Mal aimée suite
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mal aimée suite
« Mal aimée suite »
Ils étaient allongés côte à côte, main dans la main. Une heure avait passé, que le temps passe vite ! Lydie avait ouvert les yeux, rougis par les larmes déversées, non qu’elle soit triste, mais elle éprouvait, pour la première fois, tant de bonheur. Elle repensait à son passé, si triste et si consternant.
Un premier compagnon, violant et alcoolique dénué de tendresse et d’attention puis, un second trop occupé par les tâches harassantes de la ferme. Oh lui, il aurait pu, s’il avait su. Mais Robert ne connaissait que le travail. Les loisirs, ce n’est pas pour nous, c’est pour les citadins répétait-il. Et puis, qui ferait manger le peuple, bredouillait-il ? Un devoir national, lui avait dit ses parents, en reprenant l’exploitation, tu seras libre et heureux.
Il te faut une femme, avait surenchéri son père, une bonne épouse qui te donnera des enfants et surtout un garçon, pour qu’il porte ton nom et reprenne la relève et ainsi conserver le domaine. Voilà la ligne directrice donnée à Robert. Il respectait ses parents et leurs conseils. C’est à la fête du village, qu’il fit la connaissance de Lydie. Elle était seule, assise, pendant que son copain était accroché au bar de la buvette. Des mètres de bière devant lui. Il chancelait, vociférait et de fait, délaissait sa belle. Ivre mort, comme souvent, comme toujoursParfois ils rentraient ensemble, arrivés à la maison, il voulait baiser mais il était tellement saoul qu’il ne pouvait bander. Alors, il voulait qu’elle le suce. Elle s’affairait à le satisfaire, elle le branlait, se forçait à le sucer, enfin elle le tétait, comme les veaux de la ferme, sa bite sentait l’urine, tout pour vous dégouter. Il s’énervait, car sa bite restait molle. Il lui reprochait de ne pas savoir. Il devenait violent, il la faisait mettre en levrette et la doigtait violemment, simulant le coït, sans préparation, il se branlait mais ne bandait toujours pas. Les insultes pleuvaient, les claques sur les fesses, donnés par son pseudo amant, lui faisaient mal, il se prenait sûrement pour un hardeur, se comparant aux acteurs vus dans les films pornographiques, qu’il affectionnait et visionnait fréquemment.
Lorsque qu’il arrivait à bander, il la sodomisait, brusquement et soudainement. Lydie avait mal, très mal. Aucun plaisir avec cette brute. Les fissures anales provoquées par ces assauts bestiales, la faisaient souffrir, elle se soignait comme elle le pouvait. Elle avait trouvé sur le net, une pommade et des suppositoires, elle les avait achetés discrètement. Son calvaire dura 6 mois, jusqu’à cette fête nationale du 14 juillet.
Lorsque Robert aborda Lydie pour la première fois, il s’était montré gentil, attentionné, poli, propre sur lui et surtout sobre. Une première danse, une deuxième et un slow. Robert était patient. En fin de soirée, il raccompagna sa cavalière. Il ne s’était rien passé. Robert avait envie mais, on lui avait dit de ne pas allez trop vite avec les filles, qu’il fallait les faire languir. L’ivrogne avait été emmené en dégrisement par les Gendarmes locaux, qu’il avait insultés et tenté de cogner. A son attitude, les forces de l’ordre n’ont pas discuté, menotté et direction l’hôpital, pour un certificat de non admission pour dégriser en cellule ad-hoc.
Ensuite, Robert et Lydie s’étaient confiés, ils avait projeté de vivre ensemble, du moins essayer. Car Robert considère les femmes comme un tracteur, il faut d’abord voir, si ça fonctionne. Encore les vérités de son père… ! Donc, ils se sont mis ensemble, en concubinage. Lydie fuyait sa vie misérable et Robert tentait de créer une famille.
La première fois qu’ils ont fait l’amour, enfin, si on peut appeler ça comme cela, c’était dans la voiture de Robert. Pour la énième fois, il l’avait accompagnée pour faire des courses et comme son compagnon était plus souvent au bar qu’à la maison, elle a cédé aux avances de Robert.
