Maman, je t'aime - histoire érotique

Pourquoi, encore de l'inceste, eh bien parce que l'on me le demande. j'assume ce genre de récit, qui semble plaire à de nombreuses personnes.



Linda est une femme, Aux formes plantureuses, mariée depuis de nombreuses avec Paul, elle est heureuse. Jusqu'au jour ou tout bascule, il la soupçonne de le tromper, ce qui est faux bien sûr. Chaque jour, se sont des scènes de ménage terribles qui éclatent, et tout cela devant Lucas leur fils âgé d'une vingtaine d'année années, lorsqu'il entre de la fac, il assiste aux paroles brutales de son papa, envers sa maman. Plus les mois passent, voir quelques années, rien ne change au contraire, cela empire, Paul se met à boire. Obsédé, il est certain que sa femme a un amant, et pour cette raison, les scènes dégénèrent. Ils ne font plus l'amour depuis longtemps.


Humilier par un mari violent et autoritaire. Souvent giflée par cet homme alcoolique. Elle subit, sans se rebeller ses crises de délirium, car pécuniairement, elle dépend de son mari. Souvent Linda se refugie dans sa chambre, pour échapper aux délires de son mari.
Lucas, à terminé ses études et a trouvé un travail, correctement payé. Il a même un appartement. Il est rentre de son travail, et fait un détour pour voir ses parents, plutôt sa maman.
Son papa endormit sur le canapé, empeste l'alcool. Il cherche sa maman, il se rend compte qu'elle n'est pas au rez-de-chaussée. Il monte à l'étage, il entend sa maman sangloter, il ouvre la porte de sa chambre. Linda, croit que c'est son mari qui vient encore la corriger, elle enfonce sa tête dans l'oreiller.


Lucas s'assoit sur le bord du lit et la rassure. Elle se retourne, ses yeux sont plein de larmes, elle se jette dans ses bras et se blottit contre son épaule. Il la serre très fort. Lucas sait trouver les mots pour la consoler. Elle relève la tête vers lui et en reniflant lui dit tendrement :

-Tu es gentil mon chéri !

Il gobe les perles salées qui coulent sur ses joues. Et lui donne de nombreux baisers sur le visage. Elle pousse de gros soupirs, et se blottit contre lui, en frissonnant. Il devine qu'une scène a encore éclatée, car maman, a une pommette tuméfiée. Lucas dit :

-Maman, tu vas habiter chez moi, tu ne peux plus rester avec monstre pareil !

Linda regarde son fils, avec étonnement elle bégue en répondant :

-Mais, mais, tu, tu, veux que j'habite avec toi mon, mon, chéri !

Il l'enlace et réplique :

-Oui, tu as bien compris maman, c'est mon souhait. Un jour il va te tuer ce dingue !

En reniflant plusieurs fois elle dit :

-Laisse-moi réfléchir mon chéri !

Pour l'instant, elle ne craint plus rien, il dort comme une souche. Lucas reste plusieurs heures avec sa maman avant de partir. Mais le lendemain Linda prend le taureau par les cornes, elle profite que son mari est à jeun pour lui parler :

-Paul, c'est décidé, je te quitte. Je ne supporte plus tes brimades, et tes humiliations et encore moins tes coups, c'est finit entre nous !

Paul reste un moment dubitatif, puis réagit :

-Ah salope, tu vas rejoindre ton amant, eh bien vas-y, bon débarras, donc j'avais raison tu es une trainée, fout le camp pouffiasse !

Fou de rage, il se lève et lui donne une magistrale gifle. Linda monte dans sa chambre et fait sa valise. La marque sur sa joue n'est pas prête de disparaitre. les yeux embués de larmes, elle ferme la valise, bien décidée de quitter son mari. Elle descend et se dirige vers la porte. Paul dans un état d'énervement extrême, l'insulte, et l'a gifle à nouveau.

-Sale pute, va rejoindre ton mec, vas te faire bourrer le cul grosse salope, je ne veux plus te voir !

