Mâle Alpha Prie en Chasse
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mâle Alpha Prie en Chasse
Ma semaine de travail interminable tirait à sa fin. Enfin, presque ! Car, je devais être à Boston pour un événement tôt le lendemain matin. Alors, je décidai de partir pour ma destination finale m’y loger pour la soirée. Je devais arriver vers les 19 heures au plus tard. J’en profiterais pour utiliser le service aux chambres et aller en boîte en soirée. Après une semaine éreintante sur la route, une pause serait bienvenue.
Pour tout dire, j’avais prévu finir la semaine dans cette ville, car j’y adorais la scène gay. D’ailleurs, je m’arrangeais pour que mes réunions d’affaires soient programmées les jeudis ou vendredis, tôt en matinée, pour que je puisse justifier un déplacement la journée auparavant ou un retour pendant le weekend. Chaque fois, j’en profitais pour aller prendre une bière là ou ça sent la testostérone, le cuir, le mâle.
Je pris un léger repas dans ma chambre livré par un garçon fort joli qui s’assura d’un service impeccable. Puis, je pris une douche et enfila mon pantalon de cuir noir bien serré et un t-shirt moulant avant de quitter ma chambre. Il était 22 heures. L’ascenseur m’amena dans le hall de l’hôtel où j’eus la nette impression qu’on m’observait. Hommes et femmes. Discrètement, comme si c’était la première fois qu’ils voyaient un mec en pantalon de cuir. Je me sentais sensuel sous ces regards lubriques et excité à la fois, car cela me confirmait que j’attirais les regards ainsi vêtu. Cela faisait présager une soirée bien occupée dans les bras de mecs virils. J’en bandait juste à y penser.
J’arrivai un peu tôt au bar pour un vendredi. Mais dès que j’y mis les pieds, je retrouvai cette atmosphère que j’adore. Des mecs portant du cuir ou des jeans seyants. En t-shirt. Parfois sans. Tatoués ou portant des piercings. De la bonne musique et des vidéos sur grands écrans. Une atmosphère de liberté et festive. Je me dirigeai vers le deuxième étage réservé exclusivement aux clients adeptes du cuir. Je souris au portier qui m’ouvrit l’accès sans attendre, et je montai. Il n’y avait pas foule. Alors, je m’assis au bar et commanda une bière.
Peu de temps après, un mec en cuir intégral, assez sexy vint rôder au bar et alla s’appuyer sur un mur et commença à me mater. Je lui lançai quelques regards pour lui communiquer mon ouverture. Je me disais qu’il s’approcherait en voyant que je lui donnais des signaux évidents. Le temps de prendre ma bière sur le comptoir et de relever les yeux, il était parti. Un peu surpris, je balayai la pièce. Il n’y était plus. Un autre mec s’approcha de moi pour m’inviter dans le backroom, mais je refusai de le suivre. Il ne me plaisait pas et j’étais décidé de retrouver le premier mec qui me matait. Je saluai le barman, fermement décidé à le prendre en chasse.
J’arpenta l’étage. La foule avait gonflée depuis mon arrivée. Le passage entre les clients était parfois ardu m’obligeant à mettre une main sur une hanche de l’un ou le dos de l’autre. Aussi, je reçus quelques attouchements bien sentis pendant la chasse. C’était à s’y attendre et fort agréable. Par contre, pas de visuel de mon adonis. Alors, je décidai d’aller sur la terrasse me disant que de toute façon le bar était bondé de mecs supers canons. Un de perdu, dix de retrouvés.
La soirée était chaude et humide. Plusieurs hommes s’y trouvaient torse nu luisant de sueur. Je me mis à faire le tour afin de me trouver une place où je pourrais mieux observer et être vu, lorsque je croisai le mec que je chassais. Il me regarda droit dans les yeux d’un regard soutenu comme un prédateur sur sa proie prise au piège. Je lui souris, car il s’avérait évident que j’étais à sa recherche. Il le savait. Il m’attendait. Il me sourit.
—Belle soirée !
—Oui, c’est une belle soirée d’été !
—Chaude ! rajouta-t-il.
Je lui souris de nouveau. Sa voix rauque et profonde me faisait fondre. Il faisait dans les 1m75, 75 kg, portait une barbe épaisse autour d’une bouche charnue aux lèvres rubis bien dessinées, une coupe undercut coiffée par l’arrière et avait la peau basanée. Il sortit une clope et me l’offrit. Il m’alluma et s’en prit une. Il tira sur sa cigarette en me dévisageant. Je fixais sa bouche qui enveloppait sa clope. Il baissa les yeux pour admirer la bosse qui se formait dans mon froc.