Il l’a d’abord embrassé grossièrement, posant sa bouche sur la sienne. Il lui barbouillait la bouche, à l’instar de ce qu’il avait pu entrevoir dans certains films, dit « cochon », comme le disait le vieux. Ensuite, il lui a touché un peu les nichons, mais pas longtemps, puis il avait débouclé son ceinturon, déboutonné son pantalon, mis le siège passager en position couchette, Il a baissé son slip kangourou. Robert, trop pressé, a écarté la petite culotte de Lydie, Il cherchait le trou dans tous ces poils. Il faut qu’il se dépêche, il va cracher la purée. Il faut que je la saute, se disait-il, sinon, je vais passer pour un blaireau. Aucun préservatif, aucun préliminaire, directement dans la chatte. Il a enfin trouvé la fente, c’était sec là dedans, Il a retiré sa queue, presque aussi vite qu’il l’avait enfoncée, pour déverser sa semence sur les cuisses de Lydie le tout, dans un grognement animal.
- Ca va, osa t-il lui demander ?
- Ca va, répondit timidement Lydie…IL avait tout prévu, il tendit un rouleau de papier toilette, pour qu’ils s’essuient et fassent disparaître, les traces de leur acte manqué. Pathétique !
Robert était gentil, pas violent. Il n’était pas doué pour les galipettes mais, Lydie n’avait plus mal et il ne lui touchait pas l’anus, si douloureux après les sodomies violentes de son ex petit ami. C’est comme ça que tout a commencé avec Robert et puis, il y avait un toit, une certaine liberté laissée par ses absences. Enfin, l’Amour, ça doit être cela. N’ayant eu aucun repère, ni éducation en ce sens, Lydie acceptait sa condition, parfois même, elle se disait « être heureuse ».
Mike, s’est penché vers Lydie, lui a déposé un baisé très tendre sur la joue. Il lui caressa le visage du revers de la main. Lydie lui souriait, lui retournant sa tendresse. Puis ils prirent une douche. Ils se sont savonnés, caressés, rincés, embrassés. Lydie était heureuse, ça se voyait, Mike faisait tout pour qu’elle le soit. Alors Mike parcourait de ses mains et sa bouche, le corps de Lydie, La main de son hôte, hésitante et tremblante, se dirigea vers le ventre de Mike. Elle s’arrêta là, comme paralysée.
Elle s’agenouilla, prit la bite ramollie de son amant et la porta à sa bouche. Timidement, dans un premier temps, elle n’enfournait que le gland, maladroitement et tentait de le branler, trop tendue pour être efficace. Alors Mike, avec douceur la guida, lui donna la cadence, l’amplitude, les variations de rythme. Il poussa lentement sa queue sur sa langue sortie pour atteindre le fond de sa gorge, un haut le cœur se produisit. Il n’insista pas, il prit sa main pour qu’elle lui malaxe les bourses, lentement, délicatement avec passion. Elle continuait ses sucions sur le gland et Mike lui demanda d’utiliser son bout de langue en insistant sur le frein du prépuce. Cette bite sentait bon et n’avait pas le goût âpre de son ex. Lydie progressait et prenait goût. Sans contrainte ni brutalité. Mike miaulait, faisait durer ce supplice, si délicieux. Il grognait, il râlait, il soufflait, l’acmé arrivait, son corps se raidit, ses muscles se crispèrent, tête en arrière, ses mains sur la tête de Lydie. Il ne voulait pas lui souiller la bouche !
Mike retira son phallus et éjacula en se branlant sévèrement. Son sperme giclait sur le sol de la salle de bain. Contre toute attente, Lydie saisit le membre de Mike, pour l’aspirer, le lécher, l’embrasser et l’engloutir de nouveau, avec ses deux mains, goulument, sa bouche pleine de cette chaire qui ramollissait, en cette période réfractaire. Mike adorait et il allait lui faire savoir. Il la coucha sur la grande sortie de bain, se plaça entre ses jambes pour lui pratiquer un cunnilingus, il le lui devait bien.