Avec sa valise en main, Linda appelle son fils qui justement est en repos. Il arrive rapidement, elle monte dans sa voiture et disparaissent. Paul la regarde s'éloigner en vociférant. Une fois chez son fils, il la cajole, lui essuie les larmes qui coulent sur ses joues, et lui montre sa chambre. Linda range le peu d'affaire qu'elle a pu récupère. Les deux préparent le diner, le repas se passe à merveille, Lucas adore sa maman, elle lui rend bien. Les sourires qu'ils échangent sont très fusionnels et les caresses tendres. Au fil des jours, Linda semble revivre, elle prépare les repas en attendant avec impatience le retour de son fils. Dès qu'il la voit, il se jette dans ses bras et lui couvre le visage de baisers. Il l'enlace tendrement avec ses bras puissants, en la dévisageant longuement. Ses yeux pétillent de bonheur. Il lui dit en souriant :


-Si seulement tu n'était pas ma maman, hum, je te ferai des choses inimaginables !

Un peu surprise, Elle lui sourit en lui disant :

-Mais mon chéri, pourquoi tu ne cherches pas une femme, tu es beau garçon, tu dois surement plaire ?

Il la regarde et répond sans se démonter :

-Si j'en veux une, elle faut qu'elle soit comme toi, douce et attentionnée !

Linda sursaute et réplique :

-Ouah, une comme moi, mais tu me flattes mon chéri !

Sans la lâcher, il lui écrase les lèvres avec les siennes. Puis la regarde intensément en disant :

-Oui maman c'est une comme toi que je veux !

Linda est troublée par les paroles flatteuses de son fils chéri, elle dit en souriant :

-Tu sais mon chéri, je ne suis pas unique !

Il la serre très fort, et ondule doucement du bassin. Le frottement continuel contre son bas-ventre, la trouble fortement, Linda défaille, elle ravale sa salive. Elle sent contre son ventre un érection naissante qui au fur et à mesure des frottements, augmente en volume.

Linda pousse de nombreux soupirs, elle commence à fondre. Elle craint que l'amour platonique que les deux se portent ne change, car les tentations sont grandes, et son abstinence obligatoire au sexe commence à peser. Lucas donne quelques petits coups de reins. Sa verge glisse sur le ventre de sa maman, qui ne peut ignorer l'érection, elle tremble. Puis habilement s'esquive. Lucas remarque qu'il a fait une bêtise et dit avec une certaine émotion dans la voix :

-Excuse-moi maman e suis en train de perdre la tête, je ne sais pas ce qui m'arrive !

Linda répond par un sourire. Après le repas, ils prennent placent sur le canapé devant la télé. Blottit l'un contre l'autre comme deux amoureux, ils regardent un film. Il se fait tard, Linda se rend à la salle de bain, elle en sort comme d'habitude, vêtue d'une nuisette ultra courte, sans rien en dessous. Marc peut voir la toison au travers du tissu transparent, et les mamelons larges qui appuient sur le tissu comme pour le percer, le font saliver.



Elle se penche sur son fils pour l'embrasser et lui souhaiter une bonne nuit. Il l'attrape pas le bras et l'entraine sur le canapé, ils roulent l'un sur l'autre en riant comme des enfants. Mais pendant la lutte simulée, la nuisette remonte sur le haut des cuisses de Linda en découvrant sa vulve.

Marc regarde ce trésor en ravalant sa salive, la maman reste figée un moment, avant de tirer sur le fin tissu, pour cacher son intimité. Elle rougit comme une pivoine. Marc ne la quitte pas des yeux. Il l'enlace et cherche ses lèvres. La maman cherche à éviter le contact, mais l'insistance de son fils, l'oblige à l'accepter le baiser. Les langues se nouent, comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. le baiser dure un long moment, les soupirs des deux acteurs, sont bruyants. Un flot de salive est échangée pendant baiser d'amour. Linda ne comprend plus rien, elle plane.

