Maitresse Talia et Monsieur – Soirée avec Madame
Récit érotique écrit par Léon687 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maitresse Talia et Monsieur – Soirée avec Madame
Je me réveillais tranquillement un samedi matin, n’ayant pas entrainement d’arts martiaux de bonne heure pour une fois.
J’étais en train de prendre mon café quand je reçois un sms de Madame.
Enfin, la dernière séance remontait à une semaine et hormis quelques demandes spécifiques de Monsieur durant la semaine je n’avais eu aucune nouvelle.
« Soumis, je serais chez toi d’ici 11h. Sois prêt pour une sortie en ville. Maitresse Talia »
Une sortie en ville avec Maitresse, sur le moment j’ai eu peur mais j’avais confiance en eux et ils connaissaient mes craintes et ce que je voulais éviter comme rumeur.
Je lui répondis par l’affirmative en bon soumis, le téléphone bipa de nouveau.
« Parfait, j’ai hâte d’y être »
Je pris le temps de me préparer et me suis habillez de manière classique et j’ai attendu l’heure fatidique devant la télé.
11h00 pile, la sonnette retentit, je file appuyer sur le bouton de l’interphone et j’ouvre la porte, j’entends des talons claquer sur le revêtement du couloir et me mets à genoux en attendant l’arrivée de Ma Maitresse.
- Oh, quel charmant comité d’accueil. Merci mon beau… (Elle marqua un temps d’arrêt le temps de rentrer dans l’appartement) Soumis.
- Bonjour Maitresse.
- Lève-toi et emmène-moi au salon.
En me relevant je pris le temps de la contempler, elle était vêtue d’une robe noire moulante, une veste en cuir plutôt anthracite et des escarpins noirs à rayures grises.
Je la guide jusqu’au salon et elle prend place sur le canapé puis m’indique de m’asseoir à côté d’elle. A peine assis, elle pose ces jambes sur moi, sa veste étant tombé le long des épaules et je me mets machinalement à les caresser délicatement.
- Charmante attention que tu viens d’avoir. Mais revenons au sujet de ma venue, cela doit t’intriguer ?
- J’avoue que c’est plus la sortie en ville qui m’a un peu intrigué, fais peur.
- Bien, alors sache que Monsieur ne sera pas là pour le mois qui vient, il a dû partir en déplacement à l’étranger. D’où les nombreuses photos torrides qu’il a demandées à sa petite salope durant la semaine.
- Je comprends mieux, en effet.
- En attendant, nous devions nous rendre à une soirée dans un club et nous avions réservés pour deux. Je veux aller à cette soirée et donc tu viendras avec moi.
- J’avoue que je ne m’attendais pas du tout à cela, mais ça serait un honneur, Maitresse.
- Sauf que tu devras jouer le rôle de mon amant ce soir, mon beau, pas celui du soumis.
- Donc je suppose que certaines règles seront caduques.
- En effet, tant que nous sommes à proximité du club, pas de Vous ni de Maitresse ou quoi que ce soit du genre.
- C’est compris.
J’étais à la fois ravie et un peu déstabilisé par cette demande mais Madame savait comment me garder à flot. Elle remonta légèrement sa robe et se plaça à califourchon sur moi et saisissant ma tête de ces deux mains, elle me roula une pelle d’enfer.
- Ah te voilà concentré, j’aime mieux ça.
Elle m’embrassa une nouvelle fois et je posais cette fois mes mains sur ces fesses et j’en profitais pour les peloter généreusement.
- Hum, tu rentres déjà dans le personnage mon petit coquin. Mais attendons ce soir.
Elle se releva et réajusta sa tenue avant de me présenter sa main.
- Allez, suis-moi, il faut qu’on t’habille pour ce soir. Prends ton sac pour dormir à la maison.
Madame me laissa le temps de finir mon sac et je fermais l’appartement pour la suivre à sa voiture.
Elle me tendit les clés et attendit que j’ouvre la portière passagère. Je tenais la main de Madame le temps qu’elle rentre dans la voiture et je rejoignis le poste conducteur.
Nous primes la route que Madame me désigna et après 30 minutes nous étions arrivés à destination.
Je sortis de la voiture et j’allais ouvrir à Madame qui reprit ma main pour sortir, me remerciant au passage d’une caresse de la main.
Je lui emboites le pas alors qu’elle prend la direction d’une boutique de vêtements pour hommes, je la précède pour lui ouvrir la porte. La gérante de la boutique lui fait un signe de main et Madame lui rendit, visiblement elles se connaissaient bien.
Madame me demanda de la suivre en silence, elle récupéra plusieurs chemises et pantalons qu’elle me tendait. Après avoir environ 5 de chaque, je suis partis dans le coin qu’elle m‘indiqua du doigt.
La cabine d’essayage semblait plus grande que les autres, j’y entrais et au moment de fermer le rideau, Madame me repoussa en venant avec.
- Je choisirais ce qui te va le mieux, aller hop à poil.
- Bien Maitresse.
- N’ai pas peur de parler normalement, c’est une connaissance qui est aussi pratiquante donc elle a l’habitude.
Je me suis déshabiller et gardait mon boxer et ai commencé à essayer les vêtements qu’elle m’avait choisi.
Madame s’était assise sur le pouf en me jaugeant au fur et à mesures des essais.
Finalement, elle opta pour un pantalon très chic, j’étais super à l’aise dedans et une chemise blanche à la coupe cintrée. Je me sentais à l’étroit mais ce sentiment partis rapidement au bout de quelques minutes.
Madame me regarda et quelque chose sembla la contrarier.
- Un souci, Maitresse.
- Hum… ah ça y est j’ai trouvé. Ne bouge pas.
Elle quitta la cabine et j’entendis des voix, elles devait échanger avec la gérante. La voilà de retour elle avait un carton de chaussures, une ceinture et un gilet noir qu’elle me tendit. J’ai enfilé les derniers artifices et je me suis regardé dans le miroir, j’avais plutôt du style.
Madame se colla contre moi et m’enlaça tendrement.
- Tu es très beau ainsi.
- Merci Maitresse, c’est grâce à vous.
- Il manque juste un petit quelque chose mais je te le donnerais plus tard.
- Bien Maitresse.
- En attendant, (elle s’éloigna de moi) je pense que je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps.
- Maitresse, que voulez….
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase, que je vis Madame dans le reflet du miroir qui avait retiré sa robe et sa veste, elle était nu, seulement vêtue de ces escarpins.
Je me retournais et elle s’avança contre moi et m’enlaça de ces bras et tendit ces lèvres vers les miennes.
- Tu m’as excité dans cette tenue et j’ai envie de toi, voilà tout. Maintenant embrasse-moi et je te ferais une petite gâterie avant que tu ne t’occupes de moi.
Je posais mes lèvres sur les siennes et nous échangeâmes un baiser torride, je caressais le corps de Madame et finit par saisir ces fesses que j’empoignais fermement, lui faisant lâcher un soupir d’excitation, ce qui me fit encore plus bander depuis que je l’avais vu nue. Rien que de la voir nue ne me rendait fou, tellement j’aimais ces courbes.
Elle me déshabilla en continuant de m’embrasser, puis en arrivant au pantalon, elle quitta mes lèvres et s’agenouilla et fini de me dévêtir.
Mon sexe dressé se présenta face à elle, je vis son regard emplie de désir se planter dans le mien et je pouvais deviner le désir en elle. Sa bouche embrassa mon sexe avant de le lécher sous toute les coutures, tandis que d’une main elle me malaxait les bourses.
Je commençais à gémir, puis elle me prit en bouche sans prévenir et commença à me sucer avec gourmandise. C’était un vraie délice, Maitresse suce tellement bien que j’en deviens fou.
Je posais mes mains sur sa tête et lui imprima mon rythme, ces mains se posèrent sur mes fesses qu’elle agrippa et se laissa faire, je prenais la bouche de ma Maitresse et cela m’excitait tout comme elle. Je sentais et voyais qu’elle me prenait de plus en plus loin, c’est encore meilleur, puis elle me goba en entier, je sentis son visage posé sur mon corps.
Elle libéra mon sexe de sa bouche, un filet de salive lui coulant des commissures des lèvres, son regard l’a rendait encore plus vicieuse et perverse.
- Hum, toujours aussi bonne. Maintenant prends-moi mon chéri.
- A vos ordres, Maitresse.
Se relevant elle pris ma main et partis vers le pouf et se plaça à quatre pattes, je me collais à elle.
Je passais ma main sur sa chatte qui ruisselait et je m’enfonçais direct en elle lui faisant échapper un cri de plaisir. Je pris mon rythme, lent mais puissant et cela semblait la rendait folle, je la voyait se mordiller la lèvre pour ne pas hurler son plaisir et serrer le revêtement du pouf de ces mains.