Il commençait doucement, les grandes lèvres de Lydie étaient déjà grandes ouvertes, conséquence de la fellation. Sa chatte coulait, elle dégoulinait de jus. Mike, la dégustait lentement, plaçait ses deux mains sous ses fesses pour pouvoir fouiller sa fente et ce, plus profondément, il la bouleversait de sa langue, il butinait ses petites lèvres et tortillait son clitoris. Il cherchait son méat, du bout de son mollusque, il le persécutait. Il tenta de coulisser sa langue vers l’anus de Lydie mais, elle se raidit et resserra les cuisses sur sa tête. Il avait compris, elle ne voulait pas, pas maintenant. Pour elle, cet endroit était trop douloureux, pour qu’elle accepte un anulingus. Mike était doux mais, c’était trop tôt. Elle ne supportait plus d’être touchée à cet endroit. Ses mauvaises expériences passées ont laissé des traces dans sa mémoire. Souhaitons-lui qu’elles disparaissent.
Mike changea de stratégie, il prit son index, l’enfonça délicieusement dans le vagin, il coulissait très facilement. Il y ajouta son majeur, juxtaposé à l’autre doigt, il naviguait maintenant dans ce trou gorgé de nectar et luisant, très lentement, il la travaillait méthodiquement, avec malice et complicité. Il cherchait ce fameux point « G », tant convoité. Il le trouva grâce à la réaction de Lydie. Elle se cambra, échappa des : ooooohhhhhhooooo, hummmmmm !!!!, assourdissants, son bassin se souleva, ses doigts se tourmentèrent sur la descente de bain. Sa tête dodelinait de gauche à droite, ses yeux se révulsaient. Lydie finit par jouir, elle expulsa un liquide blanchâtre inodore de son sexe, en pleine face de Mike, qui s’écarta. Elle giclait, Mike lui frottait énergiquement le clito, sa chatte grande ouverte, son cul faisait saillie, comme si elle allait déféquer, Mike souriait de la voir dans cette état, elle avait lâché prise et c’était le but.
- Et en plus, femme fontaine, s’esclaffa Mike, ouhaou quel pied !!!
- Je suis désolée, rétorqua Lydie confuse, elle n’avait jamais cette sorte d’envie d’uriner en jouissant.
- Au contraire, j’en suis ravi, ne t’inquiète surtout pas, c’est un phénomène rare et ça n’a rien à voir avec l’urine, c’est naturel, riait Mike - Lydie était prise de convulsions nerveuses, son corps entier était secoué, ses jambes tremblaient. Lydie avait joui, tout simplement. Mike avait repris ses esprits. Il s’est approché de sa maîtresse et lui susurra à l’oreille : - Il nous reste 12h00, que comptes-tu faire ?
- Récupérer et si tu le veux, … recommencer.
- Tu es insatiable !
- Non, mais j’ai perdu trop de temps, jusqu’à ce jour. Je voudrais revivre ce que je viens de découvrir, souffla t- elle, en déposant un doux baiser sur la joue de Mike.
Lydie avait, grâce à Mike, découvert le plaisir. Un plaisir intense, long et incontrôlé. Elle s’était lâchée, elle avait crié, gémi. Son clitoris, vibrait encore, son ventre fourmillait sourdement. Elle ressentait une fatigue concomitante à une euphorie évidente. Elle croisait les jambes, comme pour garder le souvenir de ses orgasmes.
Ils prirent une collation, un bain, suivit une bonne et longue sieste. Ils firent l’amour plusieurs fois, simplement, sans artifice, ni jeu sexuel hors des sentiers battus. Les coïts se sont enchaînés. Lydie a découvert des positions académiques mais pas acrobatiques. Il la prenait, elle s’offrait. Il lui donnait du plaisir, elle le lui rendait. Toujours dans le respect mutuel et la considération de l’autre.
Lydie a appris beaucoup au cours de ce rendez vous ou « plan Q », elle va repartir avec des étoiles dans la tête. Elle va retrouver Robert, Aramis et Pulco, les beaux-parents. Rien de bien joyeux mais, elle saura maintenant se donner du plaisir, seule ! Elle saura utiliser ses doigts, peut-être investira t-elle dans un sexetoy ? Ou encore, ira-t-elle rendre visite discrètement à Mike? … .
Ca fera peut-être l’objet d’une autre histoire.
Toutes ressemblances avec des faits vécus sont fortuits, il ne sont que le fruit de mon imagination, quoi que ? !….
