Maman je t'aime

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Maman je t'aime Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Maman je t'aime
Pour ce récit, je vais encore recevoir un volée de bois vert, mais j'assume. Bonne lecture pour les uns, tant pis pour les moralistes.



Julia, est mariée à Chris un homme merveilleux, ils sont heureux et ont même un enfant Franc qu'ils chérissent un peu trop. Les années passent, Franc, a maintenant vingt-cinq ans. Les trois sont toujours très fusionnels, très prévenant l'un pour l'autre.

Mais un jour Franc à un grave accident, il est hospitalisé. D'après les médecins, il doit passer de longs mois dans un hôpital spécialisé qui se trouve à de nombreux kilomètre de la maison. Les jours passent, plusieurs fois par semaine, Julia fait le long voyage pour rendre visite son mari.


Souvent elle déprime, mais heureusement Franc est là pour lui remonter le moral. Plusieurs mois se sont écoulés, Chris est toujours hospitalisé. Pour Julia, le sexe commence à lui manquer. Souvent le soir dans son lit, elle se masturbe. C'est si intense, qu'elle se maltraite le clito avec violence. Les jouissances l'épuisent. Souvent elle oublie d'éteindre la lumière, c'est la nuisette retroussée sur son ventre, qu'elle s'endort sur son lit.

Un soir ayant pris sa douche et après enfilé son pyjama, c'est en passant dans le couloir, que Franc voir un rai de lumière, filtrer sous la porte de la chambre de sa maman.
Il se dit qu'elle a surement oubliée d'éteindre. Il tourne doucement la poignée, et entrouvre la porte. Il passe la tête par l'ouverture, ce qu'il voit le laisse sans voix.

Sa maman allongée sur le dos, jambes légèrement écartées est endormit profondément. Il ravale sa salive en voyant la toison, son cœur se met à battre la chamade. Il pousse doucement la porte et pénètre dans la pièce. Il s'avance doucement vers la couche ou est allongée sa maman. Il contemple la vulve garnie d'une fine toison humide, qui rejette encore un peu de cyprine. Il comprend immédiatement que sa maman c'est masturbée.

Il regarde longuement le corps de sa maman aux formes quasi parfaites, il remarque seulement maintenant comment sa maman est belle et désirable. Il est en admiration devant les mamelons, qui appuient sur le tissu de la nuisette, comme pour le percer.
L'épaisseur des tétons, plantés aux centres d'aréoles brunes, l'impressionnent. Il déglutie, en caressant du regard la vulve maternelle.


Involontairement, une bosse se forme au niveau de son bas-ventre. Il la presse doucement, en ne quittant pas du regard sa maman. Sans savoir pourquoi, il tend lentement la main vers le puits d'amour. Le bout de ses doigts tremblent, ils frôlent les grandes lèvres. Franc s'enhardi, c'est avec une douceur extrême qu'il caresse la fente humide. Julia frémit, dans son sommeil, elle met sur le coté, en repliant une jambe. la nuisette remonte encore plus. En voyant la croupe dénudée de sa maman, Franc défaille. Vicieusement, il se penche et reste en extase devant l'œillet ridé.


Il pose un doigt sur l'anneau boursouflé et le fait tourner doucement dessus. Sa maman bien qu'endormit pousse un gros soupir. Franc prend peur, il recule, et se racle bruyamment la gorge. Sa maman se réveille, elle redresse la tête. En voyant son fils elle réalise qu'elle a la nuisette retroussée, elle la rabaisse d'un jette vif. En en disant :

-Qu'est-ce qui se passe mon chéri ?

franc bègue pour répondre :

J'ai cru entendre geindre, je me suis inquiété, dans je suis entré !

Julia s'imagine qu'il a entendu ses gémissements de jouissances elle rosit et répond :

-Non tout va bien mon chéri !

Il dit :

-Je peux rester un peu avec toi maman !

Elle lui sourit et comme elle ne lui refuse rien, elle l'invite à s'étendre à côté d'elle. Mais avant qu'il s'enfonce dans les draps, elle remarque l'érection qui déforme son pyjama.

Le coquin se plaque contre elle en position latérale, elle sent contre sa cuisse le membre tendu. Franc pose sa main sur le ventre de sa maman, et se met à le caresser doucement. Julia frissonne, la main douce de don fils fait de petits cercles sur son ventre en s'approchant dangereusement de son bas-ventre.