Etrangement la faire mijoter ainsi me procura un plaisir immense et je faisais mon maximum pour ne pas jouir trop rapidement.
Elle releva le torse et m’agrippa le visage et m’attira à elle-même.
- Tu ne perds rien pour attendre, mais là je veux que tu me baises, alors fais le.
Je pris un rythme plus puissant et cela sembla convenir car elle respirait plus fortement. Elle m’encourageait avec des « encore », « plus fort », « c’est bon ».
Soudain, elle se figea et trembla pendant quelques secondes, puis elle se retourna et m’enlaça, plongeant sa tête dans mon torse et lâcha un cri de plaisir, me saisissant le sexe et le branlant.
- Tu m’aurais bien fait mijoter, tu es un bon vicieux. Tu penses que tu mérites de jouir ?
- Oui, Maitresse.
- Malheureusement, tu vas payer pour ton petit moment de sadique. Privé d’orgasme et pas un mot.
Je hochais docilement la tête en signe d’approbation, je reçus une petite tape taquine sur la joue.
- Rhabille-toi et allons régler pour tout ça.
Madame remis sa robe ainsi que sa veste et réajusta sa tenue en quittant la cabine en allant vers le comptoir.
Je récupérais les affaires en me rhabillant et rejoignit Madame qui ne me regarda pas. Les affaires furent pliées et mis en sac que je récupérais.
Madame sortis et je lui emboitais le pas, devinant que je l’avais contrarié. Nous marchions vers la voiture et soudain Madame s’arrêta et se retourna vers moi.
- Je voulais te faire plaisir en t’offrant mon corps et tu as joué avec mon plaisir.
- Je suis désolé Maitresse, je crois que j’ai pris trop à cœur cette histoire d’amant et je me suis laissé emporter.
- Peut-être mais n’oublie pas que mon plaisir passe avant le tien, c’est compris !
- Oui Maitresse, je ne recommencerais plus.
- Oh si tu recommenceras mais seulement si je te l’ordonne. Maintenant allons-y.
Sa réprimande se passa rapidement, elle n’avait pas hésité à me planter son index sur le torse pour accentuer ma faute. Après avoir rejoint la voiture, nous sommes retournées chez Madame, le trajet se passa sans un mot de Madame qui semblait réfléchir à une manière de me punir.
En arrivant chez elle, j’ai dû ranger la voiture au garage, elle rentra sans moi et je la rejoignit à l’intérieur en allant dans la chambre qui nous étais dédié à Eve et moi.
Cette dernière étant en vacances chez ces parents, nous n’étions que tous les deux.
- Rejoins-moi avec les affaires dans ma chambre
Je pris mes affaires et rejoignit donc Madame dans la « chambre des Maitres » comme ils l’avaient si joliment nommés.
Madame était à nouveau nu mais s’était vêtue de son peignoir en soie bleu, qui n’était pas fermé et laissé paraître ces courbes, elle se tenait en appuie sur l’une des colonnes du lit à baldaquin, on sentais son côté Dominatrice ressortir dans son attitude.
- Tu vas te déshabiller, aller prendre une douche et tu m’appelle quand tu as fini.
- Bien Maitresse, répondis-je les yeux baissés, un peu honteux.
Je partis donc dans la salle de bain et pris une douche comme Madame me l’a indiquée.
J’avais fini et je me séchais et j’appelais Madame que c’était bon, pendant ce temps, je m’enroulais la serviette autour de la tailleElle arriva en tenant la ceinture qu’on avait acheté en main, elle me la passa autour du coup et m’entraina dans la chambre, me jeta sur la chaise placé près du lit et me lia les mains dans le dos.
Ma serviette vola et Madame la posa sur mon épaule puis alla chercher quelque chose dans mon dos.
Elle revient avec un blaireau et bol de mousse, dont elle me tartina le visage puis repartis après un petit sourire narquois.
Elle revient avec en main, un rasoir à lame de barbier et me regarda avec un sourire en coin qui pouvait en dire long sur ce qu’il m’attendait.
- Je veux que tu sois tout beau, je vais donc te raser de près. Mon mari adore que je lui fasse cela, tu vas vite comprendre pourquoi, sauf que pour toi ça sera moins amusant.
Elle sortit un bandeau de la poche de son peignoir et me le plaça sur les yeux. J’entendais les talons claquer sur le parquet de la chambre, elle me tournait autour pour me faire languir et me rendre fou.
Elle revint devant moi et son talon se posa sur mon sexe déjà bien bandé. Elle me taquina un peu pour que je sois bien exciter.
Décidément, je n’étais jamais déçu par le sadisme et la perversité dont Madame faisait preuve.
Lorsque je fus suffisamment dur selon elle, elle retira son talon de mon sexe et se plaça à califourchon sur moi en s’empalant sur mon sexe, au même instant je sentis le rasoir se posé sur ma gorge.
- Je vais te raser tout en me baisant sur ta grosse queue, mais tu ne jouiras toujours pas.
- Maitresse, votre imagination pour trouver comment me torturer est surprenante.
- Tu ne t’en sortis pas avec des flatteries même si j’aime cela. Allez, c’est parti pour le rasage.
Elle enchainait quelques coups de rasoir tout en se déhanchant sur mon sexe, je faisais attention de pas trop gémir lorsque la lame était sur ma gorge. Ce petit jeu était une torture car je ne devais pas jouir mais un tel plaisir.
- Ah voilà, tu es tout beau, maintenant je vais m’amuser encore un peu.
Elle agrippa le dossier de la chaise et commençait à se mouvoir encore plus vite, je l’entendais gémir et hurler son plaisir son retenu.
- Oh punaise que c’est bon de pouvoir hurler sans retenue, dommage que tu aies joué au plus malin plus tôt, tu aurais pu encore jouir en moi.
Elle s’amusa encore un peu et lorsqu’elle sentit que j’étais sur le point de craquer, elle s’arrêta et quitta sa monture pour partir à la salle de bain vu le bruit de pas, elle me passa un peu de baume sur le visage pour me soulager suite au rasage.
Mes mains furent libéré et elle partit prendre sa douche, je me remis de ces émotions et mis mes vêtements. Madame revint dans la chambre, entièrement nu et m’indiqua de l’index de m’approcher d’elle
- Pare-moi de mes plus beaux atouts, soumis.
- Vos désirs sont des ordres, Maitresse.
L’ensemble était posé sur le lit, je commence par le soutien-gorge que je n’ai pas eu trop de mal à fixer, Madame s’occupa de le placer correctement puis j’ajustai les bretelles.
Je pris ensuite le porte-jarretelle que je réglais comme il faut, puis la culotte, j’ai eu droit à un mini déhanché de Madame pour que cette dernière soit bien positionnée.
Elle s’est ensuite assise sur le lit et je pris le premier bas, que je préparais, Madame me présenta son pied qu’elle posa sur mon torse après que j’ai déroulé le bas sur ce dernier et je continuais mon ascension le long de sa jambe.
Je l’ai maintenu pour qu’elle fixe les jarretières et nous fîmes pareil avec l’autre jambe.
Madame se releva, je restais à genoux devant elle, son ensemble noir à dentelle mauve était sublime, les bas avec également une bordure mauve.
Comme toujours, elle était ravissante et je la trouvais extrêmes désirable.
Elle me tourna le dos et se pencha en avant, j’avais droit à une vue imprenable sur son fessier.
Elle récupéra un paquet et me le tendit, je pris ce dernier en main.
- Le dernier élément de ta tenue.
J’ouvris le paquet et en sortit un bracelet en cuir d’environ 5cm de long, le dessin gravé dessus ressemblait à un dragon tribal, dont le corps ressemblait beaucoup à des chaines.
- Ce bracelet fera office de collier d’appartenance lorsque nous serons amenés à sortir comme ce soir, pour te rappeler à qui tu dois obéir.
- Merci Maitresse, il est magnifique.
- Content qu’il te plaise, maintenant tu vas m’attendre au salon et soit prêt à partir.
- Bien Madame.
Elle descendit une dizaine de minutes plus tard, j’entendais le bruit de ces talons dans l’escalier et je me levais pour l’accueillir à son arrivée.
Elle était sublime, elle était vêtue d’une robe moulante noire lui faisant un décolleté superbe et le plus beau restait l’échancrure le long de la jambe gauche qui laissait apparaît le bas et la jarretière.
Elle était chaussée de Louboutins à plateforme noir mat et ces lèvres était couleur mauve comme sa lingerie.
Pour finir elle s’était coiffée en chignon à l’aide de deux baguettes en croix.
Je me suis agenouillé lorsqu’elle me tendit la main pour l’embrasser.
