Manœuvres militaires.

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Manœuvres militaires. Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Manœuvres militaires.
P.t.n ! il ne me restait plus qu'un mois de service militaire et cet enfoiré de colonel avait décidé de faire des manœuvres en forêt, dans le massif montagneux proche de la caserne.

Oui cette histoire ne date pas d'hier, je dirais qu'elle a un certain temps.

Je venais de passer une année pas terrible. Etre gay dans le milieu militaire, c'est pas terrible! être entouré à longueur de temps par des mecs jeunes et pleins de sève, que l'on entendait se branler dans leur lit le soir sans discrétion. On était des chambrées d'une vingtaine de lits alors pour la discrétion…

J'avais bien eu quelques aventures avec des mecs mais vite fait et je faisais comme les autres je me branlais. Moi c'était dans les chiottes et je n'étais pas le seul! je n'ai réussi à baiser un mec qu'une seule fois alors je peux vous dire que lors des perms ça donnait. J'avais de la réserve et on allait en boîte dans la région où il y avait autant de filles ou de mecs qui venaient pour se faire baiser.

Enfin, je pensais tirer le dernier mois tranquillement et me voilà parti en manœuvres.

En gros c'était comme un jeu de piste on était 6 trouffions sous les ordres du sergent-chef, qu'il fallait appeler Chef si on ne voulait pas le vexer. Oh c'était un beau mec, j'avais eu l'occasion de le voir en maillot de bains à la piscine et pas mal de monde le regardait. Un corps musclé et entretenu et le slip semblait bien rempli, mais sa gueule, il avait toujours un sourire ironique aux lèvres comme si, en te regardant il se foutait de ta gueule et te méprisait. Je l'avais entendu à maintes reprises traiter de tapette, un mec qui n'arrivait pas à faire certains exercices et j'avais remarqué qu'il avait les mains baladeuses sous prétexte d'aider les mecs mais il n'avait jamais chercher quoi que se soit avec moi et cela ne me manquait pas!

Donc nous sommes partis par groupe de 7, dans différentes directions, à intervalles pour devoir se retrouver à un endroit précis trois jours plus tard.
On a eu du bol, il faisait beau. Nous sommes partis, sac au dos en marchant comme des militaires que nous étions.

Tout mon groupe avait la forme, cela allait, mais les sac à dos étaient lourds. On en avait été chargé par le magasinier, sans savoir ce qu'il y avait dedans, normalement sac de couchage, bouffe et la surprise vint le premier soir.

Ah! il y avait à boire et de la bouffe, mais qu'une tente pour deux alors que les autres fois on avait chacun la sienne. Le Chef avait la sienne et nous a dit qu'on dormirait à deux, qu'on avait qu'à se serrer mais pas trop qu'on était pas parti pour une partouze entre mecs même si certains avaient l'air un peu pédé.

On c'était tous regardé pour savoir lesquels en étaient et on a tous éclaté de rire sauf le chef qui avait loupé sa vanne.

Je me suis retrouvé avec Jean Jacques, un petit minet sympa qui souriait tout le temps. On a monté la tente rapidement. On a tous fait un feu et dîner de nos rations puis c'était l'heure de se coucher.

Le Chef est allé dans sa tente, nous laissant nous débrouiller car dormir à deux dans une tente pour une personne, il fallait simplement se serrer l'un contre l'autre. Moi cela ne me dérangeait pas et Jean Jacques avait l'air de s'en foutre complètement.
-je crois qu'on va pas se déshabiller dit Jean Jacques sinon ça va faire jaser.
-t'as raison, mais tu dors en te mettant de quel côté ?
-moi sur l'épaule droite.
-ben moi aussi.
-je vais m'allonger, tu viens ensuite mais tu ne me serres pas trop, je compte sur toi.
-pas de problème mec!

