Maman et mon beau-père, font de moi une vraie femme 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Maman et mon beau-père, font de moi une vraie femme 2
Marion fait encore jouir sa fille, elle lui dévore les orifices avec gourmandise. Jacques qui bande terriblement encourage sa femme incestueuse :
-Oh bouffe là bien ma chérie, fais-la bien mouiller, oh putain, je vais la faire décoller de terre, regarde comme ma queue est tendue, suce-la, suce-la avant que je dépucelle notre petite chérie !
Marion délaisse sa fille pour qu'elle reprenne ses esprits. Elle tend sa main et saisit la bite que lui présente son mari. Machinalement, elle donne quelques coups de poignets, Jacques rugit en se cabrant, et dit fortement :
-Suce, suce, ma chérie, suce-la !
Marion décalotte le gland, donne des coups de langues bien ajustés sur le gland et la hampe. Elle regarde un instant le chapeau qui déborde sur la hampe épaisse, elle ouvre la bouche et le gobe. Ses succions sont terribles, tout en suçant, elle triture les couilles velues de son mari. Jacques ne peut que reconnaitre que sa femme est une sacrée fellatrice. Il geint de plaisir, lui caresse les cheveux en disant tendrement :
-Oh ma chérie comme je t'aime, tu me rends fou mon amour !
Il grimace et dit :
-Oh, je vais jouir ma chérie, oh comme tu es bonne !
Marion recrache la verge et dit avec tendresse :
-Mon chéri rend ma fille heureuse, fais d'elle une femme, moi aussi, je t'aime mon amour, jamais, je ne pourrai vivre sans toi !
Jacques monte sur le lit, il se place entre les cuisses ouvertes de sa belle-fille, qui attend avec une certaine inquiétude l'estocade. C'est Marion qui dirige la verge de son mari vers l'abricot qui ne cesse de suinter. Elle le frotte contre les lèvres très humides, puis le maintient appuyée contre la fente.
Jacques s'accroche aux hanches de sa belle-fille et pousse doucement. Léa écarquille les yeux, serre les dents en soufflant comme un bœuf. Le gland lui ouvre les grandes lèvres et s'enfonce lentement dans son vagin. Léa croit que la bite monumentale va l'ouvrir en deux. Elle grimace fortement en s'agrippant à son beau-père. Dilatée pour la première fois par une bite, elle grogne. Progressivement, la bite s'enfonce. Le râle que pousse Léa est très long et rauque.
Jacques sent une résistance, il recule de quelques centimètres, Léa prend une grande aspiration et la bloque. Jacques donne un violent coup de reins. Léa se cabre en poussant un hurlement, une intense brûlure lui traverse le ventre, la bite de son beau-père s'enfonce jusqu'aux couilles dans son ventre. Elle croit que sa chatte, c'est déchirée, elle s'agrippe à son dépuceleur de toutes ses forces.
Jacques reste un moment sans faire de mouvement, Léa a les yeux remplis de larmes, son visage est déformé par un rictus affreux. Sa maman passe sa main sur son bas-ventre et s'accroche à son clitoris, elle le saisit entre ses doigts et se met à le branler énergiquement. Jacques commence à faire de très, très lents allers et retours. Au fil des minutes, la brûlure semble disparaitre. Le beau-père, bon amant, accélère progressivement le rythme.
Le plaisir monte graduellement dans le corps de Léa, qui commence à s'agiter sur le pieu de chair. Elle commence même à geindre, elle regarde sa maman, ses yeux sont embués, elle parvint à dire :
-Oh maman, maman, regarde comme ton mari m'ouvre bien, comme sa bite est grosse, oh mon Dieu, il va me faire mourir !
Marion en souriant relique :
-Profite de sa grosse queue ma chérie, maintenant, tu vas aimer la baise, Jacques va si bien te prendre, que tu vas en redemander !
Jacques augmente la cadence, ses coups de reins deviennent plus violents. Léa gémit de plus en plus fort, elle agite son bassin en grognant comme une bête blessée. La bite voyage dans la gaine ensanglantée, en raclant les parois garnies de muqueuses sensibles.
Les coups de reins de Jacques font gémir Léa bruyamment. Elle en cesse de dire :
-Oh que c'est bon, maman, c'est trop bon, oh comme il me défonce ton bonhomme, je viens, je viens !
C'est en poussant un hurlement terrible que Léa jouit. Jacques désormais donne tout ce qu'il a, il s'acharne sur la jeunette pour la faire jouir encore, et encore. Léa a plusieurs orgasmes, ses spasmes violents lui secouent le corps. Sa maman lui écrase le clito, l'effet est monstrueux, Léa jouit plus fort. Enfin, le beau-père remplit le ventre de sa belle-fille avec sa semence épaisse, en grognant comme un fauve.