Enfin le baiser fougueux cesse. Honteuse Linda s'enfuit dans sa chambre, elle se jette sur le lit et éclate en sanglot. Marc se prépare pour la nuit, il enfile son boxer et monte rejoindre sa chambre, mais en passant devant celle de sa maman, il entend des sanglots. Il frappe à la porte, pas de réponse. Il ouvre la porte, et voit sa maman, tremblante la tête enfoncée dans l'oreiller. Il s'assoit sur le bord du lit, pose sa main sur son épaule et tente de la consoler.

-Maman, je suis seul responsable de tout ce qui arrive, je ne sais pas ce qui m'arrive, tu hantes mes nuits, je t'aime comme un fou, j'ai honte de moi !

Lentement sa maman se retourne, ses yeux sont rouges, elle balbutie :

-Oh mon chéri, mon chéri, mais cet amour, est impossible entre nous , je suis ta maman. Moi aussi je suis coupable, ce que je ressent est indescriptible. Lorsque que tu n'es pas présent, je tourne en rond, je ne pense qu'à toi, j'ai hâte tu rentre de ton travail, mon chéri !

Le cœur de Marc se serre, il se penche sur sa maman et lui murmure :

-Mais c'est magnifique, maman tu m'aimes aussi !

Sa maman pousse un gros soupir et répond avec des trémolos dans la voix :

-Oui je le crois aussi, je deviens folle, c'est immoral et mal sain, il faut tout oublier, je vais partir !

Marc se cabre et répond en haussant le ton :

-Ca jamais maman, j'ai trop besoin de toi et toi je crois qu'aussi tu a besoin de moi, tu n'es pas bien ici ?

Elle répond en reniflant et en s'essuyant les yeux d'un revers de la main :

-Depuis que je suis ici mon chéri, je revit. Mais j'ai honte de moi, je regrette déjà le baiser que nous avions échangés, la morale réprouve ce comportement irresponsable qui nous avions eu, c'est de l'inceste. Oh comme je m'en veux d'avoir cédée !

Marc pose sa main sur le ventre plat de sa maman et le caresse doucement en faisant de petit cercles rapprochés. Les yeux de Linda se voilent, de nouvelles perles s'écoulent sur ses joues. Tout en la caressant, il gobe délicatement les perles salées, qui ruissellent sur son visage. Ses lèvres frôlent les siennes, un frissonnement incontrôlable parcourt, le corps de la maman fébrile. Inconsciemment, elle le prend par le cou et joint ses lèvres aux siennes. Le baiser est fougueux, voir violent, les souffles se mêlent, les respirations s'accélèrent.

la main de l'audacieux fils, passe sous la nuisette en la retroussant, et atteint sans difficultés l'entrejambe. Les doigts glissent sur la toison humide, en longeant les grandes lèvres. Ils atteignent avec délicatesse la boule de chair qui semble bien développée.

Le cœur de Linda bat la chamade, elle se pince les lèvres tellement elle est honteuse. L'appel des sens est très fort, elle ne peut résister. Des larmes s'échappent de ses yeux clairs. Elle se cabre, lorsque que les doigts habiles saisissent son clito. Les quelques pressions que donne Marc sur la boule de chair, la font soupirer. La maman qui culpabilise de plus en plus. Elle dit faiblement, sans convictions :

-Non, non Marc cesse je t'en prie mon chéri, es pitié de moi, oh mon Dieu tu me rends folle !

Marc commence un doux branlage, Linda se tend comme un arc, en ouvrant les cuisses plus largement. la vulve brulante, ne peut retenir un filet de cyprine, qui s'étend sur le lit. lentement deux doigts pénètrent le conduit gorgé de jus, et s'y enfoncent jusqu'à la dernière phalange. La maman ce cabre en poussant un gémissement long. Marc entreprend un très, très lent va-et-vient. Linda geint, cela faisait des mois et des mois, qu'elle ne l'avait gémit. les doigts lui fouillent le vagin en prenant de la vitesse. La maman grogne et souffle comme un animal en rut. Une violente jouissance la fait cambrer, elle se mord la main pour ne pas hurler. Marc l'encourage :

-Jouit, jouit, maman ne te retient pas, hurle de jouissance !