En fait j'étais ravi de passer la nuit avec ce petit minet dans mes bras. J'allais à coup sûr avoir des démangeaisons dans le slip de l'armée. Oh il était assez vaste pour ça!
Il est entré dans la tente en rigolant. Je l'ai suivi, il me tournait le dos, j'ai donc emboité mon corps dans le sien, j'avais juste son petit cul collé sur ma bite.
-bonne nuit mec dit Jean Jacques.
-bonne nuit.

J'ai senti son corps se détendre contre le mien, se frotter comme s'il cherchait sa place et, bien calé sur ma queue qui bandait maintenant, j'ai entendu sa respiration devenir régulière. Il s'était endormi ce petit con avec ma bite raide sur son cul!

On ne pouvait guère bouger alors mon bras libre, je ne savais pas trop quoi en faire, si bien que j'entourais le corps de Jean Jacques avec et je m'endormais avec la queue qui me faisait mal.

Je ne sais pas quelle heure il était quand j'ai été réveillé. Ma main était tenue par celle de Jean Jacques, qui me la caressait. Je ne bougeais pas, respirais normalement lui soufflant sur la nuque que j'avais envie de mordre plutôt et sa main tenant la mienne, il l'a descendue à hauteur de sa bite pour la poser dessus…

Merde! mais il bandait aussi le salaud et il avait l'air d'avoir une bonne tige. Ma queue toujours raide se raidissait encore plus et voulait bouger, c'est son petit cul qui bougea lentement, faisant d'imperceptibles mouvements d'avant en arrière mais suffisant pour m'exciter. Je bougeais un peu mon corps pour le frotter à son cul. Sa main tenait toujours la mienne sur sa queue et la faisait bouger comme un léger mouvement de branle.

Là il m'excitait le petit minet. En même temps que je saisissais sa queue en la serrant dans ma main, je lui mordais tendrement la nuque. Il sursaute dans mon bras, mais ne bouge plus et me laisse lui caresser la bite. Mes doigts défont la braguette et foncent chercher l'objet du désir. J'arrive à sortir sa queue et, continuant à le mordre, l'embrasser dans la nuque, je le branle lentement, mes doigts examinant bien cette nouvelle bite que je découvrais.

Il était excité le mec car peu de temps après sa main se pose sur mon poignet pour ralentir la branle et dans un long gémissement se vide. Je ne vois rien, mais je sens bien les giclées sortir. Il se retourne et dans la nuit je vois qu'il sourit.
-merci mec me dit-il en tendant ses lèvres.

Je m'en empare, les embrasse tendrement et ma langue file pour faire connaissance avec la sienne, pendant que sa main vient se poser sur ma queue, la cherche dans le treillis, la sort et tout en me donnant sa langue me branle en cadence. Il n'a pas fallu longtemps pour que je crache de longues giclées sous la tente.

On venait juste de reprendre notre souffle quand la voix du Chef s'est élevée.
-debout bande de feignants! et faites vite le café.
On s'est remis présentable pour sortir chacun notre tour de la tente. Les quatre autres émergeaient, on avait tous l'air un peu égaré comme si tout le monde avait mal dormi.
Quand j'ai vu Hamid, un jeune trouffion s'étirer les bras en l'air, on voyait nettement son sexe bandé dans le treillis. Il m'a jeté un œil en souriant!

On ne se quittait plus avec Jean Jacques. Il était charmant et j'appris à le connaitre. Il m'a raconté qu'il était gay et qu'il aimait bien se faire baiser et qu'il aimerait le faire avec moi.

Après une journée de marche en zig-zag selon moi le deuxième soir il fallait remonter les tentes et après un dîner sommaire de rations on est allé se coucher.

Jean Jacques a repris sa place, mais je l'ai vu dégrafer son ceinturon, et ouvrir son treillis. J'en ai fait autant avant de m'allonger derrière lui, passant directement ma main dans son slip pour trouver sa belle queue déjà bien raide.
-fais moi le cul mec! j'en ai tellement envie.

