en exerçant de petites pressions successives.
Je sais qu’elle va l’enfoncer à fond car elle me prend en levrette qui est la position la mieux adaptée aux pénétrations profondes.
C’est donc avec une certaine fébrilité que j’attends son assaut.
S’aidant de ses mains accrochées à ma taille, elle tente sans succès de forcer mon passage.
Déçue par ses échecs successifs, elle retire le gode de son attache pour le lubrifier abondamment.
- Tu ne perds rien pour attendre ma belle, me dit-t-elle avec dépit.
J’entends un bruit sec qui me fait frissonner lorsqu’elle l’emboîte à nouveau sur son socle.
- Cette fois-ci, je vais t’enfiler sans problème, m’affirme-t-elle.
Elle écarte la fente de mon slip avec le gode avant de l’appuyer contre ma rosette.
- Maintenant, cambres toi et pousses fort pour m’aider car il est vraiment très gros.
Son assaut est tellement puissant qu’elle me fait vaciller sur mes genoux lorsqu’elle force mon passage.
Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède brutalement et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression de ce pieu qui m’ouvre en deux.
Sandra me relève une jambe pour mieux me pénétrer et me masturbe avec une telle virtuosité que je m’empale moi même sur ce sexe qui me défonce.
Elle m’encourage en me donnant de violents coups de reins.
- C’est bien ma chérie, il est presque entièrement rentré dans tes fesses, me chuchote- t-elle à l’oreille.
Soudain, le gode bute contre un obstacle et je vois le beau visage de Sandra s’assombrir.
- Si prés du but, c’est vraiment dommage, me dit-t-elle déçue.
- Laisse-moi faire, lui dis-je dans un souffle.
J’ondule et roule du bassin en guidant le gode de la main pour qu’il franchisse le repli sinueux de ma muqueuse.
Ravie du résultat, Sandra s’active de plus belle en sentant les godes lui pilonner le vagin et les reins.
Soudain, je sens des giclées de sève s’écraser sur les parois de ma grotte.
- Je lubrifie ton petit trou pour finir de te défoncer mon ange.
Puis, elle me viole sans retenue en ne pensant plus qu’à son plaisir.
Au bout d’un moment, elle sort brutalement de ma croupe en contemplant le temps infini que met mon œillet à se refermer.
Décidée à me faire jouir, elle m’embroche à nouveau jusqu’à la garde en se concentrant sur ma glande intime qu’elle stimule de petites pressions successives.
Puis, ondulant du bassin, elle me fouille lentement le ventre en suivant sur mon visage le plaisir intense qu’elle me donne.
Elle m’achève en grattant mon frein avec son ongle jusqu’à ce que ma semence gicle sur ses doigts.
A cet instant, nous sommes tellement soudées l’une à l’autre que l’on ne voit plus les godes qui nous empalent.
Lorsqu’elle sort de mes fesses, mon anneau s’étire sur le pal comme pour mieux le retenir.
Puis, elle détache les sangles de son gode ceinture et me dit avec impatience.
- Maintenant, j’ai envie que tu me baises.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je compte lui faire.
Aussitôt, elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir en découvrant le plug vibrant que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un cri quand je vrille dans ses fesses ce calibre de sept centimètres de diamètre qui la dilate fortement.
Son vagin est fortement comprimé par le plug.
Devenu très étroit, il devient plus sensible à la pénétration.
Excitée, elle écarte les jambes en saisissant ses talons aiguilles à deux mains.
- Viens vite, je n’en peux plus d’attendre.
En la voyant ainsi offerte, je ne résiste pas à son appel et je m’enfonce en elle d’un coup de rein puissant.
- Tu as eu une idée géniale en me mettant ce plug car je te sens mieux, me dit-t-elle.
Survoltée, elle m’emprisonne la taille en nouant ses cuisses dans mon dos pendant que sa chatte humide et avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.
Je bande comme un fou au contact des vibrations du plug planté dans ses fesses et je me retire à temps pour lui faire découvrir d’autres jeux.
Avec la paume de main, je pousse un gode dans son vagin en lui enfonçant en même temps mon majeur dans les fesses.
De l’autre, j’effleure son clito avec un vibro.
Son orgasme monte aussi vite que mon sexe se durcit.
Je prends plaisir à frotter mes jambes gainées de nylon contre les siennes en entendant le crissement excitant de nos bas quand je la bascule sur le côté pour l’enculer.
- J’adore être dans ton petit trou et sentir ton anneau me presser la queue, lui dis-je.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode tout en faisant vibrer son clito.