Il lui murmure :

-Maman je t'ai menti, pendant que tu dormais, je me suis rendu compte que tu t'étais masturbé, et cela ma excité si fort que je bande encore, je me suis permis de caresser doucement ton sexe et ton anus !

Julia sursaute, et honteuse elle réplique :

-C'est vrai mon chéri, je me suis masturbée, ton papa me manque tellement que je me satisfais toute seule, par contre toi tu as profité de mon sommeil pour me toucher les parties intimes, cela n'est pas bien !

Franc honteux, se fait câlin, il dit :

- C'est vrai j'ai un peu honte, mais lorsque j'ai vu ta chatte et ton anus, ma verge c'est mise à se tendre, tu l'as sent contre ta cuisse comme elle bat d'amour pour toi, petite maman chérie. Si tu veux maman, je peux remplacer papa pour un temps !

Elle ne peut ignorer la verge pleine de désir, glisser contre sa cuisse. Elle le regarde en fronçant les sourcils, et demande :

-Tu entends quoi par remplacer papa !

Franc se racle la gorge et répond :

-Hum, hum, eh bien en te caressant, enfin te faire tout ce que papa te faisait pour te rendre heureuse !


Julia, ravale sa salive et répond :

-Mon chéri, papa est irremplaçable tu sais !

Le coquin s'agite doucement, malgré le pyjama, c'est avec art qu'il fait coulisser son membre sur la cuisse de sa maman. la pauvre femme, complétement perturbée, frissonne en soupirant. Elle sent que le membre déjà bien épais, prend encore du volume. la main de Franc, s'insère habilement entre ses jambes, elle se cabre sans avoir la force de repousser son audacieux agresseur.

Franc presse doucement la vulve ruisselante. Ce mouvement fait cambrer davantage la maman, qui pousse un gémissement rauque. Il réussit à glisser deux doigts entre les grandes lèvres et les monte pour atteindre le clito. Rapidement la boule de chair double de volume. Julia entre deux souffles gémit, elle n'a pas la force de protester, elle ne peut que murmurer faiblement :

-Non, mon chéri, cesse je t'en prie, je suis ta maman arrête, arrête oh mon Dieu, nous sommes des monstres !

Franc ne l'écoute pas, il saisit entre son pouce et son index la boule de chair et l'agite doucement. Inconsciemment sa maman ouvre largement les cuisses, et se cambre comme un pont en pleine tempête. Ses gémissements sont bruyants, Franc lui presse de temps en temps le clito, car le bougre aime l'entendre geindre. En agitant doucement son bassin, Julia bègue.


-Oh mon chéri, mon chéri, non, non, c'est affreux, je vais jouir !

Franc lui écrase le clito, l'effet est immédiat. Sa maman se cambre en poussant un hurlement inhumain. Sa jouissance est phénoménale, elle se laisse retomber sur son lit en haletant. Franc continu de lui branler le clito, son corps se couvre de frissons, elle halète fortement, une seconde jouissance la fait cabrer. En maintenant le clitoris entre ses doigts, Franc cesse de le branler. Il regarde amoureusement sa maman, qui lentement s'apaise.

Elle reprend peu à peu ses esprits. Franc bande comme un poney, il presse fortement le clito, sa maman grimace en geignant de douleur.
Le coquin se redresse, et d'un geste brusque, baisse son pyjama. Sa bite jaillit en oscillant comme un métronome.
Il se met à genoux et présente son mandrin fortement veinée aux lèvres charnues de sa maman. Elle le regarde ses yeux sont remplis de larmes. Franc approche son engin si près, qu'il touche les lèvres de sa maman, qui frissonne terriblement.


C'est en soufflant comme un dragon, et en tremblant, qu'elle tend la main. Pour elle c'est un terrible effort, car elle sait que c'est de l'inceste. Sa main moite, saisit l'engin plein de vie, le presse doucement comme pour en connaitre la texture. Délicatement Julia décalotte le gland, la verge bien que terriblement veinée, semble frémir au toucher de Julia.


L'incestueuse maman, en ravalant sa salive, l'agite un court instant, l'observe un moment avant de l'engloutir dans sa bouche. Le coquine sait sucer, elle fait geindre son fils de plaisir, plus elle tète, plus il gémit. Sa bouche fait des merveilles sur le membre qui ne cesse de gonfler. Elle semble s'acharner sur le manche de chair, sa bouche monte et descend sur la hampe épaisse avant de réengloutir les gland. Julia commence une gorge profonde sa bouche engloutie le membre jusqu'aux couilles, ce mouvement magique, fait réagit le fils amant :

-Maman, maman je vais jouir, oh c'est bon !