Il se retire de la vulve fraichement déflorée, il regarde la cyprine mêlée à du sang qui s'échappe de la chatte, qui ne cesse d'être secouée de frissons. Ses mamelons sont durs comme du béton, Léa est haletante, elle semble heureuse. Marion caresse doucement le corps fébrile de sa fille en disant :
-C'est bien ma chérie, tu jouis aussi fort que moi, je suis fière de toi, maintenant, tu vas sucer la queue de Jacques comme tu m'as vu le faire, aller vas-y ma chérie, applique-toi bien, décalotte là bien !
Léa regarde l'engin qui lui a prit son pucelage, elle le saisit et découvre le gland. Elle donne des coups de lange sur la hampe enduit de jus gluant, enfin gobe le monstrueux chapeau de chair. Elle suce et tète férocement, elle donne tout ce qu'elle a en elle de meilleur. Jacques se cabre, il serre les poings, il dit entre deux gémissements :
-Oh Marion, c'est merveilleux comme elle suce ta fille ma chérie, ce n'est que du bonheur, oh putain, elle va me faire décharger !
Marion souriante dit :
-Fais goutter à ma fille ta bonne semence mon chéri, donne-lui tout !
Maintenant Léa s'acharne, elle sent le sang bat dans le gland vivant, ses succions sont terribles. Son beau-père pousse un rugissement de fauve et explose. Il remplit la bouche vorace de sa belle-fille, qui, surprise par la puissante décharge, recrache le gland. Elle pince les lèvres, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle regarde sa maman en écarquillant les yeux, c'est comme si elle attendait un ordre. Mais avant de lui dire le mot magique, sa maman lui laisse savourer un instant le sperme. Enfin, elle dit :
-Avale ma chérie, avale !
Léa doit si prendre à plusieurs fois pour pouvoir avaler la totalité de la semence épaisse. Elle sent couler dans sa gorge la douceur de l'onctueuse crème. Elle regarde sa maman qui lui demande :
-Alors ma chérie, c'est comment, tu aimes !
-Oh maman, j'adore, c'est trop, c'est chaud, j'aime ce goût suave hum !
-Oh bouffe là bien ma chérie, fais-la bien mouiller, oh putain, je vais la faire décoller de terre, regarde comme ma queue est tendue, suce-la, suce-la avant que je dépucelle notre petite chérie !
Marion délaisse sa fille pour qu'elle reprenne ses esprits. Elle tend sa main et saisit la bite que lui présente son mari. Machinalement, elle donne quelques coups de poignets, Jacques rugit en se cabrant, et dit fortement :
-Suce, suce, ma chérie, suce-la !
Marion décalotte le gland, donne des coups de langues bien ajustés sur le gland et la hampe. Elle regarde un instant le chapeau qui déborde sur la hampe épaisse, elle ouvre la bouche et le gobe. Ses succions sont terribles, tout en suçant, elle triture les couilles velues de son mari. Jacques ne peut que reconnaitre que sa femme est une sacrée fellatrice. Il geint de plaisir, lui caresse les cheveux en disant tendrement :
-Oh ma chérie comme je t'aime, tu me rends fou mon amour !
Il grimace et dit :
-Oh, je vais jouir ma chérie, oh comme tu es bonne !
Marion recrache la verge et dit avec tendresse :
-Mon chéri rend ma fille heureuse, fais d'elle une femme, moi aussi, je t'aime mon amour, jamais, je ne pourrai vivre sans toi !
Jacques monte sur le lit, il se place entre les cuisses ouvertes de sa belle-fille, qui attend avec une certaine inquiétude l'estocade. C'est Marion qui dirige la verge de son mari vers l'abricot qui ne cesse de suinter. Elle le frotte contre les lèvres très humides, puis le maintient appuyée contre la fente.
Jacques s'accroche aux hanches de sa belle-fille et pousse doucement. Léa écarquille les yeux, serre les dents en soufflant comme un bœuf. Le gland lui ouvre les grandes lèvres et s'enfonce lentement dans son vagin. Léa croit que la bite monumentale va l'ouvrir en deux. Elle grimace fortement en s'agrippant à son beau-père. Dilatée pour la première fois par une bite, elle grogne. Progressivement, la bite s'enfonce. Le râle que pousse Léa est très long et rauque.
Jacques sent une résistance, il recule de quelques centimètres, Léa prend une grande aspiration et la bloque. Jacques donne un violent coup de reins. Léa se cabre en poussant un hurlement, une intense brûlure lui traverse le ventre, la bite de son beau-père s'enfonce jusqu'aux couilles dans son ventre. Elle croit que sa chatte, c'est déchirée, elle s'agrippe à son dépuceleur de toutes ses forces.
