Mamie fait de la resistance
Récit érotique écrit par Loulae [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Mamie fait de la resistance
<p>Cette histoire c'est passé il y a un moment déjà. L'année de mes 18 ans je crois, ou avant, enfin bref, en période d'ado.
J'étais étudiante en droit, et pour payer les études et le loyer de mon 12m2, je m'occupais d'un couple de personnes âgées après les cours et le WE.
Ils étaient charmants, ils me conseillaient sur tout, même pour les garçons, ils avaient sans arrêt un truc à dire. En fait, je ne servais pas à grand chose, je trouvais qu'ils n'avaient pas vraiment besoin de moi, mais bon leur fils avait insisté il parait, ça le rassurait !
La femme, Geneviève, avait 78 ans, mince, droite comme un i, je la trouvais pas mal pour une femme de son âge, très coquette et élégante, d'ailleurs elle disait tout le temps:" une femme à toujours besoin de se sentir désirable malgré l'âge et les rides". Lui, Michel, c'était plus le genre camionneur, plus jeune, 71ans, un grand bonhomme costaud, des doigts énormes et un sens de l'humour plus que douteux, oui le style graveleux, qui faisait rougir une jeune fille de mon âge.
Un matin je n'ai pas entendu le réveille, la cause : une nuit en boite plutôt bien arrosé. Je me suis levée en bataille, j'ai enfilé un débardeur, une mini jupe en jean et une paire de basket, c'était ma tenue combat pour ce genre de journée, et ça l'est encore !
Bref, je dévale les escaliers, me jette dans le bus, essoufflée je m'assois juste derrière le conducteur, là où il peut bien me voir par le rétro. J'étais là assise, les yeux dans le brouillard encore, la bouche grande ouverte à essayer de reprendre ma respiration, quand un élément étrange m'a réveillée : le vent. Une légère brise s'engouffrant entre mes cuisses grandes ouvertes. Dans ma hâte j'avais oubliée de porter une culotte, je ne portais pas et ne porte toujours pas de soutiens gorge, mais la culotte est indispensable. Je ne vous raconte pas mon état quand j'ai surpris le conducteur et un autre type mater mon entrecuisse.
J'arrive enfin sur mon lieu de travail, j'entre dans la maison, Geneviève se précipite sur moi avec une tasse de thé:
_ Oh Clarisse ma puce, on se faisait du souci
J'expliquais ma nuit et mon réveil quand Michel déboule du salon me presse contre lui, presque à m'étouffer.
_ N'en profite pas Mimi, laisse la petite tranquille. Celui là alors !
Elle me propose de manger morceau du un gâteau qu'elle vient de faire avant de commencer le rangement. Elle m'annonce que je vais rester seule cet après-midi, ils vont voir leur fils. Moi je ne suis pas mécontente, cette grande maison pour moi seule, génial !
Quand ils sont partis, je monte au premier, rangé la chambre. Des vêtements traînent sur le lit, je les pousse, allume la télé et m'allonge. J'étais entrain de m'assoupir quand j'ai entendu le tonnerre, il pleuvait averse. Je me suis dit que j'allais vite faire le ménage, de toute façon je n'avais pas grand chose à faire, Geneviève avait pratiquement tout nettoyée. Donc mon plan était de faire un ménage éclair et de m'allonger ensuite sur le gros canapé du salon pour faire une sieste.
J'ai donc enlevée tous les vêtements du lit pour le faire, en soulevant les draps, j'ai trouvée un ravissant string rouge en dentelle. Je voulais le mettre sur la commode avec les autres vêtements quand je me suis rendu compte qu'il n'était pas propre, bien évidemment j'ai compris qu'eux aussi avaient dû avoir une nuit mouvementé.
J'ai changée les draps du lit, passée ma main dessus pour qu'il n'y ait pas une bosse, pas un pli. Passée un coup de balai, dépoussiérée les meubles et remis en ordre la multitude de maquillage, soin et autre crèmes de beauté de Geneviève.
Pour bien faire, je me suis mise arranger les sous-vêtements de cette dernière, malgré qu'elle m'ait défendu de le faire, elle disait que personne ne le faisait aussi bien qu'elle.
Mais bon la chambre n'aurait pas eue l'air rangé si j'avais laissée les vêtements en désordre sur le lit !