—C’est du néoprène ? demanda-t-il.
—Du cuir ! lui répondit-je.
—Sexy ! Très !
—Merci, répondit-je simplement.
Il me sourit, tira sur sa clope et aspira profondément. Je l’aurais suivi n’importe où tant qu’il m’excitait,
—Tu aimes quoi ? me dit-il
—Un mec comme toi. Viril.
—D’accord ! Mais encore ?
—J’aime baiser fougueusement, Me faire défoncer.
—T’as jamais fait des trucs ?
—Comme ?
—Comme porter un collier, obéir à un mec, te faire féconder sur un sling ?
—Pas vraiment !
—Tu aimerais essayer ? me demanda-t-il en prenant une bouffée.
Mon cœur battait d’effroi et d’excitation à l’idée. En attendant que je répondre, il enchaîna.
—Tu veux une bière ?
—D’accord.
—Suis-moi, on va aller au bar m’ordonna-t-il, voyant qu’il allait un peu vite avec ses questions. Il voulait que je me détende et discuter de la suite de la soirée.
On se fraya un chemin jusqu’à l’extrémité du bar. Il salua quelques mecs au passage qui me zieutèrent après l’avoir salué. Je me sentais comme un objet de convoitise. À l’approche du bar, il fit la bise à deux mecs tous aussi canons que lui. Ils lui demandèrent ce qu’il faisait ce soir. Il répondit par un coup d’œil vers l’arrière où j’étais resté, pointant vers sa prise. Ils comprirent et ouvrirent le cercle pour me saluer et faire les présentations. On s’approcha du bar, et il leur fit comprendre subtilement que sa proie ne serait pas partagée. Il me remit une bière. Puis on se retira dans un coin un peu moins achalandé et sombre.
—Tu me ferais quoi ? lui dis-je en brisant le silence.
—Fais-moi confiance. Je sais que c’est ta première fois. On ira lentement et on ne fera rien contre ton consentement.
—On va chez-toi ? Habites-tu loin d’ici ?
—Tu es du coin ?
—Non, je loge au Marriott.
—Alors, allons à l’hôtel ! me dit-il ravi de voir que j’étais partant.
Il gara sa voiture devant l’hôtel ne voulant pas retourner au bar la chercher à la fin de la soirée. On descendit ensemble après qu’il ait récupéré un sac dans le coffre.
—C’est quoi ce sac ?
—Les jouets pour s’amuser ! répondit-il.
Le portier nous ouvrit sourire en coin ayant clairement deviné ce que deux mecs en cuir allaient faire à cette heure si tardive. On prit l’ascenseur pour le 23e étage. Il laissa tomber le sac par terre, m’attrapa la bouche d’une main, me plaqua au mur de l’ascenseur et enfonça sa langue profondément. Il passa ses mains derrière et agrippa mes deux fesses pour me presser contre lui faisant fi de la caméra qui filmait. L’emprise était ferme, voire violente. Je me sentis assaillir. L’excitation monta d’un cran.
On entra dans la chambre. Il déposa son sac sur le bureau de travail. Tamisa la lumière de la pièce pendant que je le regardais s’installer. Il ouvrit le sac, prit quelques effets que je ne pouvais distinguer et les déposa sur le bureau. Il se tourna vers moi. Déboutonna deux boutons de sa chemise. Il s’approcha, passa sa main derrière ma tête pour y saisir ma nuque et saisi ma bite bien dessinée dans mon froc. Il la caressa pendant qu’il me fixait de son regard perçant. Puis, il déposa doucement ses délicieuses lèvres sur les miennes. Il les ouvrit de sa langue. Je la saisis de mes lèvres pour la sucer laissant échapper un gémissement. Il m’enlaça solidement et me serra contre lui en me dévorant la bouche et me palpant le dos et les fesses. J’étais conquis.
Il enleva sa chemise laissant prévoir que la séance commencerait bientôt. Il était peu velu, mais on pouvait y voir ces pecs, triceps et biceps bien gonflés et définis. Un délice pour les yeux. Sa queue pressait un jock en cuir et ses cuisses étaient galbées dans des jambières moulantes. Que du délices.