Le parcours du combattant a commencé. Il ne fallait pas trop bouger, ni faire de bruit. J'ai réussi à faire descendre son pantalon de treillis, pour juste dégager ses fesses. Je les ai caressé, il a soulevé légèrement une jambe, mon doigt est venu toucher son petit trou qui palpitait, je l'ai doigté sans problème.

Ce devait être son jeu favori, sa main me caressait la tige qui coulait. Je dirigeais le gland entre ses fesses, cherchant l'entrée, son cul se tendait, le gland trouve l'entrée, ma main le serre à la hanche et je pousse pour le faire entrer. Je sens qu'il force pour ouvrir son petit trou et, aidé par la mouille je sens le gland être avalé par le cul chaud et humide. Quand le gland passe Jean Jacques ne peut s'empêcher de pousser un petit cri vite réprimé par ma main sur sa bouche.

Ma queue glisse en lui lentement pendant que sa langue passe entre mes doigts sur sa bouche et les lèche. Ma queue est rentrée mais pas toute et vu la grandeur de la tente, il ne faut pas trop bouger, j'avais peur que la tente s'écroule sur nous… et là!

Il ne gémissait plus, se retenait, je lui donnais de petits coups de cul, ma queue était bien au chaud, ma main descend sur sa bite, je la passe sur son gland décalotté, la mouille coule en abondance, je le branle, il serre des fesses sur ma queue et j'arrive à le baiser. Oh pas bien profond mais avec du plaisir autant pour moi que pour lui ,compte tenu des giclées qu'il a fourni dans ma main et celles qu'il a pris dans son cul.

Il a tourné la tête pour m'embrasser tendrement me donnant sa langue à sucer.
-on reste comme ça chuchote-t-il.
Je le serre dans mes bras, sa tête est sur mon bras, ma queue certes débandée est toujours prises par ses fesses et on s'endort… heureux!

Le réveil le fut moins! car ce qu'on avait pas vu, c'est que nos pieds sortaient de la tente et le réveil… ben quelqu'un nous a tiré par les pieds pour nous sortir de la tente. C'était le Chef qui hurlait.
-bande de pédés! sales tapettes!

Tout le monde sortait des tentes. Quatre mecs qui finirent par rigoler de voir Jean Jacques le cul nu et moi la bite qui débandait sortie de mon treillis.
-bah Chef dit Hamid faut bien se faire plaisir dit-il en rigolant.
-quoi t'es pédé, toi aussi ? ah les arabes c'est vrai! ça se fait facilement enculer!

J'ai vu le visage d'Hamid se fermer, durcir, ses poings se fermaient et il fulminait le beau Hamid. Il regardait le Chef dans les yeux et ils étaient prêts à en venir aux mains.
Je me suis relevé et je me suis interposé en regardant le Chef.
-de toute façon ça vous regarde pas Chef ce qui se passe dans les tentes.
-mais je suis le Chef et je dois tout savoir me crache t-il au visage.

C'était marrant de voir comment les trois autres sont venus à notre rescousse disant tous comme Hamid qu'on pouvait faire ce qu'on voulait. Mais il n'entendait pas ça comme ça, le Chef et n'arrêtait pas de gueuler en vociférant quand mes yeux se sont portés sur son entre jambe et stupéfaction, il bandait le Chef!

A ce moment là, Hamid me regardait… de mes yeux je lui montrais l'entre jambe du Chef. Il comprend au quart de tour et, arrogant au possible, il bloque le Chef avec sa main sur son bras.
-mais ça l'excite le Chef de commander des pédés, regardez les mecs! il bande le Chef!!

Le Chef se dégage et toise Hamid.
-si tu veux te faire sucer demande aux pédés. Ils sont là tu peux t'en servir propose Hamid
-j'suis pas pédé crie le Chef.
-alors pourquoi tu bandes ?
-j'bande pas sale arabe!