Jacques reste un moment sans faire de mouvement, Léa a les yeux remplis de larmes, son visage est déformé par un rictus affreux. Sa maman passe sa main sur son bas-ventre et s'accroche à son clitoris, elle le saisit entre ses doigts et se met à le branler énergiquement. Jacques commence à faire de très, très lents allers et retours. Au fil des minutes, la brûlure semble disparaitre. Le beau-père, bon amant, accélère progressivement le rythme.
Le plaisir monte graduellement dans le corps de Léa, qui commence à s'agiter sur le pieu de chair. Elle commence même à geindre, elle regarde sa maman, ses yeux sont embués, elle parvint à dire :
-Oh maman, maman, regarde comme ton mari m'ouvre bien, comme sa bite est grosse, oh mon Dieu, il va me faire mourir !
Marion en souriant relique :
-Profite de sa grosse queue ma chérie, maintenant, tu vas aimer la baise, Jacques va si bien te prendre, que tu vas en redemander !
Jacques augmente la cadence, ses coups de reins deviennent plus violents. Léa gémit de plus en plus fort, elle agite son bassin en grognant comme une bête blessée. La bite voyage dans la gaine ensanglantée, en raclant les parois garnies de muqueuses sensibles.
Les coups de reins de Jacques font gémir Léa bruyamment. Elle en cesse de dire :
-Oh que c'est bon, maman, c'est trop bon, oh comme il me défonce ton bonhomme, je viens, je viens !
C'est en poussant un hurlement terrible que Léa jouit. Jacques désormais donne tout ce qu'il a, il s'acharne sur la jeunette pour la faire jouir encore, et encore. Léa a plusieurs orgasmes, ses spasmes violents lui secouent le corps. Sa maman lui écrase le clito, l'effet est monstrueux, Léa jouit plus fort. Enfin, le beau-père remplit le ventre de sa belle-fille avec sa semence épaisse, en grognant comme un fauve.
Il se retire de la vulve fraichement déflorée, il regarde la cyprine mêlée à du sang qui s'échappe de la chatte, qui ne cesse d'être secouée de frissons. Ses mamelons sont durs comme du béton, Léa est haletante, elle semble heureuse. Marion caresse doucement le corps fébrile de sa fille en disant :
-C'est bien ma chérie, tu jouis aussi fort que moi, je suis fière de toi, maintenant, tu vas sucer la queue de Jacques comme tu m'as vu le faire, aller vas-y ma chérie, applique-toi bien, décalotte là bien !
Léa regarde l'engin qui lui a prit son pucelage, elle le saisit et découvre le gland. Elle donne des coups de lange sur la hampe enduit de jus gluant, enfin gobe le monstrueux chapeau de chair. Elle suce et tète férocement, elle donne tout ce qu'elle a en elle de meilleur. Jacques se cabre, il serre les poings, il dit entre deux gémissements :
-Oh Marion, c'est merveilleux comme elle suce ta fille ma chérie, ce n'est que du bonheur, oh putain, elle va me faire décharger !
Marion souriante dit :
-Fais goutter à ma fille ta bonne semence mon chéri, donne-lui tout !
Maintenant Léa s'acharne, elle sent le sang bat dans le gland vivant, ses succions sont terribles. Son beau-père pousse un rugissement de fauve et explose. Il remplit la bouche vorace de sa belle-fille, qui, surprise par la puissante décharge, recrache le gland. Elle pince les lèvres, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle regarde sa maman en écarquillant les yeux, c'est comme si elle attendait un ordre. Mais avant de lui dire le mot magique, sa maman lui laisse savourer un instant le sperme. Enfin, elle dit :
-Avale ma chérie, avale !
Léa doit si prendre à plusieurs fois pour pouvoir avaler la totalité de la semence épaisse. Elle sent couler dans sa gorge la douceur de l'onctueuse crème. Elle regarde sa maman qui lui demande :
-Alors ma chérie, c'est comment, tu aimes !
-Oh maman, j'adore, c'est trop, c'est chaud, j'aime ce goût suave hum !
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore ce genre de récits... quel fantasme ! une mère qui initie sa jeune fille vierge... c'est merveilleux !
J'adore, ce genre de récit, ou une maman initie sa fille aux plaisirs sexuels, elle devrait faire de même avec son fils si elle en a un, hum, j'adore.
Joëlle
Joëlle
Ideal pour bander bien dur.
Toujourds aussi briante Linsee
Francie et Luc
Francie et Luc
Bien racontée cette histoire,j'adore
Moi aussi, je veux être initié par eux
Lea est une novice qui apprend vite
Georgette
Georgette
Ouah trop bon