Il me dit de sniffer du popper, car j’en aurais sûrement besoin. Il me prit dans ses bras et me déposa en position assise sur le grand lit. Il m’enleva mon pantalon. Ma queue surgit comme un ressort et pointa dans les airs. Il l’attrapa et la suça sans ménagement. J’étais très près de lui éjaculer dans la bouche après moins de cinq minutes seulement tant que cette fellation était torride. Il ralentit son enthousiasme et sortit un lacet de cuir de je ne sais où. Il m’ouvrit bien grand les jambes. J’étais appuyé sur la tête du lit et le regardait faire. Il passa le lacet derrière mes bourses et le croisa à la naissance de ma verge. Puis serra. Mon pénis se gonfla. Mon gland devint rouge grenat. Il répéta la manœuvre et regarda ma réaction, moi bouche bée. Puis une troisième fois avant d’attacher fermement en place. Il me passa un collier au cou. Puis des bracelets au poignets. Il lécha un plug. Il se l’enfonça dans la bouche pour mieux le lubrifier avant de me l’insérer dans le fion. Mon corps convulsait sous ses assauts.
Il se pencha sur moi, me caressant doucement les mamelons, Mon corps se cambra de plaisir. Il me souffla à l’oreille qu’il m’attacherait les poignets à la tête du lit avant de me démonter. Je haletais et gémissais de plaisir. Chacun de ses gestes était programmé pour faire monter la tension sexuelle. Je sentais du liquide séminale me couler le long de la verge tant que j’étais excité sous l’emprise de cet adonis.
Lorsque je fus bien attaché à la tête du lit, il me passa la bouteille de popper sous le nez et m’installa un bâillon. Je gémis d’appréhension. J’allais me faire sodomiser solidement. Je le sentais.
Il sortit délicatement le plug de mon cul. Il le lécha de nouveau et sortit son énorme zob de sa coquille de cuir. Il était luisant de liquide séminale. Pas besoin de lubrifiant se dit-il. Il me leva les jambes pour les laisser choir sur ces larges épaules. Il appuya son gland sur mon fion. Força sans peine son entrée et se glissa tout d’un coup en moi. Je criai de plaisir et de douleur, et comprit pourquoi il m’avait bâillonné. Il comptait m’enculer rudement, me défoncer sans ménagement. Ce qu’il fit pendant de longues minutes. Ma bite gicla du sperme à force de me faire limer la prostate. Mon corps trembla de plaisir par cette pénétration puissante et rythmée. Puis, il m’enfonça trois ou quatre autres coups en gardant la position, sentant ses couilles sur mes fesses et ses mains sur mes hanches me tirer vers lui pour s’assurer de me pénétrer à fond. J’étais épuisé. Je le regardais dans les yeux le suppliant d’en finir, ce qu’il fit en s’affaissant sur moi, me caressant doucement, me bécotant le cou pendant qu’il m’emplissait de sperme.
Pour tout dire, j’avais prévu finir la semaine dans cette ville, car j’y adorais la scène gay. D’ailleurs, je m’arrangeais pour que mes réunions d’affaires soient programmées les jeudis ou vendredis, tôt en matinée, pour que je puisse justifier un déplacement la journée auparavant ou un retour pendant le weekend. Chaque fois, j’en profitais pour aller prendre une bière là ou ça sent la testostérone, le cuir, le mâle.
Je pris un léger repas dans ma chambre livré par un garçon fort joli qui s’assura d’un service impeccable. Puis, je pris une douche et enfila mon pantalon de cuir noir bien serré et un t-shirt moulant avant de quitter ma chambre. Il était 22 heures. L’ascenseur m’amena dans le hall de l’hôtel où j’eus la nette impression qu’on m’observait. Hommes et femmes. Discrètement, comme si c’était la première fois qu’ils voyaient un mec en pantalon de cuir. Je me sentais sensuel sous ces regards lubriques et excité à la fois, car cela me confirmait que j’attirais les regards ainsi vêtu. Cela faisait présager une soirée bien occupée dans les bras de mecs virils. J’en bandait juste à y penser.
J’arrivai un peu tôt au bar pour un vendredi. Mais dès que j’y mis les pieds, je retrouvai cette atmosphère que j’adore. Des mecs portant du cuir ou des jeans seyants. En t-shirt. Parfois sans. Tatoués ou portant des piercings. De la bonne musique et des vidéos sur grands écrans. Une atmosphère de liberté et festive. Je me dirigeai vers le deuxième étage réservé exclusivement aux clients adeptes du cuir. Je souris au portier qui m’ouvrit l’accès sans attendre, et je montai. Il n’y avait pas foule. Alors, je m’assis au bar et commanda une bière.