C'étaient les mots de trop. Hamid l'a empoigné, non pas aux bras mais directement aux couilles, lui serrant on a su dans l'instant, sa bite également.
-ah tu bandes pas mec! ben elle doit être drôlement grosse alors! tiens si tu te dessapais ?
Il tapote la joue du Chef.
-allez! à poil! on vient de voir une bite et un cul alors tu vas nous montrer la tienne.
Hamid le tenait sous le menton, serrant sa chemise qui commençait à l'étrangler. Il voyait le regard décidé d'Hamid et nous cinq autour qui attendions… curieux!

Alors il a défait son pantalon de treillis qui est tombé à ses chevilles. Le beau slip de l'armée vert kaki est apparu. Un piquet de tente le redressait. Deux mecs derrière lui ont baissé ce slip et putain quelle bite il avait le Chef!
On est tous resté scotché devant. On pensait n'être que deux à apprécier cette belle tige mais à voir le regard des autres.

Hamid lui a fait enlever sa chemise et le bel athlète de Chef a montré sa musculature. Outre une belle queue, bien raide, bien droite qui pointait en avant laissant couler un filet de mouille qui tombait dans l'herbe. Des muscles d'acier étaient dessinés sur tout le corps, un petit cul haut et ferme dessinait une belle paire de fesses.
-qui veut le sucer ? demande Hamid, eh les mecs faut pas le laisser comme ça!

C'est Jean Jacques qui s'est décidé en ce mettant à genoux devant lui et devant tout le monde, médusé lui a taillé une pipe. J'en était jaloux car ma bite n'avait pas encore visité sa bouche mais je voyais son savoir faire et cela avait l'air d'être bien, vu les soupirs et râles que poussaient le Chef.
J'avais sorti ma queue et je me caressais lentement observant le spectacle.
Hamid se touchait la queue à travers son treillis et je l'ai vu se mettre près du Chef. Je ne voyais plus son autre main. Je me suis penché et j'ai vu qu'il le doigtait, sucé et doigté le Chef et il avait l'air d'apprécier!

Les trois autres avaient sorti leur queue et se branlaient en commentant les coups de langue de Jean Jacques. Si ça continue il allait avoir plus de boulot.
Mais la pipe de Jean Jacque a produit son effet et le Chef s'est vidé dans sa bouche ouverte, son petit cul se resserrant sur les doigts d'Hamid.

Hamid appuie sur son dos pour qu'il se penche.
-à toi Chef de montrer ce que tu sais faire, c'est pas les queues qui manquent.
Les trois autres s'étaient rapprochés, le Chef a pris deux queues en main, les branlant, les caressant et les suçant une par une pendant que Jean Jacques avait attiré le troisième trouffion qui avait passé la nuit avec Hamid et avait entrepris de le sucer.

Hamid me fait un petit signe. Il passe derrière le Chef, sort sa queue. Ce n'était pas la première queue de beur que je voyais mais là Hamid ben il était bien fourni le garçon. Une belle queue raide circoncise, toute humide. Il sort du treillis les couilles, il me fait signe d'approcher. Je ne me fais pas prier plus longtemps, j'empoigne sa longue tige chaude.
-tu me suces un peu mec et on l'encule chacun notre tour! il va s'en souvenir le Chef dit Hamid avec un grand sourire montrant toutes ses dents blanches.
Son beau sgeg était bon, doux, chaud et j'ai peiné à tout avaler, une bonne grosseur et une belle longueur de bonne viande hallal!

J'ai léché et bien humidifié son gland, dirigé sa queue vers le trou du Chef. Il m'a laissé faire, j'ai bien positionné l'engin, l'obus. Il a pris le Chef aux Hanches. J'ai vu qu'il essayait de sucer les deux bites en même temps quand la queue d'Hamid l'a foré entrant d'une seule traite dans ce cul qui s'ouvrait bien faisant hurler le Chef qui se tenait aux jambes des deux trouffions qu'il suçait. Il a attendu un petit moment que son cul s'habitue à l'intrus et quand Hamid a commencé de longs va-et-vient, il a recommencé de sucer les deux bites offertes. Les deux trouffions qui se faisaient sucer s'embrassaient à pleine bouche!