- Maitresse, Vous êtes radieuse et sublime.
- Merci, mon chère soumis. Me fera tu l’honneur de me conduire à la soirée maintenant.
- Avec le plus grand plaisirs, Maitresse, je vais chercher votre manteau.
Je suis allez chercher le manteau de Madame dans le placard du couloir et elle m’attendait de dos, je lui tendis et elle l’enfila. Elle pris un manteau en cuir et me le tendit. Je l’enfilais et elle semblait fière de son choix.
Je lui tendis le bras en faisant la révérence, elle le saisit et nous primes la direction de la voiture. Nous voilà partis pour le club, Madame rentra l’adresse sur le GPS.
La route nous pris environ une heure, je trouvais de la place sur le parking et je jouais encore le portier pour Madame qui repris mon bras.
Alors que nous nous dirigions vers l’entrée, elle se rapprocha de moi et murmura :
- N’oublie pas les consignes, maintenant tu es mon amant et Play Partner.
- Bien Talia.
- Tu es mignon, il y aura des démos, n’hésite pas si tu veux t’amuser de ton coté, je discuterais avec des amies présentes.
- C’est compris, mais je ne garantis pas que l’ambiance me plaira, j’ai du mal avec le niveau sonore des clubs en général.
- On verra, mais laisse-moi profiter un peu.
- Pas de soucis.
On rentre dans le club, une ambiance digne d’un donjon BDSM, une cage et une croix de Saint-André autour de la caisse. On arrive au vestiaire ou on laisse notre manteau, puis je remontes mes manches car je ne suis pas à l’aise les manches baissés, et puis au moins mon bracelet est visible.
Madame passe le voile qui nous sépare de la soirée, je lui emboite le pas.
Le club était clairement dédié au BDSM, plusieurs pièces dans le style, des accessoires sur les murs et j’apprends par la suite dans les placards des pièces.
Madame me saisit la main et m’entraine vers un groupe à part, les femmes étaient toutes très joliment vêtus, toutes des Dominas à coup sûr. L’une d’elle avait une laisse en main qui menait à un jeune homme très fin et vêtue seulement d’un collier de chien et d’une cagoule, sa voisine quant à elle, tenait en laisse une jeune femme portant un string et un masque noir, la médaille de son collier indiquait le mot « sexe ».
Talia me présenta à ces amies :Stéphanie (blonde à long cheveux, orné d’un masque argenté et d’une robe en cuir, de bas et de talons) qui débutait dans la domination.
Maitresse Olivia (elle tenait le jeune homme, routine plutôt la cinquantaine, longue robe rouge avec une serre-taille noir) une des premières que mes Maitres ont connus dans le milieu.
Et enfin Maitresse Léa avec sa soumise Fiona (brune, environ la quarantaine, habillé d’un chemisier blanc avec une jupe moulante et un serre-taille, et des cuissardes). Très mignonne. Fiona quant à elle, semblait avoir la vingtaine, cheveux noirs et un corps bien fait, une poitrine ni trop grosse, ni trop petite.)Je saluais les trois dames en ignorant les soumis car Talia fit pareil et personne ne semblait y prêter attention. Je fus décris comme son amant et Play Partner, qui lui faisait vivre de doux moments dans les cordes et savait aussi m’y prendre avec d’autres pratiques (Talia lâcha un clin d’œil à Léa avant de décrire ce que je pratiquais en tant que switch). Elle précisa bien sûr qu’il lui arrivait de me dominer mais occasionnellement seulement.
Les discutions s’enchainèrent, ainsi que les verres, je me limitais en prétextant devoir rouler au retour et qu’abimer la voiture de Talia me vaudrait une sévère correction en rigolant.
La soirée continua tranquillement, j’admirais certaines démos et puis je vis Léa venir vers moi
- Dis-moi Léon, tu accepterais de fouetter ma soumise pour moi ?
- J’accepte, je commençais un peu à tourner en rond.
- Ah merci, je pourrais le faire, mais Talia m’a reparlé que tu savais gérer à l’impact et j’aimerais voir Fiona être martyriser par un autre.
- Si cela vous fait plaisir, je le ferais avec joie.
- Tu peux me tutoyer.
- J’aime bien mettre les formes de temps de temps, lui répondis-je en souriant.
- Je t’aime bien, allez suis-moi.
Nous sommes allez dans une pièce à part, Talia était là un verre à la main et regardait Fiona attaché au sol à un treuil, Léa se colla contre moi.
- Soumise, ce jeune homme ici présent va te fouetter pour moi, moi je vais admirer la scène avec mon amie.
- A vos ordres Maitresse Léa.
Elle partit actionner le treuil et me tendit une barre d’écartement que je plaçais entre ces jambes.
Léa me montra les outils qu’elle avait ramené, des cat-o-nine, des singles tails, des martinets.
Un sourire sadique se dessina sur mon visage et Léa me sourit avant de m’embrasser sur la joue en me souhaitant un bon moment puis partis rejoindre Talia qui la pris dans ces bras et l’embrassa.
Je mis un bandeau sur les yeux de Fiona et lui murmura à l’oreille de se laisser aller et de profiter.
J’ai donc commencer par chauffer son corps à coups de martinets, alternant force et rythme Fiona commença déjà à feuler. Je suis passé au cat-o-nine quand j’ai estimé qu’elle était prête pour la suite.
Je tournais autour d’elle en la fouettant, elle criait de douleur mais aimait ça aussi, une bonne maso et cela me donna envie d’aller plus loin, de l’emmener loin.
Ma « danse » continua encore un peu, puis je suis passé au single tails et la ce fut la surprise général, Fiona gémissait encore plus et haletait rapidement, elle prenait son pied. Après avoir fait couler la pluie (c’est ainsi qu’une amie maso avait défini le mouvement en moulinet avec deux single tails) je pris un cat et lui fouettait la chatte, elle hurlait et me demanda d’y aller plus fort.
Je recommençais et elle gémissait en se mordillant les lèvres, elle me supplia avec « encore », « je vous en prie », « c’est bon »
Un ultime coup la fit hurler et elle fut terrassée par l’orgasme. Je m’approchais d’elle et j’entendis le treuil descendre, Léa l’actionna, elle ne portait plus rien en haut et sa jupe était relevé. Je regarda Talia qui se mordit la lèvre et avait une main dans sa culotte.
J’étais tellement concentré dans ma zone de confort que j’en avais oublié ces deux femmes magnifiques.
Léa vient vers nous et m’embrassa en me remerciant, elle n’avait jamais réussi à mener sa soumise aussi loin, je lui avais beaucoup appris. Je la remerciais aussi car ce fut un excellent moment, Fiona libéré des entraves m’enlaça en tremblant, je l’enlaçais et elle voulait aussi m’embrasser pour me remercier, mais trop éreintée, elle n’y arriva pas. J’ai déposé un baiser sur son front et prit la couverture non loin pour qu’elle récupère.
Après un moment, Talia vient vers moi et me tendant la main, je me relevais et l’attira à moi et l’enlaça
- Dis donc tu es très entreprenant mon chéri.
- J’avais envie de te prendre dans mes bras pour un petit baiser.
Elle esquissa un sourire et nous avons échangé un baiser passionner.
Fiona ayant récupérer nous sommes allées au bar et je l’ai sentis se coller à ma jambe en mode câlin, cela nous fit sourire.
Puis Talia m’annonça qu’il était temps d’y aller et après avoir pris congés de nos comparses, nous sommes retournés à la voiture. Prendre le frais nous fit du bien, le ciel était clair, la lune presque pleine ajouta une lumière magnifique. Madame s’étira et se colla à moi m’enlaçant le bras.
- Tu m’as bien excité durant ta séance d’impact sur Fiona. J’admets avoir embelli les choses quand je t’ai présenté mais je ne pensais pas que tu gérais autant.
- Merci du compliment.
- J’aimerais te voir gérer une séance, peut-être qu’Eve se prêtera au jeu. Qu’en dis-tu ?
- Je vous ferais une démo avec plaisir si vous le souhaitez.
- Pour l’heure rentrons, j’ai encore des projets pour nous deux.
Le retour se passa dans le calme, une musique pour tenir le temps des trajets, quelques gémissements de Madame qui semblait se caresser de ce que j’ai pu apercevoir.
Une fois arrivés, j’ai rangés le manteau de mon hôtesse et ma veste, puis agrippant de l’index le pan ouvert de la chemise elle partir en direction de la chambre. Je profitais de la montée pour admirer ses fesses mises en valeur par sa robe.
Madame me poussa dans la chambre et fermait la porte derrière elle. Se collant à moi, elle m’enlaça et m’embrassa, je fis de même. Une main descend vers ces hanches et elle leva la jambe gauche que je saisis, je caressais cette dernière, hum le contact de sa lingerie m’excita rapidement en plus de tout ce que j’avais vu dans la soirée.
