Malou
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Malou
J’habitais dans une résidence privée avec uniquement des villas. Nous nous connaissions presque tous. Mon boulot dans le magasin, situé de l’autre coté de la vile m’obligeait à partir de chez moi à des heures impossibles. J’ai réussi, par hasard à trouve un logement à deux minutes à pied. Je continuais à vivre comme avant, sauf que j’oubliais qu’en pleine ville le voisinage n’est pas le même. D’où je venais, j’avais pris l’habitude de me balader nue chez moi, sans que les voisins me voient.
Ce n’est qu’au bout de trois ou quatre jours que je remarquais qu’une fille en face me regardait souvent. Pour la première fois de ma vie je me trouvais impudique.
Je me suis reprise en ne me promenant plus dans la tenue d’Eve les fenêtres ouvertes. Le matin en partant travailler je croisais souvent la « voyeuse ». Elle me fixait, jusqu’au jour où je l’ai abordée.
- D’accord, j’aime me mettre nue chez moi. Pourquoi vous me surveillez ?
- Je ne vous espionnais pas: j’aime voir les belles choses et vous en faite partie.
- Merci. Vous savez comment je suis faite. Moi je ne vous connais pas-tu tout.
- Pour me voir, venez ce soit vers 20 heures. A propos je m’appelle Malou
Je me demande ce que cache cette invitation. Bof, je verrai bien ce soir. Je ne repense à elle qu’à l’heure dite.
Elle me reçoit en petite tenue: un simple peignoir de bain.
- Avez-vous mangé ?
- Non.
- Alors je vous invite.
La table est mise, il ne reste plus qu’à goûter sa cuisine. Elle a mis les petits plats dans les grands. Tous ce passe fort bien: nous bavardons sur elle, sur moi, sur la vie en général.
J ‘apprends ainsi qu’elle n’a pas de petit ami, qu’elle travaille à mi temps pas très bien payée. Elle cherche un autre travail pour mieux gagner sa vie et ne pas tirer la langue.
Ma vie est aussi plate que la sienne.
Elle me demande si nous ne pourrions pas être amies. Pourquoi pas?
Quelques semaines plus tard, Malou vient chez moi pour me demander un peu de sel. Je la fait entrer: il est l’heure du diner. Je la retiens pour le repas. Elle accepte volontiers et nous voila reparties vers de nouvelles confidences. Elle commence un nouveau job demain matin, presque à coté de mon magasin. Nous pouvons nous déplacer ensemble. Et bavarder: notre péché mignon à toutes les deux.
Nous n’échangeons plus de généralités. Nous bavardons de tout, même de ce que normalement on ne se dit pas. Elle me dit qu’elle aime se caresser le soir avant de dormir, comme moi. Son fantasmes: faire l’amour avec une autre fille. Comme moi. Sauf que pour baiser une fille est plus compliqué qu’on le croit.
J’ai en l’occasion de le faire au magasin quand une jeune femme essaye quelques sous vêtements dans une cabine mal fermées volontairement.
La dernière fois, la semaine dernière c’était une femme dans la trentaine qui me demandait de venir l’aider à passer un string !!! Elle ne cherchait qu’un main sur son sexe. Pour cela elle était nue, le string dans une main et les jambes déjà un peu écartées.
Sa tenue ou plutôt son manque de tenue indiquait son désir. Je venais vers elle, prenait le petit vêtement pour le laisser tomber, l’embrassais sur la bouche. Je sentais son corps se coller au mien. Quand je posais une main sur son bas ventre, elle levait ma jupe pour à son tour chercher ma chatte. Je ne porte jamais de sous vêtement, il lui était facile de mettre sa main sur mon bouton. Je résistais pour la forme puisque moi aussi j’avais ma main sur son sexe. Nous nous masturbions de concert. Après un bon quart d’heure de caresse elle et moi jouissions. Je sortait de la cabine: j’étais assez rouge. Un miroir en face de moi me le montrait assez. La cliente sortait de la cabine, habillée normalement avec le string:
- Il me plait assez, pourtant il me semble qu’il a une odeur de femme.