Jean Jacques et l'autre jeune étaient allongés à terre et se suçaient en 69.
Moi j'assistais à tout ce spectacle alors j'en ai profité pour admirer le beau Hamid osant le caresser, passant ma main sous ses vêtements, un dos chaud et dur. Il donnait des coups de reins secs et puissants. J'ai passé ma main dans le treillis, il a enlevé le ceinturon et mes doigts se sont infiltrés dans sa raie cherchant son anus quand mon doigt l'a touché, caressé, gratté il a tourné la tête vers moi et a approché sa tête m'offrant ses lèvres. Sa langue est entrée dans ma bouche en même temps que mon doigt dans son cul et sa main m'a touché la queue.

Ce n'était que gémissements, tout le monde semblait prendre son pied. Je n'aurais jamais imaginé cela dans mes meilleurs rêves.

Quand j'ai senti les fesses d'Hamid me serrer le doigt, j'ai su qu'il giclait, engrossant le cul du Chef qui gueulait de plaisir la bouche grande ouverte recevant en même temps le jus de ses deux trouffions.
Hamid s'est retiré vite fait, m'a poussé à sa place, est venu derrière moi, me serrant dans ses bras, dirigeant ma queue dans le trou ouvert du Chef.
-tu peux y aller mec! le trou de monsieur est avancé et foré !!

C'est vrai que je n'ai eu aucun problème pour le baiser. On ne devait pas être les premiers.
Les bras d'Hamid me serraient, il me caressait le torse, m'embrassant dans le cou. Je sentais sa queue semi molle frotter contre mes fesses. Il n'a pas cherché à m'enculer, il avait l'air d'aimer me caresser et m'embrasser jusqu'à ce que je remplisse le cul du Chef. C'est Hamid qui m'a tiré de lui vite fait et on a observé le sperme qui coulait de son cul béant.

J'adorais les lèvres chaudes d'Hamid sur ma peau, je me suis retourné dans ses bras et on s'est embrassé comme des amants de vieilles dates!

C'est Hamid qui était devenu le Chef! il a sifflé la récréation en disant qu'on avait encore une soirée à passer dehors mais qu'il fallait avancer si on voulait garnir le cul du Chef ce soir!

La deuxième journée s'est encore passée à marcher mais là tout le monde discutait et j'ai appris que les trois trouffions étaient hétéros… mais que, bon… la bouche du Chef et celle de Jean Jacques ça valait qu'on y revienne et ils voulaient bien essayer le cul du Chef le soir!

Hamid me confiât qu'il aimait autant baiser avec un mec qu'avec une nana et que son cul pouvait être accueillant pour ceux qui savaient y faire. Il avait dit ça en me faisant un clin d'œil me tenant par les épaules, et je crois que le tien doit l'être.
C'est dire que le soir même, le dîner fut vit expédié. Les treillis ont volé et en fin de compte ce fut la partouze générale qui durât une bonne partie de la nuit.

Presque tous les culs ont été visité sauf celui d'un petit hétéro qui ne voulait pas mais qui a bien voulu profiter de celui des autres. Personne ne lui en a tenu rigueur car en fait ils venaient de découvrir que la bisexualité pouvait avoir des avantages.

Le réveil fût difficile et le vrai chef était Hamid maintenant. Le Chef ne semblait plus savoir ce qu'il devait faire. Enfin nous avons rejoins les autres dans un grand camp accueilli par le Capitaine de compagnie qui a paru surpris de voir que notre Chef semblait si fatigué.

Mon dernier mois de service militaire est passé plus facilement après ces bonnes manœuvres.

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merci cher lecteur

Histoire Erotique
Trop trop belle histoires trop badante et trop sexy en même temps la



Texte coquin : Manœuvres militaires.
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