- Ôte-moi ma robe, soumis.
Je quittais son étreinte pour me placer dans son dos, et commença à défaire le zip, la robe glissa au sol et se retournant, Madame défit son chignon et secoua ces cheveux qui retombèrent sur son épaule droite. Elle est tellement séduisante ainsi paré de lingerie et me fixant avec malice et perversité.
Sa main s’était posé sur mon sexe me disant d’un petit sourire en coin que j’étais en forme, vu la vision qu’elle m’offrait il y a avait de quoi.
La voilà qui part en direction du lit, roulant des fesses pour bien m’aguicher, grimpe dessus à quatre pattes et une fois au milieu, elle se retourne et me fais signe de la rejoindre tout en se mordant la lèvre.
Je me rapproche et elle agrippe ma ceinture pour me placer au bord du lit. En s’agenouillant, elle me retire le gilet puis défait langoureusement ma chemise avant de me la retirer. Tout en passant ces mains sur mon torse
- Hum, tes poils sont si doux, j’adore ça chez toi.
Je fis glisser les bretelles du soutien-gorge sur ces bras, elle entrepris de le retirer et me gifla les mains car je m’approchais pour les saisir
- Chaque chose en son temps.
Elle retira ma ceinture et la jeta dans la chambre, mon pantalon et boxer glissèrent rapidement sur mes chevilles libérant mon sexe qui étouffait. Madame me le saisit d’une main tout en me caressant le torse et entama un léger vas et vient très doux.
Se remettant à quatre pattes et balançant ces cheveux du côté droit, elle me prit en bouche et entama une fellation très douce mais extrêmes sensuelle. Je me suis mis à gémir rapidement donnant même parfois de petits coups de reins quand elle me prenait à fond.
Puis j’ai posé mes mains sur sa tête et imposa un rythme plus énergétique, elle me laissa faire, les bruits de succion qu’elle faisait me rendait fou et la vue sur ces fesses, tellement sexy.
Sa bouche quitta mon sexe et fut repris en main toujours dans une douce branlette, son regard taquin me fixa
- Alors ça te plait ?
- Beaucoup Madame.
- A moi aussi, mais j’ai envie de plus bestial.
- Comme vous voudrez, Maitresse.
Je me retirais pour me dévêtir complètement, Madame se mis sur le dos, la tête pendant du lit les bras autour, les yeux fermés. Je reviens vers elle et posa mon sexe sur sa bouche qui s’ouvrit à son contact, mais je l’ai surprise en m’enfonçant le plus loin possible et en saisissant ces poignets que je ligotais ensemble avec la ceinture, j’entamais une baisse de sa bouche bien profonde en malaxant sa poitrine d’une main et caressant sa chatte de l’autre.
Elle tenta de résister mais mes caresses et mon sexe enfoncé dans sa bouche eurent raison d’elle, je l’entendais prendre du plaisir et moi aussi.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je quitta sa bouche et je la relevais en la poussant sur le dos, je relevais ces jambes et je me jetais sur sa culotte trempé pour lui retirer avant de lécher et d’introduire deux doigts en même temps, ces mains se posèrent sur ma tête et saisirent mes cheveux.
Elle prit encore du plaisir et elle ruisselait de désir, ne tenant plus, je m’introduisit en elle et lui enfonça des doigts dans la bouche, qu’elle lécha goulument. Je me mis à baiser ma Maitresse comme elle le voulait, bestialement.
Ces mains s’agripper à la tête de lit et parfois elle me lança un regard noir pendant que je la baisais
- Vous vouliez quelque chose de bestial, Madame. Je ne fais que vous donnez ce que vous souhaitez.
- T’as intérêt à me baiser bien à fond alors.
Je redoublais d’efforts dans mes vas et vient, elle hurla de plaisir, « encore », « vas-y », « oh oui » m’encouragèrent encore plus.
Puis je calmais le jeu en donnant de puissants coup de reins bien profonds, cela semblait bien lui plaire vu l’expression qu’arborait son visage.
Je l’ai retourné en levrette et je me suis réintroduit en elle, agrippant ces cheveux et tirant sa tête en arrière, je la baisais comme une salope, j’étais aux portes du plaisir mais je voulais faire durer.
- Oh oui, prends moi bien comme une chienne.
- Vous aimez être prise ainsi Madame.
- Hum, Ah, oui j’adore, je la… Aaaah, sens bien profond … AAH ta grosse queue.
- Alors je vais encore vous baiser un peu ainsi Maitresse.
Je grognais de plaisir en bourrant (pas d’autres mots) la chatte de ma Maitresse adoré. Elle prenait un pied terrible et après plusieurs minutes de ce traitement, elle s’arc-bouta et hurla son orgasme, elle s’effondra sur le lit.
Je continuais de me branler au cas où elle voudrait encore que je m’occupe d’elle.
À moitié dans les vapes, elle se tourna vers moi et en défaisant la ceinture qui reliai ces poignets :
- Tu as bien mérité de jouir après une telle baise.
- Merci, pourrais-je demander à jouir entre vos seins Maitresse.
- Tout ce que tu veux.
Je descendis du lit et elle me suivi à genoux, pris mon sexe entre ces seins et les comprima.
Je me branlais énergiquement, Madame m’aidant un peu par des encouragements :
- Allez, jouis pour ta Maitresse, tu l’as bien honoré.
- AAH, Maitresse, c’est si bon entre vos seins… AAH
Je jouissais enfin en poussant un cri bestial mais libérateur, de longues giclées volèrent sur la mémorable poitrine de Madame. Elle récupéra tout de ces doigts et les lécha avec appétit.
- Merci pour cette baise mémorable mon cher soumis.
- Merci à vous aussi Maitresse, j’espère avoir été à la hauteur de vos attentes.
Je l’aida à se remettre sur pieds et nous nous sommes allongés sur le lit en nous enlaçant. Puis elle me demanda de l’honorer, elle portait toujours les bas et le Porte-jarretelle ainsi que ces escarpins, pour mon plus grand plaisir, j’embrassais ces chaussures et jambes, je sentis sa main sur mes cheveux me caresser.
Après avoir récupérer, je partis me rincer à la salle de bain et en revenant Madame était sur le bord du lit elle portait ma chemise à moitié sur ces épaules et je me mis à genoux devant elle-même, ces talons venant contre mon corps.
- Tu te sens prêt pour un deuxième round.
- Je pense que oui, Maitresse.
Elle me montra mon collier qu’elle me mit puis des entraves de poignets et chevilles avant de me jeter sur le lit en me mettant sur le dos. Mes poignets furent attachés à la tête de lit et mes jambe au pied de lit, elle m’équipa d’un coc-ring pour que je bande bien fort puis d’un bandeau.
J’ai eu droit à une fellation d’enfer pour me mettre d’aplomb, ne pouvant rien voir, je n’avais que les sensations puis je sentis du mouvement et Madame s’empala sur mon sexe maintenant à nouveau bien dur. Ces talons sur mes cuisses, le contact électrisant des bas sur mes hanches. Soudain, je sentis quelques chose poussé contre mon sexe, Madame m’avoua s’enfiler un gode anal en même temps. Mon sexe était un peu plus comprimé dans son fourreau de chair si doux.
Elle était insatiable décidément, ce fut un rodéo sur ma queue, je grognais de plaisir, Madame joue avec mes poils, mes tétons, me mordilla, griffa, pinça et m’embrassa aussi.
Je sentais son déhanché endiablé et ces cris de jouissance. Soudain, elle ris appuie sur mon torse et se figea avant de jouir, je sentis son vagin se contracté, ce qui m’excita énormément.
Madame me quitta pour s’étendre à côté de moi, sa main sur mon sexe qu’elle branlait, m’annonçant que ça allait être à mon tour. Je fus libéré de mes entraves et du masque, Madame assise sur le bord de lit, m’attendait.
Je me glissais à ces genoux et elle désigna ces chaussures. Je mis mon sexe entre et Madame me branla très efficacement de ces Louboutins, leur contact et le regard de Madame eurent raison de moi assez vite. J’ai à nouveau jouit mais mon cri fut plus euphorisant qu’avant.
J’ai nettoyez ces escarpins puis elle me guida à la douche que nous primes ensemble avant de retourner dans la chambre. Madame et moi nous fîmes un massage aux huiles essentielles relaxant. Puis Madame pris des cordes et me ligota les mains à l’un des anneaux, et fit pareil avec les jambes, me remis mon rosebud et un masque.
- Fais de beaux rêves mon petit soumis, on s’amusera encore demain tous les deux.
Elle me déposa un baiser sur la joue et rigola en se retournant pour éteindre.