- Chez moi personne n’essaie de string sauf celle qui achète.
- C’est donc pour ça.
Quand elle partait je ne pouvais m’empêcher de rire.
Je racontais tout ça, sans malice à ma camarade Malou.
- Ainsi tu baise tes clientes, et moi ?
- J’avoue y avoir pensé, et je ne te l’ai jamais proposé.
- Tu as eu tort. Je viendrai ce soir chez toi nous passerons la nuit ensemble.
- Tu sais passer une nuit ensemble c’est long.
- Non, si on se donne du plaisir c’est court et de toutes façon demain nous ne travaillons pas.
Elle a raison, demain c’est jour de repos. Je me pose une foule question: comment être déshabillée en paraissant ne pas l’être, que me mettre comme sous vêtements, me parfumer ?
Je fait tout un cinéma autour de sa venue. Quand elle arrive je la trouve attifée normalement, avec son manteau. Nous nous faisons deux bises. Je sens le même parfum que le mien sous ses oreilles, sauf que le mien est à un endroit très intime. Nous n’attendons pas longtemps pour passer dans le séjour. Je l’invite à s’assoir dans un fauteuil pour m’assoir en face d’elle.
Pour être à l’aise, elle enlève son manteau. Si je me posais la question de ma vêture, la sienne est des plus simple: elle ne porte rien sous son manteau. Son corps est parfait, j’admire son visage ovale autour de ses longs cheveux châtains, sa poitrine relativement petite, ses hanches larges et son sexe bien visible sous son pubis glabre.
Je suis presque gênée de porter une mini et un t-shirt.
Quand elle se relève pour venir vers moi, je sais ce qu’elle va faire: ses lèvres sont sur les miennes rapidement. Sa langue vient en visite prolongée dans ma bouche. Elle soulève le t-shirt pour caresser mes seins. Je ne sais pas pour le reste, en tout cas sur mes seins, elle sait bien comment me faire plaisir. Elle ne fait pas un geste de travers, tout est parfait quand elle les caresses, surtout les mamelons. Sa bouche vient sur eux: elle en aspire un pour que sa langue le lèche: qu’elle bonne façon de me peloter.
Je ne perds pas de temps moi nous plus, même si je ne caresse pas ses seins comme elle me le fait! Je les ai mis sur mes mains comme pour le soupeser. Je caresse les pointes avec mon pouce. Je les fait bander un peu pour qu’ils rebondissent un peu. Nous sommes toujours dans un baiser maintenant c’est ma langue qui occupe sa bouche. Elle arrive à faire tomber ma jupe pour s’apercevoir que je suis comme elle: nue. Je sens le parfum que j’ai mis sur mon pubis qui remonte un peu. Elle doit le sentir aussi puisqu’elle abandonne le haut de mon corps pour s’accroupir un peu pour placer sa langue sur le peu de chatte qui apparait.
Je sens sa langue Malou lécher lentement le bouton qui du coup sort de sa protection. Elle arrive à ce que j’écarte légèrement les jambes pour qu’elle arrive à passer toute sa langue sur mon clito. Elle me lèche comme je ne l’ai jamais été. Je pose mes mains sur sa tête pour qu’elle ne parte surtout pas; qu’elle recommence aussitôt ma première jouissance. Je ne peux plus tenir debout. Je l’entraine sur mon fauteuil. Elle est maintenant assise sur le tapis, sa langue toujours sur moi. J’écarte les jambes pour les poser sur les accoudoirs du fauteuil. Ma moule est béante; elle peut me faire tout ce qu’elle veut.
Quand je jouis cette première fois, elle descend pour aller dans mon con ouvert. Sa langue n’hésite pas pour y entrer. Elle agit comme le ferai une bite. Ses vas et viens me donne un plaisir fou. Je croyais connaitre l’amour entre femmes: elle en connait bien plus que moi. Elle me fait jouit une autre fois.