J'ouvre la commode, par curiosité, oui je le suis, regarde ses culotte, j'essaye de devine qu'elle genre de femme elle a été ou est. Puis au fond du tiroir, je tombe sur une boite en velours noir, sous cette boite, ce trouve des livres, des livres pornos. Je me serais attendu à trouver ça dans la commode de Michel, mais quelle surprise. Je les feuillette, je n'en avais jamais vue. C'était horrible toutes ces femmes nues, ces poses vulgaires. J'avais honte de regarder ça, mais bizarrement ça m'excitait aussi un peu. Je les ai remis à leur place, et ai ouvert la boite. Et la sous mes yeux, des godes, je savais ce que c'était on en parlait avec les copines en classe, mais je n'en avais jamais vue non plus. Des énormes, des petits, des noirs des blancs, des doubles, des boules, des trucs triangulaires (des plugs), de l'huile etc... La boite était pleine. J'ai eue encore honte de regarder ça, honte de Geneviève, moi qui la trouvais si sérieuse, si distingué, jamais une grossièreté, mince. Puis je me suis dit " ils cachent bien leurs jeux ces deux cochons". J'ai sortie tout le matériel, les ai tous examiné, puis en les examinant mes yeux faisaient un va et vient des godes aux livres, des livres aux godes et l'excitation montait. Je mouillais même un peu. Je me suis allongé sur le lit un livre à la main, j'ai soulevée ma jupe et là les jambes repliées et écartées sur le lit, je me suis caressée. Je mouillais abondamment, plus je regardais les images, ces femmes aux allures de salopes, ces mecs avec leurs grosses queues, plus j'étais trempée, j'en avais mouillée la couverture. J'ai attrapée un gode, le blanc le plus petit, les autres me faisaient peur, et l'ai frottée contre mon pubis. Oh quel pied, j'étais tellement trempé qu'il est entré tout seul dans mon vagin. Je l'ai enfoncée jusqu'aux boules qui imitaient les couilles, ai posée le livre et me suis fait des va et vient, je tirais sur mes seins à travers mon tee-shirt, me mordais les lèvres et susurrais des "oui, oui, oui" à chaque entrer du gode. Me suis retournée et me suis mise à quatre pattes, j'ai recommencée les va et vient, je ralentissais parfois pour ne pas jouir tout de suite. Je voulais essayer d'autres objets.
Et en tournant la tête vers la droite j'ai aperçue Michel, debout à l'entrée de la chambre.
_ Gigi, viens voir !
Quelle horreur, quelle honte, moi à quatre pattes, un gode dans le vagin, un livre de cul sur le lit et ces deux vieux qui me prenaient presque pour leur petite-fille.
_ Mais qu'est ce que....
Ils se sont approchés, je me suis assise sur le lit, je me confondais en excuses, mais eux ne regardaient que mes cuisses découvertes, le gode, le livre, et les objets que j'avais éparpillée. Je me suis levée, je me trouvais face à eux, Michel à demandé pourquoi j'avais fait ça, mais je ne savais pas quoi répondre.
Je dois sortir la suite au prochain épisode...
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J'étais étudiante en droit, et pour payer les études et le loyer de mon 12m2, je m'occupais d'un couple de personnes âgées après les cours et le WE.
Ils étaient charmants, ils me conseillaient sur tout, même pour les garçons, ils avaient sans arrêt un truc à dire. En fait, je ne servais pas à grand chose, je trouvais qu'ils n'avaient pas vraiment besoin de moi, mais bon leur fils avait insisté il parait, ça le rassurait !
La femme, Geneviève, avait 78 ans, mince, droite comme un i, je la trouvais pas mal pour une femme de son âge, très coquette et élégante, d'ailleurs elle disait tout le temps:" une femme à toujours besoin de se sentir désirable malgré l'âge et les rides". Lui, Michel, c'était plus le genre camionneur, plus jeune, 71ans, un grand bonhomme costaud, des doigts énormes et un sens de l'humour plus que douteux, oui le style graveleux, qui faisait rougir une jeune fille de mon âge.
Un matin je n'ai pas entendu le réveille, la cause : une nuit en boite plutôt bien arrosé. Je me suis levée en bataille, j'ai enfilé un débardeur, une mini jupe en jean et une paire de basket, c'était ma tenue combat pour ce genre de journée, et ça l'est encore !
Bref, je dévale les escaliers, me jette dans le bus, essoufflée je m'assois juste derrière le conducteur, là où il peut bien me voir par le rétro. J'étais là assise, les yeux dans le brouillard encore, la bouche grande ouverte à essayer de reprendre ma respiration, quand un élément étrange m'a réveillée : le vent. Une légère brise s'engouffrant entre mes cuisses grandes ouvertes. Dans ma hâte j'avais oubliée de porter une culotte, je ne portais pas et ne porte toujours pas de soutiens gorge, mais la culotte est indispensable. Je ne vous raconte pas mon état quand j'ai surpris le conducteur et un autre type mater mon entrecuisse.
J'arrive enfin sur mon lieu de travail, j'entre dans la maison, Geneviève se précipite sur moi avec une tasse de thé:
_ Oh Clarisse ma puce, on se faisait du souci
J'expliquais ma nuit et mon réveil quand Michel déboule du salon me presse contre lui, presque à m'étouffer.
_ N'en profite pas Mimi, laisse la petite tranquille. Celui là alors !