Je ne m’attendais pas à cela, mais peu importe, cette journée fut un vraie délice en sa compagnie.
Je vous aime Maitresse.
J’étais en train de prendre mon café quand je reçois un sms de Madame.
Enfin, la dernière séance remontait à une semaine et hormis quelques demandes spécifiques de Monsieur durant la semaine je n’avais eu aucune nouvelle.
« Soumis, je serais chez toi d’ici 11h. Sois prêt pour une sortie en ville. Maitresse Talia »
Une sortie en ville avec Maitresse, sur le moment j’ai eu peur mais j’avais confiance en eux et ils connaissaient mes craintes et ce que je voulais éviter comme rumeur.
Je lui répondis par l’affirmative en bon soumis, le téléphone bipa de nouveau.
« Parfait, j’ai hâte d’y être »
Je pris le temps de me préparer et me suis habillez de manière classique et j’ai attendu l’heure fatidique devant la télé.
11h00 pile, la sonnette retentit, je file appuyer sur le bouton de l’interphone et j’ouvre la porte, j’entends des talons claquer sur le revêtement du couloir et me mets à genoux en attendant l’arrivée de Ma Maitresse.
- Oh, quel charmant comité d’accueil. Merci mon beau… (Elle marqua un temps d’arrêt le temps de rentrer dans l’appartement) Soumis.
- Bonjour Maitresse.
- Lève-toi et emmène-moi au salon.
En me relevant je pris le temps de la contempler, elle était vêtue d’une robe noire moulante, une veste en cuir plutôt anthracite et des escarpins noirs à rayures grises.
Je la guide jusqu’au salon et elle prend place sur le canapé puis m’indique de m’asseoir à côté d’elle. A peine assis, elle pose ces jambes sur moi, sa veste étant tombé le long des épaules et je me mets machinalement à les caresser délicatement.
- Charmante attention que tu viens d’avoir. Mais revenons au sujet de ma venue, cela doit t’intriguer ?
- J’avoue que c’est plus la sortie en ville qui m’a un peu intrigué, fais peur.
- Bien, alors sache que Monsieur ne sera pas là pour le mois qui vient, il a dû partir en déplacement à l’étranger. D’où les nombreuses photos torrides qu’il a demandées à sa petite salope durant la semaine.
- Je comprends mieux, en effet.
- En attendant, nous devions nous rendre à une soirée dans un club et nous avions réservés pour deux. Je veux aller à cette soirée et donc tu viendras avec moi.
- J’avoue que je ne m’attendais pas du tout à cela, mais ça serait un honneur, Maitresse.
- Sauf que tu devras jouer le rôle de mon amant ce soir, mon beau, pas celui du soumis.
- Donc je suppose que certaines règles seront caduques.
- En effet, tant que nous sommes à proximité du club, pas de Vous ni de Maitresse ou quoi que ce soit du genre.
- C’est compris.
J’étais à la fois ravie et un peu déstabilisé par cette demande mais Madame savait comment me garder à flot. Elle remonta légèrement sa robe et se plaça à califourchon sur moi et saisissant ma tête de ces deux mains, elle me roula une pelle d’enfer.
- Ah te voilà concentré, j’aime mieux ça.
Elle m’embrassa une nouvelle fois et je posais cette fois mes mains sur ces fesses et j’en profitais pour les peloter généreusement.
- Hum, tu rentres déjà dans le personnage mon petit coquin. Mais attendons ce soir.
Elle se releva et réajusta sa tenue avant de me présenter sa main.
- Allez, suis-moi, il faut qu’on t’habille pour ce soir. Prends ton sac pour dormir à la maison.
Madame me laissa le temps de finir mon sac et je fermais l’appartement pour la suivre à sa voiture.
Elle me tendit les clés et attendit que j’ouvre la portière passagère. Je tenais la main de Madame le temps qu’elle rentre dans la voiture et je rejoignis le poste conducteur.
Nous primes la route que Madame me désigna et après 30 minutes nous étions arrivés à destination.
Je sortis de la voiture et j’allais ouvrir à Madame qui reprit ma main pour sortir, me remerciant au passage d’une caresse de la main.
Je lui emboites le pas alors qu’elle prend la direction d’une boutique de vêtements pour hommes, je la précède pour lui ouvrir la porte. La gérante de la boutique lui fait un signe de main et Madame lui rendit, visiblement elles se connaissaient bien.
Madame me demanda de la suivre en silence, elle récupéra plusieurs chemises et pantalons qu’elle me tendait. Après avoir environ 5 de chaque, je suis partis dans le coin qu’elle m‘indiqua du doigt.
La cabine d’essayage semblait plus grande que les autres, j’y entrais et au moment de fermer le rideau, Madame me repoussa en venant avec.
- Je choisirais ce qui te va le mieux, aller hop à poil.
- Bien Maitresse.
- N’ai pas peur de parler normalement, c’est une connaissance qui est aussi pratiquante donc elle a l’habitude.
Je me suis déshabiller et gardait mon boxer et ai commencé à essayer les vêtements qu’elle m’avait choisi.
Madame s’était assise sur le pouf en me jaugeant au fur et à mesures des essais.
Finalement, elle opta pour un pantalon très chic, j’étais super à l’aise dedans et une chemise blanche à la coupe cintrée. Je me sentais à l’étroit mais ce sentiment partis rapidement au bout de quelques minutes.
Madame me regarda et quelque chose sembla la contrarier.
- Un souci, Maitresse.
- Hum… ah ça y est j’ai trouvé. Ne bouge pas.
Elle quitta la cabine et j’entendis des voix, elles devait échanger avec la gérante. La voilà de retour elle avait un carton de chaussures, une ceinture et un gilet noir qu’elle me tendit. J’ai enfilé les derniers artifices et je me suis regardé dans le miroir, j’avais plutôt du style.
Madame se colla contre moi et m’enlaça tendrement.
- Tu es très beau ainsi.
- Merci Maitresse, c’est grâce à vous.
- Il manque juste un petit quelque chose mais je te le donnerais plus tard.
- Bien Maitresse.
- En attendant, (elle s’éloigna de moi) je pense que je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps.
- Maitresse, que voulez….
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase, que je vis Madame dans le reflet du miroir qui avait retiré sa robe et sa veste, elle était nu, seulement vêtue de ces escarpins.
Je me retournais et elle s’avança contre moi et m’enlaça de ces bras et tendit ces lèvres vers les miennes.
- Tu m’as excité dans cette tenue et j’ai envie de toi, voilà tout. Maintenant embrasse-moi et je te ferais une petite gâterie avant que tu ne t’occupes de moi.
Je posais mes lèvres sur les siennes et nous échangeâmes un baiser torride, je caressais le corps de Madame et finit par saisir ces fesses que j’empoignais fermement, lui faisant lâcher un soupir d’excitation, ce qui me fit encore plus bander depuis que je l’avais vu nue. Rien que de la voir nue ne me rendait fou, tellement j’aimais ces courbes.
Elle me déshabilla en continuant de m’embrasser, puis en arrivant au pantalon, elle quitta mes lèvres et s’agenouilla et fini de me dévêtir.
Mon sexe dressé se présenta face à elle, je vis son regard emplie de désir se planter dans le mien et je pouvais deviner le désir en elle. Sa bouche embrassa mon sexe avant de le lécher sous toute les coutures, tandis que d’une main elle me malaxait les bourses.
Je commençais à gémir, puis elle me prit en bouche sans prévenir et commença à me sucer avec gourmandise. C’était un vraie délice, Maitresse suce tellement bien que j’en deviens fou.
Je posais mes mains sur sa tête et lui imprima mon rythme, ces mains se posèrent sur mes fesses qu’elle agrippa et se laissa faire, je prenais la bouche de ma Maitresse et cela m’excitait tout comme elle. Je sentais et voyais qu’elle me prenait de plus en plus loin, c’est encore meilleur, puis elle me goba en entier, je sentis son visage posé sur mon corps.
Elle libéra mon sexe de sa bouche, un filet de salive lui coulant des commissures des lèvres, son regard l’a rendait encore plus vicieuse et perverse.
- Hum, toujours aussi bonne. Maintenant prends-moi mon chéri.
- A vos ordres, Maitresse.
Se relevant elle pris ma main et partis vers le pouf et se plaça à quatre pattes, je me collais à elle.
Je passais ma main sur sa chatte qui ruisselait et je m’enfonçais direct en elle lui faisant échapper un cri de plaisir. Je pris mon rythme, lent mais puissant et cela semblait la rendait folle, je la voyait se mordiller la lèvre pour ne pas hurler son plaisir et serrer le revêtement du pouf de ces mains.
Etrangement la faire mijoter ainsi me procura un plaisir immense et je faisais mon maximum pour ne pas jouir trop rapidement.