Peu de temps après, un mec en cuir intégral, assez sexy vint rôder au bar et alla s’appuyer sur un mur et commença à me mater. Je lui lançai quelques regards pour lui communiquer mon ouverture. Je me disais qu’il s’approcherait en voyant que je lui donnais des signaux évidents. Le temps de prendre ma bière sur le comptoir et de relever les yeux, il était parti. Un peu surpris, je balayai la pièce. Il n’y était plus. Un autre mec s’approcha de moi pour m’inviter dans le backroom, mais je refusai de le suivre. Il ne me plaisait pas et j’étais décidé de retrouver le premier mec qui me matait. Je saluai le barman, fermement décidé à le prendre en chasse.
J’arpenta l’étage. La foule avait gonflée depuis mon arrivée. Le passage entre les clients était parfois ardu m’obligeant à mettre une main sur une hanche de l’un ou le dos de l’autre. Aussi, je reçus quelques attouchements bien sentis pendant la chasse. C’était à s’y attendre et fort agréable. Par contre, pas de visuel de mon adonis. Alors, je décidai d’aller sur la terrasse me disant que de toute façon le bar était bondé de mecs supers canons. Un de perdu, dix de retrouvés.
La soirée était chaude et humide. Plusieurs hommes s’y trouvaient torse nu luisant de sueur. Je me mis à faire le tour afin de me trouver une place où je pourrais mieux observer et être vu, lorsque je croisai le mec que je chassais. Il me regarda droit dans les yeux d’un regard soutenu comme un prédateur sur sa proie prise au piège. Je lui souris, car il s’avérait évident que j’étais à sa recherche. Il le savait. Il m’attendait. Il me sourit.
—Belle soirée !
—Oui, c’est une belle soirée d’été !
—Chaude ! rajouta-t-il.
Je lui souris de nouveau. Sa voix rauque et profonde me faisait fondre. Il faisait dans les 1m75, 75 kg, portait une barbe épaisse autour d’une bouche charnue aux lèvres rubis bien dessinées, une coupe undercut coiffée par l’arrière et avait la peau basanée. Il sortit une clope et me l’offrit. Il m’alluma et s’en prit une. Il tira sur sa cigarette en me dévisageant. Je fixais sa bouche qui enveloppait sa clope. Il baissa les yeux pour admirer la bosse qui se formait dans mon froc.
—C’est du néoprène ? demanda-t-il.
—Du cuir ! lui répondit-je.
—Sexy ! Très !
—Merci, répondit-je simplement.
Il me sourit, tira sur sa clope et aspira profondément. Je l’aurais suivi n’importe où tant qu’il m’excitait,
—Tu aimes quoi ? me dit-il
—Un mec comme toi. Viril.
—D’accord ! Mais encore ?
—J’aime baiser fougueusement, Me faire défoncer.
—T’as jamais fait des trucs ?
—Comme ?
—Comme porter un collier, obéir à un mec, te faire féconder sur un sling ?
—Pas vraiment !
—Tu aimerais essayer ? me demanda-t-il en prenant une bouffée.
Mon cœur battait d’effroi et d’excitation à l’idée. En attendant que je répondre, il enchaîna.
—Tu veux une bière ?
—D’accord.
—Suis-moi, on va aller au bar m’ordonna-t-il, voyant qu’il allait un peu vite avec ses questions. Il voulait que je me détende et discuter de la suite de la soirée.
On se fraya un chemin jusqu’à l’extrémité du bar. Il salua quelques mecs au passage qui me zieutèrent après l’avoir salué. Je me sentais comme un objet de convoitise. À l’approche du bar, il fit la bise à deux mecs tous aussi canons que lui. Ils lui demandèrent ce qu’il faisait ce soir. Il répondit par un coup d’œil vers l’arrière où j’étais resté, pointant vers sa prise. Ils comprirent et ouvrirent le cercle pour me saluer et faire les présentations. On s’approcha du bar, et il leur fit comprendre subtilement que sa proie ne serait pas partagée. Il me remit une bière. Puis on se retira dans un coin un peu moins achalandé et sombre.
—Tu me ferais quoi ? lui dis-je en brisant le silence.
—Fais-moi confiance. Je sais que c’est ta première fois. On ira lentement et on ne fera rien contre ton consentement.
—On va chez-toi ? Habites-tu loin d’ici ?
—Tu es du coin ?
—Non, je loge au Marriott.
—Alors, allons à l’hôtel ! me dit-il ravi de voir que j’étais partant.
Il gara sa voiture devant l’hôtel ne voulant pas retourner au bar la chercher à la fin de la soirée. On descendit ensemble après qu’il ait récupéré un sac dans le coffre.
—C’est quoi ce sac ?
—Les jouets pour s’amuser ! répondit-il.