Je veux à mon tour la sucer. Elle retourne dans son premier fauteuil, s’y installe comme moi.
Je ne sais exactement où elle voudrai que j’aille.
Je veux me montrer plus débauchée qu’elle. Je vais essayer d’inaugurer ma nouvelle façon de faire. J’embrasse le bas de ce que je vois avant de poser ma langue sur son anus. Je fais comme si je léchais son clitoris. Malou gémit:
- Oui, continue, c’est bon, te vas me faire jouir.
- T’en fais pas salope, je m’occupe de ton cul. Ton con se sera pour après quand tu aura joui.
- Ne parle pas trop, baises moi.
Je me remets à ma tâche: la faire jouir. Cette fois j’enfonce ma langue dans son cul. Elle en sursaute, ne s’attendant pas à un tel assaut. Je vais et viens dans son cul, qui s’ouvre comme il faut. Pour accentuer son plaisir je mets deux doigts dans son con.
- Oui, baises moi comme ça. Je vais jouir.
Je n’ai pas le temps de répondre. Je me suis fixé une tâche, je l’accomplie. J’ai raison de continuer et de ne pas répondre: je sens son anus avoir des spasmes: je les ressens autour de mes doigts: je l’ai faite jouir.
Elle met un temps fou à émerger après cet orgasme. Je suis presque sur elle, ma bouche sur la sienne, ma langue fouillant sa bouche.
Je suis mise de telle façon qu’elle peut me rendre au moins ne partie ce que je viens de lui donner; Je sens qu’elle entre deux doigts dans mon ventre et deux autres dans le cul. Je reste affalée sur elle tout le temps de sa caresse.
Je lui ai mis le feu au fesses. Elle me demande si j’ai un gode. J’en ai bien un vieux. Elle me dit qu’elle a un double chez elle.
Malou remet son manteau pour aller chercher ce quoi doit nous faire jouir. En attendant je fais chercher le mien. Je me remet dans mon siège, écarte les jambes, pose le bout sur l’entrée de mon vagin. Je me baise seule en l’attendant. Elle ne mets pas longtemps, en tout cas quand elle revient je sors mon gode: je viens juste de jouir.
Elle me montre le sien: deux bouts avec des glands bien imités avec des veines apparentes, de quoi bien jouir. Elle s’en sert seule pour se faire des doubles pénétrations. Je ne connais pas cette façon de jouir.
Elle me demande entre deux baisers de me coucher par terre, les jambes écartées, offerte à elle. Elle vient près, très prés de moi, nos cuisses emmêlées, pour d’abord entrer un des bouts dans sa chatte avant d’en sortir uns bonne partie pour me baiser. Elle reste immobile: je peux ainsi profiter de cette présence dans mon ventre. Malou pose sa main entre nous deux pour attraper le gode et le faire aller et venir. Nous gémissons toutes les deux. Presque ensemble nous poussons le cri de jouissance.
Elle veux me faire connaitre la double pénétration. Je suis fatiguée, tant pis.
Elle me fait rester dans la même position, elle commence par me mouiller l’anus avec sa mouille et la mienne mêlées. Elle entre une bonne partie du gode dans le cul. Le fait aller et venir pour que je prenne goût à la sodomie que je connais déjà bien. Elle courbe ensuite le gode pour venir me le mettre dans le con. Une bonne partie du gode reste dehors: c’est celle que Malou prend en main pour faire les allers et retours. Je ressent ce plaisir extraordinaire d’avoir et le con et le cul occupé. Je jouis encore deux fois. Elle le sort de mon ventre pour qu’à mon tour je lui donne le même plaisir. J’éprouve quelques difficultés à bien faire la double pénétration: ce n’est pas grave puisque j’arrive à la faire jouir. Où est ma bouche pendant ce temps là: sur son bouton.