Elle releva le torse et m’agrippa le visage et m’attira à elle-même.
- Tu ne perds rien pour attendre, mais là je veux que tu me baises, alors fais le.
Je pris un rythme plus puissant et cela sembla convenir car elle respirait plus fortement. Elle m’encourageait avec des « encore », « plus fort », « c’est bon ».
Soudain, elle se figea et trembla pendant quelques secondes, puis elle se retourna et m’enlaça, plongeant sa tête dans mon torse et lâcha un cri de plaisir, me saisissant le sexe et le branlant.
- Tu m’aurais bien fait mijoter, tu es un bon vicieux. Tu penses que tu mérites de jouir ?
- Oui, Maitresse.
- Malheureusement, tu vas payer pour ton petit moment de sadique. Privé d’orgasme et pas un mot.
Je hochais docilement la tête en signe d’approbation, je reçus une petite tape taquine sur la joue.
- Rhabille-toi et allons régler pour tout ça.
Madame remis sa robe ainsi que sa veste et réajusta sa tenue en quittant la cabine en allant vers le comptoir.
Je récupérais les affaires en me rhabillant et rejoignit Madame qui ne me regarda pas. Les affaires furent pliées et mis en sac que je récupérais.
Madame sortis et je lui emboitais le pas, devinant que je l’avais contrarié. Nous marchions vers la voiture et soudain Madame s’arrêta et se retourna vers moi.
- Je voulais te faire plaisir en t’offrant mon corps et tu as joué avec mon plaisir.
- Je suis désolé Maitresse, je crois que j’ai pris trop à cœur cette histoire d’amant et je me suis laissé emporter.
- Peut-être mais n’oublie pas que mon plaisir passe avant le tien, c’est compris !
- Oui Maitresse, je ne recommencerais plus.
- Oh si tu recommenceras mais seulement si je te l’ordonne. Maintenant allons-y.
Sa réprimande se passa rapidement, elle n’avait pas hésité à me planter son index sur le torse pour accentuer ma faute. Après avoir rejoint la voiture, nous sommes retournées chez Madame, le trajet se passa sans un mot de Madame qui semblait réfléchir à une manière de me punir.
En arrivant chez elle, j’ai dû ranger la voiture au garage, elle rentra sans moi et je la rejoignit à l’intérieur en allant dans la chambre qui nous étais dédié à Eve et moi.
Cette dernière étant en vacances chez ces parents, nous n’étions que tous les deux.
- Rejoins-moi avec les affaires dans ma chambre
Je pris mes affaires et rejoignit donc Madame dans la « chambre des Maitres » comme ils l’avaient si joliment nommés.
Madame était à nouveau nu mais s’était vêtue de son peignoir en soie bleu, qui n’était pas fermé et laissé paraître ces courbes, elle se tenait en appuie sur l’une des colonnes du lit à baldaquin, on sentais son côté Dominatrice ressortir dans son attitude.
- Tu vas te déshabiller, aller prendre une douche et tu m’appelle quand tu as fini.
- Bien Maitresse, répondis-je les yeux baissés, un peu honteux.
Je partis donc dans la salle de bain et pris une douche comme Madame me l’a indiquée.
J’avais fini et je me séchais et j’appelais Madame que c’était bon, pendant ce temps, je m’enroulais la serviette autour de la tailleElle arriva en tenant la ceinture qu’on avait acheté en main, elle me la passa autour du coup et m’entraina dans la chambre, me jeta sur la chaise placé près du lit et me lia les mains dans le dos.
Ma serviette vola et Madame la posa sur mon épaule puis alla chercher quelque chose dans mon dos.
Elle revient avec un blaireau et bol de mousse, dont elle me tartina le visage puis repartis après un petit sourire narquois.
Elle revient avec en main, un rasoir à lame de barbier et me regarda avec un sourire en coin qui pouvait en dire long sur ce qu’il m’attendait.
- Je veux que tu sois tout beau, je vais donc te raser de près. Mon mari adore que je lui fasse cela, tu vas vite comprendre pourquoi, sauf que pour toi ça sera moins amusant.
Elle sortit un bandeau de la poche de son peignoir et me le plaça sur les yeux. J’entendais les talons claquer sur le parquet de la chambre, elle me tournait autour pour me faire languir et me rendre fou.
Elle revint devant moi et son talon se posa sur mon sexe déjà bien bandé. Elle me taquina un peu pour que je sois bien exciter.
Décidément, je n’étais jamais déçu par le sadisme et la perversité dont Madame faisait preuve.
Lorsque je fus suffisamment dur selon elle, elle retira son talon de mon sexe et se plaça à califourchon sur moi en s’empalant sur mon sexe, au même instant je sentis le rasoir se posé sur ma gorge.
- Je vais te raser tout en me baisant sur ta grosse queue, mais tu ne jouiras toujours pas.
- Maitresse, votre imagination pour trouver comment me torturer est surprenante.
- Tu ne t’en sortis pas avec des flatteries même si j’aime cela. Allez, c’est parti pour le rasage.
Elle enchainait quelques coups de rasoir tout en se déhanchant sur mon sexe, je faisais attention de pas trop gémir lorsque la lame était sur ma gorge. Ce petit jeu était une torture car je ne devais pas jouir mais un tel plaisir.
- Ah voilà, tu es tout beau, maintenant je vais m’amuser encore un peu.
Elle agrippa le dossier de la chaise et commençait à se mouvoir encore plus vite, je l’entendais gémir et hurler son plaisir son retenu.
- Oh punaise que c’est bon de pouvoir hurler sans retenue, dommage que tu aies joué au plus malin plus tôt, tu aurais pu encore jouir en moi.
Elle s’amusa encore un peu et lorsqu’elle sentit que j’étais sur le point de craquer, elle s’arrêta et quitta sa monture pour partir à la salle de bain vu le bruit de pas, elle me passa un peu de baume sur le visage pour me soulager suite au rasage.
Mes mains furent libéré et elle partit prendre sa douche, je me remis de ces émotions et mis mes vêtements. Madame revint dans la chambre, entièrement nu et m’indiqua de l’index de m’approcher d’elle
- Pare-moi de mes plus beaux atouts, soumis.
- Vos désirs sont des ordres, Maitresse.
L’ensemble était posé sur le lit, je commence par le soutien-gorge que je n’ai pas eu trop de mal à fixer, Madame s’occupa de le placer correctement puis j’ajustai les bretelles.
Je pris ensuite le porte-jarretelle que je réglais comme il faut, puis la culotte, j’ai eu droit à un mini déhanché de Madame pour que cette dernière soit bien positionnée.
Elle s’est ensuite assise sur le lit et je pris le premier bas, que je préparais, Madame me présenta son pied qu’elle posa sur mon torse après que j’ai déroulé le bas sur ce dernier et je continuais mon ascension le long de sa jambe.
Je l’ai maintenu pour qu’elle fixe les jarretières et nous fîmes pareil avec l’autre jambe.
Madame se releva, je restais à genoux devant elle, son ensemble noir à dentelle mauve était sublime, les bas avec également une bordure mauve.
Comme toujours, elle était ravissante et je la trouvais extrêmes désirable.
Elle me tourna le dos et se pencha en avant, j’avais droit à une vue imprenable sur son fessier.
Elle récupéra un paquet et me le tendit, je pris ce dernier en main.
- Le dernier élément de ta tenue.
J’ouvris le paquet et en sortit un bracelet en cuir d’environ 5cm de long, le dessin gravé dessus ressemblait à un dragon tribal, dont le corps ressemblait beaucoup à des chaines.
- Ce bracelet fera office de collier d’appartenance lorsque nous serons amenés à sortir comme ce soir, pour te rappeler à qui tu dois obéir.
- Merci Maitresse, il est magnifique.
- Content qu’il te plaise, maintenant tu vas m’attendre au salon et soit prêt à partir.
- Bien Madame.
Elle descendit une dizaine de minutes plus tard, j’entendais le bruit de ces talons dans l’escalier et je me levais pour l’accueillir à son arrivée.
Elle était sublime, elle était vêtue d’une robe moulante noire lui faisant un décolleté superbe et le plus beau restait l’échancrure le long de la jambe gauche qui laissait apparaît le bas et la jarretière.
Elle était chaussée de Louboutins à plateforme noir mat et ces lèvres était couleur mauve comme sa lingerie.
Pour finir elle s’était coiffée en chignon à l’aide de deux baguettes en croix.
Je me suis agenouillé lorsqu’elle me tendit la main pour l’embrasser.
- Maitresse, Vous êtes radieuse et sublime.
- Merci, mon chère soumis. Me fera tu l’honneur de me conduire à la soirée maintenant.