Ils étaient allongés côte à côte, main dans la main. Une heure avait passé, que le temps passe vite ! Lydie avait ouvert les yeux, rougis par les larmes déversées, non qu’elle soit triste, mais elle éprouvait, pour la première fois, tant de bonheur. Elle repensait à son passé, si triste et si consternant.
Un premier compagnon, violant et alcoolique dénué de tendresse et d’attention puis, un second trop occupé par les tâches harassantes de la ferme. Oh lui, il aurait pu, s’il avait su. Mais Robert ne connaissait que le travail. Les loisirs, ce n’est pas pour nous, c’est pour les citadins répétait-il. Et puis, qui ferait manger le peuple, bredouillait-il ? Un devoir national, lui avait dit ses parents, en reprenant l’exploitation, tu seras libre et heureux.
Il te faut une femme, avait surenchéri son père, une bonne épouse qui te donnera des enfants et surtout un garçon, pour qu’il porte ton nom et reprenne la relève et ainsi conserver le domaine. Voilà la ligne directrice donnée à Robert. Il respectait ses parents et leurs conseils. C’est à la fête du village, qu’il fit la connaissance de Lydie. Elle était seule, assise, pendant que son copain était accroché au bar de la buvette. Des mètres de bière devant lui. Il chancelait, vociférait et de fait, délaissait sa belle. Ivre mort, comme souvent, comme toujoursParfois ils rentraient ensemble, arrivés à la maison, il voulait baiser mais il était tellement saoul qu’il ne pouvait bander. Alors, il voulait qu’elle le suce. Elle s’affairait à le satisfaire, elle le branlait, se forçait à le sucer, enfin elle le tétait, comme les veaux de la ferme, sa bite sentait l’urine, tout pour vous dégouter. Il s’énervait, car sa bite restait molle. Il lui reprochait de ne pas savoir. Il devenait violent, il la faisait mettre en levrette et la doigtait violemment, simulant le coït, sans préparation, il se branlait mais ne bandait toujours pas. Les insultes pleuvaient, les claques sur les fesses, donnés par son pseudo amant, lui faisaient mal, il se prenait sûrement pour un hardeur, se comparant aux acteurs vus dans les films pornographiques, qu’il affectionnait et visionnait fréquemment.
Lorsque qu’il arrivait à bander, il la sodomisait, brusquement et soudainement. Lydie avait mal, très mal. Aucun plaisir avec cette brute. Les fissures anales provoquées par ces assauts bestiales, la faisaient souffrir, elle se soignait comme elle le pouvait. Elle avait trouvé sur le net, une pommade et des suppositoires, elle les avait achetés discrètement. Son calvaire dura 6 mois, jusqu’à cette fête nationale du 14 juillet.
Lorsque Robert aborda Lydie pour la première fois, il s’était montré gentil, attentionné, poli, propre sur lui et surtout sobre. Une première danse, une deuxième et un slow. Robert était patient. En fin de soirée, il raccompagna sa cavalière. Il ne s’était rien passé. Robert avait envie mais, on lui avait dit de ne pas allez trop vite avec les filles, qu’il fallait les faire languir. L’ivrogne avait été emmené en dégrisement par les Gendarmes locaux, qu’il avait insultés et tenté de cogner. A son attitude, les forces de l’ordre n’ont pas discuté, menotté et direction l’hôpital, pour un certificat de non admission pour dégriser en cellule ad-hoc.
Ensuite, Robert et Lydie s’étaient confiés, ils avait projeté de vivre ensemble, du moins essayer. Car Robert considère les femmes comme un tracteur, il faut d’abord voir, si ça fonctionne. Encore les vérités de son père… ! Donc, ils se sont mis ensemble, en concubinage. Lydie fuyait sa vie misérable et Robert tentait de créer une famille.
La première fois qu’ils ont fait l’amour, enfin, si on peut appeler ça comme cela, c’était dans la voiture de Robert. Pour la énième fois, il l’avait accompagnée pour faire des courses et comme son compagnon était plus souvent au bar qu’à la maison, elle a cédé aux avances de Robert.