Quand nous arrêtons notre nuit d’amour, le soleil se lève. Nous baisons depuis la veille 20 heure 30 et il est 7 heures. Nous sommes lasses, un peu fatiguées, prête à recommencer à nouveau.
Ce n’est qu’au bout de trois ou quatre jours que je remarquais qu’une fille en face me regardait souvent. Pour la première fois de ma vie je me trouvais impudique.
Je me suis reprise en ne me promenant plus dans la tenue d’Eve les fenêtres ouvertes. Le matin en partant travailler je croisais souvent la « voyeuse ». Elle me fixait, jusqu’au jour où je l’ai abordée.
- D’accord, j’aime me mettre nue chez moi. Pourquoi vous me surveillez ?
- Je ne vous espionnais pas: j’aime voir les belles choses et vous en faite partie.
- Merci. Vous savez comment je suis faite. Moi je ne vous connais pas-tu tout.
- Pour me voir, venez ce soit vers 20 heures. A propos je m’appelle Malou
Je me demande ce que cache cette invitation. Bof, je verrai bien ce soir. Je ne repense à elle qu’à l’heure dite.
Elle me reçoit en petite tenue: un simple peignoir de bain.
- Avez-vous mangé ?
- Non.
- Alors je vous invite.
La table est mise, il ne reste plus qu’à goûter sa cuisine. Elle a mis les petits plats dans les grands. Tous ce passe fort bien: nous bavardons sur elle, sur moi, sur la vie en général.
J ‘apprends ainsi qu’elle n’a pas de petit ami, qu’elle travaille à mi temps pas très bien payée. Elle cherche un autre travail pour mieux gagner sa vie et ne pas tirer la langue.
Ma vie est aussi plate que la sienne.
Elle me demande si nous ne pourrions pas être amies. Pourquoi pas?
Quelques semaines plus tard, Malou vient chez moi pour me demander un peu de sel. Je la fait entrer: il est l’heure du diner. Je la retiens pour le repas. Elle accepte volontiers et nous voila reparties vers de nouvelles confidences. Elle commence un nouveau job demain matin, presque à coté de mon magasin. Nous pouvons nous déplacer ensemble. Et bavarder: notre péché mignon à toutes les deux.
Nous n’échangeons plus de généralités. Nous bavardons de tout, même de ce que normalement on ne se dit pas. Elle me dit qu’elle aime se caresser le soir avant de dormir, comme moi. Son fantasmes: faire l’amour avec une autre fille. Comme moi. Sauf que pour baiser une fille est plus compliqué qu’on le croit.
J’ai en l’occasion de le faire au magasin quand une jeune femme essaye quelques sous vêtements dans une cabine mal fermées volontairement.
La dernière fois, la semaine dernière c’était une femme dans la trentaine qui me demandait de venir l’aider à passer un string !!! Elle ne cherchait qu’un main sur son sexe. Pour cela elle était nue, le string dans une main et les jambes déjà un peu écartées.
Sa tenue ou plutôt son manque de tenue indiquait son désir. Je venais vers elle, prenait le petit vêtement pour le laisser tomber, l’embrassais sur la bouche. Je sentais son corps se coller au mien. Quand je posais une main sur son bas ventre, elle levait ma jupe pour à son tour chercher ma chatte. Je ne porte jamais de sous vêtement, il lui était facile de mettre sa main sur mon bouton. Je résistais pour la forme puisque moi aussi j’avais ma main sur son sexe. Nous nous masturbions de concert. Après un bon quart d’heure de caresse elle et moi jouissions. Je sortait de la cabine: j’étais assez rouge. Un miroir en face de moi me le montrait assez. La cliente sortait de la cabine, habillée normalement avec le string:
- Il me plait assez, pourtant il me semble qu’il a une odeur de femme.
- Chez moi personne n’essaie de string sauf celle qui achète.
- C’est donc pour ça.