- Avec le plus grand plaisirs, Maitresse, je vais chercher votre manteau.
Je suis allez chercher le manteau de Madame dans le placard du couloir et elle m’attendait de dos, je lui tendis et elle l’enfila. Elle pris un manteau en cuir et me le tendit. Je l’enfilais et elle semblait fière de son choix.
Je lui tendis le bras en faisant la révérence, elle le saisit et nous primes la direction de la voiture. Nous voilà partis pour le club, Madame rentra l’adresse sur le GPS.
La route nous pris environ une heure, je trouvais de la place sur le parking et je jouais encore le portier pour Madame qui repris mon bras.
Alors que nous nous dirigions vers l’entrée, elle se rapprocha de moi et murmura :
- N’oublie pas les consignes, maintenant tu es mon amant et Play Partner.
- Bien Talia.
- Tu es mignon, il y aura des démos, n’hésite pas si tu veux t’amuser de ton coté, je discuterais avec des amies présentes.
- C’est compris, mais je ne garantis pas que l’ambiance me plaira, j’ai du mal avec le niveau sonore des clubs en général.
- On verra, mais laisse-moi profiter un peu.
- Pas de soucis.
On rentre dans le club, une ambiance digne d’un donjon BDSM, une cage et une croix de Saint-André autour de la caisse. On arrive au vestiaire ou on laisse notre manteau, puis je remontes mes manches car je ne suis pas à l’aise les manches baissés, et puis au moins mon bracelet est visible.
Madame passe le voile qui nous sépare de la soirée, je lui emboite le pas.
Le club était clairement dédié au BDSM, plusieurs pièces dans le style, des accessoires sur les murs et j’apprends par la suite dans les placards des pièces.
Madame me saisit la main et m’entraine vers un groupe à part, les femmes étaient toutes très joliment vêtus, toutes des Dominas à coup sûr. L’une d’elle avait une laisse en main qui menait à un jeune homme très fin et vêtue seulement d’un collier de chien et d’une cagoule, sa voisine quant à elle, tenait en laisse une jeune femme portant un string et un masque noir, la médaille de son collier indiquait le mot « sexe ».
Talia me présenta à ces amies :Stéphanie (blonde à long cheveux, orné d’un masque argenté et d’une robe en cuir, de bas et de talons) qui débutait dans la domination.
Maitresse Olivia (elle tenait le jeune homme, routine plutôt la cinquantaine, longue robe rouge avec une serre-taille noir) une des premières que mes Maitres ont connus dans le milieu.
Et enfin Maitresse Léa avec sa soumise Fiona (brune, environ la quarantaine, habillé d’un chemisier blanc avec une jupe moulante et un serre-taille, et des cuissardes). Très mignonne. Fiona quant à elle, semblait avoir la vingtaine, cheveux noirs et un corps bien fait, une poitrine ni trop grosse, ni trop petite.)Je saluais les trois dames en ignorant les soumis car Talia fit pareil et personne ne semblait y prêter attention. Je fus décris comme son amant et Play Partner, qui lui faisait vivre de doux moments dans les cordes et savait aussi m’y prendre avec d’autres pratiques (Talia lâcha un clin d’œil à Léa avant de décrire ce que je pratiquais en tant que switch). Elle précisa bien sûr qu’il lui arrivait de me dominer mais occasionnellement seulement.
Les discutions s’enchainèrent, ainsi que les verres, je me limitais en prétextant devoir rouler au retour et qu’abimer la voiture de Talia me vaudrait une sévère correction en rigolant.
La soirée continua tranquillement, j’admirais certaines démos et puis je vis Léa venir vers moi
- Dis-moi Léon, tu accepterais de fouetter ma soumise pour moi ?
- J’accepte, je commençais un peu à tourner en rond.
- Ah merci, je pourrais le faire, mais Talia m’a reparlé que tu savais gérer à l’impact et j’aimerais voir Fiona être martyriser par un autre.
- Si cela vous fait plaisir, je le ferais avec joie.
- Tu peux me tutoyer.
- J’aime bien mettre les formes de temps de temps, lui répondis-je en souriant.
- Je t’aime bien, allez suis-moi.
Nous sommes allez dans une pièce à part, Talia était là un verre à la main et regardait Fiona attaché au sol à un treuil, Léa se colla contre moi.
- Soumise, ce jeune homme ici présent va te fouetter pour moi, moi je vais admirer la scène avec mon amie.
- A vos ordres Maitresse Léa.
Elle partit actionner le treuil et me tendit une barre d’écartement que je plaçais entre ces jambes.
Léa me montra les outils qu’elle avait ramené, des cat-o-nine, des singles tails, des martinets.
Un sourire sadique se dessina sur mon visage et Léa me sourit avant de m’embrasser sur la joue en me souhaitant un bon moment puis partis rejoindre Talia qui la pris dans ces bras et l’embrassa.
Je mis un bandeau sur les yeux de Fiona et lui murmura à l’oreille de se laisser aller et de profiter.
J’ai donc commencer par chauffer son corps à coups de martinets, alternant force et rythme Fiona commença déjà à feuler. Je suis passé au cat-o-nine quand j’ai estimé qu’elle était prête pour la suite.
Je tournais autour d’elle en la fouettant, elle criait de douleur mais aimait ça aussi, une bonne maso et cela me donna envie d’aller plus loin, de l’emmener loin.
Ma « danse » continua encore un peu, puis je suis passé au single tails et la ce fut la surprise général, Fiona gémissait encore plus et haletait rapidement, elle prenait son pied. Après avoir fait couler la pluie (c’est ainsi qu’une amie maso avait défini le mouvement en moulinet avec deux single tails) je pris un cat et lui fouettait la chatte, elle hurlait et me demanda d’y aller plus fort.
Je recommençais et elle gémissait en se mordillant les lèvres, elle me supplia avec « encore », « je vous en prie », « c’est bon »
Un ultime coup la fit hurler et elle fut terrassée par l’orgasme. Je m’approchais d’elle et j’entendis le treuil descendre, Léa l’actionna, elle ne portait plus rien en haut et sa jupe était relevé. Je regarda Talia qui se mordit la lèvre et avait une main dans sa culotte.
J’étais tellement concentré dans ma zone de confort que j’en avais oublié ces deux femmes magnifiques.
Léa vient vers nous et m’embrassa en me remerciant, elle n’avait jamais réussi à mener sa soumise aussi loin, je lui avais beaucoup appris. Je la remerciais aussi car ce fut un excellent moment, Fiona libéré des entraves m’enlaça en tremblant, je l’enlaçais et elle voulait aussi m’embrasser pour me remercier, mais trop éreintée, elle n’y arriva pas. J’ai déposé un baiser sur son front et prit la couverture non loin pour qu’elle récupère.
Après un moment, Talia vient vers moi et me tendant la main, je me relevais et l’attira à moi et l’enlaça
- Dis donc tu es très entreprenant mon chéri.
- J’avais envie de te prendre dans mes bras pour un petit baiser.
Elle esquissa un sourire et nous avons échangé un baiser passionner.
Fiona ayant récupérer nous sommes allées au bar et je l’ai sentis se coller à ma jambe en mode câlin, cela nous fit sourire.
Puis Talia m’annonça qu’il était temps d’y aller et après avoir pris congés de nos comparses, nous sommes retournés à la voiture. Prendre le frais nous fit du bien, le ciel était clair, la lune presque pleine ajouta une lumière magnifique. Madame s’étira et se colla à moi m’enlaçant le bras.
- Tu m’as bien excité durant ta séance d’impact sur Fiona. J’admets avoir embelli les choses quand je t’ai présenté mais je ne pensais pas que tu gérais autant.
- Merci du compliment.
- J’aimerais te voir gérer une séance, peut-être qu’Eve se prêtera au jeu. Qu’en dis-tu ?
- Je vous ferais une démo avec plaisir si vous le souhaitez.
- Pour l’heure rentrons, j’ai encore des projets pour nous deux.
Le retour se passa dans le calme, une musique pour tenir le temps des trajets, quelques gémissements de Madame qui semblait se caresser de ce que j’ai pu apercevoir.
Une fois arrivés, j’ai rangés le manteau de mon hôtesse et ma veste, puis agrippant de l’index le pan ouvert de la chemise elle partir en direction de la chambre. Je profitais de la montée pour admirer ses fesses mises en valeur par sa robe.
Madame me poussa dans la chambre et fermait la porte derrière elle. Se collant à moi, elle m’enlaça et m’embrassa, je fis de même. Une main descend vers ces hanches et elle leva la jambe gauche que je saisis, je caressais cette dernière, hum le contact de sa lingerie m’excita rapidement en plus de tout ce que j’avais vu dans la soirée.
- Ôte-moi ma robe, soumis.