Comme un soudard, il lui déchire la nuisette et découvre totalement son corps. Il s'accroche aux seins, et les malaxe en enfonçant ses doigts dans les chairs. La maman défaille, elle dit en marmonnant :

-Oh mon chéri, mon chéri, tu me fais mourir !

Marc gobe à tour de rôle les mamelons, il les suce, tes tète comme un vorace. Les bouts, rapidement deviennent large et épais. Linda gémit, son souffle est saccadé. Tout en lui fouillant la vulve le gredin lui dévore les mamelons. La maman pâme, elle est sur une autre planète, ses râles rauques prouvent qu'elle prend un pied d'enfer. Un visiteur supplémentaire rejoint les autres et comme eux, voyage dans la gaine brulante. Linda défaille, elle s'accroche à son fils comme un rapace sur sa proie. Une nouvelle jouissance la fait hurler, là, elle ne se retient pas un long cri rauque, sort de sa gorge. Marc se redresse, il voit le corps de sa maman trembler, il sourit et baisse son boxer, sa verge se détend comme un ressort. Et oscille sur son bas ventre. Linda les yeux vitreux, regarde le membre épais garnit de grosses bourses velues.

Marc prend place entre ses cuisses, et place son engin palpitant contre la fente dégoulinante. Il pousse, sa maman se cambre sa verge s'enfonce lentement dans le conduit; Marc s'agrippe à ses hanches et pousse plus fort, en gémissant, Linda reçoit dans son ventre la verge en totalité. Elle s'accroche à son fils en geignant.

-Oh mon chéri comme ton sexe est gros, mon Dieu comme tu m'ouvres, c'est si bon !

Marc commence un ramonage qui prend de la vitesse au fil des minutes. les gémissements de la maman sont très bruyant. La queue puissante de son amant voyage dans ses entrailles, en la faisant couiner. Les parois de sa vulve fortement raclées par la verge puissante la fait trembler. A chaque enfoncement, le gland lui laboure le col de l'utérus, Linda défaille :

-Mon chéri, continue, continue, c'est trop bon, oh mon Dieu cela faisait si longtemps que je n'avais été prise aussi intensément !


Une jouissance fabuleuse lui traverse le ventre. Elle geint comme une bête blessée, en haletant fortement. Marc se bloque, et en grognant remplit le ventre de sa maman qui s'accroche à lui pour qu'il ne se retire pas. La verge enfoncée dans le ventre de sa maman, il souffle comme un taureau qui va charger. Il donne quelques estocades pour bien vider ses couilles, et se retire. Il s'étend au côté de sa maman, sa bite gluante est dressée comme un mat. Linda regarde avec attention, le membre qui vient de lui donner du plaisir. Maladroitement, elle le saisit, le membre plein de vie, elle le sent battre. Elle entreprend une masturbation féroce, pendant quelques secondes.

Elle cesse la courte masturbation, décalotte le gland, et donne quelques coups de langue sur le chapeau charnu. Elle ouvre la bouche, et gobe le gland marbré, elle suce et tète férocement la boule de chair, qui lâche quelques perles de semence.

Marc serre les dents, il geint de plaisir en disant plusieurs fois :

-Oh maman, maman, je vais jouir, oh tu me fais mourir !

Linda reçoit une puissante décharge de sperme dans la bouche. Elle délaisse la verge, se pince les lèvres en grimaçant. Son amant lui dit :

-Avale, avale, maman chérie, c'est la semence de l'amour !

Linda avale en déglutissant bruyamment, elle ouvre la bouche pour montrer à son fils qu'elle a tout avalée. Elle s'étend en poussant de nombreux soupirs, puis dit :

-Je suis une maman indigne, j'ai honte de ce que j'ai fait !

Marc se retourne vers elle, il la regarde amoureusement et répond tendrement :

-Il ne faut pas avoir honte maman, nous nous aimons, c'est la nature, je te promets de te donner tout le bonheur que tu as le droit d'avoir. Je te ferai jouir à t'en faire hurler, ce que tu viens de subir, n'est rien, à ce qui t'attend maman chérie !