Très vite, elle jouit et crie sans retenue son plaisir en m’inondant le ventre de cyprine.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! S’exclame-t-elle, en se mettant sur le dos.
Je m’allonge sur elle pour continuer à m’activer dans ses reins lorsque je sens ses cuissardes me serrer la taille.
- A mon tour de te vider les couilles, me chuchote-t-elle à l’oreille en croisant ses jambes dans mon dos pour m’immobiliser.
Puis, empoignant mes bourses d’une main, elle me plante un gode dans les fesses de l’autre.
Tétanisée par la surprise, j’essaye désespérément d’échapper à ce pieu qu’elle manie avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance et le pousse à fond dans mon ventre.
Au bord de l’orgasme, je ne résiste plus et plonge ma tête dans ses seins en signe de soumission.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle me fait découvrir une large palette de sa science érotique avant de me faire jouir.
Elle se relève un instant plus tard pour éponger avec une certaine incrédulité le sperme qui coule le long de ses fesses, très surprise par la quantité recueillie.
- Et bien ma chérie, tu avais des réserves !
- Maintenant repose toi un peu et regarde moi.
Assise, elle écarte les cuisses et s’enfonce un gode dans la chatte tout en appliquant un vibro sur son clito.
Au bout d’un moment, submergé par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle.
Je contemple sans me lasser ses gestes gracieux, ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Impudique, elle jouit en gémissant de plaisir.
Toujours brûlante de désir, elle se met à genoux sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.
Elle s’offre à moi en creusant les reins.
- Viens me prendre, j’ai le cul en feu me dit-t-elle d’une voix chaude.
Très excitée, je m’agenouille et écarte ses fesses à deux mains avant de m’enfoncer en elle.
- Maintenant, ne bouge plus et laisse moi faire, me dit-t-elle.
Elle finit de s’embrocher sur mon sexe en entamant de lents va-et-vient.
Puis, elle accélère le rythme en faisant claquer ses fesses contre mon ventre.
Elle prend plaisir à exacerber mon désir en sortant ma queue de ses reins avant de la replonger dans son fourreau brûlant.
Voyant que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle me dit en souriant :
- Je vais t’achever mon ange.
Elle se plaque contre moi pour mieux s’empaler et se trémousse sur ma queue en me malaxant les bourses.
Ne pouvant plus me retenir, j’explose en elle en donnant un dernier coup de reins qui nous fait tomber à plat ventre sur son lit.
Entraînée par le poids de mon corps, je la transperce jusqu’à la garde en sentant qu’elle contracte ses muscles intimes sur ma queue pour achever de me vider.
Reconnaissante, elle se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.
Elle l’agite triomphalement devant moi avec une lueur d’excitation dans les yeux.
- A mon tour de m’occuper de toi, tu vas adorer ce jouet.
- Met toi sur le dos, me dit-t-elle d’une voix sensuelle.
D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.
La forte pression écrase ma glande d’amour qui se défend en faisant perler quelques gouttes de sève sur mon gland.
- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle en me serrant fortement la queue.
Lorsqu’elle me dilate à nouveau, je ressens des sensations de plaisir et de douleur mêlés.
Sandra prolonge délibérément ce savant équilibre en me masturbant d’une main experte.
Par moment, elle reste immobile entre mes cuisses en regardant mon œillet se contracter de plaisir.
Je finis par m’habituer à ces dilatations successives et lui réclame des pressions de plus en plus fortes pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Soudain, elle s’arrête et me dit :
- J’allais oublier de te faire découvrir mon dernier achat.
Elle me retire le plug et fait surgir de dessous les draps un gode spécial.
Pendant qu’elle le lubrifie avec un regard lourd, elle me plante sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, impassible, elle me montre le gourdin recouvert de sculptures saillantes qu’elle me destine.
- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Non ma chérie, Il va rentrer facilement dans ton œillet qui est déjà largement ouvert, me répond-t-elle avec assurance.
Elle empoigne le gode avec un rire de gorge et un regard équivoque qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
Je croise son regard brûlant et bande déjà comme un malade en sachant que mon anneau tiendra bientôt le rôle principal dans son scénario.
Déterminée, elle écarte mes cuisses en contemplant mon œillet qui s’ouvre comme une fleur.
- J’adore te violer, me dit-t-elle avec excitation.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle pose mes jambes gainées de nylon sur ses épaules.
- Je vais te baiser comme une reine, rajoute-t-elle en me souriant.
Elle m’ouvre les fesses à deux mains en appuyant le gode contre ma rosette.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle m’enfonce le pal en le tournant vicieusement de droite à gauche pour me faire sentir son relief tourmenté.