Elle me propose de manger morceau du un gâteau qu'elle vient de faire avant de commencer le rangement. Elle m'annonce que je vais rester seule cet après-midi, ils vont voir leur fils. Moi je ne suis pas mécontente, cette grande maison pour moi seule, génial !
Quand ils sont partis, je monte au premier, rangé la chambre. Des vêtements traînent sur le lit, je les pousse, allume la télé et m'allonge. J'étais entrain de m'assoupir quand j'ai entendu le tonnerre, il pleuvait averse. Je me suis dit que j'allais vite faire le ménage, de toute façon je n'avais pas grand chose à faire, Geneviève avait pratiquement tout nettoyée. Donc mon plan était de faire un ménage éclair et de m'allonger ensuite sur le gros canapé du salon pour faire une sieste.
J'ai donc enlevée tous les vêtements du lit pour le faire, en soulevant les draps, j'ai trouvée un ravissant string rouge en dentelle. Je voulais le mettre sur la commode avec les autres vêtements quand je me suis rendu compte qu'il n'était pas propre, bien évidemment j'ai compris qu'eux aussi avaient dû avoir une nuit mouvementé.
J'ai changée les draps du lit, passée ma main dessus pour qu'il n'y ait pas une bosse, pas un pli. Passée un coup de balai, dépoussiérée les meubles et remis en ordre la multitude de maquillage, soin et autre crèmes de beauté de Geneviève.
Pour bien faire, je me suis mise arranger les sous-vêtements de cette dernière, malgré qu'elle m'ait défendu de le faire, elle disait que personne ne le faisait aussi bien qu'elle.
Mais bon la chambre n'aurait pas eue l'air rangé si j'avais laissée les vêtements en désordre sur le lit !
J'ouvre la commode, par curiosité, oui je le suis, regarde ses culotte, j'essaye de devine qu'elle genre de femme elle a été ou est. Puis au fond du tiroir, je tombe sur une boite en velours noir, sous cette boite, ce trouve des livres, des livres pornos. Je me serais attendu à trouver ça dans la commode de Michel, mais quelle surprise. Je les feuillette, je n'en avais jamais vue. C'était horrible toutes ces femmes nues, ces poses vulgaires. J'avais honte de regarder ça, mais bizarrement ça m'excitait aussi un peu. Je les ai remis à leur place, et ai ouvert la boite. Et la sous mes yeux, des godes, je savais ce que c'était on en parlait avec les copines en classe, mais je n'en avais jamais vue non plus. Des énormes, des petits, des noirs des blancs, des doubles, des boules, des trucs triangulaires (des plugs), de l'huile etc... La boite était pleine. J'ai eue encore honte de regarder ça, honte de Geneviève, moi qui la trouvais si sérieuse, si distingué, jamais une grossièreté, mince. Puis je me suis dit " ils cachent bien leurs jeux ces deux cochons". J'ai sortie tout le matériel, les ai tous examiné, puis en les examinant mes yeux faisaient un va et vient des godes aux livres, des livres aux godes et l'excitation montait. Je mouillais même un peu. Je me suis allongé sur le lit un livre à la main, j'ai soulevée ma jupe et là les jambes repliées et écartées sur le lit, je me suis caressée. Je mouillais abondamment, plus je regardais les images, ces femmes aux allures de salopes, ces mecs avec leurs grosses queues, plus j'étais trempée, j'en avais mouillée la couverture. J'ai attrapée un gode, le blanc le plus petit, les autres me faisaient peur, et l'ai frottée contre mon pubis. Oh quel pied, j'étais tellement trempé qu'il est entré tout seul dans mon vagin. Je l'ai enfoncée jusqu'aux boules qui imitaient les couilles, ai posée le livre et me suis fait des va et vient, je tirais sur mes seins à travers mon tee-shirt, me mordais les lèvres et susurrais des "oui, oui, oui" à chaque entrer du gode. Me suis retournée et me suis mise à quatre pattes, j'ai recommencée les va et vient, je ralentissais parfois pour ne pas jouir tout de suite. Je voulais essayer d'autres objets.
Et en tournant la tête vers la droite j'ai aperçue Michel, debout à l'entrée de la chambre.
_ Gigi, viens voir !
Quelle horreur, quelle honte, moi à quatre pattes, un gode dans le vagin, un livre de cul sur le lit et ces deux vieux qui me prenaient presque pour leur petite-fille.
_ Mais qu'est ce que....
Ils se sont approchés, je me suis assise sur le lit, je me confondais en excuses, mais eux ne regardaient que mes cuisses découvertes, le gode, le livre, et les objets que j'avais éparpillée. Je me suis levée, je me trouvais face à eux, Michel à demandé pourquoi j'avais fait ça, mais je ne savais pas quoi répondre.
Je dois sortir la suite au prochain épisode...
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