Le portier nous ouvrit sourire en coin ayant clairement deviné ce que deux mecs en cuir allaient faire à cette heure si tardive. On prit l’ascenseur pour le 23e étage. Il laissa tomber le sac par terre, m’attrapa la bouche d’une main, me plaqua au mur de l’ascenseur et enfonça sa langue profondément. Il passa ses mains derrière et agrippa mes deux fesses pour me presser contre lui faisant fi de la caméra qui filmait. L’emprise était ferme, voire violente. Je me sentis assaillir. L’excitation monta d’un cran.
On entra dans la chambre. Il déposa son sac sur le bureau de travail. Tamisa la lumière de la pièce pendant que je le regardais s’installer. Il ouvrit le sac, prit quelques effets que je ne pouvais distinguer et les déposa sur le bureau. Il se tourna vers moi. Déboutonna deux boutons de sa chemise. Il s’approcha, passa sa main derrière ma tête pour y saisir ma nuque et saisi ma bite bien dessinée dans mon froc. Il la caressa pendant qu’il me fixait de son regard perçant. Puis, il déposa doucement ses délicieuses lèvres sur les miennes. Il les ouvrit de sa langue. Je la saisis de mes lèvres pour la sucer laissant échapper un gémissement. Il m’enlaça solidement et me serra contre lui en me dévorant la bouche et me palpant le dos et les fesses. J’étais conquis.
Il enleva sa chemise laissant prévoir que la séance commencerait bientôt. Il était peu velu, mais on pouvait y voir ces pecs, triceps et biceps bien gonflés et définis. Un délice pour les yeux. Sa queue pressait un jock en cuir et ses cuisses étaient galbées dans des jambières moulantes. Que du délices.
Il me dit de sniffer du popper, car j’en aurais sûrement besoin. Il me prit dans ses bras et me déposa en position assise sur le grand lit. Il m’enleva mon pantalon. Ma queue surgit comme un ressort et pointa dans les airs. Il l’attrapa et la suça sans ménagement. J’étais très près de lui éjaculer dans la bouche après moins de cinq minutes seulement tant que cette fellation était torride. Il ralentit son enthousiasme et sortit un lacet de cuir de je ne sais où. Il m’ouvrit bien grand les jambes. J’étais appuyé sur la tête du lit et le regardait faire. Il passa le lacet derrière mes bourses et le croisa à la naissance de ma verge. Puis serra. Mon pénis se gonfla. Mon gland devint rouge grenat. Il répéta la manœuvre et regarda ma réaction, moi bouche bée. Puis une troisième fois avant d’attacher fermement en place. Il me passa un collier au cou. Puis des bracelets au poignets. Il lécha un plug. Il se l’enfonça dans la bouche pour mieux le lubrifier avant de me l’insérer dans le fion. Mon corps convulsait sous ses assauts.
Il se pencha sur moi, me caressant doucement les mamelons, Mon corps se cambra de plaisir. Il me souffla à l’oreille qu’il m’attacherait les poignets à la tête du lit avant de me démonter. Je haletais et gémissais de plaisir. Chacun de ses gestes était programmé pour faire monter la tension sexuelle. Je sentais du liquide séminale me couler le long de la verge tant que j’étais excité sous l’emprise de cet adonis.
Lorsque je fus bien attaché à la tête du lit, il me passa la bouteille de popper sous le nez et m’installa un bâillon. Je gémis d’appréhension. J’allais me faire sodomiser solidement. Je le sentais.
Il sortit délicatement le plug de mon cul. Il le lécha de nouveau et sortit son énorme zob de sa coquille de cuir. Il était luisant de liquide séminale. Pas besoin de lubrifiant se dit-il. Il me leva les jambes pour les laisser choir sur ces larges épaules. Il appuya son gland sur mon fion. Força sans peine son entrée et se glissa tout d’un coup en moi. Je criai de plaisir et de douleur, et comprit pourquoi il m’avait bâillonné. Il comptait m’enculer rudement, me défoncer sans ménagement. Ce qu’il fit pendant de longues minutes. Ma bite gicla du sperme à force de me faire limer la prostate. Mon corps trembla de plaisir par cette pénétration puissante et rythmée. Puis, il m’enfonça trois ou quatre autres coups en gardant la position, sentant ses couilles sur mes fesses et ses mains sur mes hanches me tirer vers lui pour s’assurer de me pénétrer à fond. J’étais épuisé. Je le regardais dans les yeux le suppliant d’en finir, ce qu’il fit en s’affaissant sur moi, me caressant doucement, me bécotant le cou pendant qu’il m’emplissait de sperme.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est super chaud. Quelques coquilles mais ça reste un récit bien excitant.