Elle m’embroche lentement en voyant passer successivement dans mon regard la surprise, la crainte, le plaisir.
- Il est maintenant planté jusqu’au ras de tes fesses ma chérie et ton clito va bientôt exploser si je continue à ce rythme.
- Tu aimes les gros calibres n’est ce pas ? Me souffle-t-elle à l’oreille.
Pour toute réponse, je me cambre en ouvrant mes cuisses au maximum pour lui faciliter la tâche.
Elle me défonce à nouveau sous tous les angles en donnant libre cours à sa perversité.
Attentive, elle observe mes moindres tressaillements pour se concentrer sur les caresses qui me donnent le plus de plaisir.
Elle m’accorde un instant de répit en se retirant de ma croupe.
Me sentant libre, je me tourne sur le ventre pour remettre de l’ordre dans mes dessous.
- Tu as un cul magnifique, s’exclame Sandra en y plongeant sa langue.
J’ai un plaisir si intense que je ne sens pas qu’elle écarte sournoisement la fente de mon slip.
Prise par surprise et totalement relâchée, je n’ai pas le temps de réagir quand elle m’enfonce à deux mains un énorme gode dans les reins.
Je gémis lorsque le pieu termine sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle me pilonne avec insistance.
Je finis par ressentir du plaisir lorsqu’elle amplifie les rotations du gode en explorant les moindres replis de mon fourreau.
Puis, elle me retourne sur le dos et s’allonge sur moi tête bêche.
La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps pendant qu’elle m’ouvre les cuisses pour mieux m’embrocher.
Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de ma délivrance.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle referme ses cuisses sur mon visage pour garder le contrôle.
A moitié étouffée, je me calme très vite.
- Laisse-moi-t’achever ma belle, me dit-t-elle en souriant.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Des gouttes de sève perlent à la surface de mon gland lui montrant mon état d’excitation.
Sandra continue à me goder lentement en me donnant un plaisir qui m’envahit d’une manière diffuse et durable.
Faisant tout pour retarder mon orgasme, elle remue imperceptiblement le gode dans ma grotte pour prolonger ma jouissance.
Quand elle se redresse, je vois dans ses yeux qu’elle va m’achever.
Avec voracité, elle avale ma queue gonflée de désir et pousse à fond le pal dans mon ventre en pilonnant mon point G.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement et me défonce sans fléchir ni s’arrêter.
J’essaye de retarder mon orgasme, mais je capitule vite devant son savoir faire et son obstination.
Je râle de plaisir en déversant mon sperme à gros bouillons dans sa gorge.
Avec surprise, elle sent le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main et comprend qu’il s’agit de mes fortes contractions anales liées au fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Me voyant toute étourdie de plaisir, elle me laisse me reposer.
Un moment plus tard, brûlante de désir, elle m’invite à poursuivre nos jeux.
Elle s’enfonce un dong dans la chatte et s’allonge entre mes jambes pour m’embrocher avec l’autre extrémité.
- J’en ai pas fini avec toi ma chérie.
Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me sodomise lentement en s’aidant de sa main.
Je saisis à mon tour le gode en le faisant aller et venir dans nos fourreaux.
Elle ne résiste pas longtemps à mon savoir faire et c’est elle qui jouit la première.
Gardant le dong dans sa grotte, elle me défonce à son tour en accomplissant l’exploit de me sucer la queue en même temps.
Sodomisée et pompée à la fois, je sens le désir monter très vite dans mes reins.
Au moment crucial, elle retire le dong et plonge avec assurance son majeur dans ma grotte en le recourbant vers le haut pour que la pulpe de son doigt soit en contact avec ma prostate.
Elle la presse avec insistance en me fixant d’un regard trouble.
Quand elle me voit les yeux mi clos et en extase, elle lèche mon frein en faisant perler mes premières gouttes de sève à la surface de mon gland.
- Tu vas jouir du cul ma belle, m’assure-t-elle en plongeant maintenant ses quatre doigts dans mes fesses.
Elle les fait aller et venir rapidement dans mon fourreau en pressant ma glande d’amour.
Une épaisse coulée de sperme sort lentement de ma verge et se transforme en un mince filet de sève qui s’échappe sans fin de mon gland.
En même temps, Sandra me caresse les bourses pour prolonger mon plaisir.
Lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que je l’apaise à mon tour.
- Achève-moi vite, me supplie-t-elle en se collant contre moi.
J’enfonce alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses.
Puis, je frotte doucement dans un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.
Je vois très vite qu’elle apprécie mon massage et je la fais jouir rapidement en appliquant le vibromasseur sur son clito.

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