Il l’a d’abord embrassé grossièrement, posant sa bouche sur la sienne. Il lui barbouillait la bouche, à l’instar de ce qu’il avait pu entrevoir dans certains films, dit « cochon », comme le disait le vieux. Ensuite, il lui a touché un peu les nichons, mais pas longtemps, puis il avait débouclé son ceinturon, déboutonné son pantalon, mis le siège passager en position couchette, Il a baissé son slip kangourou. Robert, trop pressé, a écarté la petite culotte de Lydie, Il cherchait le trou dans tous ces poils. Il faut qu’il se dépêche, il va cracher la purée. Il faut que je la saute, se disait-il, sinon, je vais passer pour un blaireau. Aucun préservatif, aucun préliminaire, directement dans la chatte. Il a enfin trouvé la fente, c’était sec là dedans, Il a retiré sa queue, presque aussi vite qu’il l’avait enfoncée, pour déverser sa semence sur les cuisses de Lydie le tout, dans un grognement animal.
- Ca va, osa t-il lui demander ?
- Ca va, répondit timidement Lydie…IL avait tout prévu, il tendit un rouleau de papier toilette, pour qu’ils s’essuient et fassent disparaître, les traces de leur acte manqué. Pathétique !
Robert était gentil, pas violent. Il n’était pas doué pour les galipettes mais, Lydie n’avait plus mal et il ne lui touchait pas l’anus, si douloureux après les sodomies violentes de son ex petit ami. C’est comme ça que tout a commencé avec Robert et puis, il y avait un toit, une certaine liberté laissée par ses absences. Enfin, l’Amour, ça doit être cela. N’ayant eu aucun repère, ni éducation en ce sens, Lydie acceptait sa condition, parfois même, elle se disait « être heureuse ».
Mike, s’est penché vers Lydie, lui a déposé un baisé très tendre sur la joue. Il lui caressa le visage du revers de la main. Lydie lui souriait, lui retournant sa tendresse. Puis ils prirent une douche. Ils se sont savonnés, caressés, rincés, embrassés. Lydie était heureuse, ça se voyait, Mike faisait tout pour qu’elle le soit. Alors Mike parcourait de ses mains et sa bouche, le corps de Lydie, La main de son hôte, hésitante et tremblante, se dirigea vers le ventre de Mike. Elle s’arrêta là, comme paralysée.
Elle s’agenouilla, prit la bite ramollie de son amant et la porta à sa bouche. Timidement, dans un premier temps, elle n’enfournait que le gland, maladroitement et tentait de le branler, trop tendue pour être efficace. Alors Mike, avec douceur la guida, lui donna la cadence, l’amplitude, les variations de rythme. Il poussa lentement sa queue sur sa langue sortie pour atteindre le fond de sa gorge, un haut le cœur se produisit. Il n’insista pas, il prit sa main pour qu’elle lui malaxe les bourses, lentement, délicatement avec passion. Elle continuait ses sucions sur le gland et Mike lui demanda d’utiliser son bout de langue en insistant sur le frein du prépuce. Cette bite sentait bon et n’avait pas le goût âpre de son ex. Lydie progressait et prenait goût. Sans contrainte ni brutalité. Mike miaulait, faisait durer ce supplice, si délicieux. Il grognait, il râlait, il soufflait, l’acmé arrivait, son corps se raidit, ses muscles se crispèrent, tête en arrière, ses mains sur la tête de Lydie. Il ne voulait pas lui souiller la bouche !
Mike retira son phallus et éjacula en se branlant sévèrement. Son sperme giclait sur le sol de la salle de bain. Contre toute attente, Lydie saisit le membre de Mike, pour l’aspirer, le lécher, l’embrasser et l’engloutir de nouveau, avec ses deux mains, goulument, sa bouche pleine de cette chaire qui ramollissait, en cette période réfractaire. Mike adorait et il allait lui faire savoir. Il la coucha sur la grande sortie de bain, se plaça entre ses jambes pour lui pratiquer un cunnilingus, il le lui devait bien.