Quand elle partait je ne pouvais m’empêcher de rire.
Je racontais tout ça, sans malice à ma camarade Malou.
- Ainsi tu baise tes clientes, et moi ?
- J’avoue y avoir pensé, et je ne te l’ai jamais proposé.
- Tu as eu tort. Je viendrai ce soir chez toi nous passerons la nuit ensemble.
- Tu sais passer une nuit ensemble c’est long.
- Non, si on se donne du plaisir c’est court et de toutes façon demain nous ne travaillons pas.
Elle a raison, demain c’est jour de repos. Je me pose une foule question: comment être déshabillée en paraissant ne pas l’être, que me mettre comme sous vêtements, me parfumer ?
Je fait tout un cinéma autour de sa venue. Quand elle arrive je la trouve attifée normalement, avec son manteau. Nous nous faisons deux bises. Je sens le même parfum que le mien sous ses oreilles, sauf que le mien est à un endroit très intime. Nous n’attendons pas longtemps pour passer dans le séjour. Je l’invite à s’assoir dans un fauteuil pour m’assoir en face d’elle.
Pour être à l’aise, elle enlève son manteau. Si je me posais la question de ma vêture, la sienne est des plus simple: elle ne porte rien sous son manteau. Son corps est parfait, j’admire son visage ovale autour de ses longs cheveux châtains, sa poitrine relativement petite, ses hanches larges et son sexe bien visible sous son pubis glabre.
Je suis presque gênée de porter une mini et un t-shirt.
Quand elle se relève pour venir vers moi, je sais ce qu’elle va faire: ses lèvres sont sur les miennes rapidement. Sa langue vient en visite prolongée dans ma bouche. Elle soulève le t-shirt pour caresser mes seins. Je ne sais pas pour le reste, en tout cas sur mes seins, elle sait bien comment me faire plaisir. Elle ne fait pas un geste de travers, tout est parfait quand elle les caresses, surtout les mamelons. Sa bouche vient sur eux: elle en aspire un pour que sa langue le lèche: qu’elle bonne façon de me peloter.
Je ne perds pas de temps moi nous plus, même si je ne caresse pas ses seins comme elle me le fait! Je les ai mis sur mes mains comme pour le soupeser. Je caresse les pointes avec mon pouce. Je les fait bander un peu pour qu’ils rebondissent un peu. Nous sommes toujours dans un baiser maintenant c’est ma langue qui occupe sa bouche. Elle arrive à faire tomber ma jupe pour s’apercevoir que je suis comme elle: nue. Je sens le parfum que j’ai mis sur mon pubis qui remonte un peu. Elle doit le sentir aussi puisqu’elle abandonne le haut de mon corps pour s’accroupir un peu pour placer sa langue sur le peu de chatte qui apparait.
Je sens sa langue Malou lécher lentement le bouton qui du coup sort de sa protection. Elle arrive à ce que j’écarte légèrement les jambes pour qu’elle arrive à passer toute sa langue sur mon clito. Elle me lèche comme je ne l’ai jamais été. Je pose mes mains sur sa tête pour qu’elle ne parte surtout pas; qu’elle recommence aussitôt ma première jouissance. Je ne peux plus tenir debout. Je l’entraine sur mon fauteuil. Elle est maintenant assise sur le tapis, sa langue toujours sur moi. J’écarte les jambes pour les poser sur les accoudoirs du fauteuil. Ma moule est béante; elle peut me faire tout ce qu’elle veut.
Quand je jouis cette première fois, elle descend pour aller dans mon con ouvert. Sa langue n’hésite pas pour y entrer. Elle agit comme le ferai une bite. Ses vas et viens me donne un plaisir fou. Je croyais connaitre l’amour entre femmes: elle en connait bien plus que moi. Elle me fait jouit une autre fois.
Je veux à mon tour la sucer. Elle retourne dans son premier fauteuil, s’y installe comme moi.