Je quittais son étreinte pour me placer dans son dos, et commença à défaire le zip, la robe glissa au sol et se retournant, Madame défit son chignon et secoua ces cheveux qui retombèrent sur son épaule droite. Elle est tellement séduisante ainsi paré de lingerie et me fixant avec malice et perversité.
Sa main s’était posé sur mon sexe me disant d’un petit sourire en coin que j’étais en forme, vu la vision qu’elle m’offrait il y a avait de quoi.
La voilà qui part en direction du lit, roulant des fesses pour bien m’aguicher, grimpe dessus à quatre pattes et une fois au milieu, elle se retourne et me fais signe de la rejoindre tout en se mordant la lèvre.
Je me rapproche et elle agrippe ma ceinture pour me placer au bord du lit. En s’agenouillant, elle me retire le gilet puis défait langoureusement ma chemise avant de me la retirer. Tout en passant ces mains sur mon torse
- Hum, tes poils sont si doux, j’adore ça chez toi.
Je fis glisser les bretelles du soutien-gorge sur ces bras, elle entrepris de le retirer et me gifla les mains car je m’approchais pour les saisir
- Chaque chose en son temps.
Elle retira ma ceinture et la jeta dans la chambre, mon pantalon et boxer glissèrent rapidement sur mes chevilles libérant mon sexe qui étouffait. Madame me le saisit d’une main tout en me caressant le torse et entama un léger vas et vient très doux.
Se remettant à quatre pattes et balançant ces cheveux du côté droit, elle me prit en bouche et entama une fellation très douce mais extrêmes sensuelle. Je me suis mis à gémir rapidement donnant même parfois de petits coups de reins quand elle me prenait à fond.
Puis j’ai posé mes mains sur sa tête et imposa un rythme plus énergétique, elle me laissa faire, les bruits de succion qu’elle faisait me rendait fou et la vue sur ces fesses, tellement sexy.
Sa bouche quitta mon sexe et fut repris en main toujours dans une douce branlette, son regard taquin me fixa
- Alors ça te plait ?
- Beaucoup Madame.
- A moi aussi, mais j’ai envie de plus bestial.
- Comme vous voudrez, Maitresse.
Je me retirais pour me dévêtir complètement, Madame se mis sur le dos, la tête pendant du lit les bras autour, les yeux fermés. Je reviens vers elle et posa mon sexe sur sa bouche qui s’ouvrit à son contact, mais je l’ai surprise en m’enfonçant le plus loin possible et en saisissant ces poignets que je ligotais ensemble avec la ceinture, j’entamais une baisse de sa bouche bien profonde en malaxant sa poitrine d’une main et caressant sa chatte de l’autre.
Elle tenta de résister mais mes caresses et mon sexe enfoncé dans sa bouche eurent raison d’elle, je l’entendais prendre du plaisir et moi aussi.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je quitta sa bouche et je la relevais en la poussant sur le dos, je relevais ces jambes et je me jetais sur sa culotte trempé pour lui retirer avant de lécher et d’introduire deux doigts en même temps, ces mains se posèrent sur ma tête et saisirent mes cheveux.
Elle prit encore du plaisir et elle ruisselait de désir, ne tenant plus, je m’introduisit en elle et lui enfonça des doigts dans la bouche, qu’elle lécha goulument. Je me mis à baiser ma Maitresse comme elle le voulait, bestialement.
Ces mains s’agripper à la tête de lit et parfois elle me lança un regard noir pendant que je la baisais
- Vous vouliez quelque chose de bestial, Madame. Je ne fais que vous donnez ce que vous souhaitez.
- T’as intérêt à me baiser bien à fond alors.
Je redoublais d’efforts dans mes vas et vient, elle hurla de plaisir, « encore », « vas-y », « oh oui » m’encouragèrent encore plus.
Puis je calmais le jeu en donnant de puissants coup de reins bien profonds, cela semblait bien lui plaire vu l’expression qu’arborait son visage.
Je l’ai retourné en levrette et je me suis réintroduit en elle, agrippant ces cheveux et tirant sa tête en arrière, je la baisais comme une salope, j’étais aux portes du plaisir mais je voulais faire durer.
- Oh oui, prends moi bien comme une chienne.
- Vous aimez être prise ainsi Madame.
- Hum, Ah, oui j’adore, je la… Aaaah, sens bien profond … AAH ta grosse queue.
- Alors je vais encore vous baiser un peu ainsi Maitresse.
Je grognais de plaisir en bourrant (pas d’autres mots) la chatte de ma Maitresse adoré. Elle prenait un pied terrible et après plusieurs minutes de ce traitement, elle s’arc-bouta et hurla son orgasme, elle s’effondra sur le lit.
Je continuais de me branler au cas où elle voudrait encore que je m’occupe d’elle.
À moitié dans les vapes, elle se tourna vers moi et en défaisant la ceinture qui reliai ces poignets :
- Tu as bien mérité de jouir après une telle baise.
- Merci, pourrais-je demander à jouir entre vos seins Maitresse.
- Tout ce que tu veux.
Je descendis du lit et elle me suivi à genoux, pris mon sexe entre ces seins et les comprima.
Je me branlais énergiquement, Madame m’aidant un peu par des encouragements :
- Allez, jouis pour ta Maitresse, tu l’as bien honoré.
- AAH, Maitresse, c’est si bon entre vos seins… AAH
Je jouissais enfin en poussant un cri bestial mais libérateur, de longues giclées volèrent sur la mémorable poitrine de Madame. Elle récupéra tout de ces doigts et les lécha avec appétit.
- Merci pour cette baise mémorable mon cher soumis.
- Merci à vous aussi Maitresse, j’espère avoir été à la hauteur de vos attentes.
Je l’aida à se remettre sur pieds et nous nous sommes allongés sur le lit en nous enlaçant. Puis elle me demanda de l’honorer, elle portait toujours les bas et le Porte-jarretelle ainsi que ces escarpins, pour mon plus grand plaisir, j’embrassais ces chaussures et jambes, je sentis sa main sur mes cheveux me caresser.
Après avoir récupérer, je partis me rincer à la salle de bain et en revenant Madame était sur le bord du lit elle portait ma chemise à moitié sur ces épaules et je me mis à genoux devant elle-même, ces talons venant contre mon corps.
- Tu te sens prêt pour un deuxième round.
- Je pense que oui, Maitresse.
Elle me montra mon collier qu’elle me mit puis des entraves de poignets et chevilles avant de me jeter sur le lit en me mettant sur le dos. Mes poignets furent attachés à la tête de lit et mes jambe au pied de lit, elle m’équipa d’un coc-ring pour que je bande bien fort puis d’un bandeau.
J’ai eu droit à une fellation d’enfer pour me mettre d’aplomb, ne pouvant rien voir, je n’avais que les sensations puis je sentis du mouvement et Madame s’empala sur mon sexe maintenant à nouveau bien dur. Ces talons sur mes cuisses, le contact électrisant des bas sur mes hanches. Soudain, je sentis quelques chose poussé contre mon sexe, Madame m’avoua s’enfiler un gode anal en même temps. Mon sexe était un peu plus comprimé dans son fourreau de chair si doux.
Elle était insatiable décidément, ce fut un rodéo sur ma queue, je grognais de plaisir, Madame joue avec mes poils, mes tétons, me mordilla, griffa, pinça et m’embrassa aussi.
Je sentais son déhanché endiablé et ces cris de jouissance. Soudain, elle ris appuie sur mon torse et se figea avant de jouir, je sentis son vagin se contracté, ce qui m’excita énormément.
Madame me quitta pour s’étendre à côté de moi, sa main sur mon sexe qu’elle branlait, m’annonçant que ça allait être à mon tour. Je fus libéré de mes entraves et du masque, Madame assise sur le bord de lit, m’attendait.
Je me glissais à ces genoux et elle désigna ces chaussures. Je mis mon sexe entre et Madame me branla très efficacement de ces Louboutins, leur contact et le regard de Madame eurent raison de moi assez vite. J’ai à nouveau jouit mais mon cri fut plus euphorisant qu’avant.
J’ai nettoyez ces escarpins puis elle me guida à la douche que nous primes ensemble avant de retourner dans la chambre. Madame et moi nous fîmes un massage aux huiles essentielles relaxant. Puis Madame pris des cordes et me ligota les mains à l’un des anneaux, et fit pareil avec les jambes, me remis mon rosebud et un masque.
- Fais de beaux rêves mon petit soumis, on s’amusera encore demain tous les deux.
Elle me déposa un baiser sur la joue et rigola en se retournant pour éteindre.
Je ne m’attendais pas à cela, mais peu importe, cette journée fut un vraie délice en sa compagnie.
Je vous aime Maitresse.
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