Il commençait doucement, les grandes lèvres de Lydie étaient déjà grandes ouvertes, conséquence de la fellation. Sa chatte coulait, elle dégoulinait de jus. Mike, la dégustait lentement, plaçait ses deux mains sous ses fesses pour pouvoir fouiller sa fente et ce, plus profondément, il la bouleversait de sa langue, il butinait ses petites lèvres et tortillait son clitoris. Il cherchait son méat, du bout de son mollusque, il le persécutait. Il tenta de coulisser sa langue vers l’anus de Lydie mais, elle se raidit et resserra les cuisses sur sa tête. Il avait compris, elle ne voulait pas, pas maintenant. Pour elle, cet endroit était trop douloureux, pour qu’elle accepte un anulingus. Mike était doux mais, c’était trop tôt. Elle ne supportait plus d’être touchée à cet endroit. Ses mauvaises expériences passées ont laissé des traces dans sa mémoire. Souhaitons-lui qu’elles disparaissent.
Mike changea de stratégie, il prit son index, l’enfonça délicieusement dans le vagin, il coulissait très facilement. Il y ajouta son majeur, juxtaposé à l’autre doigt, il naviguait maintenant dans ce trou gorgé de nectar et luisant, très lentement, il la travaillait méthodiquement, avec malice et complicité. Il cherchait ce fameux point « G », tant convoité. Il le trouva grâce à la réaction de Lydie. Elle se cambra, échappa des : ooooohhhhhhooooo, hummmmmm !!!!, assourdissants, son bassin se souleva, ses doigts se tourmentèrent sur la descente de bain. Sa tête dodelinait de gauche à droite, ses yeux se révulsaient. Lydie finit par jouir, elle expulsa un liquide blanchâtre inodore de son sexe, en pleine face de Mike, qui s’écarta. Elle giclait, Mike lui frottait énergiquement le clito, sa chatte grande ouverte, son cul faisait saillie, comme si elle allait déféquer, Mike souriait de la voir dans cette état, elle avait lâché prise et c’était le but.
- Et en plus, femme fontaine, s’esclaffa Mike, ouhaou quel pied !!!
- Je suis désolée, rétorqua Lydie confuse, elle n’avait jamais cette sorte d’envie d’uriner en jouissant.
- Au contraire, j’en suis ravi, ne t’inquiète surtout pas, c’est un phénomène rare et ça n’a rien à voir avec l’urine, c’est naturel, riait Mike - Lydie était prise de convulsions nerveuses, son corps entier était secoué, ses jambes tremblaient. Lydie avait joui, tout simplement. Mike avait repris ses esprits. Il s’est approché de sa maîtresse et lui susurra à l’oreille : - Il nous reste 12h00, que comptes-tu faire ?
- Récupérer et si tu le veux, … recommencer.
- Tu es insatiable !
- Non, mais j’ai perdu trop de temps, jusqu’à ce jour. Je voudrais revivre ce que je viens de découvrir, souffla t- elle, en déposant un doux baiser sur la joue de Mike.
Lydie avait, grâce à Mike, découvert le plaisir. Un plaisir intense, long et incontrôlé. Elle s’était lâchée, elle avait crié, gémi. Son clitoris, vibrait encore, son ventre fourmillait sourdement. Elle ressentait une fatigue concomitante à une euphorie évidente. Elle croisait les jambes, comme pour garder le souvenir de ses orgasmes.
Ils prirent une collation, un bain, suivit une bonne et longue sieste. Ils firent l’amour plusieurs fois, simplement, sans artifice, ni jeu sexuel hors des sentiers battus. Les coïts se sont enchaînés. Lydie a découvert des positions académiques mais pas acrobatiques. Il la prenait, elle s’offrait. Il lui donnait du plaisir, elle le lui rendait. Toujours dans le respect mutuel et la considération de l’autre.
Lydie a appris beaucoup au cours de ce rendez vous ou « plan Q », elle va repartir avec des étoiles dans la tête. Elle va retrouver Robert, Aramis et Pulco, les beaux-parents. Rien de bien joyeux mais, elle saura maintenant se donner du plaisir, seule ! Elle saura utiliser ses doigts, peut-être investira t-elle dans un sexetoy ? Ou encore, ira-t-elle rendre visite discrètement à Mike? … .
Ca fera peut-être l’objet d’une autre histoire.
Toutes ressemblances avec des faits vécus sont fortuits, il ne sont que le fruit de mon imagination, quoi que ? !….
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