Je ne sais exactement où elle voudrai que j’aille.
Je veux me montrer plus débauchée qu’elle. Je vais essayer d’inaugurer ma nouvelle façon de faire. J’embrasse le bas de ce que je vois avant de poser ma langue sur son anus. Je fais comme si je léchais son clitoris. Malou gémit:
- Oui, continue, c’est bon, te vas me faire jouir.
- T’en fais pas salope, je m’occupe de ton cul. Ton con se sera pour après quand tu aura joui.
- Ne parle pas trop, baises moi.
Je me remets à ma tâche: la faire jouir. Cette fois j’enfonce ma langue dans son cul. Elle en sursaute, ne s’attendant pas à un tel assaut. Je vais et viens dans son cul, qui s’ouvre comme il faut. Pour accentuer son plaisir je mets deux doigts dans son con.
- Oui, baises moi comme ça. Je vais jouir.
Je n’ai pas le temps de répondre. Je me suis fixé une tâche, je l’accomplie. J’ai raison de continuer et de ne pas répondre: je sens son anus avoir des spasmes: je les ressens autour de mes doigts: je l’ai faite jouir.
Elle met un temps fou à émerger après cet orgasme. Je suis presque sur elle, ma bouche sur la sienne, ma langue fouillant sa bouche.
Je suis mise de telle façon qu’elle peut me rendre au moins ne partie ce que je viens de lui donner; Je sens qu’elle entre deux doigts dans mon ventre et deux autres dans le cul. Je reste affalée sur elle tout le temps de sa caresse.
Je lui ai mis le feu au fesses. Elle me demande si j’ai un gode. J’en ai bien un vieux. Elle me dit qu’elle a un double chez elle.
Malou remet son manteau pour aller chercher ce quoi doit nous faire jouir. En attendant je fais chercher le mien. Je me remet dans mon siège, écarte les jambes, pose le bout sur l’entrée de mon vagin. Je me baise seule en l’attendant. Elle ne mets pas longtemps, en tout cas quand elle revient je sors mon gode: je viens juste de jouir.
Elle me montre le sien: deux bouts avec des glands bien imités avec des veines apparentes, de quoi bien jouir. Elle s’en sert seule pour se faire des doubles pénétrations. Je ne connais pas cette façon de jouir.
Elle me demande entre deux baisers de me coucher par terre, les jambes écartées, offerte à elle. Elle vient près, très prés de moi, nos cuisses emmêlées, pour d’abord entrer un des bouts dans sa chatte avant d’en sortir uns bonne partie pour me baiser. Elle reste immobile: je peux ainsi profiter de cette présence dans mon ventre. Malou pose sa main entre nous deux pour attraper le gode et le faire aller et venir. Nous gémissons toutes les deux. Presque ensemble nous poussons le cri de jouissance.
Elle veux me faire connaitre la double pénétration. Je suis fatiguée, tant pis.
Elle me fait rester dans la même position, elle commence par me mouiller l’anus avec sa mouille et la mienne mêlées. Elle entre une bonne partie du gode dans le cul. Le fait aller et venir pour que je prenne goût à la sodomie que je connais déjà bien. Elle courbe ensuite le gode pour venir me le mettre dans le con. Une bonne partie du gode reste dehors: c’est celle que Malou prend en main pour faire les allers et retours. Je ressent ce plaisir extraordinaire d’avoir et le con et le cul occupé. Je jouis encore deux fois. Elle le sort de mon ventre pour qu’à mon tour je lui donne le même plaisir. J’éprouve quelques difficultés à bien faire la double pénétration: ce n’est pas grave puisque j’arrive à la faire jouir. Où est ma bouche pendant ce temps là: sur son bouton.
Quand nous arrêtons notre nuit d’amour, le soleil se lève. Nous baisons depuis la veille 20 heure 30 et il est 7 heures. Nous sommes lasses, un peu fatiguées, prête à recommencer à nouveau.
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