Julia recrache brusquement la verge. Franc réagit :

-Je veux jouir dans ta bouche maman et je désir que tu avales ma chérie !

Un peu surprise par cette demande, Julia le fait bien avec son mari, pourquoi pas avec son fils. Elle reprend en bouche le gland, et reprend la fellation. Julia suce avidement le cèpe violacé, tout en triturant d'une main les couilles bien pleines de semence. Il ne faut pas attendre longtemps pour que le fiston rugisse. Il envoie dans la bouche de sa maman, un flot épais de sperme.


Elle repousse Franc, et en se pinçant les lèvres, le regarde. Elle avale la décharge sans rechigner, puis ouvre la bouche toute grande, pour montrer à son fils qu'elle a bien tout avaler. Il la regarde émerveillé, il lui relève le menton avec deux doigts, et dépose un baiser bruyant sur les lèvres qui reluisent de sperme. Il dit :

-Oh maman comme je t'aime !

Elle lui répond tendrement avec quelques trémolos dans la voix et aussi des remords :

-Moi aussi je t'aime mon chéri, mais ce que nous faisons est malsain, je trompe ton papa et de plus avec son fils, c'est odieux !

Franc lui murmure des mots tendre, qui la font fondre. Elle s'accroche à lui, et éclate en sanglots, son corps fébrile tremble. L'amour platonique qu'ils se portaient jusqu'à présent, change au fur et à mesure des caresses et des déclarations brulantes.
Ce que ressentent maintenant l'un pour l'autre les deux amants immoraux, n'est autre qu'un amour véritable. Franc, relève doucement la tête de sa maman, et appuie ses lèvres sur les siennes. Julia soupire profondément et accepte le baiser.


Les langues se nouent, les respirations s'accélèrent, un flot de salive est échangé. Le baiser dure longtemps, tout en l'embrassant, Franc lui caresse le dos en passant sa main sous la nuisette. La main douce de son enfant sur son corps la fait trembler. Enfin le baiser cesse, les deux amants se regardent longuement. Puis sans la brusquer, Franc lui retire la nuisette et la bascule doucement sur le lit.

Il commence de douces caresses sur les lobes mammaires, puis, les malaxe, il les pétrit, en enfonçant profondément plusieurs fois ses doigts dans les chairs souples. Les seins miraculeusement se raffermissent considérablement en prenant du volume.


Comme par magie, les mamelons se dressent, il les prend entre ses doigts les roule, et les étire. Le bougre sait y faire, il les presse doucement à la limite de la douleur. Sa maman en fermant les yeux, geint de bonheur. Mais dès qu'il lui gobe un mamelon, elle se cabre en gémissant fortement. Les succions du fiston sont redoutables, il suce et tète avec de plus en plus de férocité les mats de chairs, qui ne cessent d'épaissir. Julia défaille, l'amour interdit la rend fébrile.

Elle délire :

-Oh mon chéri, mon chéri, j'en peux plus, aime cette femme infidèle, cette salope immorale, qui veut que son enfant la prenne comme une pute !

La bouche de Franc glisse sur le corps fiévreux en embrassant chaque parcelle de peau. Quelques coups de langue sur le nombril font geindre Julia comme une bête blessée. Franc, prend place entre les jambes que sa maman maintient ouvertes. Il avance doucement sa tête entre les cuisses, et hume fortement les effluves odorantes que rejette la vulve en ébullition. Il dit

-Oh maman comme tu sens bon l'amour !

Il plaque sa bouche sur la fente ruisselante de cyprine, suce les grandes lèvres avant s'aspirer le jus que la chatte rejette. Les gémissements de sa maman prouvent qu'elle prend beaucoup de plaisir.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Pour répondre à la lectrice outrée, je lui dis que j'assume, tous les participants sont majeurs et consentant.

Bien que cette lectrice, prétend détester ce genre de récit, elle les lit, il y a un peu d'hypocrisie dans son langage non ?

Linsee

Histoire Erotique
Linsee égale à toi même ton texte très bien écrit nous embarque on pardonne vite la petite erreur de prénom du départ et on te suis émerveillé par tes descriptions y aura t il une suite on l’espère et le bois vert on l’oublie. Daniel

Histoire Libertine
Ce n'est pas une volée de bois vert qu'il te faut.
Tu n'es qu'un pervers se vautrant dans l'inceste le plus ignoble.



Texte coquin : Maman je t'aime
Histoire sexe : Une rose rouge
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